Nicole Et Sa Fille. 5
UNE LESBIENNE, UNE BI, UN GOUJAT.3
Les coups de boutoir sont de plus en plus rudes dans nos orifices si dissemblables.
Ca dure depuis déjà un bon moment, après ses craches précédentes, il devient résistant prenant un temps infini avant de décharger.
Je sens sa bite grossir, se raidir, linstant de délivrance est proche, je contracte mon anus pour le garder en moi mais il ne lentend pas comme ça.
Stéphanie a abdiquer devant le mâle et le supplie :
-Viens. Cest à moi ! Laisse Elodie tranquille, je veux encore sentir ta grosse queue méclater la chatte !
Suite.
Alors il lenfile à nouveau la faisant sangloter sous ses allées et venues.
- Ohhh mon Dieu ! Que cest bon ! Oh ! Oh ouiiii ! Nonnnnn ! Encore !
Il retire la grosse matraque qui palpite follement entre nos corps, annonciatrice ces prémices de la montée de la semence dans son membre.
- Nonnn ! Pourquoi tu tarrêtes ? !
- Ferme-là, je peux plus me retenir !
En même temps, je sens sa queue coincée entre nous, ses femelles, dont le gland semble enfler encore, qui libère ses jets de foutre. Nos deux ventres se partagent la phénoménale quantité de sperme quil réussit encore à extraire de ses burnes.
Il nen peut plus, et se laisse aller sur mon corps. Je mécroule sur Stéphanie, poitrine contre poitrine à bout de souffle.
Il est aplatit sur mon dos, essayant de reprendre son souffle, mais dans un dernier effort, me reprend en lents va et vient pour entretenir son érection puis se relève.
Je me redresse, libérant enfin Stéphanie qui se tourne vers lui, il bande encore bien que la bête baisse du nez, nos ventres et sa queue sont barbouillés de foutre.
-Alors Stéph
Tu regrettes ?
-Espèce de salaud ! Tu as abusé de moi ! Mais que cétait bonnn !!!
Pierre à pris en main sa queue et se branle lentement avant de lancer un nouveau défi à Stéphanie :
-Toi qui enculais Elodie avec tant de plaisir tout à lheure avec ton gros gode, tu pourrais le refaire ? Mais cette fois tu ferais la tranche de jambon entre le pain et je te ferais connaître la même chose avec une vraie queue de compétition !
-Tu
Tu crois que cest possible ? Tu es si gros et jamais je nai connu ça dans mon petit trou !
-Tu jurais bien tout à lheure que tu ne voulais plus de bite dans ta chatte et maintenant tu en redemandes !
-Bon, mais il faut quElodie me prépare et que tu me promettes dy aller en douceur.
-Comme tu veux ! Elodie, à toi de lui chauffer le cul !
Je me retrouve donc cette fois-ci à endosser le rôle de lhomme envers Stéphanie. Je lui enduis lanus dune crème qui permettra de faciliter lintromission et qui a un léger effet anesthésiant.
Pendant un moment, son petit trou laisse passer un doigt, puis deux de ma main, qui explorent ses entrailles. Je passe ensuite à la vitesse supérieure avec un gode en silicone de taille normale, elle serre les dents mais pas un mot ne sort de ses lèvres.
Pierre commence à simpatienter, il se place devant la bouche de Stéphanie :
-Suce-moi, je veux être bien raide ! Dans un moment, tous tes trous auront été dépucelés par ma bite !
Elle sapplique un moment, lui redonnant toute sa vigueur.
Je lui signale enfin :
-Elle est prête, tu peux te présenter à la dernière frontière de son corps.
Il se met derrière elle et lui ordonne :
-Tiens-toi au bois du lit !
Il se positionne entre les cuisses écartées et appuie son gland contre sa rosace.
Mais contrairement à lintroduction vaginale, lorifice anal résiste à sa poussée. Je vois la hampe pourtant si rigide, plier. Stéphanie pousse un petit gémissement, agrippée des deux mains au lit.
-Alors, tu fais plus le malin ! Vas-y pousse !
Tenant sa teub monstrueuse en main, il la prend au mot et commence à senfoncer dans son cul.
Son anus est tellement serré que le gland comprimé a eu du mal à sintroduire avant de regonfler à lintérieur des intestins de ma partenaire qui, entre des cris de douleurs, insulte Pierre :
-Tu me déchires le cul avec ton manche de pioche, salaud de mâle ! Tous les mêmes!
Jai assisté, sous la poussée du défonce-cul, à louverture de l'anneau de Stéphanie qui se distend et le monstrueux bout senfoncer entre ses fesses. Le sphincter cest resserré une fois le passage du gland et se dilate à nouveau pour engloutir quelques centimètres de la formidable poutre.
