Souvenir Souvenir

Cette fois-ci, ma femme n’y est pour rien, je ne la connaissais pas encore. Un souvenir marquant, délicieux. J’avais été initié au sexe par la mère d’une copine de lycée, une grande femme un peu mince avec des hanches assez larges, elle avait beaucoup de classe, même si nue, ce n’était pas une bombe. Je dirai à présent que si elle n’était pas particulièrement bien foutue, elle avait néanmoins un beau cul, une belle touffe (pas encore cette mode détestable des chattes glabres de petite fille que j’ai toujours trouvé malsaine, mais chacun ses goûts comme on dit). Toujours est-il que je lui servais d’objet sexuel, c’est comme ça que je vois les choses à présent, à l’époque j’étais bien trop content de pouvoir régulièrement gicler dans une chatte toute chaude. Nos rencontres étaient malheureusement espacées, mais j’ai bien dû la baiser une vingtaine de fois. C’était des baises très classiques, elle ne suçait pas, pas de cunilingus, elle s’allongeait, écartait les jambes et je la fourrai direct. Mais toutes les bonnes choses ont une fin et à la suite d’un déménagement, mon père étant officier, c’était tous les deux ou trois ans an, je perdis l’accès à ce sexe accueillant. Mon retour en France (je venais d’Allemagne) fut triste et cette année de terminale très morne, rien à me mettre sous la queue. J’avais pourtant eu quelques années plus tôt (avec de partir pour la froide Germanie) mes premiers émois avec une voisine dont le fils était mon grand pote. Cela n’avait jamais été au-delà de masturbations dans ses dessous, avec son accord, elle me laissait regarder sous sa jupe et me montrait sa chatte dès qu’elle le pouvait, mais elle ne m’avait jamais touché même si elle m’avait demandé de sortir mon sexe et de me masturber devant elle. Tout à mon excitation de la retrouver, et espérant plus à présent que j’étais devenu un « homme », j’étais allé la voir pour lui « emprunter » une culotte, malheureusement elle m’avait tout de suite calmé.

Plus de ça m’avait-elle dit ! Je précise que quelques années plus tard, j’ai réussi à lui glisser ma bite dans sa chatte et même son anus, elle m’avait trop allumé jeune, je l’ai un peu « bousculé » un soir alors que nous avions un peu bu tous les deux à l’occasion du mariage de sa fille, un coït brutal, mais très jouissif, surtout lorsque je l’ai enculé, c’était sa première fois, trop bon !
Le bac terminé et obtenu, ce qui à l’époque était une autre paire de manche qu’actuellement, je trouvais un boulot de juillet pour financer mes vacances et en août, me voilà parti avec ma superbe 2 CV orange vers la Bretagne, sud, pas fou, avec des potes d’enfance. Bien évidemment, nous espérions faire des rencontres féminines. Il y en eut, pour les uns, pour les autres, personnellement, j’étais relativement exigeant, et oui, et du coup je flirtai juste avec une jolie brune rencontrée sur une terrasse de café, mais qui malheureusement repartait deux jours plus tard. Bref, pas terrible et puis un soir, comme nous le faisions toujours, nous nous séparâmes pour partir à la « chasse ». Nous étions deux et soudain, nous croisâmes une jolie brune qui nous fit un grand sourire. On se regarde, on se retourne, on la ratt et on l’aborde. « Bonsoir mademoiselle, bla bla bla… ». Elle nous répond et accepte notre invitation vers un café qui se trouvait juste à côté, un truc très classe, style salon de thé où nous étions allés une fois pour boire un cocktail mais où notre style vestimentaire de l’époque avait détonné, rangers, treillis, cheveux décolorés ou colorés en rouge, vert, bref très punkisant. Toutefois, ce soir là, nous étions sagement en polo, cela semblait plus prometteur pour séduire dans cette station balnéaire très bourgeoise.
- Moi c’est Carine, avec un c, nous dit-elle
- Enchanté Carine, qu’est-ce que tu prends ?
Je passe sur le dialogue toujours niais des premières rencontres, elle avait 15 ans. Mince, un peu jeune tout ça, vraiment très jolie, mais elle était seule et nous étions deux.
Je remarquai qu’elle regardait souvent en direction d’une autre table où il y avait deux femmes, deux « vraies » femmes, dans la quarantaine. Soudain celles-ci se levèrent et passant près de la table, la plus jeune s’adressa à notre « conquête » :
- Tu ne rentres pas trop tard !
- Non, maman, t’inquiète !
- Jeunes gens, je vous la confie, pas de bêtises !
Nous n’eûmes pas le temps de répondre tellement nous étions scotchés par la surprise, on ne s’y attendait pas.
- C’est ta mère ? (question vraiment idiote j’en conviens !)
- Oui, et aussi ma tante.
- Sa sœur ?
- Non, c’est la femme de mon oncle.
- Ah d’accord.
- Je dois rentrer vers 23 heures.
- Ah, dans 20 minutes, bon.
A 23 heures pile, nous voilà devant la maison où elles logeaient, ayant appris qu’elles étaient toutes les trois en vacances et que les maris étaient restés car ils travaillaient. Nous réussîmes à arracher un rendez-vous sur la plage le lendemain et nous laissâmes Carine.
« Mais que Marianne était jolie », chantait Michel Delpech, nous aurions pu chanter « Mais que Carine était jolie », car elle l’était réellement, un adorable visage, un très beau sourire, des jambes que je trouvais bien dessinées, vraiment une belle fille. Mais du haut de mes 18 ans, je la trouvais un peu jeune, elle rentrait à peine en seconde, alors que moi j’étais un grand, j’entrai à la Sorbonne, un univers nous séparait ! Mais après tout, elle était peut-être avancée pour son âge ?

