Récit Libertin De Jean - Episode 4 - Une Soirée Torride

Cela fait deux semaines que Cécile et moi nous voyions. Si le mercredi et le samedi sont intenses, le jeudi, nous sommes au théâtre et le dimanche, je la vois à la sortie de la messe. Chaque fois que nous nous rencontrons chez moi, nous faisons l’amour. Arrive pourtant un jour où, contrairement à ses habitudes, elle ne donne pas le top départ à nos ébats. J’en suis surpris mais je n’y fais pas cas. Cela dit, au bout d’une heure de discussion essentiellement tournée vers le plaisir que nous prenons à faire l’amour, je suis un peu échauffé et je commence à la caresser. Elle ne se dérobe pas mais n’est pas non plus entreprenante. C’est au moment où j’approche ma main de son sexe qu’elle l’écarte doucement. Elle me dit alors que les femmes ne peuvent pas être disponibles tous les jours du mois. Même si j’ai entendu parler des règles, c’est une chose à laquelle je n’avais jamais été confronté puisqu’il n’y a pas si longtemps de ça, j’étais complètement inexpérimenté. Elle me dit alors qu’elle est prête à me sucer mais qu’elle ne peut pas faire plus aujourd’hui. Je réponds que ça ira mais le regrette aussitôt ! Tant pis, dans un mois, je dirais oui.
L’après-midi s’achève après avoir parlé de tout et de rien, de ses projets d’études, des miens, de la vie en général et de sa position vis-à-vis de la religion. C’est incroyable mais autant dans sa façon d’être que dans sa façon de parler, elle ne semble pas avoir dix-sept ans.
Le samedi qui suit, toujours pas moyen mais j’accepte la pipe qu’elle me propose. Elle a dû sentir mes regrets et cette fois, je ne me fais pas prier. Je sens qu’elle y met tout son savoir-faire pour me permettre d’arriver à l’orgasme. Elle alterne les masturbations avec les moments de sucions, elle caresse le gland, le lèche et le mordille même. J’adore ça, je lui caresse la tête pendant qu’elle me donne du plaisir. Au bout de quelques minutes, je sens l’éjaculation venir et j’essaye de me retirer de sa bouche mais le geste qu’elle a alors est de rattr la bite qui lui échappe pour l’enfoncer plus loin dans sa gorge et j’envoie de longs jets de spermes dans sa bouche.

Je l’entends déglutir mais elle continue à lécher le gland et les quelques gouttes qui restaient finissent avec les autres. Mon sexe est presque douloureux mais il n’a pas débandé. Elle continue donc de le lécher et de le masturber. Au bout de quelques minutes, je sens que sa bouche fatigue et elle ne continue qu’avec sa main avant que cette dernière fatigue aussi. Je suis encore dur mais je n’ose pas me masturber devant elle. C’est alors qu’elle me lance : « j’ai encore faim, tu vas m’en donner plus ». Elle prend ma main et la pose sur mon sexe. Je me masturbe devant elle, à quelques centimètres de son visage. Elle enlève ses habits pour se retrouver en petite culotte. Je dois me masturber plusieurs minutes avant de sentir le plaisir monter à nouveau le long de mon sexe. Le fait de le faire devant quelqu’un m’a légèrement refroidi. Comme elle m’a fait comprendre qu’elle voulait à nouveau avaler, je lui dis un peu avant que je ne vais pas tarder à jouir. Elle approche sa bouche suffisamment près pour pouvoir recueillir mon sperme. Le flot jailli à nouveau mais le premier jet rate sa bouche et atterrit sur sa joue. Elle me suce le gland et ça me fait presque mal mais c’est tellement bon que je souffre dans la joie. Elle me regarde dans les yeux et ouvre la bouche. Elle est pleine de mon sperme. Elle la ferme à nouveau et déglutit. Elle ouvre à nouveau la bouche pour me montrer qu’elle a bien tout avaler. Demain, c’est le corps du christ qui empruntera cette voie.
