Eva 3

Lorsque la sonnette retentit, je courus à ma porte le coeur battant à tout rompre. Enfin ! Le grand jour était arrivé ! J’en pouvais plus d’excitation et de fébrilité. J’ouvris la porte, et dans un frisson de plaisir, je découvris mon Chéri qui attendait devant. Ses yeux bleus brillèrent de plaisir en me découvrant, et moi même, je le détaillai avec délectation : il était habillé d’un simple t-shirt et jean, mais on devinait aisément ses muscles bien dessinés. Son beau visage, ses yeux bien bleus, son léger sourire, tout ça ne me donna qu’une seule envie : je me jetai sur lui, et l’embrassai fougueusement, en me mettant sur la pointe des pieds, et en le tirant par le cou, car j’étais beaucoup plus petite que lui : il faisait dans les 1,85 mètre, tandis que moi je dépassais à peine les 1,50. Surpris, il me répondit avec ardeur me dévorant littéralement la bouche. J’intensifiai le rythme du baiser, et m’attrapant par l’arrière de la tête, il accéléra la cadence lui aussi. On s’embrassa si passionnément, qu’il finit par me soulever, et me plaquer contre le mur de ma maison, se collant contre moi délicieusement.

On finit par se séparer, haletants, le regard brillant. J’étais déjà bouillonnante d’excitation. On entra dans ma maison.

« Tu sais accueillir toi ! »

Je souris, et dis :

« J’étais impatiente de te voir. »

« C’est pour ça que tu t’es habillée sexy ? »

J’avais mis un débardeur rouge vif très décolleté, qui découvrait mon ventre plat, et un mini-short, vraiment très mini. J’avais pas l’habitude de m’habiller aussi chaudement, mais c’était une occasion spéciale aujourd’hui.

« Oui, j’ai mis ça rien que pour toi… je veux que ce soit une journée sportive et intense. »

Il eut un grand sourire :

« T’inquiète pas, ça le sera. »

On alla sur mon canapé, et on recommença à s’embrasser. Cette fois ci on y allait doucement, romantiquement.

Je voulais lui laisser croire que tout était comme d’habitude, que j’étais toujours la fille qu’il avait dépucelée, qu’il était toujours mon seul amant, et que j’étais toujours une petite soumise. Tout ça était faux, car depuis qu’une fille appelée Katherine avait décidé de devenir ma prof de sexe, j’avais beaucoup changé. J’étais devenue une redoutable séductrice, avais enchaîné les amants, et étais devenue beaucoup plus dominante au lit. Je ne voulais pas qu’il sache ça, car je voulais le surprendre, et le soumettre. Voir cet Apollon musclé à ma merci, serait incroyable pour moi. Aussi, après une longue séance de baisers, je lui dis :

« Ca te tente un bain avec moi ? J’ai tout préparé dans la salle de bains en haut ! »

Il eut son sourire craquant.

« Ok ! »

On monta dans ma salle de bains, et il découvrit tout ce que j’avais préparé : une baignoire remplie d’eau chaude et de mousse, une salle de bains garnie de bougies, seules source de lumière. L’ambiance semblait hyper romantique. Il eut un sourire étonné :

« Oh là là Eva, tu me fais le grand jeu. »

Je souris.

« Que veux-tu c’est mon côté romantique ! On s’y met ? »

« Avec joie ! »

Il retira son t-shirt, dévoilant son superbe corps musclé, puis se dénuda complètement libérant son magnifique cul, ainsi que son engin, qui commençait déjà à être assez tendu… Je me dénudai à mon tour, dévoilant mon corps, ma taille fine, ma poitrine opulente, et mes fesses rondes et fermes. Je vis son regard appréciateur, et ça me mit en confiance. Je lui fis signe d’entrer dans le bain, et il s’exécuta en souriant. Il était important pour mon « plan » qu’il y entre le premier.

Il s’allongea dans l’eau chaude avec un soupir de contentement. Rapidement, je le rejoignis, entrant dans le bain, en me mettant à califourchon sur lui. Il eut un petit rire devant mon empressement.

