Eva - 2

Un petit tour par le petit trou?

WhatsApp sonne, on est en fin d’après midi:
- Je suis rentrée, tu passes?
- yes, 20h00
- OK!
Je passe acheter des capotes, on sait jamais… J’arrive chez la belle. Petite robe noire moulante. Elle embrasse direct, pas un mot.
Dans le hall, elle vient déboutonner mon jean et prend direct la queue en bouche.
« petite salope! »
Elle se donne à fond, la bouche glisse sur ma queue, la langue joue avec le gland, la couronne, la colonne. Je saisis sa tête et lui impose un rythme. Profond, je veux aller dans sa gorge. Elle toussote et suffoque.
« fais pas la petite joueuse, tu peux avaler toute ma bite! »
Je continue a guider sa gorge autour de ma bite
« pompe! »
Eva suce comme une reine, alternant douceur et tentative d’avalage total. Elle branle doucement le gland et léchant les couilles, en les suçant, en les prenant en bouche, j’ai envie de lui remplir la bouche de foutre alors je l’arrête.
On va dans la chambre.
Sur le lit, je relève sa robe, la belle est à poil, évidemment, et mouille déjà, évidemment. Je commence un cuni dément, ma langue glisse partout, sur son aine, sur son mont de vénus. Je renifle l’odeur de sa toison, celle de sa petite chatte. Je pince le clito avec mes lèvres, elle tremble. Alors je fais aller ma langue sur son petit bouton tout dur, elle crie maintenant. Je ne lâche pas son joli clitoris et je lui glisse deux doigts au fond de la chatte, d’une traite, elle se cambre et tend son postérieur. Elle m’est offerte, je lui enlève sa robe, je veux voir ses beaux seins fermes et ronds, je veux les saisir pendant que je dévore sa chatte de salope, sa chatte palpitante et demandeuse de bite.
Eva sent bon, sa peau est délicieuse, sa chatte est sucrée. Je reprend ma branlette à deux doigts, je crochete sa paroi extérieur, je sens sa petite éponge, son point G. Je m’y cramponne et secoue vigoureusement.

Elle est bouche-bée, pétrifiée, elle cherche de l’air.
« on t’a jamais branlé le point G? »
pas de réponse, ma belle est muette, bâillonnée par le plaisir, elle relève sa chatte, vient à la rencontre des mes doigts. Elle tremble et halète puis repousse mes doigts. Elle est couchée et respire lourdement, elle transpire et sa peau sent encore meilleur.
« ça va ma belle? »
« j’ai la tête qui tourne, c’est trop bon. ça fait presque mal tellement t’y vas fort, mais c’est tellement bon… »
« reprends tes esprits »
Eva boit une gorgée d’eau, je fais pareil puis l’embrasse à nouveau.
« viens »
j’emmène Eva vers sa salle de bain, en face du miroir ou elle a pris la photo.
« positionne toi comme hier soir »
Elle s’exécute, tendant sa belle croupe laiteuse.
J’enfile une capote et pointe ma queue sur sa chatte. Eva est cambrée, elle peut me voir m’affairer derrière elle dans le miroir. Je commence à la prendre, arrivant au fond de son ventre d’une traite. Son visage est merveilleux, allumé par ma queue qui lui fore la chatte. Très vite, mes aller et venues se font sévères. Son corps, son cul, tressautent à chaque mouvement. Je défonce soigneusement sa chatte jusqu’à ce qu’elle demande une trêve. Les jambes chancelantes, elle file se positionner à quatre pattes sur le lit.
Ouvrant sa chatte timidement à une main, elle lance
« baise moi »
« fais pas la timide, ouvre cette chatte, montre moi la chemin »
Elle plonge le visage dans le matelas et écarte sa chatte avec ses deux mains
« ça, c’est une salope qui veut de la bite! »
Mais je ne lui donne pas. Je préfère flatter sa vulve, son bouton, doucement, sentir son humidité et son désir qui palpite. On dirait que sa chatte vibre sous mes doigts. Elle gémit, se mord la lèvre. Mes doigts calés sur ses grosses lèvres, je débute un mouvement circulaire qui la rend folle. Elle écarte son sexe de plus belle, la gueule écrasée sur le matelas.
Le massage la surexcite, la mouille perle. Le jus est glissant et j’en profite pour agrandir le cercle pour passer sur son petit anus plissé. Cette fois, pas de geste de replis ni de mise en garde. Mon plan fonctionne. Je continue à flatter ses trous, la mouille abondante se dépose peu à peu sur la rondelle étroite. Je replonge mes doigts dans la chatte ouverte, branle le point G plus doucement puis stoppe mes caresses.