Le lendemain, après avoir quittés notre camping 0 étoiles, mais avec eau chaude, nous voilà à la plage en espérant voir notre jeune fille arriver. Miracle la voilà, elle se met en maillot, humm, elle a des atouts certains la demoiselle. Nos autres potes sont un peu jaloux car nous leur avons fait comprendre qu’ils ont leurs « copines » et que donc c’est chasse gardée. Mais ne voilà-t-il pas que la maman et la tante se pointent !
- Bonjour jeunes gens, ça ne vous dérange pas qu’on s’installe à côté ?
Ben si ça nous dérange, mais qu’est-ce qu’on peut y faire ! C’est une plage publique.

- Heu non, bonjour.
On part se baigner, on s’amuse, on rit chez Barbapapa, enfin bon des trucs de jeunes quoi. On revient sur le sable, et la maman et sa belle-sœur vont à leur tour se baigner. Pour la première fois, je les regarde vraiment et, mince, elles ont plutôt canons pour leur âge. Waouh, quels culs elles ont, et elles sont sacrément bien foutues. Avec leur robe de la veille, on n’avait pas vraiment fait attention.
Devant cette « découverte », je pose quelques questions à Carine afin d’éclairer la situation. Bon, il s’avère qu’elles vont régulièrement en vacances seules, la tante n’a pas d’s et Carine est fille unique. Lorsque les dames reviennent, elles rapprochent leurs serviettes et nous discutons longuement, à tel point qu’elles nous invitent à venir prendre l’apéro chez elle. Nous acceptons bien sûr et à 18 heures, on sonne. Carine nous ouvre, on entend une douche, puis la tante arrive, elle s’installe, nous prenons notre pastis, pas très original, mais « pastis par temps bleu, pastis heureux ! ». On est sur une petite terrasse, c’est agréable, maman arrive, les cheveux mouillés. Elles sont vraiment bien les deux « vieilles ». La maman est plus jeune de 5 ans nous avait appris Carine, effectivement ça se voit, mais la belle sœur est sacrément bien encore, même si elle approche des 50 ans (49 en effet). Elle croise ses jambes de telle façon que j’aperçois bientôt sa culotte blanche, hasard ou volonté délibérée ? Elles portent toutes deux des espèces de paréos qui couvrent sans couvrir puisqu’ils s’ouvrent largement sur leurs cuisses. Certes, nous avons eu celles-ci sous les yeux toute l’après midi, mais exposées comme ça, l’effet n’est pas le même, je commence à bander sévère ! Nous restons jusque vers 22 heures, on a pas mal bu, on se lâche un peu, elles s’amusent avec nous, elles nous excitent clairement, le paréo totalement remonté, la culotte très visible. Lorsque nous remontons dans mon bolide orange, je ne conduis pas très droit et nous sommes surexcités.

