La Malédiction De La Momie (1)

Alfred avait été un archéologue assez renommé. Il ne courrait plus depuis longtemps le monde à la recherche de sépultures, ou de ruines, mais il écrivait des bouquins qui traitaient de ses différentes trouvailles. Je tapai ses écrits, ses diverses correspondances avec ses éditeurs, enfin tout ce qui avait trait au secrétariat.
Un matin je décachetai une lettre d'un certain Amar Belkhodja, archéologue Tunisien, qui désirait le rencontrer, car il avait des renseignements au sujet d'un tombeau très ancien.
Pour l'instant disait la lettre, il avait mené une recherche dans deux régions de l' Africa Vetus, situées à une distance assez importante de Carthage. Cela avait permis de reconnaître plus d'une soixantaine de tombeaux, dont bon nombre paraissent dater de la fin du IIIe siècle, ou de la première moitié du ΙIe siècle av. J.-C. Cette identification avait pu être faite, par la céramique recueillie lors d'une prospection de surface, ou par le style du monument. Ces derniers se répartissaient en différentes catégories : tertres de terre et de pierraille, simples tumulus de pierres sèches, tertres ou tumulus à plate forme, bazinas, variantes pourvues d'anneaux ou de tambours à mi-pente, monuments circulaires ou quadrangulaires en pierres de taille, mausolées-tours enfin. Ces tombeaux étaient presque tous situés sur des lignes de crête et isolés dans le paysage, loin de tout habitat. On pouvait se demander s'ils n'avaient pas appartenu à de grands propriétaires carthaginois, et s'ils n'avaient pas été implantés aux confins du domaine de ces derniers. Par ailleurs, ces mêmes tombeaux se trouvaient bien souvent dans le voisinage d'une cité antique, de constitution punique ou libyque ; à titre d'hypothèse, on pouvait supposer que ces cités avaient été, à l'origine, de simples hameaux situés à l'intérieur d'une de ces propriétés. Ils constituaient peut-être un reflet indirect du paysage agraire pré-romain.
Mais il venait de mettre la main sur un parchemin qui lui paraissait vraiment authentique, celui-ci comportait un plan donnant l'emplacement d'un tombeau.

Il aurait bien aimé avoir l'avis d'un spécialiste, Il demandait donc à Alfred de prendre contact avec lui.
La nature humaine, au cours du temps qui passe à beau essayer d'enfouir ses vieux démons, au moment ou l'on s'y attends le moins, c'est là qu'ils ressurgissent. C'est ce qui arriva à Alfred.
Il prit contact avec ce monsieur, et vraiment intéressé par le projet décida de se joindre à l'aventure.

— Trixie, me dit-il un jour, le document fourni à l'air authentique, ce monsieur à l'air de savoir de quoi il parle, c'est d'ailleurs un archéologue renommé en Tunisie. Nous allons nous joindre a sa petite expédition. J'aurai besoin de toi pour prendre des notes sur le terrain, veux-tu bien venir avec moi ?
— Oui, Alfred je veux bien, mais n'es tu pas trop âgé pour aller courir le monde.
— Oh, une petite balade dans le bled, n'a jamais tué personne !
— J'ai regardé sur la carte, l'endroit supposé et quand même, dans la pointe sud de la Tunisie plus loin que Tataouine !
— Oui, mais tu seras la pour veiller sur moi.

J'appréhendais un peu ce voyage, une excursion dans la jungle du Congo m'avait assez fatiguée. Aucun argument ne vint à bout de sa résolution, et nous nos retrouvâmes dans un avion direction Tunis. Monsieur Amar Belkhodja nous accueilli à l'arrivée et nous présenta Amhed son guide. Le jour suivant, Amar m'apporta un vêtement adapté à ce que nous allions faire dans le bled. C'était une robe saharienne en coton un peu épais, qui se boutonnait sur le devant, on pouvait enserrer la taille avec une ceinture. Je l'enfilai. La coupe était telle, et le dernier bouton du haut était positionné d'une façon qui faisait qu'elle baillait largement sur mes seins, mes aréoles affleuraient le bord, si je me penchais on apercevait mes mamelons. Tant pis, je n'avais rien prévu, et puis il faisait une chaleur accablante, je décidai de rester complètement nue dessous.