« Je vais te bouffer le cul, Eva »
Les mots résonnent fort, ma belle amante soupire doucement. J’approche ma bouche de son cul, hume sa saveur. Délicieuse odeur de jus de chatte, savon et rondelle. Cette odeur typique qui fait bander ma bite de plus belle. J’embrasse tendrement ses globes fessiers, je leur donne des petits coups de langue pour finalement centrer mon attention sur ma cible: sa magnifique rondelle quasi-vierge. Je darde avec ma langue et Eva prend une profonde respiration.
« cambre-toi à fond, je pourrai plus facilement rentrer »
Les mots, la langue, ça la fait gémir et trembloter. Je lèche cette belle petite rondelle. Elle goûte délicieux, je tourne autour, je roule une pelle à son trou-du-cul. Les gémissements se transforme en râles sourds. Elle aime se faire bouffer le cul, je pense.
« ça te plait, ma belle? »
« ouiii…. »
«  t’es à l’aise avec ma langue sur ton cul? »
« ouiiii… »
Deux signaux qui ne trompent pas, je pousse la pointe de ma langue dans son anus en saisissant ses fesses pour les écarter. La pointe entre doucement, la saveur du cul d’Eva est à tomber. J’adore bouffer un anus, c’est souvent bien meilleur qu’une chatte, bien plus corsé, bien plus pervers. Je ne brusque rien, mon organe progresse trèèèèès lentement. Je sens les chairs qui s’écartent tout tout doucement, c’est divin. Je commence de très légers va-et-vients avec ma langue dans son cul. Eva kiffe car je sens tout son bassin, tout son cul se détendre. Je peux pénétrer plus loin avec ma langue, au maximum même et j’entends un « HAAAAA » puissant sortir de la bouche de mon amante.
La langue enfoncée dans son cul, je tourne autant que possible bien que les parois soient étroites et écrasantes. Cette fois-ci je roule une pelle à ses entrailles. Mais, car il y a un mais, je n’ai pas emporter de gel.
Je me retire et lui demande si elle a du lubrifiant ou de la vaseline.
« non »
…. Et merde…
« tu veux quand même tenté le coup à la salive? »
« on peut, oui »
« reste à quatre pattes, alors »
J’écarte encore plus ses fesses pour ouvrir légèrement son cul et commence à saliver doucement dans son conduit, je crachote, fais entrer le plus possible de lubrifiant naturel dans son trou. Je positionne mon index droit sur la pastille et pousse doucement, la première phalange passe et je stoppe la caresse.
« ça va? »
« oui, c’est bon, c’est bonnnnnn! »
J’enfonce. Deuxième phalange logée dans son trou.
« c’est toi qui gère les caresses, ok? tu dis stop quand ça ne va pas »
« continue, doucement »
Je pousse encore un peu et c’est tout mon index qui disparaît dans les entrailles d’Eva.
« comme j’aime ton cul ma belle, comme t’es serrée. J’ai trop envie de t’enculer »
Les mots, l’outil indispensable lors d’une sodomie, font mouche et Eva, tout naturellement pousse sa croupe contre mon index vaillant. De tout petits mouvements de bassin pour s’habi à la pénétration anale.
« on passe à deux doigts? »
« on tente »
Le visage est rayonnant quoiqu’un peu stressé, normal, elle va prendre une bite dans le cul, et c’est pas dans ses habitudes.
Je sors mon index, crache sur la pastille puis mes doigts et repositionne index et majeur sur le petit trou.
« viens à ma rencontre, c’est toi qui t’encule toute seule, ok? »
Et je sens mes doigts entrer dans les chairs. A peine commencée, la pénétration stop et je sens une contraction dans le cul d’Eva. Une contraction qui se voit aussi sur son visage. Pour aider je crache à nouveau sur le cul et mes doigts fichés en elle.

« viens, pousse ton cul sur mes doigts »
Elle vient à ma rencontre et ça rentre tout doucement. Eva se sodomise gentiment avec mes doigts, je la laisse faire. Je maintiens juste ma main à bonne hauteur.
« tu sais, quand t’es bien à l’aise avec deux doigts, t’es généralement prête pour la bite »
« oooohhhh »
Je la laisse se baiser et lui susurre encore des mots cochons. Elle est très excitée du cul. Je bloque les fesses de la petite cochonne et entame des mouvement de demi-cercle avec mes doigts dans son trou-du-cul. Les chairs sont réceptives, souples, tendres, chaudes et humides. Ma queue est bandée à l’extreme, au point de faire mal.
