Nicole Et Sa Fille 7.

Nicole et la fille de son mari. Une seule bite pour deux chattes.1

Je ne sais pas comment réagir. Je suis devenue accroc à cet homme. Mais depuis que je sais qu’il est le petit ami de la fille de mon second mari, j’en suis malade.
Combien de malchance avais-je que la petite amie de mon employé soit elle? Une sur 100 000 ?
On ne voit ça que dans les films. Le pourcentage que les deux femmes qu’il honore aient des liens est infime !
Mais que ma fille par alliance lui propose de continuer à baiser sa belle-mère ? Alors là ! Encore moins de chance que de gagner au loto !
Et bien sûr, il arriva se qui devait arriver. Il honorait tantôt l’une, tantôt l’autre. Mais n’acceptant plus de le savoir avec l’autre, nous avons décidé un beau jour qu’il devrait s’occuper des deux en même temps. Sera-t-il à la hauteur ? Ce n’est sûrement pas le fait de baiser deux femmes qui lui fera peur, mais nous deux ensemble?

Nous nous retrouvons donc dans mon appartement pour notre première soirée à trois.
Il arrive avec Stéphanie et nous commençons la soirée au salon. Je leur offre un verre mais nous ne savons comment passer de cette étape à la suivante. Ce n’est quand même pas une chose courante qu’une mère et sa fille se tapent ensemble le même mâle !
Pour détendre l’atmosphère et sachant qu’il aime les petits jeux érotiques, je marche devant lui perchée sur mes hauts talons, remuant du train arrière pour réveiller sa libido.
Stéphanie comprenant d’un regard mes intentions, frotte sa main sur l’entrejambe de Pierre.
Son regard devient trouble. Il commence à trembler d’excitation.
Sa vigueur m'enchante. Quelques minutes de ce double traitement, visuel et tactile, lui suffisent pour bander dur et ferme.
La bosse qui déforme son pantalon est très explicite.
C’est un homme qui n'est jamais lassé de faire l'amour et qui démarre au quart de tour.
A 48 ans, j’ai découvert avec lui le vrai plaisir avec un homme qui ne pense pas qu’à lui!
Le fait que mon mari ne soit pas au courant et que cet homme sera son futur gendre augmente encore mon désir.

Il m'a fait découvrir tout un monde de caresses troublantes dont je ne soupçonnais même pas les saveurs bouleversantes.

Sa vitalité y est aussi pour beaucoup. Il est inépuisable et m’a toujours laissée complètement lessivée à chaque fois.
Stéphanie ouvre sa braguette et plonge une main pour ressortir non sans difficulté la chose.
Nos préliminaires ont fait monter le sang dans sa teub bientôt au summum de l’érection !
Je suis toute excitée à l’idée que nous allons nous partager ce bel étalon.
Stéphanie, comme pour le remercier de répondre à nos attentes, l’embrasse longuement sur la bouche. Leurs langues ce rencontrent. Le baiser est brûlant.
Je ne sais pas ce qui le fait bander aussi fort. L’idée qu’il va d’ici peu se faire la mère et la « fille » ?
Stéphanie se débarrasse de son haut et en quelques secondes descend entre les cuisses de Pierre pour prendre sa queue en bouche pour une fellation qui réveillerait un mort.
Je m’approche de Pierre. On dirait que ce qui se passe plus bas ne le concerne pas.
Je vois la lueur dans son regard quand il me déshabille avec une lenteur extrême, terminant en faisant lentement glisser ma culotte !
Je voudrais bien moi aussi m’occuper de sa virilité mais avec une bite pour deux, je me suis dit que la priorité revenait à ma belle-fille.
Sans plus de formalité, elle se positionne à califourchon sur Pierre et se se met en chatte son impressionnante queue sans même retirer sa culotte. Elle s’empale bien à fond et part en trot saccadé.
Mais leurs habits les gênent et ils arrêtent un court instant pour se dévêtir, puis elle le chevauche à nouveau en lui demandant de s’occuper de ses seins.
Je le regarde sucer les globes laiteux de Stéphanie, tétant goulûment à un téton tout dur, il gobe alternativement le gauche et le droit comme un assoiffé.
Stéphanie a un premier orgasme. Elle doit être très sensible des seins pour jouir ainsi, à moins que ça soit dû au pilon sur lequel elle se trémousse.