Nous avions quitté la cote, le paysage désertique qui défilait sous le ventre de l'hélicoptère était d'une monotonie désespérante, lors d'un premier arrêt, ils avaient refait le plein de carburant.
C'était Amhed qui pilotait, nous volions presque depuis trois heures.

— Nous allons bientôt nous arrêter à notre base. Vous y passerez la nuit. Nous, il faut que nous allions à une cérémonie pour le bakchich chez l'Emir qui régit le territoire, la négociation nous prendra une grande partie de la nuit et nous repartirons demain matin. Simon, veillera vous. C'est un métis, moitié soudanais, moitié arabe, il est un peu balourd, baragouine un peu de français, nous lui avons sauvé la vie et il nous est dévoué corps et âme. Juste un petit truc, il n'a jamais vu de femme blanche, surtout blonde et aussi bien roulée que toi. Alors un conseil, fais attention Trixie.

Un quart d'heure plus tard, nous étions en approche d'une oasis assez importante, ou au centre trônait un bungalow assez conséquent. Deux 4X4 étaient garés d'un côté.
Aussitôt qu'Amhed eut posé l'appareil, et coupé le moteur, un homme s'approcha. Il devait mesurer largement plus de deux mètres, c'était effectivement un métis aux cheveux noirs crépus, il était vêtu d'une djellaba blanche. Je trouvai qu'il me regardait d'un drôle d'air, il me semblait que ses yeux brillaient et un sourire barrait son visage.

— Salut, Simon, dit Amar, nous avons deux invités, la dame s'appelle Trixie, le monsieur Alfred. Ils sont français et vont passer la nuit ici, nous nous sommes obligés de partir. Dans l'hélico, nous avons des objets assez précieux. Il va falloir que ta surveillance redouble d'attention. Nous serons revenus demain à l'aube.
— Allez venez, je vais vos montrer vos chambre, et Simon nous a sûrement préparé à manger.

Amar nous fit faire le tour de la maison, et après avoir dîné, nos deux hôtes, sautèrent dans un 4x4 et s'enfoncèrent dans la nuit
Je décidai de prendre une douche, j'en avais bien besoin. Le jet tiède me fit du bien, je m'étirai langoureusement. Je me savonnai le corps, massant mes seins, je fis consciencieusement ma toilette intime, écartant bien mes lèvres, enfilant mes doigts au plus profond de ma vulve, j'étais pleine de poussière.
Il me sembla entendre un léger bruit derrière la porte, qui comportait quelques larges fentes, je prêtai l'oreille, rien sûrement une bestiole.
Je finis la douche, par un jet d'eau froide, cela me fit frissonner et fit durcir mes aréoles et pointer mes tétons, par jeu, je les fis rouler entre mes doigts.
Puis toujours nue, je pris la décision de laver ma robe, qui sentait la sueur, il y avait une brise assez forte qui la sécherait d'ici demain matin. J'ouvris la fenêtre en grand et la mis à sécher.
Ma petite lessive terminée, je réalisai qu'il fallait que je regagne ma chambre. J'étais nue ! Les paroles de d'Amar me revinrent à l'esprit. Ne pas exciter le géant. Il ne m'avait d'ailleurs pas lâché des yeux depuis notre arrivée, et on voyait sur son visage que ma présence le perturbait quelque peu.
Bon, j'enroulai une grande serviette autour de ma poitrine, elle descendait presque à mes genoux, je la croisai le plus possible, et rentrai le coin profondément sur mon sein. Je me regardai dans la glace, à part mes cheveux mouillés, j'étais très présentable. Et puis le couloir n'était pas très long pour rejoindre ma chambre. J'ouvris la porte et je tombai nez à nez avec Simon. Mes yeux se portèrent aussitôt sur l'énorme excroissance qui pointait sous le tissu de son vêtement à hauteur de son sexe. Il avait dû m'épier à travers les fentes de la porte. Il recula. J'hésitai, puis les deux mains en avant je me décidai à avancer. Au moment où je faisais un pas en avant, un courant d'air ferma brutalement la porte coinçant le bas de la serviette. Retenue, l'attache dérisoire céda, je n’eus pas le temps de la retenir, elle tomba sur le sol. Je me retrouvai entièrement nue face au géant, je restai pétrifiée. Les paroles d'Amar me revinrent lancinantes en tête. « Il n'a jamais vu de femme blanche... »
Un large sourire éclaira sa face. Ses yeux brillaient de convoitise, comme ceux d'un devant un jouet inaccessible

— Regarde, ce que toi fais à moi.


