Le Cocufiage De Mon Mari Soumis

Bonjour aux lectrices et aux lecteurs.
Je me présente, je m’appelle A. j’ai 30 ans et je suis mariée avec C., 33ans. Depuis presque 2 ans, mon cher mari a souhaité devenir mon soumis. Bien que je trouvais l’idée tentant, je ne voulais pas d’un soumis 24h/24. Nous avons donc commencé une relation D/s assez soft, pas tous les jours, et petit à petit j’ai pris gout à sa soumission. Avec le temps, nos jeux duraient de plus en plus longtemps, surtout depuis l’achat d’une cage de chasteté pour sa petite bite … Comprenez une chose, mon cher soumis a été plutôt bien gâté par la nature, mais il est de mon devoir de Dominatrice de lui rappeler qui détient le pouvoir, et l’humilier de la sorte fait partie de ces petits rappels. Il faut dire aussi que la cage à pénis lui donne vraiment l’impression d’en avoir une toute petite… Bref ce n’est pas le sujet de mon histoire de sexe. Tout ça pour dire que maintenant, mon mari passe plusieurs jours (voir des semaines) non-stop dans sa cage, avec quelques fois le droit de sortir pour se branler pendant qu’il me fait jouir avec sa langue experte, ou en me regardant avec mes jouets, ou alors seul dans son coin, tout dépend de moi. Je m’accommodais très bien de cette situation, le contrôle de ses orgasmes le rendait très docile, avenant et serviable. Mais les rares fois où je l’autorisais à me faire l’amour, étaient souvent suivies d’une perte de contrôle sur lui, et mes jouets étaient loin d’être suffisant pour mon plaisir … quel dilemme … mes godes me faisaient de moins de bien, et quand mon homme me faisait l’amour, il était tout de suite moins soumis … je connaissais la solution, je savais aussi que mon gentil mari en serait enchanté. J’avais besoin d’un autre homme, un vrai mec juste là pour me baiser quand j’aurais envie de prendre mon pied. Mais je ne me sentais pas encore prête à chercher ce genre d’étalon. Humilier mon mari était une chose, mais le faire cocu en était une autre. Il m’assurait que son amour et sa soumission pour moi ne cesserait jamais tant que je serais à ses côtés.

En fin de compte sans avoir été sur des sites de rencontres ou autre, la solution est venue d’elle-même, très naturellement, un matin où j’emmenais les s à l’école…
Ce jour-là, après l’école, je devais aller faire les courses. Je me suis alors habillée d’une petite robe moulante, avec un beau décolleté. La robe était juste assez longue pour cacher les bas de mon porte-jarretelle. Je venais tout juste de finir de me maquiller lorsque C. s’est réveillé. Comme d’habitude, il s’est prosterné à mes pieds et les a embrassés tout en me complimentant sur ma tenue, me disant que j’étais magnifique. Pour toute réponse, je lui ai ordonné de préparer le petit déjeuner pendant que je finissais de me préparer et d’aller réveiller les petits. Une fois le petit déjeuner pris et tous prêts à partir, j’ai fait exprès de bien me pencher pour mettre mes escarpins à talons, de sorte que mon soumis, derrière moi, puisse voir ma lingerie, mais aussi que je ne portais pas de culotte … Je lui ai lancé un petit regard et je remarquais le désir dans ses yeux. Avec un petit sourire je lui souhaitai une bonne matinée, et que peut être je trouverais la solution à mon problème. Je vis alors une pointe de jalousie et de peur dans son regard, mais il me répondit simplement « Bonne matinée ma Reine ».
En fin de compte je n’ai pas eu besoin d’aller bien loin pour la trouver cette solution. J’avais déjà remarqué plusieurs fois que l’un des papas de l’école me regardait souvent. C’est vrai qu’il était plutôt mignon, nous avions déjà un peu discuté et je savais qu’il avait 26 ans et qu’il s’appelait David. Moi-même je ne pouvais m’empêcher de jeter un regard vers lui. En même temps, quelle femme n’aurait pas détourné son regard vers ce beau métisse musclé et toujours bien habillé ? Ce jour-là il portait une chemise cintrée, mettant ces muscles en valeurs, et un jean qui lui moulait parfaitement bien les fesses. Une idée folle m’est alors venue : et si je le tentais ? Je me suis dirigée vers le portail de l’école, passant à côté de lui, pour lui dire bonjour avec un grand sourire.
