Une Amie Qui Est Devenue Ma Femme

Une amie qui est devenue mon épouse

Voici une histoire qui a commencée il y a bien longtemps (une quinzaine d’années) et qui aujourd’hui, est toujours d’actualité.
Dans l’entreprise ou je travaillais, une jeune femme fit son apparition.
Elle s’appelle Bernadette, petite blonde, assez mince de vingt sept ans, mariée 2 s.
Quand pour la première fois je l’aperçue, je fus très rapidement attiré par sa beauté, elle était très coquette, et attirait le regard de bien des hommes, tout de suite, entre nous le courant passa.
Le midi nous déjeunions bien souvent ensemble, au fil des mois, elle devint très rapidement une très bonne amie.
Les années passaient, j’étais toujours aussi attiré et captivé par Bernadette qui était toujours aussi jolie.
Je ne manquais pas l’occasion de lui faire des petits cadeaux : anniversaires, étrennes qu’elle appréciait bien sûr.
Elle acceptait quelques baisers, et me laissait la caresser superficiellement lorsque nous parvenions à être seul, mais cela n’allait pas bien loin.
Je savais que son mari, ne s’occupait que très rarement d’elle, il la délaissé, je l’avais vu plusieurs fois en charmante compagnie qui ne laissait aucune équivoque quand à leur relation..

Son anniversaire étant au mois de mars, je me risquais de l’inviter un vendredi midi au restaurant, elle venait d’avoir trente cinq ans, à ma grande surprise elle accepta, j’avais retenu une table pour douze heure trente, le repas s’était très bien déroulé, nous avions plaisanté et bien rit.
Au cours du repas, elle se confia à moi me parla de ses s et de son mari avec qui elle ne s’entendait pas trop bien mais qu’elle ne voulait pas quitter, je la sentais heureuse d’être avec moi, je profitais de la situation, aidé en cela par le vin et l’apéritif pour lui signifiait que pour l’occasion je désirais lui offrir un petit cadeau mais que j’avais besoin d’elle pour l’acheter.
Elle me regarda, et me demanda qu’est ce que c’était.


Je lui répondis que c’était des sous vêtements, elle paraissait surprise et avait légèrement rougie, je lui demandais si cela lui faisait plaisir.
Elle me répondit que oui, mais que ce n’était pas la peine, j’étais très heureux qu’elle accepte.

Le repas terminé, je réglais l’addition, nous nous sommes alors dirigés vers un magasin de sous vêtements féminin que j’avais repéré, car tout cela était bien entendu murement réfléchi.
La vendeuse nous présenta plusieurs modèles, son choix se porta sur un soutien gorge à balconnets et un petit slip brésilien, le tout en dentelle rouge, elle prit deux taille et se dirigea vers la cabine d’essayage, moi je m’assis en attendant.
Cela faisait environ dix minute qu’elle était entrée, quand le rideau s’ouvrit légèrement et elle me fit signe de venir.
Surpris je m’avançais, elle ouvrit légèrement le rideau en me demandant ce que j’en pensais, j’avais devant moi une très jolie jeune femme en sous vêtement, qui ne cachait pas grand-chose de son anatomie, j’étais très surpris et je sentais la chaleur me monter au visage je ne perdais pas une miette du spectacle qui s’offrait à moi : elle avait de très jolis petits sein 85B de petites et bien jolies cuisses des petites fesses qui paraissaient nerveuses et légèrement rebondies, je la félicitais pour sa beauté et lui signifiais que cela lui allait très bien.
Elle se rhabilla et nous quittâmes le magasin, en sortant elle me sauta au cou, me donna un baiser assez appuyé et me remercia.

Les moi et les années passaient, j’avais pris pour habitudes à l’avenir de lui offrir bien souvent des sous vêtements en cadeau ce qui me faisait fantasmer à l’idée du spectacle qu’elle me donnerait.
Bien souvent nous nous sommes retrouvés au cours de ces dernières années dans la voiture entrain de s’embrassait tout en la pelottant, j’ai bien sûr tenté d’aller un peu plus loin, sans toute fois dépasser le cadre des caresses, elle me disais qu’elle ne voulait pas tromper son époux, si elle avait su pour son mari, car lui ne se privait pas, maintenant j’en avais la certitude.


