La Kiné 9

Sa main lâche soudain mon bas-ventre. Elle s'écarte de moi, prend un peu de recul et dit: Baisse moi ce string. Non! A mi-cuisses salope!
J'obéis, mon string est baissé à mi cuisses. Je me sens ridicule et humilié, exposé ainsi devant ma collaboratrice...
Edwige rigole, son rire est moqueur, elle s'amuse de la situation...
Elle: La honte! Mais t'as une bite minuscule Alex! C'est à mourir de rire! En plus sans un poil comme ça... Attends on va faire une photo...
Edwige saisit alors son téléphone et fait quelques clichés.
Elle: Prends la avec 2 doigts, comme Zoé t'a appris, allez... Oui, comme ça, c'est bien... Hummmmm une vraie lopette... Voilà ce que tu es! Allez! Montre moi comment tu branles ta petite bite avec 2 doigts... Hummmm... Oui... Branle toi bien...

Je suis sans résistance devant cette femme qui, il y a encore 48 heures me témoignait du respect. A présent elle veut que je me masturbe devant elle, sans retenue.
Elle: Prends du plaisir ma petite pute... Montre moi que t'aimes ça... Oui... Comme ça...
Je m'abandonne au plaisir de mon pouce et mon mon index coulissants sur ma petite verge. Ma tête bascule légèrement en arrière, je ferme mes yeux, la bouche un peu ouverte je commence à gémir doucement... Je pousse mon bassin vers l'avant comme pour mieux exhiber ma minuscule bite et je fléchis mes jambes...

Edwige: Oh oui Alex... Continue... Dis moi que t'es une lopette... Allez, je veux l'entendre...
Moi: Oui... Je suis une lopette...
Edwige: Hummm c'est bien... Ne t'arrête pas, j'appelle Zoé.

Je comprends que Zoé a décroché, Edwige met le haut parleur et annonce: Tu avais raison, j'en ai fait une pute en quelques minutes! Là il se branle devant moi sans aucune gêne... Je suis morte de rire en regardant sa petite bite!
Zoé: Oui, ça m'étonne pas, c'est une vraie pétasse ce mec! N'hésite pas à le traiter comme il se doit...
Edwige: Tu as reçu la photo?
Zoé: Oui, je suis avec Magalie là, on a éclaté de rire en voyant ça! Tu devrais l'obliger à venir en string au travail tous les jours à partir de maintenant!
Mon employée rit et j'entends rire également Zoé dans le haut parleur.



Zoé: Est-ce qu'il entend là?
Edwige: Oui j'ai mis le haut parleur.
Zoé s'adresse alors à moi: Alex, je t'avais prévenu que je ne tolèrerais plus tes attitudes autoritaires. Edwige m'informe de tout ce qui se passe à l'agence et hier et aujourd'hui  tu as manqué de respect à chacune de tes collaboratrices! Je t'avais prévenu que je serai sans complaisance sur ce point! Tu dois te montrer humble, réservé et serviable avec toutes les femmes, de tout âge! Et en toute circonstance!
Pendant que Zoé énumère ses griefs envers moi Edwige me regarde sévèrement. Bien-sûr j'ai arrêté de me masturber.
Zoé: Je t'avais promis la pire des humiliations, c'est fait! J'ai montré à Edwige toutes tes photos et tes vidéos... Elle sait quelle belle salope tu es en réalité! Tu es prévenu, à la prochaine incartade c'est une autre de tes collaboratrices qui sera informée! Tiens toi à carreaux Alex! Tu n'es qu'une pute soumise! Une misérable fiotte! Alors tu te comportes comme telle! Tu n'as ni ordre ni directive à donner! Tu es inférieur à toutes les femmes! C'est toi le subalterne! A partir d'aujourd'hui tu obéis au doigt et à l'oeil à Edwige! Elle t'expliquera tout...
Sur ces mots la communication coupe net. Edwige pose son téléphone sur le réfrigérateur.

La gêne a repris le dessus. Je tente de remonter mon string mais Edwige intervient pour me l'interdire et déclare: Ta punition n'est pas terminée ma petite pute... Tu gardes ton string baissé et tu te tourne pour me présenter ton cul à présent!
J'obéis à ma collaboratrice.
Elle: Prends appui sur la table est penche toi un peu, écarte un peu les jambes.
Edwige passe sur le côté, elle ouvre un tiroir du meuble de cuisine et le fouille bruyamment.
Ah! Dis t'elle en sortant une large cuillère en bois qu'elle me présente fièrement en annonçant: Je vais te punir avec ça connasse! Je vais te faire passer l'envie de donner des ordres moi!