Nous passons la suite de l’après-midi à parler et elle m’apprend que son père risque de partir en mission au Moyen-Orient pour un mois et demi ou plus. Elle espère secrètement que les rêves de son père vont se réaliser car elle croit en cette mission, non pas pour des besoins carriéristes mais parce qu’elle a bien compris que cela lui permettrait de venir encore plus souvent ici. Eventuellement de dormir une nuit avec moi. Cette nouvelle m’apporte aux anges et nous établissons des plans pour voir comment on pourrait faire pour que le voisinage bavard de la ville ne s’aperçoive pas d’une telle chose.
En même temps, cela fait presqu’un mois qu’elle vient deux fois par semaine chez moi et que la nouvelle ne semble pas s’être répandue.
Une fois Cécile partie, je cherche des solutions qui nous assurent la discrétion et je finis par me tourner vers celle qui nous a beaucoup aidé, Jade. Elle me dit que ça serait mieux si je passais chez elle comme ça on pourrait discuter de ça plus posément et elle pourrait me présenter à son mari. N’ayant pas grand-chose à faire de ma soirée, j’accepte. Je termine un devoir que je dois rendre le lundi et me prépare pour partir. Je reçois un texto juste avant de quitter mon appartement qui me dit : « pas besoin de prendre ta voiture, Elise passera te chercher ». Un second arrive coup sur coup. C’est Elise qui m’annonce qu’ils sont en chemin et que je dois les attendre près de la mairie. Je me rends donc à travers le froid humide du début de soirée vers la mairie. Heureusement, ils ne tardent pas à venir car je commence à être frigorifié. Je monte à l’arrière et ils me saluent en me souriant. Ils sont heureux que nous puissions nous revoir et me disent qu’habituellement ils passent de bonnes soirées chez Jade et Morgan. Je ne sais pas ce que veut dire « bonne soirée » mais je me doute un peu du contenu. Je le savais en recevant le sms de Jade mais je n’ai pas eu le temps de me débiner puisque celui d’Elise est arrivé aussi vite. Je réfléchis aux moyens d’éviter la partie de jambes en l’air qui suivra le repas pendant que la voiture nous mène vers la maison de Jade et Morgan.
C’est à une belle maison à l’extérieur de la ville mais de l’autre côté par rapport à celle d’Elise et Benjamin. D’apparence, on devine qu’il s’agit d’un ancien corps de ferme rénové. L’allée y menant et le tour de la maison sont éclairées par des lumières au sol. L’effet est vraiment de bon goût. La grange a été aménagée et une immense baie vitrée occupe un des côtés de cette dernière pour donner une vue imprenable sur la vallée. Nous entrons et Jade nous fait monter à l’étage.
Son mari est encore en train de finir les préparatifs nous dit-elle en lançant un clin d’œil à peine masqué à Elise. Je sais donc que ce que je craignais est bien en cours de préparation et que je vais devoir m’y soustraire tant bien que mal si je ne veux pas mettre en péril ma relation avec Cécile.
Jade nous sert des apéritifs et elle prend place aux côtés d’Elise dans un grand canapé. Elles papotent pendant que je discute avec Benjamin qui est assis dans un fauteuil en face du mien. Le dernier fauteuil est libre mais un martini blanc avec un glaçon est déjà servi. Je sirote le mien en répondant aux questions de Benjamin sur mes études car il fait le métier que j’apprends. Pour une fois, je sens de l’intérêt dans les questions qu’on me pose sur ma filière. Il me dit aussi qu’il fera sans doute une intervention pour parler du métier avant la fin de l’année car il fait ça tous les ans. Je réponds qu’il a l’air calé dans le milieu et il me répond que par contre ça sera la première fois qu’il fera une intervention devant quelqu’un qu’il a enculé. Je suis tout rouge en entendant ça mais ça ne semble pas intéresser le moins du monde Jade et Elise qui discutent toujours alors que Jade a déjà posé une main sur la cuisse d’Elise. Je ne sais pas si c’est un prélude à quelque chose ou si c’est juste une marque d’affection.
