Soirée Pyjama. 4
Soirée pyjama.4
Mes parents étant absents pour le weekend, jai obtenu leur autorisation pour inviter mes copines.
On se fera une soirée pyjama.
Suite.
- Depuis tout à l'heure je suis sur les charbons ardents de voir mes copines faire du rodéo sur ta pine, Tu a beau être mon frère, (même si ce nest pas réellement vrai car comme beaucoup ds, nous vivons dans une famille recomposée), que j'aime mais je ne peux pas passer à coté dune telle teub. Je nen reverrai peut-être jamais dautres dun tel calibre, je veux ta bite, je veux mexploser la chatte sur ton manche de pioche !
-Mais je suis ton FRERE ! (Enfin presque). Tu nas donc plus aucune morale ? Reprends-toi ! Me sermonne-t-il, tout en restant toujours aussi passif quavec les copines, il ne cherche pas à me repousser.
-Tu me dis ça mais pourtant tu rebandes pour moi, je lui rétorque, et pas quun peu !
Son sexe pointant toujours au garde-à-vous, jenjambe son corps et descends avec précaution ma fente au contact du soc massif, le coinçant dans mon intimité.
Je me cambre, pose mes mains sur ses cuisses et me pénètre avec volupté sur sa queue, limpression est très forte. Comme létrave dun chasse-neige repoussant les congères devant lui, son gland trigonocéphale repousse mes chairs qui doivent sadapter devant sa poussée.
Une fois la route ouverte, son rostre bute au fond comme dans une impasse. Je me défonce la chatte avec son outil, jécrase ses couilles avec mes fesses, tapant tout au fond.
Sa bite très épaisse dilate au maximum ma matrice. Huuummm, quel pied !
Nos respirations saccélèrent, mon cur bat de plus en plus fort !
Jaccélère mon rythme, maboutant encore et encore sur cet axe dacier jusqu'à atteindre lorgasme. Une formidable explosion de plaisir me vrille le corps, je crie et lâche les grandes eaux en méjectant de sa teub.
Reprenant doucement mes esprits, je trempe ma main dans ma chatte ruisselante de cyprine dû à l'abondance de mes sécrétions vaginales.
Il mattire violemment à lui et m'embrasse passionnément. Je réponds à son baiser en enroulant ma langue avec la sienne.
On dirait que ce baiser fougueux vient de le faire sortir de sa torpeur. Ses mains, pour la première fois de la soirée, quittent le lit, lune me pétrit les fesses pendant que lautre explore ma poitrine.
Il me susurre à loreille :
-Ça fait des années que je fantasmais en pensant à toi, ça me travaillait tant que cest pour ça que je voulais entrer dans les Ordres. Javais trop peur ne pouvoir me contrôler et dr de toi. Et là, cest toi qui de moi. Mais je ne peux plus me retenir.
Ses aveux décuplent ma libido, je le repousse mais il ne se laisse plus faire. Il se retrouve au dessus de moi et membroche comme un rôti.
Il me secoue dans tous les sens par des coups de bite surpuissants, me faisant crier à chaque pénétration.
- Oh oui c'est trop bon frérot ! Plus fort ! Encore ! Encore ! Je suis ta chienne !
Les filles sont ébahies de voir une telle métamorphose chez Thomas.
Il souffle comme un phoque et pousse des "han" de bucheron quand il senfonce en moi. Je ne peux plus résister à lorgasme qui me tord les tripes, faisant contracter mes muqueuses vaginales.
Ma jouissance est si forte que mon vagin musclé semble vouloir broyer sa lance pour en extraire son suc.
Il donne des coups de queue puissants et de plus en plus rapides, faisant claquer ses couilles contre mes fesses. Je peux sentir la progression de son gland surdimensionné qui glisse le long des parois bien lubrifiées de mon vagin, tant il est serré.
Son pénis si épais me procure des sensations divines ! J'insinue un doigt dans son petit trou, lui arrachant un "oh" de surprise mais qui déclenche aussitôt sa jouissance.