Je glisse ma main dans ma chatte, ne quittant pas des yeux le spectacle. On dirait que Pierre apprécie ce début car il s’exclame :

- OK les filles ! Continuez comme ça ! Mais Stéphanie. N’accapare pas pour toi toute seule mon corps ! Pense à ta mère !
Elle me regarde. Ses yeux me fixent puis descendent et son regard stoppe sur ma main qui a pratiquement disparu entre mes cuisses.
Elle se relève, sa chatte libérant avec regret la poutre de Pierre. Elle l’embrasse à pleine bouche pendant que la mienne prend la place de sa chatte sur cette formidable verge toujours dressée.
Je le suce avec application. Stéphanie me rejoint et nous alternons, sa queue passe de bouche en bouche.
Sous ce double pompage, il ne peut tenir longtemps. Je comprends qu’il va décharger et l’enfourne pour le faire jouir dans ma gorge. Le miracle a de nouveau lieu. Il ouvre les vannes et son sperme chaud envahit ma bouche. Je joue avec son jus avant de le partager avec Stéphanie en l’embrassant à pleine bouche.

-Aaahhh ! Quelle belle branle ! Vous m’avez gâté les filles ! Le temps que je récupère, amusez-vous donc toutes seules !
Il est étendu entre ses deux « Maîtresses » qui continuent à le branler, à palper ses couilles. Nous nous embrassons entre filles sur la bouche. L’effet est quand même bizarre pour moi, je n’ai jamais fait ça avec une autre fille, encore moins avec ma propre belle-fille !
Je sais que pour Stéphanie, ce n’est pas une première. J’ai même craint qu’elle ne bascule pour toujours du coté obscure de la Force. Mais Pierre l’a ramenée dans le bon chemin, enfin… Vous me comprenez.

-Oh, que c’est bon, fille débauchée ! Embrasse-moi encore, mets ta langue dans ma … Mais je ne peux en dire plus car ses lèvres se sont collées aux miennes.
Le baiser n’est pas chaste, elle force sa langue entre mes lèvres, cherchant la mienne.
Je dois admettre que ce n’est pas désagréable.
Pierre n’en perd pas une miette
Il veut du spectacle ? Il va être gâté !
Je m’abandonne à la lubricité de Stéphanie, elle me fait étendre sur le sol et se met tête-bêche sur moi pour me dévorer la chatte.
Je geins faiblement sous ses léchouilles avant de décider de lui rendre la pareille. Mes lèvres appuient sur ses lèvres vaginales couleur de corail au satin tiède, toutes offertes à ma langue exploratrice. Nous nous léchons comme deux folles.

Pierre nous contemple, lascif. Ses yeux ne peuvent se détacher des deux disciples ueuses de Lesbos. Il a retrouvé toute sa raideur et sa matraque s’annonce prometteuse pour de futures pénétrations.
Il nous fait mettre sur le coté pour pouvoir nous prendre l’une après l’autre dans cette position.
Il s’approche de moi collant son bassin à mon cul, disposant sa verge dans le fossé ombré de mes jolies fesses, ses couilles bien au chaud dans la main de ma belle-fille.
Stéphanie lui pelote les bourses, tout en continuant à lécher profondément ma chatte, écartant de sa langue folâtre et pointue mes lèvres intimes pour mieux encore s’introduire dans mon large sexe. Pantelante, je m'ouvre alors à son baiser ravageur qui allume un brasier dans mon ventre. Je me le laisse dévorer et je jouis à perdre haleine dans la bouche de Stéphanie.
Pierre repousse la tête de Stéphanie et s’introduit sans difficulté dans ma grotte lubrifiée par mes sécrétions abondantes. Il va et vient avec sa flamberge qui glisse délicatement en moi.
Il balance à présent son derrière sur un rythme soutenu, les basoches toujours dans les mains de ma belle-fille dont les doigts grattent délicatement la peau fine des bourses.
Il se retire complètement, titillant par instant mon anus avant de replonger dans ma matrice.

