Au Bord Du Lac (Épilogue)
La clarté du jour me réveilla, ainsi probablement que les bruits de la vie du camping qui sétait animé depuis longtemps Dix heures ! Je tachai de réveiller Déborah par de petits bisous qui ne furent pas plus efficaces que mes caresses. Je la secouai gentiment en lui disant tout bas
« Débbie, tu ne dois pas ouvrir ton agence ? Il est déjà dix heures. »
Elle se tourna, dos à moi en marmonnant »
« pas ouvert le lundi. Laisse moi dormir. »
En se tournant elle sétait découverte, et javais la vue sur sa nuque, son dos et ses fesses. Je ne pus me retenir de les caresser. La belle dans son demi-sommeil ronronna.
Je restai, ainsi, étendu sur le dos, vaguement somnolent, à révasser. La fraicheur de la nuit sétait estompée et le soleil chauffait latmosphère de la tente.
Réflexe matinal, mon sexe était triomphant, et hissait déjà les couleurs.
Je repris mes caresses, où je les avais arrêtées, et parcourus dune main légère, la courbe des hanches, puis les fesses de Debbie. Je suivais mes doigts en soufflant sur eux un petit vent. Je descendis ainsi sa colonne vertébrale, et me glissait entre ses fesses rebondies. Elle avait une jambe a demi repliée, et je pus suivre le sillon fessier. Elle se tortilla un peu quand je soufflai sur son petit trou, avant de le taquiner de lindex. La longue fente de son sexe était encadrée par le renflement de son abricot. Sous ma caresse, le sexe souvrit, et je pus en écarter les bords. Dans son sommeil elle gémit un peu et son postérieur se déplaça vers moi. Je titillai son bourgeon qui sérigea instantanément. Mes doigts entrèrent en elle et son bassin sagita mécaniquement sur eux. Je me collai à elle et mon sexe remplaça mes doigts, sintroduisant en douceur dans son antre copieusement lubrifié. Je mabutai en elle, et entrepris de petits mouvements que ses reins vinrent amplifier . Tandis que je la baisais en douceur, elle se réveilla tout à fait.
« Hummmm, comme cest bon de se faire réveiller comme ça » apprécia telle
Elle leva une jambe quelle jeta en arrière, son talon saccrochant à ma jambe pour me tirer vers lavant.
« Cest tout petit ici » commenta telle en sallongeant sur moi.
« Cest ma tente, je tavais prévenue. »
Elle roulait des hanches, son pubis frottant sur moi, son cul roulant sous mes mains
« AH,Baise moi bien » émit elle
Je lui expliquai, quen dehors de lespace réduit, les murs de toile ne filtraient que très peu le bruit, et quà cette heure ci, des gens passaient fréquemment, non loin de nous.
Elle continua en sefforçant de faire moins de bruit, mais ses soupirs explicites ne devaient pas passer inaperçus au dehors. Elle jouit presque en silence, et continua de presser ma queue de sa matrice jusquà ce que je crache mon jus en elle, dans un râle, un peu trop bruyant à mon goût.
Elle sallongea contre moi, me caressant le torse, mégratignant de ses ongles peints.
« Jai un peu mal à la tête. Jai dû trop boire hier. »
Je confirmai.
« ça faisait si longtemps. Jai dit des bétises ? »
Je lui racontai son passage exhib Elle leva les yeux vers moi.
« Aie, je crois que je ne vais pas revenir de sitot dans cette boite. Jai intérêt de me faire oublier avant. »me glissa telle avec un petit sourire désolé. « De toute façon, lendroit ne me plaisait pas. » ajouta telle pour conclure. Elle se redressa.
« Je vais aller prendre une douche » affirma telle en ouvrant la fermeture de lentrée.
Je la rattrapai et lui prêtai un de mes shorts et un débardeur. Ce nétait pas terrible mais plus décent que sa robe de la veille. Je sortis avec elle, pour laccompagner aux douches. Plusieurs personnes se retournèrent sur cette grande femme en short, moulant ses fesses galbées, le débardeur laissant voir sa poitrine par les échancrures latérales. Elle mattira dans la douche avec elle. Heureusement lheure de la toilette était largement passée, pour la plupart des campeurs, et les lieux étaient peu fréquentés.
« Vas y ! Encules moi encore ! »
Je mapprochai et fléchit les jambes, pointant mon sexe sur la cible quelle moffrait. Je me relevai en forçant ses reins. Elle maccueillit. avec un cri et râla sous mes coups de boutoir jusquà ce que je me répande en elle.
