La Star 4

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Patricia baisse les bras face à son ami Mamadou si sûr de lui. Elle voudrait protéger l'avenir compromis:

- Tu n’as pas compris, j’aime Serge. Avec toi, je fais mon travail, pas l’amour. Les gestes de l'amour, peut-être, mais je ne suis pas amoureuse de toi. Tu es le meilleur au studio. Si tu m’aimes vraiment comme tu le prétends, aide-moi à sortir de cette horrible prison.

-Tu es vraiment folle à lier. Je t’offre le paradis, mon amour, la maison de tes rêves, un travail garanti en deuxième job. Je t’ai dit ce qui va t’arriver si tu n’as pas un allié puissant mais tu continues à croire à tort que ton Serge pardonnera et te gardera. Quand il aura en main les preuves de ta trahison, il ne voudra plus te voir. Trouvons un arrangement, tu gardes Serge trois jours par semaine et tu es à moi les autres jours

- Va-t-en, je suis trop malheureuse.

- Tu me congédies, moi ton soutien ? Tu m’as fait perdre mon temps, je me suis abaissé à ton niveau de putain et tu te permets de me renvoyer comme un laquais.

L’étalon perd son sang froid son vernis de bonne éducation et le ton doucereux de.sa voix. Le ton monte, sefait menaçant, l'abruti éructe :


- Espèce de gourde, trou à bites, tu vas me payer ton audace imbécile, ici et maintenant. Je vais te baiser pour une fois sans témoin. Tu vas t’en prendre plein le con et plein le cul. Tu vas hurler de bonheur. Mais d’abord, avant tout je vais te foutre la raclée que tu mérites.

- C’est ça ton grand amour! Je m’en doutais. Tu dois être le meilleur pourvoyeur de trottoirs.

- Ferme-la, connasse où je t’écrase Allez conduis-moi à ton plumard et que ça saute

- Jamais. Si tu as le malheur de me toucher, je porterai plainte pour viol. Mes voisins ont vu ta voiture, un peu de ton sperme te confondra. Déguerpis, si tu ne veux pas que je te dénonce à Claude.

Il a été mon premier petit ami.

- Ca aussi il faudra l’oublier: tu comptes trop sur celui qui t’a enfoncé dans la merde. Ecoute ceci : ce soir, si tu refuses de baiser avec moi ici, tous les copains refuseront d’aller avec toi au salon, on influencera les informaticiens pour qu’ils dévient les appels. Tu n’auras même pas de quoi t’acheter une baguette de pain demain. Une soirée sans appel, est considérée comme une faute grave, c’est un cas de renvoi avec les désagréments déjà énoncés. Tu piges, salope ?

- C’est terrible. J’ai besoin de ce travail, tu sais pourquoi. Ne sois pas vache. L’amour ne se commande pas. Il ne peut pas être le résultat de menaces ou d’une raclée. Mamadou, sur scène j’obéirai à tous tes désirs. Mais respecte mon lit et mon copain. Je ne veux pas le tromper.

- Maintenant et ici, sans préservatif, je te baise et je te fais cadeau d’un petit métis ou nous faisons la grève et nous avertissons ton cocu. Partage-toi entre lui et moi en attendant notre mariage ou tu es finie.

- Mais tu es le roi des salauds. Fous le camp. Je ne veux plus te voir.

-Essaie de me foutre à la porte, grosse pute. Tiens, couchée sur mon genou! Tu pourras montrer ton cul de salope tout violet à ton cornard. Tu lui expliqueras que tu t’es tapé les fesses par terre?

De mon observatoire, j’entends tomber une rafale de claques sonores sur des chairs dénudées. Les protestations stimulent la rage du mâle peu habitué à l’échec. Il redouble de violence, fait comprendre à la naïve sur quel rivage elle a débarqué. Les notions de droit du milieu traversent mieux une peau rouge, ramollie par une fessée appliquée avec force sur les parties charnues. A lui seul, le claquement des grosses mains sur le derrière meurtri me glace le sang. Il suffità la brute en colère de frapper. Les fouets, pinces, griffes sont inutiles. A entendre les appels à la pitié de Patricia, le prof de sport a la main décisive Habituée à mes façons policées, Patricia apprend à ses dépens la différence de manières qui caractérise son nouveau monde.
Elle aperçoit les éléments nécessaires pour faire le bon choix. Si elle a besoin d’une brute sans pitié, elle l’a trouvée, elle est entre ses mains.