« T’as l’air d’avoir envie toi dis moi.
.. »

« Oh oui, j’ai super envie... »

« En même temps ça fait longtemps que t’as rien fait, on a pas baisé depuis des mois ! »

Je souriais en réponse. Comme prévu, il pensait que j’étais toujours la petite coincée qu’il avait dépucelée voilà quelques mois… Il s’imaginait qu’il était toujours mon seul amant. Sauf qu’en réalité, depuis qu’une fille du nom de Katherine avait décidé de devenir ma « prof » en matière de sexualité, j’avais enchaîné les rencontres et les coups d’un soir. Je m’étais incroyablement améliorée en matière de séduction et de baise. J’avais appris à dominer, à mener la danse au lit, et je comptais bien profiter de cette expérience acquise pour soumettre mon Chéri. Mais tout ça, il l’ignorait totalement, et je comptais bien profiter de l’effet de surprise.

En l’occurrence, même si il ne s’en rendait pas encore compte, il était totalement à ma merci : dans ce bain, étroit, glissant et rempli d’eau, il n’avait aucun moyen de reprendre le dessus. Je brûlai d’impatience, ça faisait tellement longtemps que je rêvai de ce moment, le moment où je pourrais enfin le mâter ! Aussi, je me jetai sur lui, et l’embrassai avec une fougue peu commune, le tenant par les joues, lui dévorant la bouche comme une folle. Il me rendit mon baiser autant qu’il put, mais ma sauvagerie était telle que c’était moi qui donnais le ton. Il aurait dés ce moment dû comprendre ce qui l’attendait, mais il était trop persuadé que j’étais toujours sa petite soumise pour deviner ce que je lui réservais.

En attendant, mon baiser l’avait excité à mort, et son imposant sexe était enfin en totale érection. Je le pris donc en main, et m’empalai dessus avec un gémissement. Je commençai alors à le chevaucher, bougeant mon bassin d’avant en arrière, surplombant cet Apollon musclé, et frissonnant de plaisir à chaque mouvement que je faisais sur son engin dressé.

« Hmm tu me fais tellement de bien ma belle ! soupira-t-il. »

Pour l’instant, j’étais très loin de le chevaucher à fond, mais ça devait être aussi bon que du temps où j’étais pas très expérimentée.
Il ne savait pas que je pouvais le baiser bien mieux que ça… J’accélérai progressivement le rythme, intensifiant mes coups de reins, et il se mit à se tortiller et à s’agiter sous l’effet du plaisir. Il était temps de passer aux choses sérieuses, de lui faire comprendre qu’il était à moi. Je le saisis par la gorge pour le faire se tenir tranquille, et augmentai franchement la cadence de mes coups de reins, le violant littéralement. Surpris, il se mit à crier et frisonner de plaisir, tout en se débattant de façon saccadée. Je lui collai une gifle bien sentie, qui le fit sursauter :

« Tu bouges pas, lui dis-je d’une voix très autoritaire. Tu es mon jouet, je te baise et tu restes tranquille c’est clair ? »

Il ouvrit la bouche pour me répondre, mais impitoyablement, je le baillonai avec ma main, avant d’accélérer encore le rythme, vibrant de plaisir comme jamais je l’avais fait. Ca arrivait enfin ! Enfin après des nuits et des nuits passées à « m’entraîner » sur des mecs chopés en boîte ou autre, je domptais le seul que je voulais vraiment soumettre, mon Chéri, celui qui m’avait dépucelée ! Je me sentais incroyablement puissante en allant et venant sur sa bite si grosse et raide, en voyant son corps d’athlète vibrer sous mes assauts, en le sentant se débattre et s’agiter faiblement et inutilement, en voyant qu’il ne pouvait rien faire pour se libérer de mon pouvoir ! Le plaisir et l’excitation bouillonnaient en moi comme un volcan, à chaque coup de rein que je lui donnai, c’était pire encore. La baise était trop forte, trop sauvage et soudaine pour durer longtemps : mon Chéri et moi explosâmes dans un orgasme si violent que je m’effondrai sur lui dans hurlement.

