Trail En Famille. 4
Petite balade en montagne.4
(Ces événements se sont déroulés dans le beau département du Jura.)
Comme tous les ans je vais encore passer les vacances de la Toussaint chez mes grands parents avec toute la Grande famille.
-Bon, je crois que ça suffira pour la première fois, jette Julie, mais il va falloir que tu mettes un peu plus du tiens la prochaine fois. Et on a encore des choses à te faire découvrir
..
Suite.
Après de telles dépenses dénergie, nous avons dormi comme des marmottes, notre loir entre nous devant le feu qui cest éteint tout doucement pendant la nuit.
Et comme ça commence à devenir une habitude, inconsciemment nous nous sommes serrés les un(e)s contre les autres pour nous tenir chaud et au petit matin nous formions un tableau digne de Rubens : Les trois nymphes encerclant de leurs bras un jeune faune au sexe gonflé.
Bien-sûr ! On aurait pu reprendre les choses là où elles sétaient arrêtées. Mais un reste de mauvaise conscience et de principes nous ont retenus. Quavons-nous fait cette nuit ? Une véritable orgie entre cousins !
Nous avons passé la journée à vaquer aux diverses tâches de la vie en groupe et à faire une petite balade autour du chalet, histoire que Charles recharge bien ses batteries et quil imprime bien ce quil a vécu hier. Et jespère que cette fois, il sera un peu plus actif. Nous avons aussi récupéré nos petites affaires que tante Claire nous a amené à midi.
Quand le moment tant attendu est enfin venu, cest à qui aura un gage pour la lenteur de leffeuillage. En moins de temps quil men a fallu pour taper cette phrase, nous nous retrouvons tous les quatre en tenue de combat, c'est-à-dire à poil.
Julie prend aussitôt la direction des choses :
-Tu sais ce qui tattends, Charles, une bonne séance de rasage ! Mais pour faciliter la chose, il serait préférable que ce tuyau mou se transforme en un beau gourdin bien raide.
Pendant quelle parlait, ses mains avaient commencé le travail préparatoire en astiquant son poireau.
La réaction est beaucoup plus rapide quhier soir et de nouveau devant nos yeux, la croissance exponentielle a fait de ce zizi sans intérêt un champignon trop vite monté avec son énorme chapeau.
-Annie. Passe-moi la crème épilatoire pour ses bourses pendant quAnya mettra de la crème à raser sur son bas-ventre et sa tige !
Toutes heureuses de participer, nous nous employons avec ardeur à appliquer nos produits.
-Annie ! Reprend Julie, masse avec plus de vigueur ses couilles pour bien faire pénétrer et toi Anya, nen profite pas trop pour le branler ! Bien. En attendant que la lotion agisse, je vais commencer par le raser.
Elle sort alors un rasoir jetable de sa trousse de toilette et sattèle à la tâche. Elle tient dans sa main gauche le gland trigonocéphale et dun geste sûr, remonte du bas en haut loutil tranchant sur la peau délicate. Charles nen mène pas large et un rictus déforme sa bouche.
Mais comme si elle avait fait ça toute sa vie, elle accomplit son travail sans coup-férir à pars deux gouttes de sang qui coulent avec lenteur le long de la hampe. Elle les fait disparaître dun coup de langue avant de finir son travail en mettant à nu la peau de son bas-ventre.
-Passe-moi leau de Cologne Annie.
Elle sen enduit copieusement les mains et frotte vigoureusement lépée tendue. Charles se met à hurler sous le feu de lalcool qui irrite violement sa peau à vif. Quand enfin il se calme, elle recommence avec lentre cuisse, il hurle à nouveau.
-Petite nature, va !
Elle applique ensuite de ladhésif sur ses couilles quelle arrache avec vigueur déclenchant encore des hurlements de protestation et de douleur du supplicié.
-Cest finit mon prince. Maintenant je vais pouvoir te sucer le nud et te bouffer les couilles sans avaler tes poils !
Il na pas le temps de répondre quelle enfourne le gland turgescent pour une turlute.
Elle lève les yeux vers lui. Il halète doucement, regardant la bouche aux lèvres arrondies sur son gros dard
.
-Ooooh Julie! Que cest bon ! Cest la première fois que
.
Sa première pipe ? Mmmmh ! Ça lexcite encore plus. Elle le pompe goulûment, lui faisant goûter les délices de sa langue qui enrobe le gland, titille le frein.
- Jai envie de ton sperme mon chéri ! Murmure-t-elle avant de le reprendre en bouche
..
Annie cest allongée contre Charles appuyé sur ses avant-bras qui regarde, la bouche ouverte, ce gamahuchage.
Il est toujours aussi amorphe et elle doit le forcer à soccuper delle, lui donnant à téter lun de ses seins. Il se réveille soudain et soccupe de lui donner du plaisir, nous ignorant comme si rien dextraordinaire ne se passait au niveau de sa queue.
Julie ma abandonné la flamberge pour soccuper de ses ufs, elle les gobe lun après lautre tirant ensuite sur les bourses qui les contiennent.