- Tu peux gigoter, ça élargit la surface marquée. Ta peau se marbre magnifiquement. Ce soir nous commencerons par une imitation. Je n’aurai aucun mal à faire rougir tes fesses. Tu dois aimer ça, cochonne. Je t’échauffe et après tu seras docile, douce comme un agneau, tendre comme du filet. J’en ai dressé des tordues de ton espèce. Dans dix minutes tu me supplieras de recommencer. Alors, je continue ou tu te soumets?

- Je n’ai guère le choix. Que veux-tu?

- C’est simple, je veux t’aimer, je veux être choisi comme mari, je veux passer un pacte d’exclusivité, je veux favoriser ta carrière, la faire durer, te procurer du fric, la belle vie et surtout te prouver mon amour. En retour, je souhaite recevoir ton amour. Les sentiments viendront avec la pratique et avec l’habitude. Il faut commencer, se donner sans calcul. Si tu te donnes à moi, si tu m’acceptes dans ta maison, dans ton lit, même en te contentant de jouer la comédie de l’amour, nous serons sur la bonne voie pour réaliser nos vœux. Alors je continue ou tu es convaincue de mon amour?

- Bon je veux bien partager mon corps entre toi et Serge, jusqu’à mon mariage. Mais pas mon lit.

- Ce sera la seule fois. C’est une rupture indispensable, tu dois le faire afin de chasser l’idée d’appartenance unique.

- S’il n’y a pas moyen d’y échapper, je me soumets. Mais sois plus doux, s’il te plaît. Je ne vais pas pouvoir me coucher sur le dos pendant des nuits ! Tu rigoles, mais tu m’as réellement mis le cul en feu.

- Tu avais déjà le feu au cul. Profitons-en. L’entrée en matière t’a disposée à un accueil de qualité. Laisse-moi déshabiller la gentille ménagère. Tu m’inspires, j’admire les courbes de ton corps. Il me faut un téton à mâcher. Il faut aussi entretenir le feu sacré. D’un seul coup je peux te mettre deux doigts dans la mouille débordante.


- Attention, tu me mords le sein. Si tu remues tes doigts comme ça, je ne vais pas tarder à jouir.

- Ce sera parfait. Après chaque orgasme tu jouis plus fort. Je veux être ton unique et meilleur baiseur, celui qui te fait jouir le plus souvent et le plus fort. Il serait prudent de protéger ton drap et ton matelas. Ca va juter, je te le promets. Après le plaisir tu seras une fontaine de sperme.

- Mais tu me mords encore. Mes deux seins seront marqués, que diront les internautes. Fais attention.

- Désormais tu seras à moi. Je te marque, ce sera le signe visible de notre union, les couillons devant leur écran seront friands de renseignements sur notre vie intime.

- Tu oublies Serge.

-Celui-là ne compte plus. A-t-il une queue comme la mienne?

- La sienne n’est ni aussi grosse ni aussi longue. Mais ce n’est pas tout.

- Te baise-t-il plus vigoureusement et plus fort que moi? Qui te fait jouir le mieux. Attends, tu n’as pas tout vu. Aujourd’hui c’est notre première fois absolument nus. Nous en reparlerons à midi. A cheval, mon amour. Enfourche mes jambes, ouvre ton sexe et plante-toi sur le mien. La tête de nœud est plus enflée que d’habitude, parce que je suis amoureux et désiré.

- Aie ! Ca pénètre mieux avec le préservatif. Pff, je la sens passer. Je suis pourtant trempée

- Pousse encore un peu et je vais être englouti. Voilà. Ne bouge plus. Est-ce que ce n’est pas fameux d’observer les mouvements de la queue au fond du sexe. Je donne des coups sur place. Tu les sens?