-Aaahhh ! Nonnnn, ta teub est trop grosse ! Putain. Tu ne peux pas ! Je ne veux plus ! Jai trop mal ! Oooh cest terrible, tu me défonces le cul ! Ne bouge plus, je ten supplie ! Laisse-moi mhabi !
Il attend un moment quelle se calme, se cramponnant à ses hanches, puis il reprend la pénétration, ne tenant plus compte de ses supplications.
Il na pas rentré le tiers de son mandrin. Il ressort presque totalement son rostre ne laissant que le gland maintenir louverture et d'une poussée ininterrompue, enfonce jusqu'à la garde la totalité de son organe.
Un hurlement de douleur sort de la bouche de Stéphanie qui essaie de se soustraire à cette pénétration anale.
Il ne la laisse pas récupérer et commence à remuer entre ses fesses, s'enfonçant et se retirant à un rythme sans cesse plus rapide malgré quelle essaie de se soustraire a cette pénétration de plus en plus bestiale.
Son cul est complètement écartelé par cet énorme braquemard et reste ouvert quand il se retire, attendant le prochain assaut.
-Tu vois que tu apprécies encore le mâle ! Tu es aussi salope que ma femme pour accepter aussi vite de te faire sodomiser et tu ne bronches déjà plus! Tu las toute entière dans ton cul ! Tu la sens, hein salope !
Et toi Elodie ! Tu attends quoi ? Empale-toi sur le gode et je vais te baiser par personne interposée !
Jarrive avec difficulté à faire lâcher prise à Stéphanie qui sagrippe comme une noyée aux barreaux du lit pour prendre position et guide le gode entre mes fesses pour en faciliter lintromission.
-Tu es prête ? Je peux reprendre ou je métais arrêté ?
Et sans attendre ma réponse, il pose ses mains sur mes hanches, recule son bassin avant de donner un formidable coup de reins, projetant à nouveau la totalité de son gros dard dans les intestins de Stéphanie.
Elle hurle à nouveau et dans un mouvement de fuite projette son bassin en avant. Lenculée devient enculeuse ! Je subie le choc sans broncher.
Le corps de Stéphanie est pris dune vie propre cherchant à fuir lincongruité qui lui fouraille les boyaux minfligeant le supplice à mon tour. Mais les deux axes aussi rigides lun que lautre ne lui permet que des mouvements davant en arrière.
Il recommence alors à lenculer de son énorme soc qui ramone son petit fion dilaté à lextrême comme aucune teub auparavant.
Stéphanie se cramponne à mes seins, les malaxant si forts que, sous la douleur, je lui dis de se calmer.
Je commence à sentir monter lorgasme et jouis comme une traînée bientôt rejointe par Stéphanie qui exprime crûment ce quelle ressent :
-Aaahhh ! Vas-y salaud ! Casse-moi le cul ! Défonce la rondelle de la pute qui se fait ta femme ! Aaahhh, putain ! Je ne me rappelais pas que cétait si bon par derrière, il faut dire que tu a un outil peu commun ! Ne tarrête pas ! Cest la 1ère fois que je vois un homme troncher par derrière deux femmes en même temps!...
Pierre continue comme un étalon en manque son double enculage :
-Ça vous plaît, les deux gouines, de se faire défoncer le cul ?
Comme nous ne répondons pas, me tenant fermement par les hanches il me tire à lui.
Stéphanie est comme la tranche de jambon entre deux morceaux de pain et pousse de petits gémissements, la poutre de Pierre fichée jusquaux couilles, du même acabit que leur support.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, exténué, il se retire, son corps couvert de sueur, son défonce-cul toujours fièrement dressé et ordonne à Stéphanie pour lavilir encore un peu plus
-Maintenant, trainée, tu vas goûter à ma crème, après ton cul, ta bouche et je ne veux pas que tu en perdes une goutte !
Il latt par les cheveux et la force à écarter les mâchoires, glissant entre les lèvres son gourdin. Il touche le fond de sa gorge, elle a des haut-le-cur et pourtant la moitié de sa queue na pût y entrer.
Elle sescrime sur son nud pour abréger le supplice (à moins quelle y ait pris goût ?).
Pierre nen peut plus et ouvre une nouvelle fois les vannes, noyant de sa semence le fond de sa gorge. Elle l'avale mais sétouffe sous lâcreté de son sperme et se met à tousser.
Il se retire précipitamment de peur que les dents de Stéphanie déchirent la peau si fragile de son sexe.
Il nous regarde en rigolant :
-Alors les filles, ça vous a plus ? Bon Dieu, Elodie, si tu as dautres copines du même genre, tu me les présenteras pour quon refasse la bête à trois dos !......
(A suivre
.)
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