« on y va? »
« oui mais tout doux »
« évidemment, je vais pas te démonter le cul pour ta première»
Je retire mes doigts, ils sont impeccables, donc rien à craindre du côté hygiène. J’écarte son trou avec mes pouces et fais couler ma salive dedans. Idem sur ma queue puis vient la pointer sur son délicieux petit anus. Je maintiens ses fesses bien ouvertes avec mes doigts.
« comme avant, c’est toi qui vient te baiser avec ma bite, comme ça tu contrôles la péné. »
Le cul féminin, souple et laiteux de Eva vient à ma rencontre. La pointe du gland est avalée, un centimètre, même pas.
« c’es bien Eva, parfait »
Ma queue progresse jusqu’à ce que le gland soit presque englouti. Légère grimace sur le visage de ma baisée.
« continue, ton cul est le plus divin que j’ai jamais eu autour de la queue »
Elle pousse, le gland est dedans mais je sens sa pastille se resserrer bien trop fort.
« aie aie aie »
« ok je ressors »
Et je décule lentement, l’erreur serait de partir d’un coup sec, le cul serait traumatisé.
Quand ma queue est dehors, je sens Eva soulagée. Je vais l’embrasser doucement. Elle se couche sur le dos.
« on arrête ici, Eva, ok? il faut du gel sinon ça va pas passer »
«  En plus j’ai peur de pas me contrôler, ça fait bizarre un truc comme ça gros dans cet endroit là… j’ai presque envie d’aller aux toilettes.»
« Tu te détends simplement, et tu penses pas aux éventuels accidents. Les « accidents », ça arrive mais c’est très rare et c’est pas grave, ok? »
Sur ce, elle m’embrasse à nouveau à pleine bouche.
«  tu baises trop bien, je veux te donner mon cul, ok? »
« oui ma belle, et moi je veux t’enculer à tout prix :) »
On change de capote et on termine la baise plus sensuelement, en missionnaire. Elle jouit doucement, je gicle. Elle m’invite à rester et s’endort contre moi. Je me remémore l’image, le gout et l’odeur de son corps… Eva, c’est un putain de bon coup et une femme sublime.
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Le lendemain, passage au Sex-Shop, j’achète du gel pour sodomie et un plug anal, noir, taille S, souple. Parfait pour dilater gentiment un cul débutant.
J’en profite pour prendre une petite photo du matou que j’envoie à Eva:
« On fait joujou ce soir? »
« hmmmmm »
un autre texto suit:
« je suis au bureau, je mouille à fond, t’es con! »
En parlant de bureau, je m’y rends aussi, quand on se croise dans les couloirs, dur de pas se jeter l’un sur l’autre. Quand je repense à notre baise, à ses goûts, ses odeurs, ses lèvres, mon pantalon a du mal à cacher ma teub en érection.
« passe ce soir à 20h00 »
« yes »
« ++ »
En arrivant, rebelote, pelle, puis direction la chambre. Je jette Eva sur le lit, on est à poil en 30 secondes chrono. Sa poitrine, son cul et sa chatte sont toujours aussi parfaits. J’explore ce corps avec délice une nouvelle fois. C’est elle qui se positionne toute seule en levrette. Le message est clair. Je mets une capote direct et viens remplir le vagin de ma conquête. Des coups de reins lents et profonds pour commencer puis le rythme qu’elle aime: un bombardement de bite dans le ventre. Elle mouille, jouit et tremble une nouvelle fois.
Je passe direct au petit trou, le manège d’hier recommence, anulingus, doigts dans le cul AVEC gel.
Je lui sors le plug, lui montre:
« essaie »
Je ll’appuie sur sa rosette. Il est moins large que mon gland mais plus long, bien fuselé. Ca rentre assez facilement. La longueur choque un peu le cul d’Eva. Je le laisse en place et vient positionner ma queue devant sa bouche. Eva suce avec un petit plug dans le cul. Je lui dis qu’elle est belle, qu’elle chienne, qu’elle est salope et qu’elle va bien se faire enculer ce soir. Des mots qui lui font commencer une gorge profonde intense.
Je repasse derrière elle et joue avec le plug, je le retire doucement pour laisser la partie la plus large écarter son trou-du-cul. Qq grimaces, qq soupirs mais ça se passe bien.
« tout va bien? »
« oui, continue, lentement »
Je m’exécute. La vue de son anus enserrant le plug est sublime, surtout que le trou est distendu. Putain, je vais me faire écraser par ses entrailles. Bandaison maximum. Etape cruciale, je retire totalement le plug. Le trou laisse échapper le jouet, un peu de gel et un peu d’air. Eva est gênée.