Je me redressai, haletante et essoufflée. J’étais tellement contente de moi ! Je n’aurais pas été moins fière si j’avais gagné une médaille d’or aux Jeux Olympiques. Il était hors de question de s’arrêter là. Son énorme engin était toujours en moi, aussi dur et tendu qu’avant l’orgasme : je repris alors aussitôt ma chevauchée.
Très vite j’atteignis à nouveau un rythme très élevé, le baisant à une cadence infernale, le culbutant contre le paroi de la baignoire. Je lui griffai le torse, savourant le contact de ses pectoraux sous mes ongles, je lui donnai de petites gifles, et lui souriais d’un air moqueur. Je le dominais totalement, ce qui m’excitait comme une folle, et ma chevauchée fantastique me faisait un bien fou, car à chaque aller-retour, sa bite cognait le fond de mon intimité avec violence, m’arrachant des gémissements de plaisir.

« Tu aimes ce que je te fais ? lui lançai-je entre deux gémissements. Tu aimes me sentir te baiser violemment comme ça ? »

Comme j’accélérai le rythme en même temps que je lui posai la question, il ne put répondre autre chose qu’un cri, mais c’était amplement suffisant. Sentant un nouvel orgasme approcher en nous deux, j’accélérai une toute dernière fois le rythme, allant si fort sur lui, que l’eau agitée de remous, gicla hors de la baignoire, tandis que mon Chéri criait, se tortillait, gémissait et finalement eut un formidable orgasme qui le fit se secouer comme un dingue. Après deux trois coups de reins supplémentaires, je le rejoignis moi aussi au 7ème ciel, hurlant lorsqu’une brûlante vague de plaisir me submergea et me fit m’écrouler hors d’haleine.

Je pris un peu de temps pour me remettre, et sans un mot, je sortis de la baignoire, me séchai, me rhabillai, et quittai la salle de bains. Mon Chéri, lui, resta un moment étendu et sonné dans la baignoire. Ravie de ma victoire, je quittai la pièce, et allai à la cuisine. Je n’avais pas fait la vaisselle ce matin, et il en restait pas mal dans le lavabo. En attendant que mon Chéri reprenne ses esprits, je m’attelai donc à faire ma vaisselle.

Il me rejoignit au bout de dix minutes environ. Il ne s’était pas complètement rhabillé, il n’avait remis que son pantalon, laissant nu son torse délicieusement musclé.

« C’était quoi ça ? Ce que tu m’as fait dans la salle de bains ? »

Je roucoulai :

« Ca, mon coeur, c’était moi entrain de te baiser sauvagement, et de t’utiliser comme un sex-toy. Ca t’a plu ? »

Il s’approcha doucement.

« Je peux pas dire que ça m’a déplu… »

« Tant mieux. Tu ferais mieux de t’y habi, ça se passera souvent comme ça... »

Il s’approcha encore, jusqu’à se coller dans mon dos. Ses deux bras puissants m’enserrèrent soudainement, tandis qu’il me collait à lui. Je pris alors conscience à quel point j’étais plus petite que lui. Il se pencha jusqu’à mon oreille, tout en me serrant doucement.

« Tu es sûre ? »

Dans cette position, debout coincée contre le lavabo, je n’avais aucune chance de le dominer, j’en avais parfaitement conscience.

« Oui, répliquai-je malgré tout d’un ton de défi. »

« C’est ce qu’on verra, ma petite... »

Il m’arracha aussitôt mon mini-short, emportant dans la foulée mon shorty. Tout en me maintenant plaquée contre le plan du lavabo, il fit également tomber son pantalon, puis son caleçon. Je pus sentir son sexe tendu derrière moi, et ça m’excita follement. Il me pénétra avec force, et je frémis de plaisir lorsque son imposant engin entra en moi, cognant le fond de mon intimité. Je poussai carrément un cri, lorsqu’il se mit à aller et venir, me limant avec vigueur, tout en massant vigoureusement ma poitrine, me faisant bouillir d’excitation. Il accéléra progressivement le rythme, me plaquant contre le plan de cuisine avec force. J’étais tellement excitée que j’en perdais la tête, je me sentais tellement fragile et vulnérable, prise ainsi avec force, coincée par les bras si musclés de mon Chéri. Plus la baise durait, et il plus devenait sauvage et brusque, pour mon plus grand plaisir. Ses cous de reins s’intensifiaient, ses massages sur ma poitrine devenaient plus pressants plus vigoureux. Il se montrait de plus en plus sauvage, et j’adorais ça.

