La Kiné 8

Je suis subjugué par le corps de Zoé. Son teint est légèrement halé, ses hanches bien dessinées, deux belles courbes, ses jambes fines et musclées à la fois... Et son pubis! Je suis en admiration devant son large triangle de poils très fourni... Il faut dire que je suis parfaitement positionné, à 4 pattes à 50 cm d'elle, la tête légèrement relevée.
Magalie nous a suivi, elle se tient droite dans l'encadrement de la porte restée ouverte.
Zoé s'assoit sur la lunette des WC et écarte légèrement les jambes, Je suis comme hypnotisé par la beauté de ses cuisses et sa chatte touffue, je me sens privilégié de pouvoir ainsi découvrir sa nudité et je réalise que la jeune kiné va faire pipi devant moi, là, sans aucune pudeur. Cela ne fait que renforcer mon sentiment d'admiration pour cette jeune femme autoritaire...

Zoé me sourit comme si elle devinait mes pensées. Ou alors est-ce peut-être ma position de soumission qui l'a fait sourire...
Le bruit distinctif du jet d'urine se fait entendre. Je me sens gêné d'assister à cet acte intime.
Depuis ma 1ère rencontre avec Zoé chez Valérie, je vis décidément une succession de situations inédites... Voilà que je suis nu, à 4 pattes, un string serré dans une main, devant une jeune femme qui se soulage la vessie devant moi et une autre qui surveille la scène de toute sa hauteur...

Magalie m'ordonne de rester face à Zoé et de me mettre à genoux. Zoé a fini de faire pipi, elle soulève un peu son fessier et s'apprête à prendre du papier mais son amie la stoppe en disant: C'est Alex qui va t'essuyer... Et pas avec du papier... Avec son string de salope!
Zoé sourit tandis que moi je secoue un instant le string pour le débarrasser de la poussière qui a pu s'y déposer. La jeune kiné ne bouge pas, ses fesses sont toujours décollées de la lunette et j'observe les muscles saillants de ses cuisses. Je tamponne délicatement son entrejambe avec le string noir.

Magalie intervient: Applique toi salope! Prends soin de ta Princesse! Essuie là bien.


Je prolonge consciencieusement l'essuyage de la jolie chatte poilue de Zoé...
Magalie: C'est bien, maintenant tu te le fourres dans la bouche!
Je lève alors les yeux vers ma kiné mais celle-ci ne prête plus attention à moi. Elle se redresse, m'esquive, récupère sa blouse posée sur le lavabo et sort des toilettes.

Ma Maîtresse juge que je ne lui obéis pas assez vite alors alors elle m'arrache de la main le string imbibé de pisse et me le frotte sur mon visage avant de me forcer à ouvrir ma bouche pour l'y enfoncer. Je me sens terriblement humilié mais je reste sans révolte, vaincu d'avance par cette géante blonde.

Magalie se place alors devant la cuvette des WC et baisse son tanga doucement me laissant découvrir peu à peu sa chatte d'une blondeur absolue mais surtout d'une épaisseur jamais vue auparavant... Sa chatte est impressionnante tant elle est touffue! C'est un large triangle de poils blonds et bouclés... Un épais gazon!

Magalie: Et oui! Toi tu es lisse de partout... Comme une bonne petite lopette!
Puis elle s'assoie et fait pipi devant moi comme l'avait fait son amie.
Au moment où son jet d'urine devient moins fort elle retire de ma bouche le string pour le placer sous sa vulve et ainsi l'inonder de sa pisse.
Dès qu'elle a fini, elle me présente le string noir dégoulinant et m'ordonne: Tu as le droit de l'essorer un peu puis tu l'enfiles et tu rentres comme ça chez toi! Je veux que ta petite bite et ton joli cul de lopette baignent bien dans la pisse de ta Maîtresse!
Pendant que je saisis le string elle s'essuie rapidement se lève, ajuste son tanga puis va se laver les mains.
Magalie me surveille dans le reflet du miroir. J'obéis à ses instructions, je la vois sourire quand j'enfile le string trempé de pisse.
Elle: T'es vraiment une cochonne, tu pues la pisse!
Moi honteux je n'ose la regarder. Elle ricane puis sort des toilettes.


Zoé si elle n'a rien vu de la scène a tout entendu et se moque de moi quand je passe devant elle pour récupérer mes affaires et me rhabiller: Tu as remercié ta Maîtresse pour ce beau cadeau qu'elle t'a fait?

