Ma Femme Rencontre Une Amie D'Enfance... Quelle Galere !

Nous nous baladions en ville sans but défini lorsque tout à coup ma femme Pascale me pousse du coude
- Regarde cette nana assise à la terrasse de ce café
- Oui ? et alors ?
- On dirait Marthe un copine de lycée
- Y’a du monde au balcon dit-donc !
- Justement ça ne colle pas avec sa silhouette, elle était plate comme une planche
- Quand tu dis ‘copine ‘, proche ou juste une connaissance ?
- Proche, très proche même … je me sens donc obligée de la saluer
- Alors abordons-la …
- Bonjour… je me trompe ou tu es Marthe ?
- Pascale ? pascale du lycée Auriol ?
- C’est bien moi ! mais que fais-tu là ?
- Figure toi que je suis en galère, ma voiture est tombée en panne et la pièce de rechange n’arrivera que demain
- Effectivement c’est la poisse, quelqu’un vient te chercher ?
- Personne ! a deux cents kilomètres de chez moi je suis bloquée sans savoir ou aller, j’ai beau réfléchir je ne trouve pas
- Eh bien arrête de te tracasser, tu viens passer la nuit à la maison, hein Cyril ?
- Je n’y vois aucuns inconvénients, tu ne vas pas abandonner ton amie dans la rue voyons
- C’est le weekend je ne veux pas contrarier vos projets
- Nous n’avons pas de projets particuliers, à part peut-être un câlin mais nous serons discrets !
- Toi discrète chérie ? c’est nouveau !
- Cyril ! mon amie n’est pas sensée tout savoir de notre vie intime
- Cyril est ton copain ou ton mari ?
- Mon mari depuis deux ans !
- Tu as bien choisi, il est canon !
- Assez de bavardages, rentrons
- Je passe un coup de fil pour prévenir mon ami
Je suis resté derrière les deux amies qui, bras dessus bras dessous jacassent en riant, la vue de ces deux p’tits culs pommés qui roulent sous les jupes courtes me rend pensif … elles étaient ‘très proches’ … oui mais jusqu'à quel point ? je me promets d’éclaircir cette expression, ainsi que ce changement de poitrine … nous avons achetés des victuailles et du bon vin pour le diner, quand nous somment arrivés il était l’heure de l’apéro que je me suis empressé de servir afin de détendre l’atmosphère et délier ainsi les langues, au cours du repas les joues de nanas prennent des couleurs, nous passons au salon pour le digestif , c’est là que je vais tenter de faire venir la conversation où je veux , assis face à elles je peux constater que la vigilance a tenir les genoux serrés s’amenuise, c’est ainsi que je constate que Marthe porte des bas auto-fixant, sans voir nettement la fourche et ce qui recouvre le sexe je distingue toutefois quelque chose de confus sans savoir définir quoi …
- Alors comme ça vous vous connaissez depuis le lycée ?
- Même depuis le collège, nous étions inséparables
- Tu te souviens Pascale de nos après-midi ‘studieux’ ?
- Humm, studieux mais aussi parfois très dévergondés
- Nous nous somment apprises ensembles
- Apprises à faire quoi ?
- Tu es curieux chéri ! si tu veux tout savoir nous nous caressions mutuellement
- Wwooouuuuaaaaaaaa ! j’aurais voulu être une petite souri !
- Voyeur !
- Je ne regarde que ce qui est beau !
- Essaierais-tu de mater entre nos cuisses ?
- Je n’ai pas besoin de me tordre le cou
- Au fait Marthe, une question me taraude depuis que je t’ai reconnue dans la rue…
- Haaaaaa ! je me demandais quand tu allais me poser la question !
- Qu’as-tu fait pour avoir une telle poitrine ?
- Chirurgie évidemment ! je suis passée du quatre-vingt- A au quatre-vingt-dix C, ça ne te tente pas ?
- Nous y avons pensés mais Cyril craint de ne pas avoir la même sensation sous la main
- Et puis est-ce que les tétons sont aussi érectiles ‘qu’avant’ ?
- Houlà que de questions ! rien que d’en parler mes bouts s’allongent, vous ne me croyez pas ?
- Bennnnnnnn …
- Voulez-vous que je vous montre ?? si tu autorise ton mari à me toucher les seins pour comparer avec les tiens je le fait sans hésiter
- Alors mesdames mettez-vous torse-nu afin que je teste la différence
- Profiteur … mais je tiens le pari
Sous mes yeux ébahis les deux femmes commencent à déboutonner leurs corsages, les soutiens-gorge ne tardent pas à rejoindre le vêtement sur la moquette, torses bombés deux belles paires de nichons aux larges aréoles me font face, la poitrine de Marthe ne s’est pas affaissée d’un millimètre, je ne sais que faire … a par avoir un début d’érection évidement
- Alors Cyril, qu’attend tu ?
- Approche chéri … tu peux poser la main sur un sein de ma copine et comparer avec les miens
- Ça me gêne d’affronter son regard aussi je vais me poster derrière Marthe et les prendre dans mes paumes
- D’accord mais juste un instant, tu viens aussitôt palper les miens
- Oui chérie
Dire que je ne profite pas de la situation serait mentir, je me colle sur le dos de la jeune femme qui a sa réaction a perçu la bosse de ma braguette car ses fesses ondulent discrètement, pour ce qui est de la texture des mamelons je suis déçu, il me semble que la peau va se fissurer tant elle est tendue, mes doigts ont de la difficulté à pénétrer les mamelles
- Je peux poser une question ?
- Vas-y
- Tes tétons sont aussi érectiles qu’avec tes seins ‘d’origine ‘
- Bien sûr, même pire qu’avant, c’est d’ailleurs difficile de ne pas porter de soutien-gorge car mes pulls ou mes corsages ne dissimulent pas cet effet