Il souleva lentement sa djellaba sur ses cuisses musclées, j'écarquillai les yeux, je restai ébahie, le sexe qu'il m'exhibait défiait les lois de la logique. Il était aussi long que celui de Victor, si ce
n'était plus et aussi gros que celui du fils du marchand de légumes, largement plus important que le diamètre de mon poignet. Il fit passer sa tunique blanche par-dessus sa tête. C'était un monstre de muscles, son corps chocolat foncé, était glabre, à part sa toison pubienne bouclée, sa bite démesurée et décalottée car circoncise, était très sombre presque noire et semblait défier la pesanteur. Son érection était phénoménale.
Je ne savais plus quoi faire, je sentis ma perversion « naturelle » me souffler « et pourquoi pas ? », mais elle était vraiment trop grosse, j'allais me faire déchirer par un tel engin. J’hésitai, je le laissai faire ou pas ? J'en avais de plus en plus envie.
Il coupa court à mes tergiversations, il me souleva et me transporta dans la chambre et me déposa délicatement sur le lit. Au plus il me contemplait, au plus son sourire s'élargissait.

— Regarde, me dit-il en me montrant le poste de télé,

Il enclencha, le lecteur DVD. J'eus un hoquet.

— OH, mon dieu... non !!

J'avais honte des images de la vidéo qui défilaient su l' écran. Un nabot noir me faisait tomber dans la luxure, je n'étais plus qu'un sexe qu'il fallait remplir. Les va-et-vient du monstrueux phallus factice s'accéléraient, mes râles se mêlaient aux halètements du nain. Chaque allée et venue lui ouvraient davantage le tréfonds de ma chatte ruisselante. A revoir ces images, il me sembla que mon cœur tombait dans mon ventre. J'étais la victime consentante de la protubérance qui emplissait ma chatte par la main du nabot noir. Le plaisir et une légère douleur se mélangeaient, je me laissai déborder par les premières vagues de ma jouissance, l'écran retranscrit fidèlement l'orgasme qui déferla sur mon corps, je me cambrais en hurlant, le nain fut rejeté en arrière par la violence de mon spasme.
A toute allure, il ôta le gros sexe factice, et tandis que je jouissais, il enfila son sexe dans ma chatte palpitante et éjacula en criant de bonheur, son sperme tiède inonda mon vagin.

— Oui, toi guérir moi, maintenant, comme le nain dans vidéo !

Je paniquai un tan soit peu, mais je pensai que si je lui faisais une bonne fellation, et que je le fasse éjaculer cela le contenterait.
J'attrapai sa bite à deux mains, commençai à le masturber doucement, j'approchai mes lèvres de son gland, j’eus beau ouvrir la bouche au maximum, je ne pus l'engloutir qu'un peu plus loin de la couronne. Ma langue entra en action le léchant, titillant son méat urinaire, aspirant la peau de son scrotum, je mordillai la longueur de la hampe qui me semblait-il grossissait encore. Simon se raidissait, émettant des sons gutturaux, il appréciait sans aucun doute ma fellation, je m'appliquai le plus possible écartant au maximum les mâchoires pour avaler le plus possible de sa bite.

— Bon, bon, mais Simon gicler là...

Deux énormes doigts s'insinuèrent dans ma chatte, qui coulait maintenant comme une petite source. Après trois aller et retour, il les retira et apparemment étonné qu'ils soient trempés, les porta à son nez pour sentir le liquide, puis il les mit dans sa bouche.

— Huuuummmmmm, bon. Trixie bon. Simon goûter encore.

Ce qu'il fit encore et encore, ayant été à bonne école avec le DVD porno, ce fut sa bouche qui remplaça les doigts. Puis au bout de ce qui me sembla une éternité, de ses mains puissantes, il écartela mes cuisses, comme dans un rêve, je vis son énorme gland noir venir buter à l'entrée de mon vagin et la tête commencer à écarter mes lèvres.

— Noooooooonnnnn, hurlai-je. Tu es trop gros, nonnnnnn, tu vas me déchirer. J'essayai en vain de l'arrêter

Mes efforts pour le repousser furent sans effet sa masse corporelle était trop importante. Il s' arrêta d'un seul coup.

— Trixie, pas crier. Simon pas faire mal. Simon pousser doucement. Simon doit gicler dedans.
— Nooooonnnnn, s'il te plaît, noooonnn.