Morgan arrive enfin. C’est un grand homme à la peau noire et d’une stature exceptionnelle, il a un large sourire quand il rentre dans la salle et est vêtu d’un jean très moulant ainsi que d’un t-shirt blanc qui dessine sa musculature. Il se pose devant son martini dont les glaçons ont déjà fondu et en boit une longue traite. Il se présente à moi et je fais de même. Je trouve son visage rayonnant et sa chevelure indomptée lui va très bien. Une fois les verres finis, Jade nous invite à passer à table. A aucun moment je n’ai pu parler de ce pour quoi j’étais venu et j’espère que ça pourra se faire pendant le repas. A moi de prendre mon courage à deux mains pour tirer la discussion vers ce point.
Force est de constater que je n’y arrive pas. Je suis assis à côté de Jade, Elise est en face d’elle, Morgan en face de moi et Benjamin tient un bout de table entre les deux femmes. Les verres se vident et se remplissent et je commence à sentir l’alcool embrumer mon esprit. C’est ce moment que choisi Jade pour déboutonner son décolleté et me demander en quoi ils pourraient m’aider pour voir Cécile. J’explique la situation et c’est Elise qui répond :
« Tu sais le père de Cécile n’est pas beaucoup apprécié par les gens de la ville. Si tu ne la raccompagnes pas à la messe le dimanche matin, il y a peu de chances qu’un de ses amis ne l’apprenne jamais et même encore, je ne suis pas sûr qu’il ait beaucoup d’amis là-bas. Tu as vu, même sa femme n’a pas eu beaucoup de mal à lui cacher les frasques de leur fille. Vraiment, détends-toi et profite du moment présent. On est heureux que tu aies trouvé l’amour et qui doit être torride au lit si elle a retenu tout ce qu’elle a pu entendre de notre bouche »
Les discussions sur le sexe étaient donc à dessein. Ces deux femmes-là sont encore plus terribles que je ne l’imaginais. Et Jade d’ajouter en me passant le bras sur les épaules :
« La première fois elle nous a surprises mais les fois d’après, nous savions qu’elle écoutait parce qu’elle était curieuse. On n’a jamais exagéré sur la teneur mais nous avons ajouté des détails qu’on se passe d’ajouter quand on discute entre personnes qui savent ce qu’est une pénétration. Ce n’est pas dans son lycée de puritains qu’elle aurait appris que le sexe pouvait donner du plaisir. Gisèle donne des cours là-bas et elle le sait bien. Sur ce, nous on va aller voir ce que Morgan nous a préparé. Tu peux participer si tu veux… »
Ils se lèvent tous et suivent Morgan qui les entraîne en farandole par où il était arrivé. Je reste seul devant mon assiette sans pouvoir partir puisque nous sommes beaucoup trop loin pour que je rentre à pied mais sans pouvoir participer à ce qui allait se passer par fidélité pour Cécile. Pourtant, j’ai terriblement envie de voir ce que peuvent faire quatre libertins éclairés par l’alcool. Je reste là un bon moment et j’entends des rires qui viennent de la direction que mes hôtes ont suivie. Mon esprit est tiraillé entre les principes de fidélité qui ont bercés mon éducation et cette envie irrépressible, quasi animale qui me pousse à aller voir ce à quoi s’adonnent quatre adultes consentants qui aiment le sexe. Finalement, je prends la décision d’aller voir mais je ne participerai qu’avec les yeux. Je suis un couloir d’une dizaine de mètres avec des portes de part et d’autre mais les voix viennent du fond et la porte restée entrouverte laisse passer une lumière jaune qui montre qu’elle est occupée. Au fur et à mesure que je parcours le couloir, je sens l’excitation monter en moi. Elle est mêlée de curiosité et de culpabilité. Je sens mon cœur battre de plus en plus fort. Mon sexe est à l’étroit dans mon boxer et je décide de le repositionner avant de faire les quatre pas qu’il me reste.