- Putain les salopes, t’as vu comme elles nous ont allumés ?
- Elles sont mariées !
- Des allumeuses !
- C’est sûr.
Et le soir dans nos duvets, c’est branlette sur branlette en pensant à leurs cuisses et leurs culottes !

Les jours suivants se ressemblent, je flirte avec Carine, mais je comprends très vite qu’elle ne m’ouvrira pas les cuisses. Les dames sont toujours là, mais elles ne montrent rien de plus, on s’est fait des idées. Toutefois, un soir où nous rentrons vers leur maison, la mère de ma conquête me demande si nous sommes déjà allés sur une plage voisine, beaucoup plus sauvage. Nous répondons que non. Elles nous expliquent que comme elles n’ont pas de voiture cette année, elles n’y sont pas encore allées, mais que c’est vraiment chouette. Pourquoi pas, mais je précise que ma 2 CV n’a que ‘ 4 places. Et là, mon pote dit que bof, il restera sur notre plage habituelle. Il ne veut pas tenir la chandelle toute l’après midi quoi.

Le lendemain, journée plage avec pique-nique, maman et tantine ont tout prévu, je n’ai juste qu’à fournir le carrosse. Ca les amuse beaucoup de monter dans une 2 CV orange cabossée. Nous fîmes une quinzaine de kilomètres et nous voilà effectivement sur une très grande plage, avec de belles dunes, peu de monde en effet. On se gare, on marche assez longtemps, je me demande pourquoi elles vont aussi loin. On finit par enfin se poser entre deux dunes. J’étends ma serviette, je repère de belles vagues, cool, on va s’amuser. On y va avec Carine. Lorsque nous revenons, j’ai un choc, les deux belles sœurs m’offrent une vision de leur cul magnifique ! Je suis déstabilisé. Carine me précise alors :
- On ne t’a pas dit hier, mais ici, on peut faire du naturisme. Après, tu n’es pas obligé.
Et la voilà qui se retrouve elle aussi à poil. Je garde mon maillot, d’autant plus que j’ai la queue raide, je dois faire un trou dans le sable pour ne pas qu’elle me fasse mal. A ce moment là, la tante se retourne et me demande si ça me gêne.
- Heu non, vous faîtes comme vous avez envie.
Et j’ai une vue directe sur sa chatte, elle a écarté légèrement les jambes, sa toison n’est pas très fournie et on distingue clairement les lèvres de son sexe, on peut même voir le rose clair de l’intérieur. Ouf, j’ai chaud, très chaud. Elle a aussi de beaux seins assez lourds qui donnent très envie. La mère de Carine a une toison très fournie, de beaux seins aussi, et un cul somptueux. La journée va être longue. Carine sort un album de jeux d’été et commence à s’occuper. ¨Pour ma part, j’ai amené un livre, mais je ne peux m’empêcher de regarder les deux créatures que j’ai au-dessus de moi. La tante me regarde, me sourit, elle se lève et se dirige vers les dunes. Voir son cul balancer est une pure merveille. Carine me dit :
- Je crois qu’elle aimerait bien que tu y ailles avec elle !
- Moi ? Ben pourquoi ?
- Discute pas, vas-y, tu verras bien.
Bon, si elle a besoin de quelque chose, pourquoi elle n’a rien dit ? J’y vais, j’ai mon gland qui dépasse de mon maillot, à l’époque, pas de caleçon de bain, mais des moules-bites bien collants ! Je dépasse une dune, et je tombe sur la tante accroupie en train d’uriner.
- Oh, excusez-moi.
- Pas grave tu sais, c’est naturel.
Elle se relève et regarde vers mon maillot.
- Humm le petit pervers, ça l’excite de voir une femme faire pipi. Tu veux bien me la montrer ?
Je ne bouge pas, je ne parle pas, tétanisé. Elle baisse mon maillot et pose sa main sur ma queue.
- C’est dur dis donc, ah la jeunesse ! Elle est mignonne ta queue, pas très longue, mais bien épaisse, tu as déjà baisé ?
