Leila 3

Je descendis du train, sourire aux lèvres. Je réservais une surprise très sympa à quelqu'un. La nuit dernière, j'avais « tchatté » avec une amie toute la nuit. Leila, une fille que j’avais connue sur un site de rencontre. Elle avait organisé une soirée chez elle, mais avait passé le plus clair de son temps à m’envoyer des messages coquins. Elle s’était désespérée de ne pas trouver de mecs sexy pour baiser, aussi j’avais décidé d’aller la voir à l’improviste, et de la sauter comme elle mourrait envie de l’être.

Je toquai à la porte, et Leila ouvrit. Elle était vêtue d’un débardeur noir au décolleté large, qui laissait entrevoir sa superbe poitrine. En bas, elle portait un mini-short en jean qui laissait admirer ses belles jambes, et moulait son superbe fessier. Elle avait dû en faire bander des mecs pendant sa soirée ! Quand elle me vit, elle lança :

« Qu’est ce que... »

Elle ne finit pas sa phrase. Je la saisis par les hanches, et la poussai à l’intérieur de son appart, claquant la porte derrière moi. Je la plaquai contre le mur le plus proche et l’embrassai fougueusement. Elle me rendit mon baiser, me passant une main dans les cheveux, une autre autour de ma taille pour me presser contre elle. Avec mes mains, je saisis sa poitrine, et massai avec vigueur son 90D, me régalant complètement. Tout en continuant à m’embrasser, Leila saisit la ceinture de mon jean, et la défit, me mettant en caleçon, elle s’agenouilla ensuite devant moi, et me retira mon caleçon, libérant mon sexe tout tendu. Elle le prit en main, et l’inséra dans sa délicieuse bouche pulpeuse, et se mit à me pomper, encore et encore, me suçant avidement. Je rejetai la tête en arrière, et savourai l’intense plaisir que me procurait ses lèvres contre mon sexe. Lorsqu’elle joua de sa langue juste sous mon gland, je poussai un grognement de plaisir qui la fit sourire. Décidé à rendre les choses plus délicieuses encore, je saisis Leila, collai sa tête contre le mur, et me mis à aller et venir dans sa bouche, la baisant avec de plus en plus de force.

Elle poussa des gémissements étouffés par mon engin qui s’enfonçait encore et encore en elle. Lorsque j’estimai avoir pris suffisamment mon pied, je relevai Leila et nous recommençâmes à nous embrasser follement.

« C’était super excitant, souffla la belle maghrébine. »

« Je sais, dis-je en souriant. »

Je la soulevai, ce qui la fit rire aux éclats, et la portai jusqu’à son lit. Je la jetai dessus sans ménagement, et vins sur elle. Je la déshabillai, retirant son short, son débardeur, ses sous vêtements, avec une sorte de frénésie, qui l’excitait terriblement. En un clin d’oeil, je la mis à nue, et me jetai alors sur son corps, que je dévorai. J’embrassai ses seins, son ventre, la retournai et léchai et mordis son cul si ferme et si rond. Leila gémissait se tortillait, hyper excitée par ses préliminaires brûlants. Mais au bout d’un moment, il faut bien mettre fin aux préliminaires pour passer à autre chose… je retirai mon t-shirt, me dénudant à mon tour, et pénétrai Leila d’un coup, la prenant en missionnaire. Elle poussa un petit cri lorsque mes vingts centimètres entrèrent dans son corps de rêve, et se mit à gémir en cascade, lorsque je me mis à aller et venir d’abord lentement mais avec force, puis rapidement et avec toujours plus de vigueur. Leila se secouait comme une folle, et criait de plus en plus fort alors que mes coups de reins s’intensifiaient, elle me saisit par le cou, et m’attira contre elle, renforçant notre étreinte. Je me pressai avec délice contre ses formes généreuses, et intensifiai encore la vigueur de mes coups de reins. « Continue, continue, prends moi, baise moi ! » ses encouragements me dopaient et la plaquant contre le matelas, je me mis à lui asséner de très puissants coups de reins, qui la firent hurler. Je la limai ainsi un long moment, jusqu’à ce que finalement elle explose dans un orgasme qui la fit se secouer sur le matelas.

Elle était hors d’haleine et en sueur, ivre de plaisir. Mais je n’avais pas joui, alors je ne lui laissai pas le temps de reprendre ses esprits.
Je la retournai, et la mis à quatre pattes. Et en route pour une bonne levrette !