Je vais enfin pouvoir me donner à fond sur cette trique phénoménale, y allant de rapides va-et-vient de mes doigts sur son fût et de coups de langues vigoureux. Jessaie de battre le record de Julie mais fais guère mieux car son gland si gros mobstrue les bronches. Cest à peine sil réagit plus, pris par les rondeurs dAnnie.
Nous continuons notre travail dinitiatrices en le pompant à deux bouches, mais le minet se montre à peine plus réceptif.
Dégoutée, je jette à Annie :
-Viens dépuceler ta bouche sur son nud ! Et jespère que tu auras plus de succès que nous deux !
Elle séchappe de ses caresses et vient prendre notre place. Elle approche résolument une main vers sa bite, att sa queue et la palpe carrément en le regardant bien droit dans les yeux.
- Quel engin!!! Sextasie-t-elle.
Tenant le sexe dune main elle le met sur ses lèvres pour pratiquer la première pipe de sa vie.
Elle promène le paf sur ses joues, soupèse ses couilles, et donne de petits baisers le long de la hampe très douce.
Son cur bat comme il na pas battu depuis longtemps
. Elle effleure de la pointe de la langue le bout du gland
Charles a un léger sursaut et ouvre encore plus le compas de ses cuisses, gémissant quand elle décalotte de ses lèvres à peine desserrées le gland mafflu en sexclamant :
-Du vrai satin !....Cest chaud, dur et pourtant si doux !
Sa main va chercher les jolies couilles quelle griffe suavement du bout des doigts.
Je me suis blottie contre lui et me penche vers son oreille pour lui murmurer :
- Embrasse-moi !
Dans un souffle, il mattire par les seins, jai mes bras à son cou, et sa bouche sur la mienne, son baiser est maladroit mais voluptueux. Sa bouche est fraîche et je glisse sa main entre mes cuisses que jemprisonne.
Il me fait haleter mais jen veux plus. Il me regarde inquiet, un peu affolé quand je chevauche sa tête pour quil me fasse un cunnilingus.
Il a retenu la leçon dhier. Jagrippe ses cheveux en criant sous sa langue fouisseuse qui na aucun mal à aller partout, virevoltante de mon clito affolé à ma petite chatte qui jute abondamment. Il me boit, il boit mon jus
.Ses lèvres douces tètent mon clito, sa bouche aspire ma liqueur.
Je bascule en arrière et hurle, mes cuisses refermées lempêchant de respirer, je jouis, je jooouuuiiisss !
Mes spasmes me font retomber sur le lit. Il ma surprise, je lavoue par ses progrès si rapides.
Mes muscles tétanisés, presque douloureux, le cur battant, je le félicite après un instant déternité :
- Toi alors ! Tu apprends vite !
Et je lembrasse fougueusement. Mmmmh !
Pendant ce temps, la langue dAnnie finit lexploration du gland, crache dessus avant de le prendre en bouche pendant que ses mains montent et descendent lascivement le long de la hampe toute raide.
Les yeux brillants de plaisir, elle sactive de plus en plus énergiquement sur sa tige encore à vif par lalcool et le rasoir.
Il gémit et tire sur ses cheveux en la suppliant de se calmer mais elle nen a cure et accélère son pompage.
Maintenant quelle a fait connaissance de sa queue, elle reprend possession de son gland et descend lentement le long de ce pieu de chair de plus en plus loin, elle dépasse la marque de Julie puis élimine mon record avant de le recracher pour reprendre son souffle.
Elle nous regarde dun air de défi avant de repartir pour une deuxième tentative et arrive à se lintroduire en entier. Elle a réussit à tout le prendre dans sa bouche, cest un record qui sera difficile à battre.
Elle remonte le long de sa tige dacier et accélère ses va-vient. Charles soupire de plus en plus, essayant de retenir la tête dAnnie pour reculer linstant fatidique mais il ny tient plus:
-Arrête Annie, je vais jouir, tu es une diablesse ! Cest trop booonnn!
Elle continue à le pomper. Ça le rend tellement fou quil attire violement la tête dAnnie sur son bas-ventre. Elle ne peut rien y faire et ne tarde pas à recevoir le fruit de ses efforts au plus profond de sa gorge.
La liqueur chaude doit sécouler directement dans sa trachée.
On le force à la relâcher. Il est allé si loin quAnnie a des haut-le-cur avant de vomir tripes et boyaux et de reprendre difficilement sa respiration.
Julie le sermonne :
-Quest ce que tu voulais faire ? La faire mourir d sur ta queue ? Tu as de la chance quelle ne tait pas mordu ! Et toi Annie ! Pour une néophyte, tu te poses là ! Tu voulais nous impressionner, et bien cest réussit, mais tu as manqué y laisser ta peau !
-Bon les filles ! Dis-je en minterposant, on va en rester là pour ce soir. Mais il y a encore une chose quil na pas testé, on va garder ça pour demain sil y a des volontaires dans la gente féminine. Une petite toilette et au lit !
Pendant quAnnie récupère et que Julie élimine les débordements sur le sol, moi je moccupe de nettoyer une dernière fois le poireau de Charles avec ma bouche en pensant que pour la deuxième fois, cest encore Annie qui a décroché le pompon.
(A suivre)
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