Je ne pouvais pas bouger, il me tenait fermement, mais sans aucune méchanceté, plaquée sur le lit.

Il reprit sa poussée, son énorme braquemart, écarta encore un peu mes grandes lèvres. J’aperçus la silhouette d'Alfred, qui réveillé par mes cris, venait voir ce qui se passait

— Nooonnn, Haaaaahhh, pas ça Sinon arrête, pitié.
— Chuuttt, Simon rentre, doucement, regarde la bite rentre, elle rentre, c'est bon !
— Oui, oui laisse le continuer, dit Alfred, qui se masturbait, ça me plaît qu'il te baise !

Je capitulai, car effectivement malgré son énorme corps et la taille démesurée de sa bite, le géant s'enfonçait en moi avec une extrême délicatesse. Ma chatte bien lubrifiée, facilitait l'intrusion du sexe titanesque, avec lenteur, il enfonçait centimètre après centimètre. La légère douleur s’estompait remplacée peu à peu par un sorte de plaisir brûlant, mon ventre s'embrasait. Je m'ouvris entièrement à cette pénétration prodigieuse, décontractai mes muscles vaginaux, mon bassin se souleva malgré moi, pour engloutir plus profondément cet énorme morceau de chair dur comme du bois. Les deux tiers du phallus étaient entrés, il commença à s'activer, me procurant des sensations délicieuses, j'en avais la respiration coupée, je hurlai de jouissance, lui griffai le dos. Malgré son énorme masse pesant sur moi, je me cambrai et m'écroulai sous la poussée.

— Oui, Trixie aime, Simon content, Simon presque au bout, c'est bon, oui !

Sa bouche engloba mes aréoles, ses dents tiraillèrent mes tétons, sa langue s'insinua dans ma bouche, il en bavait de plaisir. Ma chatte était en feu, mes sens chaviraient, ma raison oscillait. j'avais perdu le notion du temps, j'avais du avoir au moins deux orgasmes.

— Simon, va enfoncer encore, plus. Simon va gicler. Ouuuiiiiii, ooouuuiiii. Simon gicle encore, encore, boonnnn, boonnnn, ouiiiii
— Ouuuiii, Aaaaahhhh, c'est bon, vide toi dans ma chatte bien au fond, je sens ton sperme me remplir, putain c'est délicieux, reste encore bien au fond, Ouiiiii je jouiiiii.
— Simon content, Simon heureux, Simon giclé dans Trixie et elle crié comme dans Vidéo !

Il ne se retira pas tant que sa queue ait perdu sa rigidité, sa bouche parcourut mes seins, avec tendresse. Il roula sur le dos, je me penchai sur lui et léchai à petits coups de langue le sperme et le foutre qui poissaient l'objet de mon immense plaisir.

— Toi rester encore, avec Simon ? Simon veut gicler encore dans Trixie !

Je ne répondis pas, il verrait bien assez tôt que ce ne serait pas le cas. Mais peut-être que, d'ici le retour d'Amar et d'Amhed, on pourrait remettre ça !Je me tournai vers Alfred qui avait attendu que je jouisse, pour venir éjaculer dans ma bouche.

— Cela t'a plu, mon petit Chéri, tu as bien joui ?
— Oh, c'était super, je savais que tu accepterais la totalité de sa grosse bite. Je vais me coucher. Tu finis ta nuit avec lui ? Essaye de dormir un peu, demain il y a encore du trajet !

De très bonne heure le lendemain, nous embarquâmes dans un 4X4, assez vieux, plein de victuailles et de bidons d'essence. Je trouvai que Amar se faisait beaucoup plus pressant envers moi. Il avait du remarquer que je n'avais pas de soutien gorge ! Et sûrement que Simon lui avait raconté la nuit dernière. L'archéologue s'installa avec moi à l'arrière de la voiture, Alfred à coté d' Amhed qui conduisait.
Après avoir roulé toute la matinée, Ahmed prit une piste vraiment chaotique, les secousses, firent tressauter ma poitrine, par moment mes tétons surgissaient par dessus le tissu de la robe.
Sur mes cuisses, les deux derniers boutons du bas étaient dégrafés, elle remontait sur mes cuisses, on apercevait parfois ma chatte bien lisse. J'essayai de tout remettre en place, mais c'était peine perdue, à la secousse suivante, ça recommençait et comme la route ressemblait à de la tôle ondulée, j'arrêtai et laissai Amar se rincer l’œil, sa bite faisait une énorme bosse sous son pantalon. Amhed lui matait dans le rétroviseur et à chaque chaos je ne pouvais pas empêcher mes cuisses de s'ouvrir,