- Heu oui, avec la mère d’une copine !
- Tu apprécies les vieilles alors ! Tant mieux, je vais pouvoir en profiter aussi ! Allonge-toi.
Dès que je suis sur le dos, elle m’emjambe, prend ma queue et la glisse dans sa chatte.
- Hum, ça fait du bien, tu aimes ?
- Oui madame !
- Tu peux m’appeler Cathy.
- Oui Cathy. Vous êtes drôlement belle !
- Vraiment ? Merci.
- Mais je vais venir vite !
- Retiens-toi !
- Je ne peux pas, j’ai trop envie !
- Tant pis
Et je jouis très fort, mais là elle a une bonne surprise.
- Ta queue est toute dure encore ! Bien, comme ça tu vas me faire jouir !
Et elle se caresse tout en allant et venant sur ma bite et au bout de quelques minutes elle donne de grands coups de bassin en feulant de plaisir.
- Merci mon chéri, c’était bon, tu veux jouir encore ?
- Oui j’ai encore envie
- Tu veux comment ?
- Je sais pas.
- Tu vas me prendre en levrette, les hommes aiment tous ça !
Effectivement il ne fallut qu’une trentaine de seconde pour lui remplir le vagin, il faut dire que voir ce cul devant moi était trop excitant ! Elle m’embrassa et nous retournâmes sur la plage.
- Alors, sympa cette petite promenade dans les dunes ?
- Très oui, bien agréable !
Pour ma part je regagne ma serviette en silence. Carine me regarda en souriant.
- Tu sais, je sais très bien que tu as baisé ma tante.
- Pardon, heu je…
- C’est pour ça qu’on est venu ici figure-toi ! Il y a toujours des jeunes qui veulent baiser des vieilles sur cette plage, c’est connu, elles se mettent à poil, c’est un peu le signal.
- Et ça ne te fait rien ?
- On vient ici tous les ans, j’ai l’habitude et tu plais à ma tante, alors…
- Et son mari ?
- Il le sait, t’inquiète pas, on est une famille …libre, mais moi je ne coucherai pas avant 16 ans, c’est comme ça, c’est dommage parce que tu me plais bien.
Cathy se lève et se dirige vers la mer.
- Je vais un peu faire le ménage là-dedans, dit-elle en désignant sa chatte.
Je me sens penaud et je me fais tout petit. Elle est rejointe par la mère de Carine.
- Elles sont belles toutes les deux, hein ?
- Ah oui, canons !
- Et ta mère, ça ne la choque pas ?
- Tu rigoles ! Elle aussi elle se fait baiser par des jeunes sur cette plage ! Je pense que cet après midi, tu vas y passer !
- Tu crois ?
- Ben oui andouille, t’es vraiment naïf ! T’as pas envie de la sauter ?
- Heu si, mais toi…
- Ne t’inquiète pas pour moi, ça ne me gêne pas.
- Et ton père sait tout ça ?
- Oui, mais il est vieux et il bosse tout le temps, comme ça il a une femme épanouie à la maison, c’est ce qu’il dit toujours !
Avec le recul, c’était ma première rencontre avec le candaulisme, une chose que je n’aurai jamais imaginé possible, qu’un mari laisse sa femme coucher avec d’autres hommes. A l’époque ça me paraissait complètement fou, mais depuis j’ai changé d’avis…
Et comme prévu, après le pique-nique où je réussis enfin à enlever mon maillot, j’eu le droit de baiser maman avec même un petit coup de main de Cathy. C’est là qu’elles me dirent qu’elles étaient déçues que mon copain ne soit pas venu, car une seule queue, même vigoureuse, ça en laissait toujours une vide ! De vraies salopes, mais elles en parlaient avec un naturel dont je remarquai plus tard étaient capables les femmes d’expérience pour qui le sexe était la plus normale qui soit.Ce qui est dommage aussi, ce que ce fut une aventure sans lendemain, elles partaient deux jours plus tard. Grand souvenir, bien que j’aurai bien aimé pouvoir profiter d’elles encore !

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