L’entrebâillement ne me permet pas de voir ce qu’il se passe à l’intérieur et je suis donc obligé de pousser la porte qui grince pour annoncer ma présence. A ma grande surprise, ils ne se retournent même pas vers moi et continuent de s’embrasser. La pièce est l’ancienne grange entièrement rénovée et par la baie vitrée, on voit la ville au fond de la vallée. De nombreux matelas sont disposés au sol et des meubles de style africain entoure ce qui ressemble à un baisodrome. Les langues continuent de s’emmêler sans distinction de sexe ou de couple. Jade s’écarte un peu pour annoncer les règles du jeu de la soirée :
« Morgan sera attaché aux anneaux qui tiennent les fauteuils-hamacs d’habitude. Il aura également les pieds attachés à une barre de métal pour qu’il garde bien les jambes écartées. Pendant ce temps, Elise et Benjamin me masseront et me masturberont. C’est bon pour vous ? »
Tout le monde acquiesce et Jade déshabille Morgan. Elle révèle doucement son corps qui est aussi beau que ce que les habits le laissaient deviner. Il est en string dessous mais ce dernier ne cache pas grand-chose du sexe énorme qui s’y trouve. Il n’est qu’à moitié dur mais ça annonce déjà une belle érection. Pendant ce temps, Elise et Benjamin s’embrassent tout en se déshabillant l’un l’autre. Benjamin a déjà baissé la fermeture éclair de la robe de sa femme alors qu’elle a déjà baissé celle de son pantalon. Elle ouvre un à un les boutons de sa chemise pendant qu’il tire sa robe au-dessus de sa tête. Les mouvements sont tellement bien synchronisés qu’on croirait un ballet qui a été longtemps préparé. Ils sont maintenant tous les deux en sous-vêtements et Jade de son côté fini d’attacher Morgan qui bande énormément. Benjamin est face à moi et Elise s’est tournée pour lui donner accès à l’agrafe de son soutien-gorge. Elle se trouve donc elle aussi face à moi et me regarde dans les yeux pendant que la dernière chose qui me cachait sa belle poitrine disparait de son corps. Jade passe derrière Benjamin et descend le boxer le long de ses jambes. Il a lui aussi une érection manifeste. Jade passe ensuite derrière Elise et procède à la même opération avec son string qu’avec le boxer de Benjamin.
Vient ensuite l’effeuillage de Jade. Je ne l’ai jamais vu aussi sexy quand nous étions au théâtre mais ce soir elle est maquillée, elle a une longue robe bleue et qui met en valeur ses formes et son attitude est clairement sexy. La robe enlevée, il ne lui reste rien. Ses seins sont fermes et son pubis complètement épilé. Aidée par Elise et Benjamin elle se couche sur le dos sous le regard et l’érection de Morgan. Ils commencent de la caresser tous les deux et il ne se passe pas deux minutes avant qu’Elise ne m’invite à les rejoindre. Je m’y refuse. Je me suis dit que je ne ferai que regarder et je m’y tiendrai. Jade oscille de plus en plus sous les caresses du couple et c’est Elise qui, la première, aventure une main entre les jambes de sa camarade de jeu pendant que son mari lui malaxe les seins. La main ne reste pas longtemps et quand elle quitte l’entrejambes, Elise en suce chaque doigt. Elle lui caresse les jambes et les pieds pendant de longues minutes et Benjamin est obligé de tenir les mains de Jade pour qu’elle ne se masturbe pas toute seule. Je vois bien qu’elle n’y tient plus. Morgan est également excité au possible mais ne peut rien faire avec son sexe qui doit avoir envie d’exploser. Je suis pris de pitié pour lui mais je ne cèderai pas. Il me supplie du regard puis me demande d’aller chercher du champagne dans le frigo pour qu’il se désaltère. Je trouve l’occasion d’avoir un peu de répit dans mon excitation et je me rends donc à la cuisine pour y prendre le breuvage demandé. Je trouve également des coupes au-dessus du bar et j’en prends cinq. De retour dans la pièce, rien n’a changé. Jade est toujours torturé par les caresses loin de son pubis pendant que son mari regarde la scène en bandant tout ce qu’il peut. Je débouche le champagne et sers les verres. J’en laisse quatre sur la petite table et me dirige avec le cinquième vers Morgan. Avant que je ne le porte à ses lèvres, il me demande de faire attention car c’est du champagne très cher. Cela me stresse un peu, ça réveille en moi des tremblements un peu plus forts que ceux qu’avaient généré l’excitation. J’approche le verre des lèvres et malgré toute l’application que j’y met, des gouttes perlent sur sa poitrine et il me demande de les lécher pour que ce champagne ne soit pas perdu. Je ne sais pas quoi faire et je vois les gouttes descendre de plus en plus bas alors je commence à lécher en commençant par l’estomac où se trouve le champagne qui a coulé le plus bas. Je sens son érection contre mon épaule alors que je remonte le long du buste pour finir dans son cou. Je m’éloigne maladroitement et me dirige vers la petite table où je prends un verre et je me plonge dans un fauteuil.