Il me saisit ensuite par les hanches, et me tira jusqu’à la table. Il me souleva, et m’étala dessus sans aucun effort. Je me débattis un peu, mais honnêtement le coeur n’y était pas : il était bien sûr beaucoup plus fort que moi, et dans la situation présente, l’empêcher de faire de moi son petit jouet était impossible. Et puis… j’adorais ce qui se passait, il fallait bien le reconnaître. Me tenant plaquée contre la table, en me tenant par les mains, il me prit à nouveau, me labourant avec force. Sa queue me limait encore et encore, inlassablement, déclenchant en moi de véritables tourbillons de plaisir qui me faisaient me tortiller et gémir de plus en plus intensément. Lui pendant ce temps s’activait toujours plus, me regardant droit dans les yeux d’un air viril et dominateur. Ca m’excitait terriblement, je mouillais à fond, et ça lui permettait de me baiser avec toujours plus d’ardeur. Ce qui me rendait folle aussi, c’était voir son corps d’athlète en action, ses muscles se contracter pendant l’effort qu’il faisait. Tout en prenant un pied énorme, je soutenais son regard, au début pour le défier, mais au fur et à mesure que sa queue me faisait gémir et frémir de plus en plus, mon regard devenait de moins en moins lionne, et de plus en plus chienne. En attendant le plaisir s’intensifiait, devenait insupportable je tremblais, gémissais, j’étais plus échauffée que jamais. Je le sentais lui aussi, trembler et frémir sous ses propres assauts, et compris que l’explosion était imminente. Je serrai les dents pour tâcher de retarder au maximum un orgasme que je pressentais dévastateur, mais ce fut inutile : il me baisait trop bien, avec trop de constance, de force et de vitesse, je ne pouvais me retenir longtemps à ce rythme : j’explosai dans un orgasme si fort que chaque parcelle de mon corps en vibra, et que je me sentis épuisée après. Mon Chéri jouit en moi lui aussi, dans un grand cri de plaisir.

J’étais un peu troublée par ce qui venait de se passer : je m’étais mise en tête de dominer mon Chéri, et il venait de me mâter de la plus belle des façons. Pire, j’avais complètement adoré ça… Il fallait que je me reprenne, et je décidai de me venger le plus vite possible.

« T’as aimé ? me demanda-t-il »

Il avait un petit sourire entendu, qui en disait long sur sa confiance en lui. Ca me plaisait beaucoup.

« Oh oui, répondis-je franchement, c’était une baise de folie ! »

« Oui… désolé de t’avoir un peu malmenée, mais tu m’as vraiment trop excité dans la baignoire tout à l’heure… ne réessaye jamais de me dominer comme ça, sinon je te punirais encore, compris ? »

Je lui souris d’un air timide et soumis :

« Oui t’inquiète pas, j’ai bien retenu la leçon. »

On se mit à table, histoire de recouvrer nos forces. Pendant le repas, on parla beaucoup, et avec animation. Je me sentais vraiment bien avec lui, et je me dis que même si il n’avait pas été un dieu du sexe, je me serais bien entendue avec lui, ne serait-ce que pour sa gentillesse. Ce ne fut qu’après le dessert, que je repassai à l’attaque.