Bingo ! Il me répondait tandis que ses yeux me scrutaient de haut en bas. Je me suis alors placée devant lui, mon idée folle toujours en tête, après tout il n’était pas le seul derrière moi … mais tant pis, je me lance !
Les joues déjà rouges et le cœur battant, je me suis alors penchée légèrement pour embrasser mes s avant de les laisser franchir le portillon de l’école. Pas assez penchée pour mettre mon vagin à découvert, (même si un peu d’air frais lui aurait fait le plus grand bien tant il était chaud à ce moment) mais juste assez pour découvrir mes bas et la frontière de mes fesses. Je me suis redressée sans oser me retourner, sentant une chaleur étrange dans mes joues et le bas de mon ventre. Puis soudain, alors que je suivais mes s du regard, une voix douce s’éleva derrière moi : « Tu es superbe aujourd’hui A. » C’était David bien sûr, mon petit stratagème a dû fonctionner, car il se tenait juste derrière moi, vraiment très proche. Si proche, qu’en me retournant pour lui faire face, je me suis retrouvée à quelques centimètres de son beau visage. Il me regardait avec un désir non-dissimulé, son petit sourire me faisait craquer. Il me proposa de venir boire un café, ou un thé chez lui, car sa femme n’était pas là. Prise au dépourvu devant son invitation, je n’ai pas réfléchi et j’ai accepté. Je venais de prendre une décision que je ne regretterais pas. Je suis donc montée dans ma voiture, et je l’ai suivi jusqu’à sa maison. Une fois garée, je suis sorti de la voiture, les jambes légèrement tremblante. Il m’attendait dans l’allée, me regardant toujours avec envie. Arrivée à son niveau, il posa sa main sur ma hanche pour m’inviter à continuer vers l’entrée, et l’enleva en m’accompagnant, en prenant soin de caresser légèrement mes fesses au passage. Il ouvrit la porte, me fit entrer, et referma derrière lui. Le bruit de la porte résonnait comme un coup de canon … qu’allais-je faire avec lui, oserais-je quoique ce soit ? Il m’invita gentiment à m’asseoir dans son salon et me proposa à boire.
Je n’aime ni le café et il était bien trop tôt pour une boisson alcoolisée, même si cela m’aurait peut-être aidée à me libérer un peu de cette appréhension. J’ai donc choisi un thé. Il m’a laissée seule, le temps de préparer, et pendant ce temps, j’essayais de me faire le film de ce qui pourrait arriver.
Mon téléphone se mit à vibrer : mon tendre mari qui me demande si je suis déjà partie en courses ou si je repasse par la maison … je lui répond clairement : « Je vais faire les courses, mais rien ne dit que je ne ferais pas une halte quelque part si un beau mec viens m’accoster. Ce n’est pas pour rien que je me suis fait toute belle. Dans tous les cas la maison à intérêt à être propre. A tout à l’heure esclave. » J’étais assez fière de mon message, clair et cinglant, qu’il comprenne bien que ce que je fais ne le regarde en rien. Il me répond un simple « bien Maîtresse », et l’instant d’après, David faisait son retour avec les boissons.
Nous discutons un peu pendant que nous buvons, il est très gentil et attentionné. Évidemment ma tenue est vite venue sur le tapis. C’est lui qui en a parlé en 1er :
« Je me répète peut-être, mais tu es vraiment magnifique dans cette tenue. Il est rare de croiser une femme en porte-jarretelle à l’extérieur. Surtout quand elle se penche avec un homme derrière elle tu ne crois pas ? »
Il me fit un clin d’œil en finissant sa phrase. Le coquin ! Il avait tout vu et avait parfaitement compris mon stratagème. Alors je me suis lancée, je lui ai dit que je cherchais un homme plaisant qui deviendrait mon amant, peut-être même dans le futur, le seul homme qui me baiserait. Et si en plus il était doué et bien membré c’était un plus. Il buvait mes paroles, et me demanda pourquoi un amant, est-ce que mon mari ne me suffisait plus ? Je lui expliquais alors la situation. La position de mon mari dans notre couple, sa chasteté etc… il avait l’air très intéressé. Tellement intéressé, qu’il finit par poser sa main chaude sur ma cuisse.
