Collection Dominant Domine. Les Filles De Monsieur, Les Filles De Madame (2/7)

J’ai décidé de m’émanciper en quittant mon père et ma mère le jour de mes dix-huit ans, j’ai tout préparé, sac à dos avec du rechange, tenue sport pour être à l’aise en ce mois de juin, sans pour autant perdre ma féminité.
J’ai même prévu une bombe de défense sans penser que le chauffeur de la limousine qui s’arrête pour me prendre en stop la mettrait dans le coffre et qu’elle me serait bien inutile.
Dans cette immense limousine, comme on en voit dans les films américains, un homme d’une cinquantaine d'années tout habillé de blanc comme sa voiture me fait asseoir.
Il me pose des questions et étant insatisfait de mes réponses, me donnent de violents coups de sa canne à pommeau, je tente de m’échapper, mais je comprends que le manoir ou la voiture est entrée est entouré de hauts murs infranchissables pour moi.
J’accepte d’être conduit dans une chambre à gauche dans le couloir, alors qu’il y a des portes identiques à droite d’où sort Lucia la jolie blonde aussi dénudée que moi qui semble subir les foudres de la soubrette qui les surveille.

À la fin du repas, je suis conduite au deuxième étage devant une porte à gauche alors que Carla et une belle rousse entrent dans une chambre à droite.
Celui que j’ai surnommé le pingouin à cause de sa tenue me fait entrer, celui que tous appellent Monsieur et qui est l’homme en blanc de la limousine avec sa rose rouge est là, allongé sur un immense lit et qui se caresse la queue.

• Entre Carla, viens me sucer la queue !

C’est la phrase qu’il prononce dès que j’entre dans cette chambre qui doit couvrir la moitié du deuxième étage du manoir.

• Comment ça, venir vous sucer la queue, je n’en ai pas envie ?

Monsieur prend sa canne et la tape dans sa main.

• Ça ne t’a pas suffi dans la voiture, veux-tu que ma canne s’abatte sur tes jolies fesses, ici tu es ma chose, je te dis de venir me sucer alors tu viens me sucer, depuis que je forme des filles pour qu’elles soient de parfaites épouses, aucune ne m’a résisté, Fillette m’a bien aidé.


Veux-tu goûter à Fillette ?

Je comprends que Fillette c’est sa canne, je me souviens que je n’ai qu’une guêpière me dénudant le cul et que des coups de cannes ce ne doit pas être agréable, alors je m’avance.
Une fellation, je n’en ai jamais fait, certes, j’ai perdu mon pucelage le jour du passage de notre bac avec le fils de Lucas mon parrain, l’associé de papa dans le cabinet d’architecte ou maman travaille aussi, ça s’est fait sur le siège arrière de la voiture de son père et je n’ai eu aucun plaisir qu’un léger saignement.
Je prends cette queue très longue dans ma main, j’ai vu celle d’Adrien avant qu’elle entre en moi grâce à la lune qui éclairait l’intérieur de la voiture, rien à voir avec cette longue tige que je dois avaler.
J’avance ma bouche, la faisant entrer de quelques centimètres, je crache, Monsieur me donne un violent coup de canne sur les fesses, je manque de le mordre, car je venais de le remettre dans ma bouche.

• Mince, elle ne sait pas sucer, mon dieu, elle m’a mordu.

Je vois qu’il tend son bras et appuie sur un bouton, deux minutes, la porte d’ouvre et Albert et Léon entrent après avoir frappé.

• Messieurs, descendez Carla à la cave et apprenez-lui à sucer, si demain elle n’a pas progressé, je la donnerais à Madame, elle saura peut-être brouter des chattes, avant de l’emmener, allez me chercher Jennifer, à ce jour, c’est la reine du pompage de bite.

Albert part et revient avec la fille qui était deuxièmes dans notre colonne de gauche, elle a les cheveux bruns presque noirs coupé comme un garçon, peu de seins, car elle est nue.

• Mademoiselle Jennifer dormait Monsieur, elle est contente que vous ayez besoin d’elle.
• Emmenez Carla.

Carla, j’ai du mal à m'y faire, je m’appelle Juliette, je le rappelle, c’est Monsieur qui m’a affublé de ce nom.
Nous redescendons, la porte franchie par Lucia tout à l’heure, car elle avait répondu à ma question, s’ouvre, me tenant chacune par un bras, nous descendons dans ce qu’ils appellent la cave.


• Clodette, tu es là, qu’est-ce qu'Aurore a encore fait pour que tu lui caresses les fesses avec ton fouet ?
• Elle a refusé de sucer Lucia, elle refuse de se faire sauter en trio.
• Puisque nous sommes là, Carla, je fais les présentations, Clodette, ma femme et Magali, celle de Léon, nous nous occupons des filles de Monsieur et nos femmes de celles de Madame.
• Qu’est-ce qu'a fait la nouvelle pour se retrouver ici ?
• Elle ne sait pas faire de fellation, nous devons la former sinon demain elle deviendra la cinquième suceuse de chatte de Madame, vous la prendrez en mains.

On pourrait me demander mon avis, mais dans ce manoir, les filles qu’ils récupèrent semblent être-là pour être dominées, je ne serais pas opposée à sucer des chattes, mais ne faire que cela, je décide d’être docile, de bien apprendre et de dépasser Jennifer comme numéro une des suceuses de bites des filles de Monsieur.
Pendant ce temps, Aurore, attachée par des menottes à une croix, recommence à recevoir le fouet, je n’avais pas vu dans sa bouche une boule l’empêche de crier.

