Collection Escorte. Coup De Chance (2/2)

Je m’appelle Aurélien, je travaille avec Benoît depuis notre service militaire que nous faisions en ce temps-là.
Nous avons franchi les échelons, il est chef d’atelier de fabrication, je suis chef mécanicien dans cette société de plus de 100 employés, Benoît part en retraite anticipée, il a accepté un pot de départ où nous lui offrirons une pute pour le week-end

Je m’appelle Benoît, je viens de finir mon travail après démission, mes collègues dont mes amis Aurélien et Adam mon ex-patron depuis 12 heures, je leur ai caché l'exacte vérité de mon départ.
J’ai souvent essayé, mais j’ai eu peur que mon motif ne soit mal interprété, aussi, l'idée saugrenue m’est venue de me servir de tous mes malheurs, bien réelle, pour faire croire qu’ayant hérité d’une grand-tante, je me retirais en Ardèche planté des carottes pour vivre.
Il n’en est rien, je vais rejoindre la propriété qu’elle m’a laissée avec piscine, salon d’hiver où se trouve un Jacuzzi, ainsi qu’un pécule après impôts faisant de moi un nabab.
Je sais, c’est ignoble de mentir à mes amis, si j'avais dit la vérité, tous les pics assiettes qui sont venus me taper depuis des années dès qu’ils ont la moindre merde de chien, aurait défilé pour profiter de mon pognon.
Un exemple, Odette la maîtresse d’Adam, elle a plusieurs fois essayé que je la saute, je m’en suis bien gardé.
Depuis mon veuvage, j’ai réussi à faire croire que je suis resté fidèle à ma pauvre femme ayant disparu avec mes s dans un accident de voiture, alors avant de partir, j’ai accepté un vin d’honneur.
Ils m’ont remis en cadeau la carte d’une chambre d’hôtel à Deauville, m’offrant tous un week-end.
J’ai rendez-vous à l’hôtel à 20 heures.
C’est pourquoi à l'heure prévue, j’attends pour savoir ce que cette obligation d’être dans ma chambre cache.
Je viens de poser mon sac de sport quand on frappe.

• Je peux entrer, je suis votre vrai cadeau de départ offert par tous vos amis, je suis une escorte et je suis à votre disposition jusqu’à dimanche 17 heures.

• Entrez mademoiselle.

Je m’appelle Aurora, mon amie Léonor m’a entraîné dans le monde des escortes, car j’aime l’argent, les bijoux et les beaux vêtements, mais aussi le sexe.
Je viens d’encaisser 3 200 € pour entrer dans la chambre de mon premier client, un futur retraité à qui tous ses amis dans sa société ont offert un week-end avec moi.

• Que dois-je faire ?
• C’est vous l’escorte, les autres fois que faites vous quand vous entrez dans la chambre d’un de vos clients.
• Je l’igno…

Je m’appelle Benoît, une pute vient de frapper à ma porte, incroyable, c’est elle qui me demande ce qu’elle doit faire, on dirait une débutante.

• Pour commencer, avez-vous été payé ?
• Oui, regardez, j’ai 2 200 € dans mon sac, plus les 1 000 que j’avais reçus à la signature du contrat, je les ai déjà déposés sur mon compte.

Je m’appelle Aurora, je viens de dire à mon client combien mes commanditaires m’ont donné afin que je vienne satisfaire ses désirs sexuels, certes, il est plus âgé que moi, mais encore assez séduisant.

• Je sens que vous êtes perdu, venez, je vous invite au restaurant, un bon verre de vin, vous ramèneront les pieds sur terre.

Je m’appelle Gaétan, je suis serveur dans le restaurant de l’un des meilleurs hôtels de Deauville, à une table viens d’arriver un homme mûr avec une jeune pute, celle-là, je les renifle à plein nez, tenue sexy et maquillage à la limite de l’outrancier.
Pourtant, elle a quelque chose de différent, elle semble perdue auprès de cet homme, qui lui-même semble mal à l’aise.

Je m’appelle Benoît, j’ai conduit mon cadeau à une table et je lui pose des questions auxquelles une pute de métier refuserait de répondre.