Il y a trois ans, ne pouvant aller avec elle acheter son cadeau de fin d’année qui était bien sûr des sous vêtements, elle vint un dimanche matin chez moi pour me les faire voir.
Elle eut tôt fait de se déshabiller entièrement pour les essayer, elle était trés exhibitionniste, de plus voyant que cela m’excitait, elle me fit un strip teaser pour m’allumer, je me levais et la caressais en l’embrassant, je l’entrainais vers la chambre, un peu réticente elle accepta.
Couchés sur le lit, nous nous embrassions, nous caressant, j’écartais ses cuisses et me mis à la lécher, elle voulu se soustraire à cette caresse qu’elle m’avait toujours refusé, mais je la tenais fermement j’aspirais son petit bouton en le mordillant, elle appréciait maintenant la caresse, elle enserrait ma tête entre ses cuisses en se tortillant et en poussant de petits cris, elle mouillait abondamment, j’enfonçais ma langue dans les profondeurs de son intimité, elle eu un petit orgasme, je voulais aller plus loin, mais elle se leva et me signifia que non, j’étais un peu contrarié, elle me fit un baiser, se rhabilla, nous avons alors continué à discuter en s’embrassant.

Les mois passèrent, nous avons continués à nous voir, elle avait pris pour habitude de m’emprunter de petites sommes d’argent car elle avait du mal à terminer certains mois, bien sûr elle me faisait des chèques que je devais présenter chaque mois.
Elle avait maintenant son compte personnel preuve qu’avec son mari ce n’était pas le top !
Il y a de cela six mois, un jeudi soir elle vint me voir, elle était habillait très sexy : petite jupe noire assez courte, un petit haut rouge transparent, elle avait mis des dim up, elle était très attirante et paraissait bien ennuyé, elle m’embrassa et me demanda si je pouvais lui prêter huit cent euros, c’était beaucoup plus que les fois précédente, elle me dit qu’elle était dans le rouge à la banque, et qu’elle ne savait pas comment faire.
Je lui dis que oui et lui fit un chèque qu’elle déposerait sur son compte, elle me fit quatre chèques que je devais présenter à des dates fixes.

En plaisantant je lui demandais quels été mes intérêts, elle me regarda et me demanda combien je voulais, je lui répondis que je souhaitais des intérêts en nature, tu veux quoi me dit elle.

Je lui fis signe de se mettre sur mes genoux, elle se positionna à califourchon face moi, sa petite jupe s’était retroussée et laissait entrevoir un joli petit slip brésilien rouge que je connaissais.
Je l’embrassais, en défaisant son petit haut et dégrafais son soutient gorge , ce qui libéra ses seins que je me mis a caresser et à sucer activement, je passais ma main sous sa jupe et me mis a caresser sa petite chatte qui déjà mouillait passablement, j’introduisis un puis deux doigts et me mis à la pistonner, elle transpirait et soufflait tout en se tortillant sur mes genoux, elle appréciait , je l’embrassais par de langoureux baisers, elle était maintenant toute nue et en sueur, je mis sa main sur ma braguette qu’elle défit, elle attrapa ma queue, fit quelques va et viens, se pencha et pour la première fois me fit une fellation, elle aspirait et léchait ma queue avec application, je transpirais et sentais le plaisir monter rapidement, je lui fis signe d’arrêter que j’allais éjaculer, elle me garda en bouche, me fixant dans les yeux , j’ explosais dans sa gorge et sur sa figure.
Elle se leva se rhabilla, me fit un petit baiser et me quitta.

Nous avions décidés d’aller le samedi midi au restaurant, nous nous étions donné rendez vous à 12H30, j’étais un peu en avance, elle arriva, me fit un petit baiser, elle sentait bon et s’était particulièrement mise en beauté : petite jupe assez courte noire, dim up, un petit haut sépia, un peu coquin qui laissait entrevoir la naissance de ses petits seins, elle avait mis le dernier sous vêtement rouge que je lui avait offert que j’apercevais dans son décolté entre ouvert, de plus fait assez rare, elle s’était maquillé les yeux, elle était très joli, j’y fis allusion et la félicitais pour sa beauté.
Le repas qui était délicieux fut très agréable, nous avions discuté de choses et d’autres, elle me remercia encore pour l’aide que je lui avais apporté.