Il sarc-boute et envoie une décharge de foutre brûlante au fond de mon être. Je me dégage non sans difficulté de son étreinte, recevant les autres jets de sperme sur mon ventre. Je le regarde dans les yeux pour le remercier muettement!
Les autres filles, comme une nuée de mouches, viennent à la curée. Elles se précipitent sur sa queue, et sur mon ventre pour se délecter de son nectar.
Cinq langues nous nettoient avec soin ! Les copines me lèchent copieusement à grands coups de langues ainsi que la verge de Thomas qui mollit.
Elles se battent presque pour son pal et un dernier miracle réveille le goupillon du futur prêtre. Il faut dire quelles se sont employées comme des furies.
Thomas est transformé, il les repousse avec difficulté et mattire dans ses bras. Il passe un bras sous mes fesses et l'autre dans mon dos, plie les genoux pour que son bélier se trouve à hauteur de ma foufoune rasée. Il écarte les jambes, un sourire diabolique aux lèvres, il va me baiser debout.
Son gland violet sinsinue entre mes grandes lèvres charnues, dévoilant mes petites lèvres.
Il se relève d'un coup, me soutenant de ses bras puis laisse la gravité faire son effet.
Je me retrouve empalée d'un seul coup jusquà la garde sur son formidable pénis.
Jenfonce mes ongles dans sa nuque en poussant un cri. Prisonnière de ses bras, je ne peux que me laisser travailler par son marteau-pilon.
Il titube jusquau mur et me plaque contre lui. Nos poitrines frottent lune contre lautre. Je le ceinture de mes jambes, les yeux fermés, la bouche grande-ouverte.
Il poursuit son va-et-vient profond et rapide. Nos corps se frottent. On gémit très fort tous les deux.
Il sest trop retiré et sa verge ségare entre mes fesses. Rachel en profite pour glisser sa main, elle prend sa pine et lappuie sur mon sphincter.
Je ne veux pas quil mencule. Il va me déchirer. Il me presse sur son torse, je sens son membre en érection pesé sur lorifice.
Se rend-t-il compte quil a changé dorifice ?
Il défonce la porte arrière, je subis le supplice du pal. Je me suis déjà faite sodomiser mais pas avec un tel calibre !
Cest en même temps horrible de souffrance et du pur bonheur. Je me fais ramoner le fion par Thomas !
Je sens le défonce-cul dans mon ventre, mon cul est plein de cette bite qui monte et descend précautionneusement dans mes boyaux. Il est impressionnant de puissance, il ne prend plus de précautions maintenant et mexplose les boyaux !
La douleur sestompe enfin, dominé par le plaisir. Son sexe entre de mieux en mieux, ma rondelle sest dilatée autour de la barre de chair de mon frère.
Il me dit à loreille quil va minonder le fondement. Cest lapothéose quand il me bloque sur lui et me remplit de sa semence dans un feulement de félin!
Je lenlace très fort quand je sens son sperme gicler dans mon ventre. Il se vide littéralement et jhurle de bonheur en tournant la tête dans tous les sens. On reste ainsi un certain temps lun dans lautre, savourant chacun notre plaisir.
Il me repose et retire son manche noueux tout gluant de nos ébats.
Quand je pense quil vient, en un soir, de se dépuceler, de baiser cinq filles plus belles lune que lautre, de faire lamour à sa presque sur et de lenculer. Beaucoup dhommes ne connaîtront jamais de telles situations dans toutes leur vie sexuelle ! Cette folle nuit se termine enfin. Nous regagnons ma chambre et le laissons seul avec des questions qui doivent tourner dans sa tête. Séminaire ou baise ? Soutane ou string ? Confession ou pas de ce quil vient de vivre ?
Jattends que les copines sassoupissent et rejoins mon petit-frère adoré dans sa chambre. Je me glisse nue dans ses draps.
Il dort déjà, repu de fatigue.
Je glisse ma main dans son pyjama et me saisis de son sexe. Même au repos, cest un sacré morceau ! Et je mendors à ses cotés.
Que nous réserve lavenir ? Le paradis sur terre et lenfer plus tard ? Ou alors le contraire ?
Fin.
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