Collection Cocu. Brin De Muguet (2/4)

L’éclair qui vient de s’abattre près de la cabane où je suis venue me réfugier étant perdu dans le bois où j’étais venue avec Justin mon mari chercher de jolis brins de muguet, me jette dans les bras de l’ours y habitant.

C’est ainsi que moi Ange la petite fille trentenaire, je passe du monde de la fidélité à Justin mon mari à un nouveau monde inconnu pour moi.
Je tourne la tête vers la fenêtre au moment où un nouvel éclair doublé du tonnerre frappe une nouvelle fois non loin de nous.
La lueur me permet de regarder l’ours qui m’a recueilli.

Il a sorti son sexe de son pantalon, pour la première fois, je vois une chose inimaginable devant mes yeux.
Comment décrire la chose pour être au plus près de la réalité, un bâton noueux d’une grosseur et d’une longueur qui frise le handicape, ai-je bien vu, le noir étant revenu.
Nouvel éclair, je n’ai pas rêvé cette chose monstrueuse, j’ai du mal à imaginer qu’elle entre en moi, si Justin en avait une pareil, il y a longtemps que je l’aurais quitté, mieux même en la voyant, je serais partie en courant.

• Touche là, elle ne mord pas, c’est ça qu’il te faut, tu verras tu te sentiras mieux après, elle va te combler.

Me combler, il peut toujours courir, Justin malgré les manques accumulés devient de nouveau l’homme que j’aime, il me serait difficile de le tromper.
Si cette bête immonde avait la prétention de venir me faire l’amour il est mal tombé, impossible que j’accepte de rester infirme jusqu’à la fin de mes jours incapable de refermer mes cuisses.
Toute certitude ne vaut que pour ceux qui les croient, surtout que le verre d’alcool commence à faire son effet.

• Touche là !
• Ouiii.
• Bien poupée, tu vois, c’est facile, dis-moi qu’elle te fascine.
• Ouiii.

Je suis folle en même temps que je la touche, j’avoue ma reddition, il me prend par les épaules et me courbe le buste vers elle, mes yeux sont à cinq centimètres de cette verge.


Je vois mal comment elle peut me pourfendre, mais je suis de plus en plus fasciné, je crois que mon cerveau refuse de penser quand ma bouche essaye de la faire entrer.
Elle est vraiment disproportionnée, car j’arrive juste à mettre la pointe du gland entre mes lèvres.

• C’est bien ma poupée, suce, dit moi par un mouvement de tête, est-ce la première que tu pompes une verge ?

Je suis fichu toutes mes défenses cédant d'un seul coup, je fais oui de la tête, j’essaye de sauver mon âme en pensant que c'est la gniolle qui est responsable de ma défaite, si défaite, il y a.

• Elle est trop grosse, attention, tu vas te bloquer les mâchoires, je vais te guider, suce là de haut en bas avec ta langue et de bas en haut, si tu es une bonne élève, elle va encore grossir et grandir un petit peu.

Stop, elle est déjà assez grosse, il va falloir que je lui dise que je jette l’éponge, s’il veut me prendre, je suis morte bien que sans le savoir ce que je vis, c’est ce que j’espérais vivre avec Justin, mais qui lui a toujours échappé, car pour lui le sexe ces pénétrations, éjaculations espérant procréation.

Ma main vient enserrer l’un de ses testicules qu’il m’est impossible de placer en entier à l’intérieur, impossible d’en faire le tour, j’ai fait une partie de boules avec des amis dans notre allée, elles sont aussi grosses, alors je les lèche l’une après l’autre.

• C’est bien bébé, tu t’y mets, tu es faite pour sucer comme je suis fait pour te prendre maintenant afin de te faire éclater de plaisir, je suis sûr que tu as de l’appréhension, mais tu verras elle va enter toute seule, après qu’elle t’a fait jouir, tu en redemanderas, tu vas t’empaler toute seule, je reste dans cette position.

Le missionnaire, c’est la seule position que j’ai pratiquée depuis que mon mari m’a défloré, prendre moi-même l’initiative de venir m’enfoncer cette verge dans le vagin, c’est déjà fortement érotique.

Plus érotique que les pensées érotiques que j’ai pu avoir.
Je le chevauche le regardant dans les yeux, il se sert de ses mains pour m’écarter le sexe et je me laisse descendre doucement.
Cinq centimètres, je sens que je vais me déchirer si je bouge vers le bas, ma bouche s’approche de la sienne, je sens sa langue entrer, même dans sa bouche son organe est démesuré, elle me remplit intégralement.
J’aime tellement que je sens le bas de mon corps s’humidifier deux fois plus, naturellement son pieu pénètre de quelques bons centimètres supplémentaires.
Il faut que je respire, je recule ma bouche et dans un souffle.

• C’est fou, tu m’ouvres en deux, mais je sens mon corps se liquéfier, tu crois que tu peux aller plus profondément en moi.
• Tu es maître de ma pénétration dès que tu le sens possible fais-moi entrer en toi, je suis sûr que si tu y arrives le plaisir va te frapper comme un de ces éclairs qui continue à me faire voir la belle pouliche que tu es.

Ce que je vis est incroyable, je sens une boule montée en moi, cette sensation est nouvelle alors que depuis dix ans, je prenais la petite décharge dans mon ventre comme la jouissance maximum que pouvait m’apporter Justin chaque fois que son sexe venait décharger.

• Rumn.

C’est le son que j’émets quand prenant mon courage à deux mains, j’appuie fortement le bas de mon corps pour finir de la faire pénétrer, je suis littéralement empalé, pour éviter que l’on m’entende hurler, je lui enserre la tête entre mes deux bras, reprenant sa bouche fougueusement.
Même sa langue dans ma bouche me donne une sensation de plénitude.