Un frisson parcouru tout mon corps, de ma cuisse, jusqu’au bout de mes seins. Mais je ne bougeais pas, au contraire, je sorti mon téléphone pour lui montrer les photos de la petite bite de mon mari en cage. Il s’est mis à rire en voyant ce petit bout de chair, prisonnier dans sa prison de plastique :
« Tu m’étonne que tu cherches quelqu’un d’autre ! Tu mérites quand même mieux que ça ma belle. Je pense même avoir exactement ce qu’il te faut. »
Il posa alors la main sur la bosse que formait son sexe sous son pantalon. En effet, il n’avait pas l’air de mentir, à première vue il avait l’air plutôt bien équipé le bougre. Peu à peu mes appréhension laissaient place à l’envie. David l’avait surement remarqué, car il commença à remonter sa main vers mon vagin, tout en approchant son visage du miens. Tout ce cirque n’avait que trop duré, à force de tourner autour du pot, on finit par le casser… alors j’ai plongé sur sa bouche… j’ai collé mes lèvres contre les siennes, l’instant d’après, sa langue se retrouvait enlacée avec la mienne et nous avons échangés un merveilleux baisé. Sa main toujours plus haut sur ma cuisse, pendant que l’autre plongeait dans mon décolleté, je mouillais comme une adolescente en chaleur. Il entra enfin en contact avec ma chatte brûlante et trempée de désir, retira sa bouche de la mienne et me dit :
« Pas de culotte ? t’as bien préparée ton coup, coquine ! »
Il enfonça alors ses doigts dans mon antre tandis que sa bouche venait lécher et sucer le bout de mes seins, qu’il venait de faire sortir de ma robe. J’eu un orgasme instantané ! Je suis une coquine ? Pas de soucis, le mot était encore bien faible mais je préfère le mot coquine à d’autres mots crus, qui ne vont pas avec mon statut de dominatrice. Il continuait de me faire venir avec ses doigts si agiles, alternant entre mon point G et mon clitoris … quel bonheur… Après un moment, j’ai finalement réussie à lui dire d’une voix forte et sans détour :
« Va te laver la queue beau gosse. Car je vais te la sucer à fond ! »
Il se leva rapidement et sortit du salon sans un mot. J’en ai profité pour enlever ma robe, pour lui laisser voir tout ce qu’il n’avait fait qu’entrevoir devant l’école. Il revint très vite, totalement nu… mon dieu quel homme ! Des pectoraux saillants, des abdos en béton, et une bite magnifique. Ce bel étalon métisse à la queue d’acier venait vers moi, alors que je me caressais en le dévorant du regard.
« Alors ma belle, c’est autre chose que la petite bite de ton mari non ? »
« Oh oui David ! Approche là de ma bouche que je lui fasse une bonne pipe. »
Il ne se fit pas prier, et mis son énorme sexe à ma disposition. Je l’ai alors pris dans ma main, elle n’en faisait pas le tour … ça c’est ce que j’appelle une bite ! Toutes mes appréhensions avaient disparu devant son corps de rêve et sa super bite. Je n’avais plus qu’une envie, le sentir en moi. J’ai alors commencée à le masturber avec une main, puis 2, tout en lui léchant le gland, la tige. Finalement, il mit sa main derrière ma tête pour me tenir les cheveux, et j’enfonçais son sexe dans ma bouche, non sans difficulté. Oui c’est vrai, la bite de mon mari n’était pas réellement petite, mais jamais je n’ai eu la bouche aussi bien remplie qu’avec le pénis de David, et malgré la difficulté, je m’appliquais à le sucer comme si ma vie en dépendait, je voulais lui donner un maximum de plaisir dans l’espoir dans recevoir tout autant en retour. J’ai tenu quelques minutes, à faire glisser son sexe dans ma bouche, aspirant son gland et le refaire pénétrer entre mes lèvres, avant que ma mâchoire devienne douloureuse. Mais heureusement il me fit me remettre debout et m’embrassa encore langoureusement. J’étais en train de m’abandonner totalement contre lui. Non je n’étais pas une salope, j’étais devenue sa salope personnelle et il avait largement gagné le droit de me baiser.