Je me mis à lui asséner de puissants coups de reins, la tenant par les hanches. Elle reprit aussitôt ses gémissements, et pour participer, se mit à secouer son magnifique fessier, me faisant fondre de plaisir. Je poussai un cri alors que j’accélérai brutalement le rythme décidé à avoir toujours plus de sensations. Je tins Leila par les fesses, et l’immobilisai, décidé à être le seul à bosser. J’accélérai le rythme, claquant les fesses de la belle arabe à fond, me délectant de ses cris de plus en plus forts. Je la saisis par les cheveux, et tirant dessus amena sa tête près de ma bouche. « Tu aimes comme je te prends ? Tu aimes être ma chienne ? » elle mit un long moment à répondre, car le plaisir que je lui procurais était trop intense pour qu’elle puisse parler, mais elle finit par souffler « oui, je kiffe, continue de me défoncer vas-y ! » Dopé par ses encouragements, je la saisis par la nuque, l’étalai de tout son long sur le matelas, et continuai à la baiser par derrière la prenant comme un marteau-piqueur, puissamment et profondément, écrasant son corps de rêve contre le matelas. Ce ne fut que lorsque j’accélérai encore le rythme, et insérai en même temps un doigt dans son merveilleux cul que la belle maghrébine eut un tremblement incontrôlable, son corps se raidit et dans un hurlement, elle eut un second orgasme, qui la laissa haletante et épuisée sur le matelas. Me pressant contre elle, je l’embrassai à la nuque, lui laissant le temps de se remettre avant de reprendre. Au bout d’un moment, elle se redressa et me lança :

« T’as pas encore joui, laisse moi te faire venir. »

Je me mis debout sur son lit, et elle, à genoux devant moi se mit à me branler doucement, me regardant droit dans les yeux avec un air de salope. Je frémis de la tête aux pieds, elle savait se rendre ultra-excitante ! Elle mit ensuite mon sexe entre ses seins, et commença à me branler avec, allant de plus en plus vite à mesure que je gémissais.
Alors qu’elle accélérait le rythme de sa branlette espagnole, comprimant mon engin entre ses deux merveilleux seins, et que ça me faisait déjà tourner la tête, elle se mit en plus à donner des coups de langue juste sous mon gland tout en continuant à me branler avec ses seins. Elle touchai à une zone super sensible chez moi, et je commençai à lâcher des cris de plaisir, ce qui lui tira un sourire satisfait, le genre de sourire si excitant que n’importe quel mec se sentirait chaud bouillant en le voyant.

Trop excité pour ne pas agir, je la saisis par les épaules, la plaquai contre le matelas, et me tenant au-dessus d’elle, je me mis à baiser ses seins à fond, allant d’avant en arrière puissamment, frissonnant de plaisir alors que ma queue se frayait un chemin dans son 90D. Leila poussait des gémissements et se tortillait doucement, rendant les choses plus délicieuses encore. Je saisis ses seins, et les serrai autour de ma queue, la sensation de plaisir fut si intense que je faillis jouir, mais je parvins à résister et à continuer à me branler. Je sentais bien que je n’allais pas tarder à craquer, baiser sa poitrine ainsi était trop délicieux pour qu ça dure longtemps. Mais je voulais finir en beauté, aussi j’ordonnai à Leila « suce moi pendant que je baise tes seins ma belle, dépêche toi. » Docilement, elle s’exécuta, se redressant quelque peu, et recommençant à donner des coups de langue à mon gland et sous mon gland à chaque fois que mon engin émergeait de sa volumineuse poitrine. On continua comme ça un bon moment, à chaque fois que je m’enfonçais dans ses seins, ou que Leila me refilait un coup de langue, une vague de plaisir courait en moi, et me faisait vaciller. Lorsque la belle arabe me lança entre deux gémissements « vas-y, jouis, je veux que tu m’asperges le visage, les seins, tout », en me lançant un regard de chienne, et en me donnant un coup de langue particulièrement bon, que je craquai, et, pour son plus grand bonheur, explosait dans un orgasme, lui arrosant les seins et le visage.
Essoufflé, je me laissai aller sur le matelas, et Leila vint se pelotonner contre moi.

« C’était… volcanique ! Merci ! »

« De rien ma belle tout le plaisir était pour moi. »

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