Nous étions au dessert et j’en profitais pour lui dire que je la trouvais très jolie et très désirable, ce qui la fit rougir, j’en profitais pour lui dire que mon seul regret était qu’elle ne veuille pas aller plus loin avec moi.
Elle leva la tête, me regarda, mais ne répondit point.
Après avoir bu le café, en discutant, je réglais l’addition et nous quittâmes le restaurant.
Nous nous retrouvèrent dans ma voiture, je la pris dans mes bras et je l’embrassais, elle n’était pas comme d’habitude, elle était relâchée et câline et me demanda si j’acceptais de lui offrir le champagne chez moi.
J’étais très surpris, et content, bien sûr j’acceptais cette excellente idée.

En buvant le champagne, et en parlant, ce n’était plus la même personne que j’avais en face de moi, j’en profitais pour me rapprocher d’elle la prendre dans mes bras et lui donner un profond baiser auquel elle s’abandonna en se blottissant dans mes bras, je la caressais.
Soudain elle se leva, me tendit la main pour que je me lève, et me dirigea vers la chambre, elle se dévêtit entièrement, je la regardais un peu surpris et je fis de même, nous retrouvâmes dans le lit enlacés.
A ce moment précis je su qu’elle avait pris la décision que j’attendais depuis bien longtemps.
Nous sommes caressés, embrassés pendant un long moment qui nous paru bien court ….
Sa petite chatte coulait abondamment sous les caresses et les pénétrations de mes doigts, je me positionnais entre ses cuisses bien ouvertes et me mit à la sucer, je mordillais et aspirais son petit bouton, elle m’enserrait la tète avec ses cuisses tout en se tortillant, nous étions en sueur et prenions beaucoup de plaisir.
J’étais au dessus d’elle, l’embrassais, quand elle écarta ses cuisses au maximum, nos deux sexes se touchaient, ma queue était dure et me faisait mal, elle prit ma bite et la dirigea vers sa minette en me disant de faire doucement car çà faisait assez longtemps qu’elle n’avait pas fait l’amour.

Je poussais lentement et pénétrais son intimité tant convoitée, je me mis à la pistonner, lentement puis plus violemment, lui arrachant des cris de plaisir, elle se raidit, et eut un puissant orgasme, je mis ses jambes sur mes épaules de façon à la pénétrer plus profondément, je sentais ma queue buter au fond de son vagin, elle grimaçait légèrement, je lui demandais si elle avait mal , elle me répondit que non, que c’était trop bon.
Je me retirais de cette chatte ruisselante, lui demandais de se mettre à quatre patte pour la prendre en levrette, je la percutais et m’enfonçais d’un trait au fond de son minou, elle couinait et m’encourageait de la voix à la prendre plus violemment ;
Tout en la pilonnant vigoureusement, ayant une vue imprenable sur son petit et très joli cul, son petit et surement inviolé anus m’attira, au début je passais mon doigt et tentais de le pénétrer, sentant l’intrus elle se contracta et me dit que non car elle ne l’avait jamais fait et avait peur d’avoir mal.
En me penchant j’attrapais un tube de gel dans la table de nuit, j’en mis sur mon doigt et son petit trou, tout en continuant de la pistonner, je faisais coulisser mon doigt dans cet endroit inviolé, elle ne disait rien et semblait prendre quelques plaisirs.
Lorsque je la sentis prête, je présentais ma queue sur son anus, elle se contracta, impossible de la pénétrer, j’abandonnais et continuais de lui limer la chatte tout en lui caressant le clito, elle gesticulait et prenait bien du plaisir, elle eu un petit orgasme et se relâcha, je profitais de ce relâchement pour la pénétrer analement, ma queue rentra très facilement, elle poussa un cri et se raidit une fois introduit dans cet étroit et très serré canal, je n’osais bouger, c’est elle qui bougea lentement au début et me fit comprendre que je pouvais y aller.
Après l’avoir pistonné pendant un bon moment, j’éjaculais dans son petit cul, en me retirant un liquide jaunâtre coulait sur ses cuisses.

Fatigués mais heureux nous nous dirigeâmes vers la salle de bain pour prendre une bonne douche.
Depuis ce jour nous avons refait l’amour régulièrement.
Bernadette a quitté son mari, au moment ou j’écris ces quelques mots, nous vivons ensemble.
Nous coulons des jours heureux, Bernadette s’est révélée une partenaire délicieuse dans la vie et adore faire l’amour.

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