• À nous, on va te donner une leçon de masturbation, caresse de couilles et fellation.
• Albert, ne veux-tu pas que je commence par lui assouplir la peau du cul avant qu’elle te suce ?
• Magali, occupe-toi de celui d’Aurore, nous aurons bien des occasions de fouetter Carla dans les jours prochains, tu connais Monsieur.

C’est ainsi que je me retrouve à sucer les bites d’Albert et Léon, je suis attentionnée, merde, je suis en train de perdre de mon agressivité naturelle.
Pendant un long moment, les deux hommes ayant sorti leur queue m’apprennent à sucer les mecs, c’est facile, je progresse vite.

• On remonte les hommes, on ramène Aurore à Madame, elle est partante pour une partie à trois, Madame va aimer la sucer en lui caressant les fesses bien rougies, un bon fouettage, ça ramollit mentalement, mais ça raffermit les rondeurs.

Êtes-vous sûr qu’un petit fouettage de ce joli postérieur déplairait à Monsieur ?
• Dégagez, vous ne perdez rien pour attendre quand nous en aurons terminé avec Carla, c’est vous qui allez ramasser dans nos appartements.
• Nous reviendrons peut-être ici.

Nous reprenons notre cours, j’arrive à les faire entrer dans ma bouche de plus en plus loin, je manque de vomir une fois ou deux, mais je finis par les avaler jusqu’aux couilles.

• C’est bon Léon, elle va finir par me faire décharger, demain quand Monsieur la reprendra en main, il appréciera d’en retrouver une qui fait des gorges profondes, ça lui manque depuis que Sandra a épousé un banquier suisse.
Demain quand la cloche sonnera, tu mettras la tenue de sport que nous t’avons apporté quand tu étais avec Monsieur avant qu’il ne te vire, quand la sonnerie retentira, tu devras sortir dans les trois minutes dans le couloir, sinon retour à la cave, et là tu connaîtras la croix et le fouet.
Tu feras la connaissance de Sébastien votre prof de sport et Valérie sa femme qui s’occupera des brouteuses de chatte, rappelle-toi, trois minutes à moins que tu ne choisisses nos fouets et nos verges, tu ne t’en tireras pas par une simple fellation.

Ils me font remonter dans ma chambre, j’enlève ma guêpière libérant mes seins étant compressés, ce n’est pas pour autant qu’ils tombent, ils sont d’un maintien parfait.
Après un bain, je me couche, les draps sont en soie, je finis par mettre le drap du dessus entre mes jambes et leur douceur frottant mon clitoris m’apporte un plaisir intense, je dors comme un bébé, contente d’avoir été enlevé par Monsieur, son centre de dressage me plaît.
La sonnerie me rappelle à l'ordre, je m’étire, merde, trois minutes pour être prête, je prends le temps pour m’étirer, pas le temps de passer par la salle de bain, il va falloir que je fasse attention à mes mots dans ma tête, le merde que je viens de prononcer risque de m’attirer des soucis, il est fréquent qu’il sorte de ma bouche.

Survêtement blanc, je le passe sans sous-vêtements, mais je prends le temps de mettre soquette et basket, elle aussi blanche, j’entends des portes s’ouvrir, j’allais dire merde, je l’efface de ma mémoire, pourquoi à part la sonnerie aucune pendule ne montre l’heure dans cette chambre.
Je sors la dernière, Albert me regarde d’un œil noir, je comprends que je dois avoir passé le temps de quelques secondes, mais il semble m’avoir à la bonne, car il ne dit rien, la prochaine fois, je ferais gaffe, il risque d’être moins magnanime.
Les filles des portes droites sont en survêtement rose, baskets et socquettes roses.
Nous descendons, le soleil commence à poindre.

• Bonjour, mesdemoiselles, bonjour à Carla notre nouvelle fille, à ce que je vois, elle doit être sportive, je pense qu’Albert t’a dit que je m’appelle Sébastien, voici ma femme Valérie qui s’occupe des suceuses.
Mes filles n’ont jamais perdu contre elles, je n’aimerais pas que cela arrive pour la première fois aujourd’hui.
Trois tours du domaine, environ dix kilomètres, nous courons devant vous les deux premiers tours, à vous de vous débrouiller pour ne pas être la dernière, celle-là finira à la cave avec ma femme ou avec moi suivant la couleur de son survêtement.

Il faut courir tactique, qui veut voyager loin ménage sa monture, je fais les deux premiers tours dans les dernières, une jolie blonde en rose semble aussi futée que moi, je me mets dans ses baskets.
Lucia semble avoir le souffle cour, elle souffle comme une locomotive, je l’entends murmurer dans ses dents.

• Je vais avoir encore droit à cette salope.

Je pense qu’elle parle de Valérie, pourtant, c’est un joli brin de fille, son mari ressemble à un ours, tient cela me vient à l’esprit, il ressemble au prof de sport dans les « sous doués passent le bac », aussi trapu, il doit être bien membré.
Dernier tour, la blonde accélère, Lucia décroche, je suis allègrement dès que les profs nous lâchent, je suis à sa hauteur quand j’ai une idée, pourquoi humilier cette jolie blonde en survêtement rose dès le premier jour, autant lui faire croire qu’elle est la meilleure, la ligne est là, qui va gagner…

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