« T’as aimé le repas ? lui demandai-je en m’approchant de lui. »

« J’ai adoré, tu fais super bien la cuisine ! »

« Merci, tu veux qu’on passe au dessert ? »

« On l’a pas déjà pris ? »

« Non, je parlais de celui-ci... »

Je me mis à genoux devant lui, et lui retirai son pantalon lentement. Il se laissa faire, avec un sourire ravi et amusé. Le pauvre devrait encore croire qu’il avait affaire à Eva la soumise timide. Malgré notre baise dans la salle de bains, il ne comprenait pas que j’étais devenue une vraie tigresse. Il ne tarderait pas à le comprendre, cependant…

En attendant, je fis tomber son pantalon, puis arrachai son caleçon, le tout avec un sourire coquin. Son sexe, à nouveau libéré, était tout dur et tendu, et je me mis à le sucer magistralement. Je faisais courir ma bouche le long de sa hampe jouait de ma langue pour le faire frémir, et le pompais avec avidité lui arrachant des cris de plaisir. Je m’étais énormément améliorée dans le domaine de la fellation, et il devait s’en rendre compte maintenant. Je m’interrompis quelques instants pour attacher mes cheveux en queue de cheval, sous son regard appréciateur. Puis je repartis à l’attaque, plus gourmande que jamais. Je le pompais avec fureur et avidité, dévorant sa queue, tout en lui malaxant d’une main les boules, de l’autre sa hampe, lui arrachant des gémissements de plaisir. Plus je le suçai vite et fort, plus il poussait de grands cris , et plus je me sentais forte, sexy et irrésistible : c’était incroyablement excitant de faire autant de bien à un mec, juste avec sa bouche, et j’en tirais presque autant de plaisir que lui. Je conclus cette formidable pipe, par une branlette énergique tout en le regardant bien dans les yeux, avec un sourire provocateur. Son visage était décomposé, son corps tout entier frémissait sous le plaisir que je lui infligeais, je lui faisais perdre la tête, il était à moi !

Pleine de confiance, je me redressai, et sans attendre, retirai mon mini-short et mon shorty, puis, vins m’empaler avec un cri sur son imposante queue. Bien décidée à le mettre KO tout de suite, je me déchaînai, bondissant sur son sexe de haut en bas, m’empalant encore et encore sur ce pieu délicieusement dressé. Je poussai de grands cris de plaisir, mais gardait la tête froide, et m’appliquais à lui faire perdre la sienne. Entre deux bonds sur son sexe, je me mettais à lui donner de puissants coups de reins d’avant en arrière, tout en le tenant par les épaules, plaqué contre le dossier de la chaise. Je pouvais sentir son corps tout entier frémir sous mes assauts, je le regardais droit dans les yeux en signe de défi, je griffai parfois ses pectoraux si parfaitement sculptés. Tout ça me rendait folle, quel pied de dominer ce mec si parfait, qui m’avait initiée au plaisir du sexe ! J’allai de plus en plus vite, et lui criait de plus en plus fort. Je voyais ses beaux yeux bleus chavirer sous le plaisir que je lui infligeais, je me sentais incroyablement puissante à le baiser comme ça. Je saisis le dossier, et allai d’avant en arrière à fond, m’empalant puissamment sur sa queue qui cognait le fond de mon intimité, et me faisait crier. Je me retournai ensuite, lui tournant le dos, et me mis à me déhancher, malmenant son sexe sur un tempo infernal. Il posa ses puissantes mains sur mes hanches pour ralentir le rythme mais c’était peine perdue. Je saisis ses poignets et les plaquai sur la chaise. Puis j’accélérai encore le rythme allant si vite, que je le fis défaillir. Dans un grand frisson, accompagné d’un cri, il eut un puissant orgasme, qui le laissa écroulé sur le dossier de la chaise. Moi même je continuai à le baiser un petit moment, jusqu’à ce que je jouisse à mon tour.

Essoufflé et comblée, je me levai lentement. Mon Chéri était un peu sonné sur sa chaise. Je remis mon short et mon shorty, et lui lançai d’un ton narquois :

« Va falloir t’y habi mon coeur : maintenant ça va être moi la patronne entre nous deux. Toi tu seras juste mon jouet. »

Très fière de moi, je quittai la cuisine. J’étais dans mon salon, quand soudain j’entendis un bruit derrière moi : mon Chéri m’avait couru après, et j’eus à peine le temps de crier qu’il me soulevait et me jetait sur le canapé.