Que n’ai-je pas vécu plus tôt de tel moment, comment m’a ton caché qu’un sexe au plus profond de moi encré, sur lequel je monte et descend doucement au début distendant mes chairs, peut vous faire jouir comme en ce moment, je jouis !
Un voile noir passe devant mes yeux au moment où la boule qui remplit le bas de mon ventre éclate me permettant de monter à le faire sortir de moi pour retomber m’arrachant un nouveau cri quand une nouvelle explosion m’irradie.

J’ai l’impression d’être une femme pour la première fois de ma vie surtout lorsqu’à son tour, il émet des grognements comme ceux d’un ours et qu’il m’inonde de son sperme qui sort tellement fort de lui que de petits jets sortent de ma chatte tellement nous sommes imbriqués.
Il a déchargé, mais bande toujours, il me soulève de ses mains puissantes et me dépose sur le lit.

• Alors Poupette, je t’avais dit que ce serait exceptionnel pour toi, pour moi, c’était parfait, ta grotte est à l'exacte dimension de ma verge, met toi en levrette, j’ai encore envie de te baiser, tu m’inspires.
• En levrette ?
• Ton mari semble un bel ignorant, dit moi que jamais, il ne te demande de te mettre à quatre pattes pour te prendre encore plus profondément.
• Non, je me mets sur le dos et c’est tout.
• Pauvre petite, je suis content, je vais pouvoir t’ouvrir aux jeux du sexe.
• Pour m’ouvrir, tu m’as ouvert, mais je veux tout apprendre, veux-tu que je me mette à quatre pattes, comme cela ?
• Très bien, tiens toi à la tête de mon lit, tu sentiras mieux la pousser de mon sexe en toi dans cette position.

Je le fais et en quelques secondes d’une seule pousser ma chatte étant bien ouverte, il est au fond de moi me tenant par les hanches pour mieux me pistonner.

• Tient prend ça salope, dit moi que tu es une salope sinon ton cul va ramasser.
• Pourquoi me traites-tu de salope, je suis une femme qui aime quand tu me fais l’amour ?
• Mais tu es une salope, car ta chatte aime recevoir ma queue et ma queue aime être dans ton vagin.
• Alors vas-y je suis une salope, je te sens si bien, tu as raison, j’ai l’impression que tu vas plus loin en moi.

Je recommence à jouir, j’éclate de nouveau chaque fois qu’il pousse sa verge en avant, dommage que l’orage passé, il va falloir que je retourne vers mon mari, arriverais-je à lui faire admettre que je veux prendre cette position qui m’apporte encore plus de plaisir que lorsque je me suis empalée moi-même.

Une nouvelle fois, je crie, mais mon homme des bois crie en même temps et je sens sa semence venir inonder le fond de mon corps.

• Ton utérus a ramassé, j’espère que tu as une bonne contraception sinon dans neuf mois, ton mari aura mon bâtard à élever.

S’il savait que depuis plusieurs mois, j’ai tout arrêté espérant er avec Justin, c’est étonnant, je devrais me sentir coupable de mettre fait baiser comme une folle, mais l’homme qui vient de me reprendre dans ses bras alors que je le regarde intensément à chaque éclair de l’orage finissant, m’inspire un sentiment nouveau pour moi.
Je suis parti sans ma montre, j’ai beau regarder à gauche et à droite en vrais hommes des bois, il doit vivre au rythme du soleil.

• Reste cette nuit, je te conduirais à la lisière de la forêt demain matin, tu retrouveras ton cocu de mari et ton confort douillet, car tu dois faire partie de ces femmes oisives qui glandent toute la journée.
• Mais c’est faux, je fais du jardin, nous avons mangé mes légumes tous les jours cet hiver.
• Alors tu mérites un nouveau petit coup de queue, mes couilles sont loin d’être vides.

Deux fois encore dans la nuit, il me pénètre, me prenant une fois sur la table près du lit quand je me suis levé pour uriner dans le noir dans le seau placé là à cet effet, deux fois, j’ai eu des orgasmes, jusqu’au moment où le soleil se lève et que j’entends le chien aboyer.

• Ta gueule Brutus.

C’est vraiment un ours, mais qui a pour conséquence de faire taire le chien, par la fenêtre le jour naissant me montre que l’orage est passé, mais que ce soleil de mai laisse en place une masse de nuages.

• Suce là une dernière fois avant que je te ramène en lisière de forêt, tu es une femme, tu trouveras bien le moyen de faire croire à ton mari et tes amies que tu es une femme courageuse qui a devant l’adversité passée une nuit seule en forêt.

Incroyable, il bande encore et après quelques minutes, il veut me reprendre.

• Non, je dois t’avouer que j’ai un peu mal à la chatte.
• Alors avale.

Il m’envoie son sperme qui vient gicler jusque dans mes yeux ce qui le fait rigoler.
Je m’habile, mes affaires étant sèches en m’essuyant simplement avec la serviette.
Derrière la cabane, il sort d’une soupente une moto rouge assez grosse pour valoir un paquet d’argent, alors que je viens de tromper Justin pour la première fois de ma vie, il me fait monter, là encore pour la première fois à l’arrière, je suis assise et je peux voir la route au-dessus de son épaule.
Un croisement deux croisements, je retrouve la lisière où hier notre voiture était garée.

• Merci ma poupée pour la magnifique nuit que tu m’as fait passer, je te laisse là, inutile que l’on nous voie ensemble, on pourrait jaser, si tu as aimé et si tu veux revoir ma bite, je t’attendrais pendant trois jours ici, de 14 à 15 heures.

Il fait tourner sa moto, sans un geste ou un baiser, il tourne les gaz et je le vois repartir vers le fond de ses bois…

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