Après la douche, jallai la déposer chez elle, le temps quelle se change.
Elle ressortit, vingt minutes plus tard, resplendissante et printanière, dans une mini jupe, évasée et une chemise de soie nouée sur son nombril, des ballerines assorties à son chemisier turquoise aux pieds. Elle mindiqua le chemin vers un restaurant au bord du lac, où elle, avait réservé une table. Le restaurant semblait assez select, mais en ce lundi, seule la moitié des tables étaient occupées. La serveuse nous accompagna à une table, en bordure dune grande baie vitrée, donnant sur le lac et ses iles. En contrebas, on apercevait un petit port, aménagé, sans doute pour recevoir les clients.
« On vient parfois déjeuner ici avec le bateau » mexpliqua Déborah. « Cest pratique pour samarrer. »
Elle sassit en étalant sa jupe autour delle. La carte arriva très vite, et le plus long fut de faire un choix, tant les mets avaient lair appétissants .Les coupes de champagne nous servirent dapéritif, et après avoir trinqué, elle se recula au fond de sa chaise. Je défis une de mes chaussures et tendis ma jambe. Mon pied sinsinua entre ses jambes,écartéees faisant remonter la jupe, jusquà atteindre son pubis. Mon gros orteil chatouillait son ticket de métro.
La serveuse sapprochant avec les entrées, Déborah, posa sa serviette de table sur ses cuisses. Les assiettes furent déposées devant nous tandis que je reposais mon pied. La serveuse me fit goûter le vin, et nous souhaita un bon appétit, avec un regard équivoque sur la serviette de Déborah.
« Tu crois quelle a compris ? » demandai-je alors que nous attaquions un carpaccio de saumon et ST Jacques.
« Ce qui est sûr, cest quelle se doute quil se passe quelque chose. Dommage que tu aies arrêté. »
Lentrée terminée, on nous apporta un Filet au poivre, plutôt relevé et ses tomates provençales. Un véritable régal. Déborah avait repoussé son assiette, repue, et me regardant fixement
« Je nai plus faim, mais jai envie » murmura telle, en glissant sa main sous la serviette à la recherche de son plaisir. »
Quand la serveuse enleva les plats, son regard fut attiré par cette main qui sagitait. Déborah la fixa sans cesser son mouvement, et la jeune femme sen fut, le rose au joues.
Après le café, Debbie, me prit par la main, et, au lieu de mentrainer vers la sortie, mentraina vers un escalier.
« Ils font Hôtel ici. Je vais te montrer. »
Deux étages plus haut, elle nous ouvrit laccès à une vaste chambre, moderne, très confortable, dont la porte-fenêtre donnait sur un balcon. Elle ouvrit et sortit. Elle sassit sur un transat en teck, et me fit signe dapprocher. Ayant déjà compris son invite, je me campai devant elle et la laissai baisser mon pantalon et mon slip pour avaler mon gland turgescent.
Elle se contenta de mexciter un moment, pusi se leva et vint sappuyer à la balustrade de bois. Se penchant en avant, elle dégraffa sa jupe qui atterrit sur une chaise.. Je fléchis mes jambes pour mintroduire dans son sexe bien préparé, qui nattendait que ça.
Elle se redressa , et se touran vers moi, Elle dénoua son chemisier dont les pans sécartèrent. Je palpais sa poitrine en la plaquant contre la rambarde, mais elle me repoussa dans le transat, et passant une jambe, de chaque côté vint sempaler sur moi. Se servant de ses jambes posés au sol, elle montait au dessus de moi, pour mieux se laisser envahir, en retombant sur ma queue. Elle me chevaucha de plus en plus vite jusquà atteindre un premier orgasme en miaulant . Je la repoussait alors en la guidant vers lintérieur, où le lit nous attendait. Elle se mit à quatre pattes au bord du lit, et je posai mon sexe sur son petit trou que je violai brusquement, provoquant ses cris. Je la bourrinais violemment par derrière, me servant de ses cheveux pour la tirer à moi, mes couilles claquant contre son cul, éructant mon plaisir en écho à ses plaintes qui nen étaient pas, jusquà ce quun torrent de lave nous emporte et que je m écroule sur son dos, mon pieu fiché en un forage ultime.
Elle alla ensuite se doucher, et sallongea sur un des transats, toujours nue.