Je regarde ahuri et effrayé ma collaboratrice de 37 ans, cette mère de famille chic et raffinée totalement métamorphosée dans cette attitude dominante.
Elle brandit devant mes yeux cette cuillère en bois! Moi, soumis je ne bouge pas, mes mains serrent les 2 côtés de la large table, mon buste et penché, mes fesses présentées comme l'a exigé Edwige.

Mon regard est suppliant: Edwige... Pas ça... Je t'en prie... Non... S'il te plait... Je te promets, je ne recommencerai plus...
Elle: Bien-sûr que tu ne recommenceras plus! Tu vas prendre 100 coups sur chaque fesse! Ça va te faire passer l'envie de recommencer! C'est sûr!
Edwige contourne alors la table et se place derrière moi. J'entends ses pieds frotter le sol, elle cherche la meilleure position pour donner ses coups.

Edwige: Bien! Je vais commencer! Je vais t'administrer 10 coups sur ta fesse gauche puis 10 coups sur ta fesse droite! Tu restes bien dans cette position! Je te conseille de bien t'agripper à la table! C'est une véritable correction que tu vas recevoir! Le but étant que tu sois totalement soumis et résigné après cette punition! Tu as bien compris?!
Moi: Oui Edwige... Mais je t'en pris... Pas trop fort...

Tchac! Je reçois le 1er coup. La douleur est vive mais supportable. Arrivent alors les suivants.
Tchac! Tchac! Tchac! Les coups sont espacés d'environ 2 à 3 secondes. Tchac! Tchac! Tchac!
Les coups de cuillère se succèdent et la douleur augmente. Tchac! Tchac! Tchac! J'ai mal, j'émets un premier cri au 10ème coup: Han.

Edwige: C'est dommage d'abîmer un joli p'ti cul comme le tien... Mais nécessaire!
Ma collaboratrice enchaine aussitôt la série de 10 coups sur ma fesse droite. J'en suis presque heureux car la répétition des coups sur la 1ère fesse me faisait déjà souffrir...
Edwige est méthodique dans l'administration de sa fessée, les coups d'intensité égale ainsi que la cadence. Alors que cette série s'achève et que je grimace de douleur, l'idée que ma tortionnaire s'est entraîné à donner la fessée m'effleure l'esprit...

Tchac! Tchac! Tchac! Les coups pleuvent sur mes fesses meurtries.
Je crie maintenant à chaque coup reçu, je souffre atrocement. Je m'agrippe à la table le plus possible, j'ai l'impression de planter mes ongles dans le bois! Je ne peux m'empêcher de tordre mes fesses d'un côté et de l'autre dès que la cuillère de bois s'abat sur la fesse visée. Je crie de plus en plus fort après chaque coup, je perds toute lucidité, quand cette sévère punition s'arrêtera t'elle?

Parfois, en exprimant ma douleur, je prononce aussi le prénom d'Edwige en signe de supplication mais cette  dernière reste sourde à ma détresse et à mes plaintes. Elle continue de m'infliger son châtiment avec application et fermeté.
Je n'en peux plus, j'ai trop mal, les coups qui se répètent sur mes fesses meurtries sont maintenant insupportables! Je supplie cette femme qui auparavant m'avait toujours témoigné du respect et même de l'amitié: Edwige je t'en prie... Je n'en peux plus... Han. Arrête. Han. Pitié.

Les coups continuent de pleuvoir, la douleur est intense, intenable. Je craque, je commence à sangloter. Mes cris de douleur se mélangent à mes sanglots, à mes plaintes. Je suis un homme brisé, anéanti, perdu... Je pleure comme un devant cette femme qui a désormais pris le pouvoir.

Soudain les coups s'arrêtent. Je continue de sangloter, le torse et le visage collés à la table, mes mains toujours cramponnées aux rebords.
Edwige d'un ton calme: C'est bien ma petite pute... Je crois que tu commences à comprendre...
Mais la punition n'est pas terminée ma chérie...
Moi reprenant peu à peu mes esprits: Je t'en prie Edwige... La douleur est atroce... J'ai cru m'évanouir... Je n'en peux plus...
Et je termine par de nouveaux sanglots...
Edwige comprends que je suis à bout, sa voix est douce: Ecoute il n'est pas question d'abréger ta punition. Ce serait t'envoyer un mauvais signal pour la suite. Si je veux que tu deviennes une bonne petite salope obéissante il faut que je sois ferme avec toi... C'est vrai que ton cul est dans un sale état.
.. Il est bien marqué...