— Au fait Trixie, me dit celui-ci, il me semblait que je vous avez déjà vu, mais je ne savais pas où ! Ce matin Simon m'a rafraîchit la mémoire, en me montrant une vidéo, ou l'on peut te voir en train de te faire baiser par un nabot noir ! Je me suis souvenu de toi et me suis rappelé que j'en avais regardé deux autres. Dans la première c'était un sumo japonais qui te prenait, dans l'autre tu te faisais violer par trois mecs patibulaires ! C'était super ! Je ne me doutais pas que tu avais tourné des vidéos pornos, elles sont très réalistes ! Regarde, cela va peut-être t'exciter !

Et Amar sans vergogne sortit son sexe circonsis, Amhed en fit autant. Ils bandaient tout les deux et lorsque le terrain le lui permettait, le chauffeur caressait son phallus tendu, ce devait être pour cela pour cela qu'il ne voyait pas très bien les nids de poules. Alfred s'était tourné et souriait en regardant la bite tendue de notre hôte.

— Vous savez Amar,Trixie, ne joue pas dans ces vidéos, elle vit littéralement les actions ! Je vous assure que ses orgasmes sont bien réels, Vous avez vu, même un nabot noir arrive à la faire jouir. N'est elle pas merveilleuse ? Trixie, laisse nous apercevoir ta jolie chatte, et puis pour lui montrer ton talent, tu devrais faire une fellation à Amar, je crois que sa queue va éclater tellement il a envie de toi !

Une sorte de fierté malsaine se coula en moi, savoir que comme je je l'espérai lors des tournages, mes vidéos aguichaient les hommes. Je cédai une fois de plus à la luxure, je me penchai sur le membre turgescent et circoncis, les ornières le faisait tressauter entre mes lèvres, il ne fallut pas longtemps pour que le jeune archéologue déverse son sperme dans ma gorge.

— Il ne faut pas faire de jaloux, dit Alfred, Amar laissez votre place à Amhed, et toi petite gourmande montre moi, le sperme que tu as la bouche, et avale le, dit-il en souriant, et déboutonne ta robe, ce sera plus érotique !

Amhed pris avec joie place à côté de moi, j'eus plus de difficulté à le faire éjaculer dans ma bouche, il caressait mon corps avec ferveur, suçant mes tétons, enfilant deux doigts dans ma chatte, n'en revenant pas de pouvoir profiter, lui un arabe, de la jolie blanche star des vidéos pornos sur lesquelles il s'était branlé plusieurs fois.
On roula encore environ 3 heures, il devait être 14 heures lorsque la voiture stoppa, on continua à pied, marchant dans le sable à travers un dédale de rochers, Nos guides s'orientaient souvent en regardant un vieux parchemin... discutant en arabe. Pendant le trajet qui dura environ une bonne heure, Amar m'expliqua qu'il s'agissait d'une tombe punique. Si les pillards n'étaient pas passés, il se pourrait qu'elle referme pas mal de merveilles. D'après la traduction qu'il avait faite des écritures du vieux parchemin, il y aurait beaucoup d'or et d'objets anciens, l' histoire parlait aussi de statues gardiennes du lieu, qui s'animaient pour punir les intrus, mais bon ce n'était qu'une légende.
Nous longions une paroi rocheuse, et une étroite ouverture se dessina devant nous, de gros blocs taillés s'étaient écroulés.

— Je pense que c'est ici, allons-y ! Vous voyez Alfred, pour l'instant le parchemin ne mentait pas !