Quand je lui portais un verre de soda, puisé dans le minibar, je me rendis compte quun type la matait depuis le balcon du dessus, un peu en retrait.
« Je sais, me dit elle, je lai vu. » Elle entrouvrit ses cuisses et prit ma main quelle approcha de sa chatte. Jy glissai un doigt et la masturbai un moment. Le type au dessus nen perdait pas une miette. Je métendis sur le transat contigu, et la fis mette à plat ventre. Entrant dans le jeu, jattrapais un coussin que je plaçai sous son ventre, surélevant ses fesses en les ouvrant. Jintroduisis deux doigts dans sa chatte et les fis coulisser,avant de les ressortir, pour les glisser dans son anus encore détendu. Javais maintenant deux doigts dans son sexe et deux dans son cul qui la foraient en rythme,. Elle gémissait régulièrement, et me
dit soudain : « plus ! je veux plus. Je récupérais la bouteille de soda, sur la table toute proche, et lintroduisis en poussant dans son sexe. La bouteille allait en sévasant, distendant ses parois. Elle en absorba une grosse partie que je fis aller et venir en elle, tandis que trois de mes doigts occupaient maintenant son fondement.
Elle se mit à gémir de plus en plus fort, agitant frénétiquement son cul autour de la bouteille en verre, et de mes doigts, et atteint une jouissance bruyante. Elle expulsa la bouteille, et se rallongea en disant.
« Celui-là, il nest pas venu pour rien »dit elle en me souriant « cétait intense. »
Je levai la tête, mais le type avait disparu.
Quelques instants plus tard, elle avait bouclé sa jupe, renoué son chemisier. Il était temps de passer à autre chose.
Nous nous promenâmes sur le sentier, longeant la rive, en nous calinant. Je débusquais un sein pour le titiller un moment avant de lui faire réintégrer le chemisier, ou, je soulevais sa robe, glissant un doigt inquisiteur dans son cul. De temps en temps, elle sadssait à un arbre, et soulevait le devant de sa jupe, minvitant à la butiner un moment.
« Je nai pas besoin de jouir à chaque fois »mexpliquait elle « juste être excitée par tes doigts ou ta bouche me suffit. »
Le lendemain, elle reprit le travail. Je passais la voir pour déjeuner. Elle mattendait, nue sous sa robe dété quelle abandonna très vite et nous fîmes lamour très longuement sur son bureau.
Laprès-midi je passai voir Océane, qui prit un peu de temps, et fit un tour avec moi. Je lui dis que je partais le lendemain et que je désespérai dobtenir quelle me considère un peu mieux. Elle me laissa lembrasser, et caresser ses seins, mais quand je voulus aller plus loin elle me déclara, quentre la restauration et limmobilier, il fallait choisir. Elle était donc au courant pour Debbie.
Le soir, je vins chercher Déborah, à la fermeture de son agence. Nous avions décidé daller diner chez le « grizzly ». A la fin du repas, sur la terrasse, elle mentraina loin des lumières, sur la pelouse qui.borde létang. Abrité derrière un arbre, elle se deshabilla et sallongea nue dans lherbe fraiche pour me faire lamour longuement. Après le repas, je décidai de la raccompagner chez elle à pied, flirtant dans les ruelles désertées. A quelques encablures de sa maison, elle releva sa robe et sappuya sur un mur de pierre, ou après lavoir prise en levrette, enlevant sa robe elle mautorisa une ultime sodomie qui se termina par des râles intenses quand je jouis en elle. Elle déposa un baiser sur ma bouche, et, sa robe à la main, séloigna nue dans ses hauts talon, son postérieur magnifique ondulant sous la lumière des réverbères.
Je ne suis jamais revenu en vacances à cet endroit. Je nai jamais revu Déborah, ni Océane, pas plus que Patricia Jai échangé quelques temps par courrier avec Eric, qui sest installé avec Crystelle que jai perdu de vue.
Jai eu des nouvelles de la petit Sylvie, par mes parents, qui regrettent toujours que je ne me sois pas rapproché delle. Je ne fais rien pour les en dissuader.
Jai retrouvé Ingrid quelques mois plus tard, et nous avons entamé une relation, qui na pas duré, car la distance était trop grande , et aucun dentre nous deux, ne souhaitait déménager. Je la vois de temps en temps quand je vais aux Pays-Bas, ou quand elle vient en vacances dans ma région. Elle est aujourdhui mariée, mais maccorde encore quelquefois ses faveurs.
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