Dommage.... C'Était Le Dernier Soir.

Avec des collègues de travail nous étions pour une semaine dans un camping naturiste situé sur la côte landaise entre Bayonne et le bassin d’Arcachon.
Vous me direz que bosser toute l’année et passer aussi une partie des vacances estivales ensemble, ce n’est guère original.
En fait c’est en parlant de nos futures vacances au mois de janvier que ce projet était né.
Nous allions être deux couples : Anna et Serge son copain, qui découvriraient le naturisme, Johnny et moi, fervents adeptes depuis des années du « VIVRE NU » !

Je passe rapidement sur les péripéties du début du séjour…
Serge s’est rapidement mis au diapason en troquant ses caleçons de bain contre des slips très mini avant de passer un triangle minimum.
Anna a mis une journée avant de se défaire du soutif de ses ensembles de bains, ne conservant que des bikinis jusqu’à l’avant dernier jour du séjour…
Et là, elle a frappé fort : elle est passée à la nudité intégrale en disant :
• Voyez pourquoi je n’osais pas me montrer… Je me suis fait épiler la chatte quelques jours avant de partir…

C’est vrai qu’ainsi, elle était canon… Sa silhouette juste un peu généreuse de fille du soleil et sa peau mate avec les marques un peu plus blanches était agréable à regarder…
Serge avait bien de la chance !


Le dernier soir, nous avons diné rapidement puis nous avons entrepris le rangement de nos affaires dans nos valises… Demain matin, nous aurions juste un peu de nettoyage à faire avant le départ. Mais je me sentais « crasseuse » au point de vouloir aller prendre une douche dans les sanitaires les plus proches : 100 mètres quand même…
Et c’est au cours de ces 100 mètres que je l’ai rencontré !
Je l’avais déjà remarqué sur la plage et au bord de la piscine… accompagné d’une fille blonde aux longs cheveux filasse et aux formes quelconques (à mon avis). Elle avait peu de poitrine et ses fesses étaient quasi inexistantes…

Mais LUI !
S’il n’y avait eu Johnny et la fille, je me serais jetée sur lui dès que je l’ai vu !
Il mesurait au moins 1.

90 m, la tête et les sourcils intégralement rasés, un visage toujours illuminé par un sourire radieux qui faisait étinceler des dents très blanches. Il avait le torse juste un peu musclé avec de « tablettes de chocolat » bien dessinées cependant.
Lorsqu’il nageait dans la piscine, on aurait dit qu’il avait à côté de lui un autre compétiteur tant il mettait d’ardeur pour enchainer les longueurs de bassin !
Ah… j’oubliais… C’était un noir, antillais je pense…
Et il avait été bien servi par la nature : Toutes les femmes ou presque n’étaient pas sans avoir remarqué la longueur inhabituelle de sa verge qui mesurait au repos au moins 25 cm et le diamètre en rapport et une paire de balloches qui pendait assez bas entre ses cuisses.


Sur le chemin des sanitaires, il s’est trouvé quelques mètres derrière moi quand il m’a interpelée :
• Dis la miss… où vas-tu comme çà ? Juste avec ta grande serviette ?
Je haussai les épaules et j’ai continué à marcher… mais il est venu à ma hauteur :
• Ne fais pas ta pimbêche… j’ai bien vu comment tu me regardais ! Un noir avec une queue comme la mienne çà te fait envie ! Hein, ne dis pas le contraire !
• Oh si… mais mon compagnon ?
• Viens dans les douches avec moi… il n’en saura rien !

C’est comme cela que je me suis retrouvée dans une des cabines de douches avec Cornélius…
Dès que la porte a été refermée, il s’est jeté sur ma bouche et a écrasé mes lèvres sous les siennes, fouillant mon palais de sa langue que je trouvai bien douce et dure à la fois tant elle entrait loin… Ensuite, il a passé ses mains sous mes fesses et m’a soulevée pour se redresser et s’adosser à la paroi.
J’étais comme une poupée de chiffon d’à peine 1.60 entre ses bras puissants mais je me sentais bien…
Au diable Johnny… je n’allais pas laisser passer une telle bite sans y goûter !
Je sentais son sexe entre nos deux corps et quand il m’a laissé redescendre, son vit s’est logé naturellement entre mes lèvres vaginales qui se sont ouvertes pour laisser entrer ce membre qui m’avait tant fait fantasmer ces derniers jours.

Heureusement que Cornélius a freiné ma descente car j’ai brusquement manqué d’air tant je me sentais bien remplie…
• Vas-y … baise-moi… ta queue me fait envie depuis que je l’ai vue !

Dès que j’ai été empalée, ma chatte s’est humidifiée et lorsque Cornélius a commencé à me faire monter et descendre sur son pal… j’ai senti le plaisir m’envahir.
Je n’avais plus qu’une chose en tête : PRENDRE DU PLAISiR ! ME FAIRE DEFONCER PAR CETTE BITE !

Et le plaisir est venu une première fois… soudain et si violent que j’ai du me mordre la lèvre pour qu’on n’entende pas mes soupirs de jouissance.
Puis Cornélius a recommencé à me faire monter et descendre sur son sexe qui allait tout au fond de ma chatte…
Je le sentais buter contre ma matrice et je me moquais qu’il décharge au fond de moi ! Je prenais la pilule et j’étais dans une période inféconde !
J’encourageais mon amant à mi voix… Même s’il était 23 heures passées, quelqu’un pouvait avoir envie d’une douche…
Lorsque j’ai senti son sperme jaillir au fond de moi, j’ai joui à mon tour mais là, je n’ai pu réprimer mes soupirs et mes cris de jouissance !

Quand il m’a reposé à terre, Cornélius m’a remerciée en disant :
• Tu voulais prendre un douche… je suppose ? N’oublie pas de nettoyer ta chatte ! T’es une bonne… tu le sais ? Bon retour chez toi… çà te fera un souvenir de vacances !

Et il est sorti de la cabine… je l’ai entendu quitter le local en chantonnant…

Lorsque j’ai regagné le bungalow, Johnny dormais déjà…

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