Allumant sa grosse lampe torche, Amar se faufila dans l’interstice, Alfred lui emboîta le pas, je les suivis. Je fus obligée de défaire les trois boutons du bas pour pouvoir enjamber les gros blocs qui barraient le seuil, la robe s'ouvrit jusqu'à ma chatte. En passant le haut, accrocha une aspérité du rocher, glissa et découvrit un de mes seins. D'une main je portais le PC et dans l'autre une lampe pour m'éclairer. Amhed était derrière moi, me poussant presque pour que j'avance plus vite dans l'étroit couloir. Les ténèbres n'étaient trouées devant nous que par le faisceau des lampes. J'étais au milieu des trois hommes, dans la pénombre ils ne s'apercevraient de rien, je remettrai de l'ordre dans ma tenue plus tard. Cette situation m'excitait un peu, alors eux après la fellation que je leur avais fait seraient à nouveau déchaînes s'ils ne voyaient ainsi ! J'étais presque presque nue dans le noir avec trois hommes, ma chatte était un peu humide, mes pensées me tiraient inexorablement vers la débauche, j'avais encore le goût de leur s sperme dans la bouche.
Le petit tunnel déboucha dans une salle, devant mes yeux ébahis, un sarcophage, gardé par deux guerriers surgit dans la lumière de nos lampes torches. Les guerriers étaient sculptés dans l'ébène, leur couleur noire luisait dans la lumière, ils étaient torse nu, une jupette tissée de fils d'or ceignait leurs reins. Un casque à protection nasale leur couvrait la tête, ils tenaient, l'un un glaive court, l'autre un pilum. Leurs visages avaient une expression farouche.
Le tombeau était sur une dalle pas très haute, des ustensiles dorés sûrement en or posés tout autour rutilaient sous la lumière de nos lampes. J'étais tellement estomaquée que je ne pensai plus à ma tenue.
Amar était monté sur la dalle. J'avançai, posai le pied sur la stèle, ce qui fit encore plus bailler ma robe sur mes cuisses, dévoilant entièrement ma chatte. Amar se retourna, braquant sa lampe sur nous, elle se fixa sur moi, éblouie je fermai les yeux.

— Magnifique, oui, c'est vraiment magnifique, regarde Amhed, mais là il ne parlait pas du sarcophage.

Le faisceau se fixa sur mon sein, puis descendit sur mon entre-jambe, éclairant ma chatte rasée. Je me reboutonnai rapidement. Amhed retourna chercher des lampes plus conséquentes, la petite caverne fut remplie d'une lumière crue. Il avait ramené de quoi nous sustenter et des boissons. Après un repas frugal, ils ouvrirent le couvercle du sarcophage. Il contenait une momie parfaitement conservée

— D'après les écrits du parchemin, les statues ne devraient pas tarder à nous attaquer.

Commenta Amar en riant. De légers frissons me parcourraient le corps, c'était assez impressionnant, ces guerriers farouches gardant un mort et de telles richesses...

— Bon au travail dit Alfred, avant de toucher quoi que ce soit, nous allons prendre des photos de chaque objet. Ensuite nous pourrons les emballer pour les transporter, Mais nous avons pas mal de travail, assez ingrat à faire. Je crois que allons devoir coucher ici !

On travailla, le reste de l'après midi, tard dans la soirée, il fut décidé de fêter notre trouvaille,
Après un bon repas préparé par Simon, Amar sortit une gourde. Il me la tendit.

— Tu n'avez sûrement rien bu de tel, Trixie. c'est magique tu verras !!

Je bus, effectivement c'était très bon, épicé, sucré comme du miel, il devait y avoir de l'alcool de figue. Amhed lui, sortit de son sac un Chillum, sorte de pipe de forme conique, avec une pierre trouée faisant office de filtre, servant principalement à consommer le cannabis, soit sous forme végétale, soit sous forme résineuse. Amar l'alluma.
Je n'avais jamais fait ce genre d'expérience et j'étais curieuse.

— Pourrai-je goûter à votre pipe Amhed ?
— Vous l'avez fait tout à l'heure dit-il en riant, mais pour celle-ci, je ne sais pas, mademoiselle, c'est assez fort.
— Tant pis, je suis grande maintenant.
— Puisque vous le dites, me dit-il en me tendant le Chillum.

Je fumai, puis je bus à nouveau à la gourde d'Amar. Fumai à nouveau, bus encore !