Le trajet pour rentrer chez moi est des plus inconfortable.
Je sens que le string imbibé de pisse imprègne mon pantalon, mes fesses mouillées commencent à coller au cuir du siège.
Je repense à ce début de soirée passé au cabinet de ma kiné, à ces nouvelles humiliations, à Magalie... Je ne connais cette jeune femme que depuis quelques heures et je dois l'appeler "Maîtresse"? Jamais Zoé n'a usé de ce vocabulaire avec moi... Je me demande quel rôle exact joue la jeune kiné. M'a t'elle purement et simplement OFFERT à son amie!?

Le lendemain aucune nouvelle des 2 jeunes femmes. Ma journée à l'agence se passe normalement hormis l'attitude d'Edwige que je trouve plus distante et moins attentionnée...
De mon côté, sur mon lieu de travail je veille à rester cet homme directif et autoritaire, sûr de lui, conforme à mon statut de directeur.

Un fait inhabituel se produit le vendredi. Alors que toute l'équipe de l'agence est présente en salle de réunion le téléphone d'Edwige sonne. Je m'apprête à la sermonner d'avoir omis d'éteindre son mobile quand elle me coupe la parole net et d'un ton sec rétorque: Tu permets! C'est Zoé! Et elle se lève et quitte la réunion.

Toute l'assemblée semble choquée par l'aplomb et le sans gêne de leur collègue. Marie la secrétaire et Chloé la jeune stagiaire se regardent d'un air ahuri alors que Céline la 2ème commerciale se tourne vers moi pour sonder ma réaction. Moi je suis justement SANS réaction. Je suis tétanisé! Qu'est-ce que Zoé peut bien avoir à dire de si important à ma collaboratrice et surtout qu'est-ce qui peut expliquer l'attitude provocatrice et irrespectueuse de cette dernière!? Qui plus est en pleine réunion! Devant tout le monde!

Je reprends tant bien que mal le déroulé de la réunion en l'absence d'Edwige. 10 bonnes minutes après elle revient, s'installe à sa place comme si de rien était mais en me toisant d'un regard froid. Déstabilisé je finis par baisser les yeux devant ma subalterne et je suis effrayé de constater que Céline a remarqué la faiblesse de mon attitude.


La réunion s'achève. Tout le monde s'attend à ce que je convoque Edwige dans mon bureau mais je n'en fais rien. Le reste de la journée se passe normalement, je suis accaparé par mes affaires en cours mais l'attitude froide et hautaine d'Edwige ne cesse de me tourmenter. J'hésite à appeler Zoé pour être éclairé sur son coup de fil mais cette idée m'effraie. Bien-sûr les 2 femmes ont fait connaissance au restaurant l'autre jour mais je ne pensais pas qu'elles avaient sympathisé au point d'échanger leurs numéros de téléphone...

Il est 19h, il ne reste plus que Céline, Edwige et moi à l'agence. J'ai kiné à 20h et je souhaite passer chez moi avant de m'y rendre donc je décide de quitter les lieux. Je salue mes collaboratrices à distance et rejoint mon véhicule sur le parking. Mon domicile se trouve à 1/4 d'heure de mon bureau, à peine ai-je franchi le seuil de ma porte que mon téléphone sonne. C'est Edwige, je décroche.
Elle: Tu n'as pas kiné ce soir Alex, Zoé m'a appelé tout à l'heure pour me le dire.
Moi: Ah bon?! C'était ça son coup de fil!!!??? Mais c'est du grand n'importe quoi!!! Pourquoi elle t'appelle toi pour te dire ça!!!
Elle: Alors d'abords tu baisses d'un ton! Et ensuite tu rappliques de suite à l'agence!
Je suis schotché par son aplomb et son ton autoritaire: Mais ça va pas Edwige?! Qu'est-ce qui te prend pour me parler sur ce ton???!!!
Elle: Je te parle sur le ton qu'il convient d'employer avec une lopette! Et si tu ne veux pas que Céline soit au courant tu as intérêt à fermer ta gueule et à rappliquer illico!

J'ai l'impression que le ciel me tombe sur la tête, ma collaboratrice la plus proche vient de me traiter de lopette... Je suis sans voix, mon smartphone collé au visage, comme inanimé...
Elle autoritaire: Tu as compris?! Ou tu préfères que je montre la photo de ta petite bite à Céline?!
Moi suppliant: Non... Je t'en prie Ed... Ne fais pas ça...
Elle sur un ton affirmatif: Tu es chez toi là?
Moi timidement: Oui.