Cela fait plus d'une minute que la punition a cessé mais je reste en position. Edwige me dit qu'il reste 3 séries de 10 coups à me donner. Elle passe à gauche de la table et saisit une chaise qu'elle pose derrière moi.
Elle: Bon c'est vrai que cette cuillère en bois t'a meurtri les fesses exagérément... redresse toi et retourne toi petite salope.
J'obéis. Edwige se tient fièrement derrière le dossier de la chaise qui se trouve à 1 mètre de moi. Elle me dévisage: Essuie tes larmes petite fiotte! Prends une serviette!
Je satisfais à sa demande,  je trouve une serviette de table dans un des tiroirs du meuble de cuisine et me tamponne les yeux et les joues avec...
Elle: Passe la serviette sous l'eau et essore la.

Pendant que je continue à suivre ses instructions je vois ma belle employée enlever son pantalon. C'est un pantalon noir à pinces, ample. Elle le positionne délicatement sur le dossier de la chaise. Je suis alors étonné de la voir ainsi devant moi... escarpins à talons hauts, tanga noir en dentelle et chemisier blanc très élégant...
Elle s'assied sur la chaise et tend sa main pour que je lui donne la serviette humidifiée par mes soins puis déclare: Tu vas te positionner en travers de mes genoux... Comme une pétasse qui n'a pas été sage... Voilà, prends appui avec tes mains sur le sol et garde les jambes serrées...

Je me retrouve alors dans une des positions les plus humiliantes, allongé, nu, sur les genoux de ma collaboratrice. Heureusement c'est un instant de réconfort qui suit. Edwige applique sur mes fesses meurtries le linge mouillé... J'exprime ma satisfaction par un long soupir de soulagement...
Edwige: Ne te réjouis pas trop vite lopette... Après le réconfort ta punition reprend!
Moi: Pas la cuillère Edwige je t'en prie... Ça fait trop mal...
Elle: Ne t'inquiète pas, tu recevras tes 30 derniers coups à main nue. Rien ne vaut une bonne fessée classique!
Edwige pose ses mains doucement sur mes fesses par dessus la serviette afin de les masser légèrement pour atténuer les marques et la douleur. Cela fait maintenant plusieurs minutes que je n'ai plus reçu de coups et je me sens mieux.
Edwige retire la serviette: Hummmm je sens ta petite bite de lopette contre mes cuisses... Et elle ricane doucement...

Ma tortionnaire reprend alors sa besogne et sa main s'abat sur ma fesse droite. Pour la 1ère fois elle joint à l'acte la parole: Tiens petite pute! Clac! Prends ça! Clac! Je vais te dresser moi! Clac! Sale pute! Clac! Trainée! Clac! Je vais t'apprendre à obéir! Clac! Connasse! Clac! Pétasse! CLAC!
Au fur et à mesure que les insultes fusent Edwige claque ma fesse de plus en plus fort! Je crie, j'ai mal, ces coups ravivent les douleurs précédentes!
Edwige prend plus de plaisir à me punir ainsi. A main nue! Moi en travers de ses genoux! Comme un que l'on corrige... Elle me rabaisse, m'humilie, me frappe durement.
La fessée se poursuit, la douleur s'intensifie. Edwige veut que j'accepte toutes ses insultes en les  répétant après chaque claque. Si je ne répète pas assez vite ou si je me trompe la claque est plus forte! Magistrale!

Je n'en peux plus, j'accepte tout: Oui je suis une salope! Une pute obéissante! Oui j'ai compris!
Enfin les claques s'arrêtent. Je sanglote à nouveau...
Edwige, au paroxysme de sa domination me demande de la remercier.  Mes mots sont brouillés par mes sanglots mais ma fesseuse est satisfaite: C'est bien Alex... Tu as eu ce que tu méritais... A toi de retenir la leçon à présent. Allez, relève toi et penche toi à nouveau sur la table...
Je reste scotché sur les cuisses de mon employée, mes pleures et mes supplications reprennent: Edwige... Je t'en prie... Arrête... Je n'en peux plus... Pitié...
Elle d'une voix moqueuse: Mais qu'est-ce que tu vas imaginer idiote... Ta punition est terminée... Et vu l'état de ton cul ce ne serait pas raisonnable de continuer! Allez lève toi!
Je me redresse péniblement, mes fesses me font terriblement souffrir, j'ai l'impression qu'elles sont en feu. Je me positionne comme ma collaboratrice me l'a ordonné.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!