- Bon Cyril, ça suffit de peloter ma copine
- Vient à côté d’elle que je puisse comparer avec un sein dans chaque mains
Mon véritable but est de les rapprocher afin que leurs souvenirs de jeunesse se ravivent, nous formons un trio très proche, les deux femmes se fixent un moment avant que Marthe n’approche son visage de celui de Pascale qui entrouvre les lèvres pour recevoir la langue rose qui pointe chez Marthe, je dois jouer des coudes pour ne pas être exclu et poursuivre sans être sermonné mon pelotage en règle, je reconnais que les seins de ma femme sont plus agréables au toucher et décide de passer à autre chose car mes mouvements sont limités
Tandis que les nanas se paluchent mes mains passent sous les jupes et trouvent le chemin des entrecuisses, chacune d’elle ignore ce que je fais à l’autre et me laisse donc faire, je ne suis pas au bout de mes surprises lorsque je découvre entre les jambes de Marthe un véritable tapis de poils, cette femme ne s’est certainement jamais épilée, ça déborde de la petite culotte et s’étend des hanches a mis cuisses, je joue à démêler les frisettes du bout de mes doigts, quel contraste avec la chatte de ma femme entièrement épilée où mes doigts débusquent le clitoris, j’allais écarter le tanga de Marthe pour essayer de remonter la source quand elles se sont misent en devoir de m’imiter, j’ai juste eu le temps de me retirer avant que Pascale ne découvre mon audace
- Quelle étrange sensation que de nous remémorer nos souvenirs de jeunesse… mais ? tu es poilue comme un sapeur ?
- Et toi tu as une chatte de petite fille ?
- Encore une comparaison a effec non ?
- Cyril ! tu ne veux pas te taper ma copine tant que tu y es ?
- Je ne demande qu’à rendre service !
- Il me plait bien ton mari ma chérie, depuis un quart d’heure que je sens son érection sur ma cuisse, le pauvre homme doit souffrir coincé dans son slip
- C’est vrai Cyril ?
- A force de vous tripoter les nibards ça donne ment envie
- Jure-moi que tu n’as pas profité de mon moment d’égarement pour lui passer une main au cul ?
- J’ai simplement caressé furtivement une sorte d’animal entre ses jambes
- Salaud, tu me ferais cocue à la moindre occasion ?
- Faites ce que vous voulez je ne bouge pas …
- Allons dans ma chambre, j’ai envie que tu me montre ta toison
Pascale est prise au piège, ses yeux trahissent son excitation, sa petite culotte est trempée, curieuse de découvrir la chatte de sa copine impossible de refuser sans passer pour une arriérée, après m’avoir foudroyé du regard elle prend Marthe par la main
- Tu n’as pas intérêt à bouger toi
- Je vous attends ici, prenez votre temps mesdames
- Tu es dure avec lui, laisse-le au moins regarder ?
- C’est bon, arrive, mais reste à la porte
Pascale s’agenouille au pied du lit devant son amie dépoitraillée et relève lentement le bas de la jupe, médusée elle contemple la forêt de poils noir et bouclé qui déborde du slip et s’entend largement sur le bas-ventre et les cuisses, pour être sûre elle baisse le tanga aux chevilles, pas possible de distinguer une fente parmi cette jungle, ma femme s’aide de ses doigts pour séparer le tapis entremêlé par les boucles, enfin les lèvres apparaissent, luisantes entrebâillées et reliées entre-elles par des filaments de mouille, c’est alors que Marthe arque son ventre et pèse sur le crane de mon épouse afin de l’inciter a lécher
- Bouffe-moi comme au bon vieux temps salope !
- Tu sens toujours aussi fort mais j’aime ça !
Marthe se laisse tomber à la renverse sur le matelas et ouvre son compas, Pascale enfouit son visage entre les deux jambes, les sachant occupée pour un bon moment je fais le tour du lit et baisse rapidement pantalon et slip, je m’approche de la femme qui tend la main vers ma queue pointée en avant et l’engouffre, mes mains entreprennent de peloter les seins qui ne s’affaissent pas même en position allongée… finalement je préfère le quatre-vingt-cinq B de ma femme , je n’avais pas remarqué que les dessous de bras étaient assortis à l’entrejambe, quelle étrange femme … soudain pascale reprend son souffle et relève la tête, nous somment pris en flagrant délit de fellation juste au moment où j’allais gratifier Marthe de mon généreux foutre
- Vous me prenez pour une buse ? si vous croyiez que je n’entendais pas les succions
- Ton mari a une trop belle bite
- Tu ne me lâcheras pas avant de te l’avoir mise entre les cuisses ? vient ici Cyril, prend ma place je vais m’assoir sur sa figure, t’as intérêt à me bouffer comme autrefois !
- Tu ne vas pas regretter de me prêter ton mec… hhhaaaaaaaaaa quelle queue, elle me remplit biiiiiiieeeeeeennnnnnn ! donne-moi ta figue.

.. huuuuuuuummmmmmmmmmm
La nuit a été rude pour moi, je me suis farcie les deux femmes à tour de rôle ou simultanément, superposées, quelques coups dans une chatte et quelques autres dans l’autre, j’ai bu énormément aux sources intarissables tandis qu’une bouche me faisait reprendre vigueur, finalement les gros seins sont bien utiles pour une cravate de notaire ! et je ne parle pas des anus … je ne souhaite à personne une telle épreuve …surtout que Marthe est restée huit jours !

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