Le Dernier Bus

Encore maintenant, quand j’y pense ça me fout une trique d’enfer.. C’était il y a 20 ans de cela (j’en ai 45 maintenant) !!
Etudiant en médecine à Rabat, il m’arrivait souvent de rester tard la nuit à la bibliothèque de la faculté pour avoir accès libre aux ouvrages volumineux qu’il était interdit de sortir. Dans les rayons de la bibliothèque on voyait de temps en temps passer des employés en blouse bleu vif pour remettre un ouvrage à sa place ou effec quelques rangements.
Mon esprit, de temps en temps vagabondait et m’imaginais pris d’assauts par l’un des employés en blouse bleu dans ces mêmes rayons entrain de me violer, et ces images ne faisaient qu’augmenter mon excitation.
Ce soir là, après ma séance de rêverie, j’ai dû quitter la bibliothèque dans un tel état d’excitation que je n’avais pas fait attention qu’il était déjà 22h30 et qu’il n’y avait plus de bus pour m’emmener à la cité universitaire. Arrivé à la station de bus, je jetai un coup d’œil à ma montre et me rendis enfin compte qu’il était vain d’attendre le passage d’un dernier bus. Je m’apprêtais à quitter la station quand soudain s’arrêta net à mes pieds une mobylette montée par un jeune homme d’une trentaine d’années, il enleva son casque, ce qui me permit de découvrir un visage beau viril, menton carré, crâne rasé et avec une barbe à peine naissante.
J’ai mis du temps avant de le reconnaître : c’était l’un des fameux employés de la bibliothèque qui rentrait chez lui après avoir achevé son service.
LUI : Bonsoir, je m’appelle Ahmed, je te vois souvent à la bibliothèque.. J’imagine que tu as raté le dernier bus.
MOI : Euh, oui en effet, moi c’est Rachid..
LUI : Tu es à la cité n’est-ce pas ? Monte je t’accompagne si tu veux !!
Sans mot dire, je m’exécutai et enfourchai la mobylette derrière Ahmed qui remit son casque et se retourna vers moi :
LUI : Agrippe-toi à moi car je vois que tu n’as pas l’habitude de la mobylette.


Ce que je fis, et entourai son torse de mes bras : je découvris ainsi qu’Ahmed avait un corps magnifique musclé, mince sans aucun gramme de gras.. Il faisait chaud, il ne portait qu’un marcel blanc sur sa peau brune et un jean noir très moulant. Rapidement ce toucher m’asséna une montée d’adrénaline incroyable, ce qui eut pour effet de mettre ma queue au réveil et j’eus une gaule d’enfer, qu’il sentit aussitôt puisque plaqué contre son dos.
LUI : tu as dû sortir un livre dans ton pantalon ou quoi ??!!
MOI : excuse-moi, c’est juste la chaleur qui me met immanquablement dans cet état !!
LUI : Eh bien je te propose de venir prendre une bière bien fraîche chez moi, tu iras mieux !!
Et sans attendre ma réponse il prit la direction du centre ville. Nous nous arrêtâmes au pied d’un immeuble, rangea et cadenassa son vélomoteur, et nous grimpâmes au dernier étage où il occupait une chambre de bonne exiguë de 6m², avec un grand lit sur un tapis, une téléviseur, magnétoscope, un petit frigo, un lavabo et toilettes !!
Par manque de place j’ai dû m’installer sur le bord du lit.. Il prit deux bières du frigo et vint s’installer à côté de moi sur le lit. Dans son mouvement pour s’asseoir j’ai remarque la bosse de son jean qui montrait un paquet monstrueux (c’était la première fois que je voyais sa physionomie puisque tout le temps couverte par une blouse bleu dans la bibliothèque).
Télécommandes à la main, il actionna la télé et mit en marche la vidéo qui montrait un couple hétéro en pleine action..
MOI : En dehors du fait que je n’aime pas tellement les films de cul, la vue de la foufe de cette nana m’écœurait !! (Je me rendis compte de ma spontanéité maladroite et mon sang ne fit qu’un tour, je sentais mon visage chaud de rougeur).
LUI : tu préfères ça ? Et joignant le geste à la parole il prit ma main et la mit sur sa bosse qui avait déjà pris des dimensions extraordinaires.
Comme un automate il me faisait faire tout ce qu’il voulait, je m’étonnais d’ailleurs de ma totale passivité face à ce bel étalon qui en un moins de temps avait retiré tous ses vêtements et m’avait dénudé.
Sans aucune gêne, il m’a virevolté sur le lit et je me suis retrouvé face en dessous sur le lit, immobilisé par le corps puissant d’Ahmed qui, avec une dextérité magnifique, avais déjà enfilé un préservatif et présentait son gland large comme un champignon à la porte de mon trou serré par la peur et l’excitation. Le passage de son gland dans mon sphincter anal, bien que douloureux au départ, me procura un immense plaisir, si bien qu’en deux mouvements de va et vient dans mes entrailles, j’ai senti un liquide chaud sortir de mon méat.. je jouissais comme une salope sous les coups de bite que m’assénait Ahmed avec une violence mélangée paradoxalement à une douceur des caresses qu’il faisait à mes tétons durs d’excitation.
Comme dans un rêve, j’attendais avec beaucoup d’émotion l’arrivée de sa jouissance et mon corps tremblait de plaisir. Je sentis soudain son corps se raidir sur moi et sa bite qui, dans des petits mouvements saccadés, déversait le jus de sa jouissance dans le préservatif qui a manqué d’exploser tellement sa semence et abondante et riche.
Nous restâmes ainsi, lui dans mes entrailles, appuyé sur mes épaules pendant cinq bonnes minutes, noyés dans le plaisir intense que nous venions de vivre.
La suite de ma rencontre avec le bibliothécaire révélera d’autres aspects d’Ahmed que je vous raconterais dans une prochaine histoire.

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