« Si tu crois que je vais te laisser me soumettre, tu te fourres le doigt dans l’oeil. »

Sans plus attendre, il m’arracha mon mini-short et mon shorty, et me pénétra sauvagement me laissant en débardeur. Il se mit à me baiser en missionnaire, bien décidé à me faire payer ce que je lui avais fait. Il me tenait solidement par les mains, et allait et venait en moi, son engin m’emplissant totalement et me faisant vibrer de plaisir. De plus son corps musclé au-dessus de moi était tendu et contracté par l’effort, tandis que ses yeux bleus me fixaient d’un air supérieur et dominateur. Il me rendait complètement dingue, qu’est ce que j’aimais être prise comme ça ! Qu’est-ce que j’aimais, même, me sentir « remise à ma place » par son attitude ! Il augmenta quelque peu la cadence, me donnant de puissants coups de reins, qui me firent pousser des hurlements de plaisir. Sûr de lui, il se pencha sur moi pour m’embrasser. Je décidai d’en profiter pour réagir. Rapidement, je dégageai une de mes mains, et lui tirai les cheveux, pour reprendre le dessus. Ca avait marché avec beaucoup de mecs avec qui j’avais couché.

Mon Chéri lui ne broncha pas. Je lui tirai la tête en arrière, mais il me saisit par le coude et me plaqua le bras contre le canapé, avant de redoubler d’ardeur, me prenant avec encore plus de force pour m’apprendre à me rebeller. Je gémis comme une petite soumise, et ça lui tira un sourire satisfait.

Il me souleva ensuite, probablement pour changer de position, et j’y vis une nouvelle occasion de reprendre le dessus. Je le poussai tout à coup, le collant contre le dossier du canapé, et me mis le chevaucher avec ardeur. Je le saisis au cou, et accélérai le rythme, bondissant sur son sexe à fond, et me déhanchant avec force. Son visage se décomposa, et il poussa un cri de plaisir.

« Ooooh ! Eva ! »

« Tu kiffes chéri ? Tu aimes comme je te baise ? »

« Oui ! »

Je me mis à aller et venir sur lui d’avant en arrière, il poussa un nouveau cri, tandis que je le saisis par les cheveux, pour l’obliger à me regarder droit dans les yeux. J’allai à fond, sa queue me faisait un bien fou, je lui faisais perdre la tête à force de plaisir… qu’est ce que je me sentais puissante ! Comme c’était bon de baiser ainsi !

Alors que je pensais l’avoir totalement mâté, je fus soudain saisie par les hanches, et renversée. Avant que j’aie eu le temps de dire ouf, mon Chéri me retourna, et me mit à quatre pattes sur le canapé. Il me prit en levrette, me tenant par les hanches avec fermeté, il se mit à me baiser fortement d’avant en arrière me défonçant littéralement m’arrachant des cris de plaisir de plus en plus stridents. Il allait si fort, que mon canapé en tanguait, sa bite me faisait trembler sur place tandis que ma vue se brouillait. Il me saisit par les cheveux, et tira ma tête en arrière pour m’obliger à le regarder, et tandis que ses coups de reins me rendaient folle, il me toisa d’un air moqueur. Je me sentais remise à ma place, femelle prise par un vrai mâle, j’étais tellement excitée par cette baise si animale ! Je me serais bien débattue pour reprendre le dessus, mais c’était juste impossible. Il m’avait trop bien en main, et le plaisir me clouait sur place.

Il accéléra le rythme, me tenant par les cheveux et tirant dessus au gré de ses envies, pour me faire sentir que j’étais à lui. Ses hanches me percutaient, et m’envoyaient en avant, et à chaque fois j’explosai intérieurement de plaisir, prenant mon pied comme jamais je l’avais pris. Il continua ainsi un bon moment, son sexe me pilonnant à fond, et puis, brusquement, c’en fut trop : dans un vertigineux frisson, qui me fit m’écrouler sur mon canapé, j’eus un orgasme qui me coupa le souffle et me laissa sans force. Le pire fut que mon Chéri n’ayant pas joui, il continua de me baiser quelques instants, m’écrasant contre le canapé avec une force délicieuse, et prolongeant cet instant encore et encore. Lorsqu’il n’en put plus, je sentis sa bite exploser en moi et il poussa un cri, avant de s’écrouler à mes côtés.