Elle: Tu passais chez toi récupérer ton string j'imagine!?


Je suis pétrifié, je n'ose pas répondre, je comprends alors que Zoé lui a divulgué beaucoup d'informations compromettantes et plus qu'embarrassantes à mon sujet...
Edwige enchaine: Bref! Dépêche d'enfiler ton string petite pédale! Je t'attends!

La honte me submerge, je vis un véritable cauchemar. Ma collaboratrice, une femme de 44 ans, cultivée, classe, qui s'exprime toujours dans un langage très polissé et avec douceur et prévenance, s'adresse à moi de manière méprisante et vulgaire. Je ne la reconnais plus, la peur et l'angoisse me tenaillent. Et si Zoé lui avait tout dit?! Et tout montré?! Ces photos et vidéos hards et obcènes?!

Paradoxalement je sens aussi une sorte d'excitation m'envahir, je chasse de mon esprit les idées sombres et je monte à ma chambre pour me débarrasser de mon boxer et le remplacer par le petit string noir bordé de fines dentelles.

Je suis de retour sur mon lieu de travail. Sur le parking je suis soulagé de constater que la Fiat 500 de Céline a disparu,  seule la mini noire d'Edwige est présente.
Dès que je pousse la porte de l'agence j'aperçois ma collaboratrice dans mon bureau, confortablement installée dans mon fauteuil. Visiblement elle est au téléphone.

Je m'approche de la porte vitrée, j'hésite à l'ouvrir, je m'étonne moi même de me sentir intimidé.
J'ai peur de rentrer dans mon propre bureau. Edwige devine mon hésitation et me fait signe de rentrer d'un geste autoritaire.

Edwige a interrompu sa communication, elle me regarde droit dans les yeux, pleine d'assurance. Moi évidement je ne me sens pas à l'aise,  je baisse les yeux... D'un ton sec elle me dit de m'asseoir.
Son regard pèse toujours sur moi...
Elle: Tu as raison de baisser la tête... Petite fiotte! J'étais justement au téléphone avec Zoé... Tu imagines bien que j'ai une toute autre opinion de toi depuis quelques jours..?
Elle insiste: Tu as de la chance, tu mériterais que Céline soit au courant aussi! Qu'elle sache la petite salope que tu es en secret!
Je relève la tête un instant mais le regard réprobateur de ma collaboratrice me l'interdit...
Edwige continue son monologue: Parce que c'est bien ce que tu es?! Hein?! Une petite salope... Une GROSSE SALOPE même! Qui se fait limer le cul par une gamine de 26 ans! T'as pas honte?!

Edwige ne s'attend pas à une réponse, elle m'ordonne sèchement de la suivre jusqu'à la salle de repos. En chemin elle en profite pour fermer la porte de l'agence à clé.
La salle où nous nous trouvons maintenant n'est pas très grande, une table en bois brut trône au milieu. Edwige exige que je retire les chaises et que je les empile les une sur les autres.
Elle: Alors... Je suis curieuse de voir ta petite bite... Baisse ton pantalon SALOPE!
Je n'ai d'autre choix que d'obéir, je me retrouve donc pantalon aux chevilles, ridicule devant cette collaboratrice qui, quelques jours auparavant, me regardait avec respect et même admiration...

Edwige est à peine à 1 mètre de moi. Ma chemise couvre mon string alors elle s'approche un peu plus et soulève un pan de l'habit.
Son visage s'illumine aussitôt quand elle aperçoit la fine culotte noire bordée de dentelles, elle sourit et s'exclame à mi voix: Oooohhhh... Mais c'est mignon tout plein ça... Il te va à merveille ce string...
Elle ajoute d'une voix douce: Enlève ta chemise que je te vois mieux...
Je suis maintenant torse nu, mes fesses appuyées contre la lourde table rectangulaire sur laquelle sont posées mes mains. Mes bras sont légèrement écartés, mes jambes aussi.

Edwige caresse doucement mes hanches avec ses 2 mains puis réajuste mon string.
Elle: T'es une belle petite lopette...
Ma collaboratrice passe maintenant sa main droite sur mon sexe par dessus le string puis emprisonne ma petite bite et mes testicules comme si elle voulait soupeser l'ensemble...
Elle en souriant: Ah oui... En effet... C'est tout petit là dedans...
Edwige tient mes couilles et ma minuscule verge au creux de sa main. Ses doigts commencent à serrer, à appuyer comme pour vérifier la petitesse de ma queue et de mes boules.

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