« c’est pas grave, c’est normal, c’est comme quand on baise par devant, l’air rentre. sois tranquille est continue comme ça »
Je repousse le jouet, le retire doucement, je fais durer le manège un petit moment. La belle s’habitue aux sensations: la pénétration, la dilatation et le transit de l’air. Elle commence à aimer quand je remet le jouet en elle. Alors je l’encule doucement avec ce tout petit plug.
« pousse, contracte pas ton cul »
Le trou laisse échapper un petit « pop » à chaque déculage. Moi, ça me fait bander à fond.
« on tente avec mon jouet? »
« oui… »
Je presse le tube pour déposer du gel directement dans son trou-du-cul. Sensation froide, l’anus se resserre un peu. Mon doigts vient à nouveau élargir la rondelle. Quand elle est à nouveau opérationnelle, je m’enduis la bite de lubrifiant, un max, faut que ça glisse tout seul.
« on fait comme hier, c’est toi qui te baise, ok? »
Et je pointe le gland. Eva pousse ses fesses contre moi et pousse son trou. Le gland entre doucement, comme hier. C’est l’étape cruciale. Quand il est dedans, plus un geste, juste qq soupirs et ces mots lâchés:
« putain, putain, putain, c’est gros, putain, putain, putain »
« t’as mon gland dans le cul, le plus dur est fait, reste immobile, laisse ton cul s’habi »
Je passe ma main vers sa chatte, cherchant le clitoris. Il est dur, la fente est mouillée. Je malaxe ses lèvres, je titille son bouton. Après qq secondes de branlette vaginale, je sens les entrailles d’Eva glissé sur ma queue.
« voilà, vas-y doucement ma belle »
La moitié de ma bite est logé dans son cul. Re-stop.
«putain, c’est bizarre, c’est bon mais j’ai envie d’aller au toilettes »
« je te promets que tu dois pas aller aux toilettes, c’est juste une impression. tu vas apprendre à gérer cette sensation, mais pour ça je reste planté en toi »
« ok… »
Je ne bouge pas, c’est à elle de venir s’empaler quand elle aura envie.
« ma belle, ton cul c’est un don du ciel. tu devrais voir comme c’est beau. Ma bite dans ton cul, ta cambrure, ta chevelure, ton visage »
Les mots, une fois de plus, font de l’effet. Eva pousse son cul contre moi. La bite progresse petit-à-petit jusqu’à être totalement plongée dans cet anus.
« ça y est Eva, t’es enculée! »
« ohhhhhh, putain, t’es large…. »
« oui, et tu vas y prendre gout »
Je commence la sodomie en tirant doucement ma queue hors du cul. Eva est possédée, elle respire lourdement et se laisse faire. Je replonge, ressors, replonge, ressors. Le cul est dorénavant habitué à la bite.
« t’as 20 centimètre dans le cul, Eva »
« oh oui oh oui oh oui »
« t’es une petite salope toute enculée »
Nous nous emportons, je baise un peu plus fort, et elle, elle s’ouvre les fesses maintenant.
« c’est bien, montre ton cul »
« il est à toi »
« c’est clair qu’il est à moi, et je vais le baiser autant que tu voudras »
Les mouvements sont amples, rapides mais je ne défonce pas son anus. Je retiens mes coups de reins, pour ne pas taper au fond de son ventre. Ce genre de pratique, c’est pour un autre jour. Dans la folie de cette baise, Eva laisse échapper de l’air de son cul.
« c’est normal, tranquille »
C’est bien, elle reste zen et se concentre sur la sodomie.
« t’es serrée, putain, c’est pas croyable, tu vas me faire exploser trop vite »
« viens, viens, viens, je veux te faire jouir avec mon cul »
J’augmente légèrement le rythme sans brusquer cette belle rondelle. Mon sperme explose, putain j’aimerais bien lui crémer la caverne mais mon jus finit sa course dans la capote. Après cette bonne éjac, je continue un peu les va-et-vients, jusqu’à perdre un peu de mon érection. Je ressors doucement, faisant très attention au moment de passer la rondelle.
Pop, c’est dehors. Nickel, clean, pas d’accidents.
« tu vois, tout est parfait, t’as juste plein de gel autour du trou »
Elle prend ça à la légère et c’est très bien. Eva file au toilettes. On prend ensuite une douche. Je savonne bien ma bite, elle fait pareil avec ses orifices.
« tout va bien Eva »
« ouais, c’est juste bizarre comme sensation… »
« ? »
« j’ai l’impression d’avoir le trou encore ouvert »
« hahahah, t’as mangé 20 centimètre quand même »
On retourne sur le lit, délicatement enlacer. On discute, on parle de cul ouvertement. C’est hyper cool et ça nous rallume….

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