Je me relevai, sonnée et comblée par ce qui venait de se passer. Tout aurait été parfait, si je n’avais au fond de moi ce sentiment de frustration : rien à faire, il se laissait pas dominer et je n’arrivai pas à le mâter. J’allais essayer une dernière fois, quand j’aurai repris mes esprits.

On passa l’après-midi à ne rien faire, on discutait, riait, plaisantait, mais on restait chaste. Ce ne fut que lorsque je montai chercher quelque chose dans ma chambre, et qu’il me suivit, que les choses se corsèrent. Il vit mon grand lit à deux places, et eut un petit rire.

« A quoi ça sert un lit aussi grand pour une fille aussi petite ? »

Je le regardai en souriant.

« A avoir toute la place pour m’envoyer en l’air. »

Il voulut répondre, mais je ne lui en laissai pas le temps. Je le poussai sur le lit, et il s’y écroula d’un coup. Je lui arrachai sauvagement son pantalon, puis son caleçon, avant de le saisir par la bite, et de la sucer goulument. Il poussa un petit cri de plaisir alors que je le pompais rapidement, enserrant sa hampe avec mes lèvres et allant et venant le plus vite possible. Il se tordit sur le lit, en proie à un plaisir énorme. Je lui massai les boules en même temps, ce qui augmenta encore son plaisir, et accélérai tout en lui léchant le gland à plusieurs reprises. Il devint complètement fou, se mit à hurler de plaisir de plus en plus fort à mesure que j’accélérais.

Lorsque je me relevai, il était complètement sonné, à ma merci. Je me déshabillai rapidement, et m’empalai sur sa bite avec autorité. Je me mis à aller et venir sur lui démarrant directement sur un rythme élevé histoire de le mettre tout de suite en mon pouvoir. Il se débattit et chercha à m’attr pour reprendre le contrôle, mais je le saisis aux poignets, et les lui plaquai contre le torse. Hors de question qu’il s’en sorte cette fois, j’accélérai le rythme, et vibrai de plaisir lorsqu’il poussa un rugissement de plaisir alors que mes hanches cognaient les siennes que son engin se faisait malmener. Je me mis à me déhancher de gauche à droite, bougeant comme une danseuse orientale, me tenant les cheveux tant le plaisir me submergeait. Je maintins ce rythme un bon moment, baisant mon Chéri de plus en plus vite jusqu’à ce qu’il soit complètement paralysé, le corps raidit, le souffle court à force de crier. Moi même j’étais essoufflée, hors d’haleine, et le rouge me montait aux joues. Cependant, pour rien au monde, je n’aurais ralenti le rythme, chevaucher sa bite encore et encore en allant d’avant en arrière me faisait trop de bien, à chaque fois, elle s’enfonçait loin en moins m’incendiant les reins littéralement.

Mon Chéri finit par avoir envie de se rebeller : il se redressa une première fois pour me renverser, mais je le repoussai en le poussant par le cou d’un geste autoritaire. Je lui donnai plusieurs coups de reins, et il ferma un moment les yeux sous le plaisir que je lui apportais. Puis il se redressa à nouveau, mais cette fois-ci, ce fut avec une gifle bien sentie que je le refoulai. Il poussa un grognement de douleur qui me fit frémir d’excitation, tandis que j’accélérai le rythme. Il se redressa à nouveau, mais plus rapidement, me saisit par les hanches et avec beaucoup de force et d’autorité me renversa et me plaqua contre le matelas, me tenant par les bras.