J’observe la scène et je vois Benjamin qui dirige enfin une main vers le sexe en feu de Jade qui semblait supplier sans rien dire depuis un bon moment pour avoir des caresses à cet endroit. Elle gémit presque aussitôt et il se met à la masturber très fort et très violemment pendant qu’Elise lui lèche les pieds. Elle ondule son corps de plaisir et ne tarde pas à avoir un premier orgasme. J’ai sorti mon sexe de mon pantalon et je me masturbe. Je crois que si quelqu’un m’invite à nouveau, je vais y aller. Ils sont trop occupés pour s’inquiéter de moi à part Morgan qui me jette un coup d’œil de temps en temps. Je saute le pas. J’enlève mes habits et me dirige vers le groupe pour caresser Jade qui sourit en sentant deux mains supplémentaire la caresser. Je m’occupe des seins pendant que Benjamin excite son sexe avec ses deux mains et qu’Elise lui masse et lèche les pieds. Elle ne tarde pas à avoir un second puis un troisième orgasme sous nos caresses communes. Benjamin m’invite à arrêter et à venir avec lui pour nous occuper de Morgan. Jade est toujours allongée et Elise se met à califourchon sur son visage pour se faire lécher. Elle dit :
« Vous allez le sucer par alternance, le premier qui le fait jouir aura droit d’être enculé et l’autre aura le droit d’enculer. C’est moi qui décide qui suce. Benjamin commence »
Son mari commence donc à sucer le sexe gonflé qu’il a du mal à prendre en bouche. Il caresse les testicules en même temps et il se passe une trentaine de secondes avant que mon nom ne soit donné. Je ne sais pas si je vais arriver à sucer un sexe aussi gros mais il faut que je le fasse maintenant que j’ai commencé et vu comment je suis excité, je suis prêt à n’importe quoi tant qu’il s’agit de sexe. Je prends le gland dans ma bouche et tourne ma langue autour. Je ne me sers pas de mes mains car je ne sais pas si je veux être enculé. Je ne me sens pas encore prêt. Benjamin reprend son tour et vu comment il y met du cœur, j’ai bien l’impression qu’il veut sentir ma bite au fond de son cul. Il agite une main sur la bite qu’il ne peut pas engloutir et caresse les couilles avec l’autre. Morgan commence à onduler son corps autant que les liens le lui permettent. Le fait de voir Benjamin comme ça me met dans une sorte d’esprit de compétition et je suce de plus belle. J’agite également une main et malaxe avec l’autre. Je n’ai pas beaucoup de temps avant que le tour de Benjamin revienne. Il donne encore plus de la tête pour mettre le sexe de Morgan au plus profond de sa gorge mais mon tour arrive sans qu’il ait joui. Je lèche le long de la hampe pour remonter vers le gland et au moment où je touche ce dernier des jets de spermes inondent mon visage et ma bouche.
Quelques secondes après, je sens une main se diriger vers mon cul pour y passer du lubrifiant. Elise détache Morgan pendant ce temps.

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