— C'est quoi comme souche votre cannabis demanda Alfred ?
— Du charas, répondit Amhed

Les dernières paroles que j'entendis ce fut le « OH LA LA » d'Alfred avant de glisser me sembla-t-il dans un puits noir sans fond.
Je me réveillai couchée sur les dalles, à côté du tombeau. Les deux statues s'animèrent, posèrent leurs armes et leurs casques sur le sol. Ainsi c'était vrai, la légende était bien réelle.
Les deux farouches guerriers s'approchèrent de moi, leurs jupettes d'or tombèrent sur le sol, deux énormes sexes noirs tendus se balancèrent devant mes yeux. Leurs mains se posèrent sur moi. Complètement envoûtée, je les laissai me déboutonner puis me quitter ma robe, leurs gestes étaient lents et ils caressèrent mon corps doucement. Les pointes de mes seins réagirent et se dressèrent mes globes se raffermirent sous la caresse, ma chatte s'humidifia.
A genoux, ils pressèrent leurs glands sur mes lèvres, je les aspirai à tour de rôle, ma langue titilla et lécha ces hampes noires et dures. L'un d'eux me fit lever, me conduisit sur une grosse dalle, il me fit mettre à genoux devant et écarta mes jambes. Sa grosse queue força ma chatte qui maintenant était trempée. L'autre me tint la tête pour que je continue ma fellation. Le bout de mes seins frottèrent la pierre rugueuse et cela décupla mon excitation. Il me retourna et me coucha sur le roc, écarta largement mes cuisses et enfourna d'un seul coup toute la longueur de son énorme bite. Il me souleva le bassin pour bien enfiler son pénis entièrement. Je saisis le derrière des cuisses de son copain, pour lui permettre de bien profiter de ma bouche, il me malaxa les seins, tirant, griffant mes mamelons en totale érection. Quelque chose m'étonna, les seuls bruits étaient mes cris et mes gémissements de plaisirs qui résonnaient dans la caverne. Mais toute à mon plaisir, je n'y prêtai plus attention.
Celui qui me pénétrait mit ses mains sous mes fesses me souleva comme un fétu, sa queue toujours bien ancrée en moi. Son copain passa derrière, la tête de sa bite se pressa sur mon anus, lentement il poussa, mon ampoule rectale se retourna et le mandrin noir glissa en moi. Mon cri d'extase rebondit sur les parois.
Les minutes qui s'égrenaient, semblaient durer des heures, d'énormes soubresauts secouèrent la verge enfoncée dans mon vagin, une énorme quantité de liquide brûlant se déversa dans ma chatte. Celui qui me sodomisait se coucha sur le sol, sépara largement mes cuisses pour ouvrir encore plus grand mon trou intime, et il entra encore plus profondément le pieu qu'il avait enchâssé dans mes entrailles. Cela eu pour effet d'ouvrir aussi ma chatte que la langue de son copain envahi aussitôt, me tirant des râles de plaisirs. La jouissance déferla sur moi tel un tsunami, mon corps s'arc-bouta, ma tête roula dans tous les sens, je griffai les bras qui me tenaient, je crus m'évanouir de jouissance.
Ils ne me laissèrent pas de répit, je me retrouvai à nouveau la chatte empalée sur la bite de celui qui me sodomisait, tandis l'autre profitait du passage ouvert dans mon rectum. Ils accordèrent leurs cadences, très vite j'explosai une fois de plus dans un nirvana de jouissance, je sentis leur sperme tiède déborder de mes orifices...
Le couvercle du sarcophage glissa, puis tomba, la momie à la peau parcheminée se dressa, vint se coucher derrière moi, son phallus chercha l'entré de mon conduit vaginal, et y pénétra lentement, elle me besogna pas très longtemps, j'ouvris les yeux, au moment de son éjaculation, Je criai et me tournai aussitôt, pour voir Alfred vider sa semence dans ma chatte..
J'étais nue, à côté de moi les trois hommes que j'accompagnai étaient couchés sur le dos, leurs sexes mous étaient gluants et luisants de leur sperme mêlé à mon foutre, du liquide séminal coulait de ma chatte et de mon anus.

— Alors ma petite Chérie, on émerge ? Tu étais déchaînée. Je n'ai pas pu résister, il a fallu que je te baise, moi aussi, après les coïts effrénés que tu m'as offert avec Amar et Amhed ! J'ai voulu te prévenir, mais trop tard. Tu sais, les effets de la souche de cannabis utilisée pour la fabrication du charas sont intensifiés, on peut frôler l'effet psychédélique. Le charas peut même parfois provoquer des hallucinations ou un état de conscience second, tu n’étais pas habituée, et c'est ce qui c'est produit, l'alcool plus la drogue cela a décuplé ta libido, mais c'était très agréable !
— Alors ce n'était pas les statues et vous avez du vous régaler ! Mais je crois que cela va me servir de leçon, ce n'est pas demain que je retente une expérience de ce genre.

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