Un air résolu sur le visage, il me prit en missionnaire, remontant mes jambes autour de sa taille pour me baiser avec plus de profondeur. Il partit tout de suite sur un rythme effréné, bien décidé à se venger de ce que je lui avais fait. Son imposante queue allait et venait en moi avec la force et la régularité d’un marteau-piqueur, à chaque fois, elle me défonçait jusqu’au fond de mon être, m’explosant littéralement de plaisir, et m’arrachant de grands cris. Je tentais bien de me débattre, de me servir de mes jambes, enroulées autour de ses hanches, mais rien à faire, il me tenait trop fort avec ses bras puissants. J’étais coincée contre le matelas, prise avec vigueur et force, chaque parcelle de mon corps explosant de plaisir à chaque instant… je vivais un pur moment d’extase, grâce à ses coups de butoir qu’il m’assénait encore et encore jusqu’à me faire perdre la tête. Il m’observait avec attention, un sourire satisfait aux lèvres alors que je criais son prénom encore et encore tant ce qu’il me faisait était bon.

« Alors ma belle tu prends ton pied ? »

J’eus le plus grand mal à répondre.

« Pas… pas du… ooooh putaiiin ! pas du tout je… oooooh bordel ! je sens rien là ! »

Il sourit devant mon évidente mauvaise foi et me lança :

« Ah mince… on va changer de position alors. »

Il me retourna soudainement, et me mit à quatre pattes. Je m’attendais, à tout moment, à sentir son sexe entrer dans mon intimité, mais je n’eus pas le droit à une levrette classique… Au lieu de ça, il présenta sa queue à l’entrer de mon cul, et doucement entra dedans. Je poussai un grand cri de douleur tandis que sa longue et grosse bite entrait en moi, c’était tellement douloureux ! Ca le fut encore plus lorsqu’il me donna quelques doux va-et-viens… Mais heureusement, la douleur disparut bien vite pour laisser place à un incroyable plaisir.

Sentant que je n’avais plus mal, mon Chéri accéléra le rythme, me baisant le cul avec force. En me tenant bien solidement par les hanches, il allait et venait très rapidement, me prenant comme une chienne sans aucune douceur. Alors qu’il était sur un rythme très élevé, et que le plaisir bouillonnait en moi comme la lave dans un volcan, me faisant trembler sur mes quatre pattes, je me rendis compte que je n’avais plus aucune envie de le dominer. Je le sentais, derrière moi, me prenant si fort, je sentais ses mains me tenir fermement les hanches, je sentais son engin pénétrer mon cul, tout cela me rendait complètement dingue, je me sentais gazelle capturée par un lion, femelle prise par un mâle. Lorsqu’il me saisit par les cheveux et tira dessus, je poussai un grand cri de plaisir, et frissonnai : qu’est ce que c’était bon d’être soumise comme ça ! Le plaisir montait et montait encore, ma vue se troublait, mon corps se raidissait, je compris que l’orgasme était proche, et lui aussi le sentit. Il accéléra à fond, se mit à me baiser comme personne ne l’avait jamais fait, me prenant si vite et si fort que j’en eus le souffle coupé par l’extase. Je ne pus tenir très longtemps à ce rythme, et nous explosâmes tous les deux dans un orgasme titanesque, qui me fit m’effondrer sur le matelas en hurlant, tandis que lui se déversait dans mon cul à grands jets.

On s’écroula sur le lit, hors d’haleine, incapables de parler.

Ce ne fut qu’un bon moment plus tard qu’il me dit :

« Eh ben ! T’étais en forme aujourd’hui, depuis quand t’es si douée ? Et si rebelle ? »

J’eus un peu de mal à lui répondre : j’étais toujours sous le coup de ce qu’il m’avait fait.

« J’ai rencontré une fille, elle m’a appris deux trois trucs, et j’ai couché avec pas mal de garçons. »

« Ah ouais ? Du coup t’es devenu un super plan cul, Eva, elle s’appelle comment cette fille ? »

« Oh je pense que tu la connais pas, elle s’appelle Katherine. »

« Quoi ?! »

Il se redressa d’un coup, l’air stupéfait.

« Quoi ? Tu la connais ? »


A suivre…

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