- Ca me fait trembler d’impatience. Je me sens toute chose. C’est vertigineux. Tu es tout au fond, contre la matrice. Que c’est chaud. Je n’y tiens plus, il faut que je remue.

- Non, reste. Je te tiens. Tu vas connaître un orgasme extraordinaire sans bouger. Les pulsations de mon sexe vont suffire à te combler. Attends et déguste cet instant de pur bonheur. Ton copain doit ignorer ce truc si tu ne le connais pas.
Tu vois, la comparaison n’est pas possible ou elle tourne invariablement à mon avantage. Oh! Je pars, je gicle, reste immobile.

-Non, je ne peux plus, je viens, je viens. Lâche mes hanches. Oui, oui.


Pour moi, les choses sont pliées. Pour ne pas perdre cette place, elle s’est soumise aux désirs du costaud. Elle souille la couche commune. Donc, je n’ai pas besoin d’attendre 17 heures, je connais sa réponse, elle va continuer son sale boulot. Elle me laisse tomber pour faire alliance avec Mamadou. Pauvre fille, l’unique amour de ce tringleur professionnel ? A tous les coups il a la prochaine fille en vue. Comment Patricia peut-elle croire ou espérer durer longtemps sur la toile? Le premier à la larguer sera Mamadou. Il va l’exploiter, la vider de sa substance et la jeter sur le trottoir. Il lui a décrit toutes les étapes de sa déchéance par le détail. J’espérais la voir fuir. Il lui est même indifférent d’être reconnue. Elle va quitter sa place de caissière pour se consacrer uniquement à ses démonstrations éhontées sur le web. En attendant elle se gave de sperme, crie sa jouissance comme une perdue.

Leur silence correspond à un court temps de récupération. Mamadou reprend la litanie de ses propres louanges et l’énumération de ses qualités. Il fait de l’autosatisfaction et tient absolument à s’autoproclamer le meilleur coup, le meilleur allié et le meilleur futur mari. Il insiste pour obtenir les louanges de Patricia. Trêve de discours, la vérité est dans l’action. Sans égards pour les douleurs de sa partenaire il la culbute et se met à lui coincer son gland énorme à l’entrée du vagin. Les protestations de Pat me renseignent mais ne freinent pas le supplice. Au contraire, il en rit à gorge déployée et la traite de mauviette. Elle devra soigner son caractère et apprendre à juguler les petites douleurs. Ce pouce dans le cul? C’est naturel. Non, il ne griffe pas. C’est une préparation lointaine à la sodomie. Et sans sodomie pas de spectacle réussi. Patricia n’aime pas. Elle apprendra à aimer

-Cesse de te plaindre, de geindre et de discuter toutes les propositions. Tais-toi, sois belle et jouis.

Il a bien fait les choses, Patricia reprend ses gammes, manifeste violemment sa jouissance pour la plus grande joie de son bienfaiteur.

-On arrêtera quand tu auras eu ton dixième orgasme. Ca fait trois à la demi-heure. On devrait y arriver pour midi en forçant un peu l‘allure. A midi je t’offrirai une surprise. Je vais pisser. Entretiens-toi pendant ce temps là. Comment? Tu n’as pas appris à te servir de tes doigts? Dépêche-toi, commence, montre-moi. Parfait, continue surtout. Que c’est beau à regarder une femelle en chaleur!

Je l’entends aller, pisser et retourner à la charge. Le sommier grince, c’est reparti pour un tour. Patricia est tournée vers la tête de lit, cheveux épars sur les bras, fesses en l’air et Mamadou s’enfourne et défourne à allure démentielle. Il mène un train d’enfer, cogne son bas ventre sur les fesses rouges, se moque des réclamations et poursuit assidûment la recherche de l’orgasme prochain. Ses poussées font remonter le corps bousculé et la tête de Patricia tutoie régulièrement le bois de lit. Au bruit des cuisses contre les fesses répond le toc du crâne.

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