Ne voulant léser personne, Pierre change régulièrement de moule, nous permettant à tour de rôle, de voir sa dague investir le fourreau de la « mère ou de la fille ».
Il nous amène l’une après l’autre à l’orgasme. Stéphanie a le sien quand j’étreins fiévreusement son cul, le pinçant, sa chatte complètement engoulée par ma bouche, pour que je profite de sa mouille. Du coup je lâche les grandes eaux que Pierre fait jaillir de ma cramouille sous la pression de son piston démesuré.

Il décharge abondamment dans mon divin con, complètement noyé.
Je sens la langue de Stéphanie lécher lentement la cyprine et le foutre qui perlent de ma raie et qui, ensuite avale sa verge pour une petite séance de nettoyage.
Je ressens une douleur vive sur mes fesses quand il me donne de vigoureuses claques sur le derrière signifiant qu’il est temps que le mâle reprenne le pouvoir sur les deux lesbiennes.
Il nous fait nous étendre l’une à coté de l’autre et c’est maintenant lui qui s’occupe de nos abricots.

Il nous pétrit la poitrine, nous caresse le cul, nous lèche les seins. Je crispe ma main dans ses cheveux pour l’encourager.
Il me mordille les tétons pendant que chacune de ses mains s’égare dans nos raies culières, nous gémissons de plus belle. Maintenant il goûte nos humeurs corporelles, découvrant les parfums si différents de nos chattes.
Il enterre son visage dans ces temples de la femme, s’enivrant se sentir la femelle féconde attendant la saillie du mâle. Pierre sonde ces jardins parfumés de sa langue et les senteurs chaudes et exotiques l’enivrent.
Il lape comme un chiot les lèvres de la chatte de Stéphanie, étanchant sa soif avant de changer de puits et venir déguster le miel qui suinte de ma fente. Il se saoule de cette odeur de musc exotique de ma chatte tremblante et pressée contre ses lèvres.
Je le supplie :
-Continue mon chéri ! Ouiiiii ! Un peu plus haut ! Suce mon clito ! Tire dessus le…OOOhhh ouiiii ! Baise-moi de toutes tes forces ! Ramone-moi !
Je pousse ma chatte dans sa bouche jusqu'à sentir ses dents s’incruster dans ma peau.
L’excroissance de chair c'est allongée sous les attaques de sa langue qui sonde aussi tous les recoins de ce cratère de volcan en éruption qui éjecte une lave translucide. Je lui inonde le menton et remplis sa bouche de ma cyprine.
- Aaaahhhhh je viens !…
Il boit tout ce qui sort de ce trou sous la violence des spasmes qui tel un raz de marée, m’emporte.
Il me faut un moment pour reprendre mes esprits. Ma jouissance a été si forte que j'ai manqué m’évanouir.
Je regarde béate, ma belle-fille et lui avoue :
-Jamais je n'ai connu ça avec ton père, même à nos débuts. Avec lui je jouis à chaque fois, intensément. Je rêve même de lui la nuit en me masturbant comme une adolescente.... Et c'est si booonnn..!!!

Depuis longtemps déjà, la bite de Pierre avait repris ses dimensions hors-normes. Le chibre est redevenu aussi dure et les couilles aussi gonflées qu’au début de nos agapes sexuelles.
Il s’est rassit et Stéphanie s’est mise à coté de lui pour lui branler cette tige pharaonique qui tel le Phénix, renait indéfiniment de ses cendres.

(à suivre)

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