• Comment êtes-vous arrivée à vouloir vendre votre corps ?
• Je ne le vends pas, je vous le prête jusqu’à demain dimanche.
• Ça revient au même, vous faite une transaction financière de votre corps.
• Et vous, vous m’avez emmené ici pour retarder le moment où je devrais m’occuper de votre...
• Dites le, « bite », je vois que vous débutez, si vous le voulez, vous pouvez rentrer chez vous.
• Non, il faudrait que je rende l’argent, j’en ai besoin, dès que j’ai su que j’avais un contrat, j'ai déjà investi les 1 000 premiers euros dans des chaussures, j’en ai plus de 200 paires.
• Vous vous prostituez pour des chaussures, vous êtes une vraie malade.

Je m’appelle Benoît, je viens de dire à cette femme qu’elle est folle de tapiner pour s’acheter des chaussures.
Que faire, si je vais au lit avec elle, je fais voir à tous que je baise malgré le décès de mon épouse, passant pour un salopard où je la renvoie et c’est elle qui passera pour une fille n’assurant pas son contrat.

• Venez, allons jouer au casino, je sens que vous allez me porter chance.

Je m’appelle Aurora, du moins c’est le nom que Léonor a donné sur le site ou elle m’a inscrite, mes parents m’ont appelé Jennifer, mon client à un problème, il semble retarder le moment ou nous seront nus dans sa chambre.
Il est peut-être puceau, vu son âge, ce serait bizarre, c’est peut-être pour cela qu’il retarde le moment de me baiser.

Je m’appelle Jennifer, conclusion de celle qui se faisait appeler Aurora, tout le week-end, nous jouons au chat et à la sourie, nous dormons côte à côte sans enlever nos vêtements, en me quittant mon client me donne rendrez-vous pour le week-end suivant dans sa maison en Ardèche où il va passer sa retraite.

Je m’appelle Benoît, conclusion de ce week-end que je refuse de consommer avec cette jolie fille payée par mes collègues, je lui donne 1 000 € pour rembourser ses commanditaires, avec rendez-vous dans un train au départ pour l’Ardèche, le week-end prochain.

Nous nous appelons Jennifer et Benoît, nous avons joué au casino, c’est elle qui plaçait les jetons, nous avons fait banco sur banco, gagnant plus d’un million d’euros.
Jennifer a transféré en Ardèche toutes ses chaussures, en ce moment, elle joue dans la piscine avec nos deux s, le choix du Roi.

Je m’appelle Jennifer, mon homme a raison, malgré notre différence d’âge, l’argent du casino doublé d’une entente sexuelle extraordinaire, je suis restée dans sa maison ou je lui ai donné deux beaux-s.

Je m’appelle Benoît, ma femme Jennifer est extraordinaire, son amie Léonor vient souvent nous voir, elle adore me partager avec elle, pendant que nos s sont chez une nounou, nous profitons de la quiétude de la maison de ma grand-tante pour nous éclater.

Je m’appelle Jennifer, j’ai confié mes s à leur nounou, ce week-end nous recevons Aurélien et Adam, les amis de mon mari, Léonor sera là, elle a pris sous son aile une nouvelle escorte qu’elle a intégralement relooké.

Je m’appelais Odette, je travaillais dans l’entreprise d’Adam et j’étais devenue sa maîtresse malgré qu’il soit marié.
J’étais contre qu’il soit offert une pute à Benoît pour son départ, ayant été mise en minorité, mon secret concernant les clubs échangistes ayant été dévoilé, j’ai dû quitté la société sous les quolibets de certains.

Je m’appelle Léonor, j’ai rencontré une jeune femme s’appelant Odette dans un club échangiste, elle venait de quitter son emploi et se retrouvait au chômage.
Je l’ai embauché dans ma boîte d’escortes en remplacement d’Aurora qui a repris son nom, Jennifer et qui s’est mariée avec Benoît, elle porte le nom d’Odile après relooking, surtout ses lunettes remplacées par des lentilles sur mon site Internet.

Conclusion, nous sommes tous nus autour de notre piscine, chacun baise celle qui est à sa portée, putes, escortes, femmes mariées, maris, amants, copains, copines, cela s’appelle des échangistes.