« Je veux ta grosse bite dans ma petite chatte maintenant. Baise-moi s’il te plaît… »
Mes derniers mots étaient presque suppliants. Il m’allongea alors sur le canapé, et vint se placer au-dessus de moi. Je sentis alors son gland, bien gonflé de désir contre mes lèvres. Je fermais alors les yeux, prête à recevoir son engin, mais …
« Tu es prête à le faire cocu ? Une fois ma queue en toi il sera trop tard … »
Mais je n’avais plus aucun doute sur la question. La seule chose dont j’étais sûre, c’est que je le voulais en moi. Tant pis pour mon cocu de mari, il pourra toujours se branler non ? Alors pour toute réponse, je mis mes mains sur ses fesses bien fermes, et je l’amenais contre moi. Il se mordilla les lèvre en suivant mon attraction… Oh bordel que c’est bon ! Son gland m’écartait doucement les lèvres et je sentis chaque centimètre de son énorme sexe, chèques veines contre les parois de ma petite chatte, jusqu’à maintenant fidèle … je poussa alors un cri de jouissance incontrôlable. Je n’avais jamais eu un tel orgasme dès la 1ere pénétration…
C’est à ce moment précis que mon cher mari a décidé de m’appeler. David plongea son sexe au fond de mon antre, accompagné encore une fois d’un gémissement de ma part, et marqua une pause pour que je puisse répondre…
« Allô ? Qu’est-ce qu’il y a ? Je suis occupée là donc fait vite. »
« Pardon Maîtresse. Je voulais juste vous demander de racheter du liquide vaisselle il n’y en a plus. »
« Ok. »
« Vous êtes occupée au magasin ? »
Ah le malin, il voulait savoir ce qui m’occupait. Tu ne vas pas être déçu mon chéri.
« Je suis peut-être occupée dans le magasin, ou dans la voiture… Ou peut-être que tu me dérange pendant que je baise avec un bel inconnu … peut-être que j’en suce un 2eme en même temps... Qui sais ? Tu t’occupes encore de choses qui ne te regardent pas et ça ne me plaît pas. Tu seras puni à mon retour. »
« Bien Maîtresse pardonnez-moi. Prenez tout le temps qu’il vous faudra. »
Et j’ai raccroché sans rien ajouter de plus. Mes occupations ne le regardent en rien, de quoi se mêle-t-il ? David me regardait avec étonnement. Mais il ne dit mot, et continua à me baiser… Il avait vraiment tout pour lui, beau, musclé, monté comme un taureau avec un coup de rein divin. Cela faisait longtemps que je ne comptais plus mes orgasmes. J’hurlais de plaisir à chacun de ses coups de butoir, dans pleins de positions différente. Debout, assise, couchée, par derrière par devant, j’étais devenue une vraie chienne, mais je m’en fichais, tout ce qui comptait c’était le plaisir qu’il me donnait. Au bout de longues minutes d’extases, alors qu’il me prenait en levrette, je le sentis ralentir.
« Tu fatigues ? »
« Non ma belle, je vais sortir car je vais jouir »
« Certainement pas ! Je veux te sentir éjaculer en moi ! »
Sans un mot, il me prit par les hanches, et me donna de puissants coups de reins. A ce moment-là, même si je le voulais, je n’aurais jamais pu me libérer tellement son emprise était forte. Puis soudainement son corps se crispa, son sexe se gonfla en moi pendant qu’il jouissait. Je sentais chacun de ses puissants jets de sperme au fond de mon ventre, et je jouis encore plus fort… Il s’arrêta enfin, et retira son sexe, pour essuyer les dernières gouttes de sa semence sur mes fesses. Je sentais déjà son jus s’écouler abondamment de mon vagin béant…
« Oula ! Ça déborde on dirait, tu t’es bien lâché … »
« J’imagine que ce n’est pas ton mari qui le ferait, donc je le fais à sa place. Heureusement qu’il n’est pas là pour voir ça ! »
« Tu parles, s’il était là, il serait déjà à genoux en train de me nettoyer la chatte avec sa langue tellement il aime me la lécher. Il serait même bien content de lécher ton sperme, ça serait une manière de te remercier d’avoir donné tant de plaisir à sa femme. »
« Et bien la prochaine fois alors ? »
« Pourquoi pas … »
La matinée avait bien avancée mine de rien, et je devais encore aller faire les courses. Je me suis rhabillée, et après un dernier baisé, je suis partie. Je repensais à chaque instant passé avec David, j’avais déjà hâte de le revoir. Je suis rentrée à la maison, bien fatiguée mais tellement comblée, j’avais même oubliée que mon vagin continuait de faire sortir quelques coulées de sperme et de mouille par moment. C’est là que j’ai eu une super idée. Il était temps qu’il sache…
Je suis donc rentrée dans la maison, mes sacs de courses à la main. Mon gentil soumis s’est précipité à mes pieds, et m’a pris les sacs pour les mettre dans la cuisine. Je passais vite un doigt entre mes lèvres … parfait il en restait encore bien assez…
« Laisse les sacs et rejoins-moi dans le salon pour ta punition ! »
Il entra alors et se mit à genoux devant moi, le regard baissé.
« Regarde-moi ! mais pas dans les yeux. »
Je fis alors glisser ma robe le long de mon corps. Ses yeux se remplirent de désir. Mais il allait vite déchanter. Je reculai pour m’assoir sur le canapé, et écarta les jambes en lui ordonnant de venir me lécher la chatte. Il ne se fit pas prier… ah qu’il est doué avec sa langue à défaut de l’être avec sa petite bite. Lui aussi avait l’air d’aimer ça le cochon. J’ai alors fermé les yeux et j’ai profitée de sa langue durant quelques minutes. Enfin je lui dis d’arrêter :
« Tu aimes me lécher, pas vrai esclave ? »
« Oui Maîtresse, mais votre vagin à un goût étrange, un peu amer … »
« Et alors ça ne te plaît pas ? Tu n’aimes pas le goût du sperme de mon nouvel amant ? »
Il ne répondit rien. Je voyais dans son regard, une lutte entre le mari orgueilleux et le soumis impuissant. Mais comme je le pensais, et heureusement pour moi, le soumis remporta la partie, et il hocha la tête sans rien dire.
« Voilà c’est bien ! Bon petit soumis ! A partir de maintenant, la seule partie de toi qui entreras en contact avec mon vagin, c’est ta langue. C’est la seule façon de te garder sous mon contrôle absolu, et pour être honnête, après avoir testée sa bite, j’aurais du mal à reprendre du plaisir avec la tienne. Donc c’est tout bénef’ pour moi… pour toi un peu moins mais tu t’y feras. »
« Oui Maîtresse. Je ferais tout ce que vous voudrez. »
« La prochaine fois que je verrais David … oui c’est son prénom… je veux que tu sois là pour regarder. Bien que tu ne sois pas son soumis, il est tout de même supérieur à toi. Alors tu l’appelleras monsieur. Et chaque fois qu’il aura fini de me baiser, tu viendras me nettoyer avec ta langue, sans oublier de le remercier de m’avoir donné tout ce plaisir. C’est clair ? »
« Oui Maîtresse, c’est très clair. »
« Aller mon cocu, tu vas aller te branler maintenant, moi je vais m’allonger un peu. »
« Merci infiniment ma Reine. »
Je lui ai alors ouvert sa cage pour libérer sa petite bite. Maintenant que j’ai reçue l’énorme sexe de David, je peux enfin dire de façon justifiée, que celle de mon mari est ridicule … et je ne manquerais pas de lui rappeler … Je suis ensuite partie dans la chambre, le laissant seul dans le salon, sa misérable bite pendait entre ses jambes. Il avait l’air un peu penaud, un peu secoué par son nouveau statut de mari cocu. Regrettait-il de s’être mis sous ma domination totale maintenant qu’il avait perdu le droit de me pénétrer ? Tant pis pour lui il s’y fera. De toute façon nous avons signés un contrat, dans lequel il est bien spécifié que je suis la seule à décider de ce que je veux ou non sur le plan sexuel, et que ça ne le regarde en rien. J’ai fermé la porte du salon, je ne voulais pas entendre les bruits de sa masturbation. Je me suis allongée en repensant à cette fabuleuse matinée … je me suis alors caressée le clito en me refaisant le film de ma baise intense avec mon nouveau mâle. Je pensais aussi à mon tendre cocu qui se branlait dans le salon. La prochaine fois qu’il masturberas son petit pénis, ce sera à genoux, au pied de notre lit, pendant que David me fera hurler. J’avais enfin solutionnée mon problème, j’étais comblée sexuellement, sans perdre mon autorité sur mon mari. Que demander de plus ?
Et je me suis assoupie avec cette pensée … le sourire aux lèvres, la main toujours sur mon vagin « rassasié » …

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