Collection Dominant Domine. Les Filles De Monsieur, Les Filles De Madame (7/7)

Ma vie prend un nouveau tournant dès que j’ai franchi les portes du manoir avec Lucas, mon parrain, associé de papa et maman dans leur entreprise d’architecture.

Nous sommes dans le restaurant où il m’emmène manger et m’apprends que je suis destiné à épouser son fils, certes, c'est lui qui m’a défloré, mais que je suis loin de vouloir comme mari.

Je lui prends la main à travers la table.

• C’est toi que je veux, j’ai toujours aimé les hommes mûrs, j’ai toujours été amoureuse de toi, si tu ne fais plus l’amour avec maman, je suis à toi.

C’est ainsi que dès que nous avons fini de dîner, il demande une chambre, je commence par lui faire une gorge profonde, même Lory n’était pas si douée à ce qu’il me dit.

• Juliette, j’ai passé une nuit formidable, nous allons nous marier rapidement, j’ai un remords, mon fils, tu devais être son épouse.

Il faut savoir tenir ses promesses.

• Es-tu riche ?
• Assez, pour te faire une vie de rêve.
• Cette nuit l’a déjà été, si nous allions voir Monsieur et que nous allions chercher une fille pour ton fils.
• J’ai un cottage en Normandie qu’il a toujours voulu m’acheter, je vais lui vendre en échange, à qui penses-tu ?
• Wanda, c’est mon amie.
• Je suis administrateur du manoir avec Monsieur et Madame, Wanda fait partie des femmes qui doivent satisfaire les femmes !
• Oui, mais c’est mon amie, si tu connais son histoire, c’est en mordant Monsieur lors de sa première fellation qu’elle s’est retrouvée du côté droit du couloir.
De votre temps, il y avait déjà des filles à droite ou à gauche !
• La demande était forte de femmes aimant les femmes que nous formions des lesbiennes aussi douées que vous l’être de votre côté avec les hommes.
Le fils de Monsieur venant d’épouser une jeune femme qu’il venait de finir de former, le père en cadeau de mariage a offert son manoir et c’est elle qui a eu l’idée de former des filles pour des femmes.


• Allons chercher Wanda pour lui, tu verras, nous nous gouinons ensemble, elle sera contente de participer, je connais bien Adrien, c’est moi qui est tout fait lors de mon dépucelage, sinon lui-même serait toujours puceau.
• Je reconnais que lorsqu’il est venu se vanter, j’ai été étonné, mon fils est un peu brut de forme, c’est un bosseur, il ne pense qu’à ses études, si tu me dis que Wanda serait une bonne épouse, pourquoi pas.
• Tu y trouveras ton compte, elle est assez maligne pour l’embobiner et c’est toi qui récupéreras deux femmes très cochonnes dans ton lit.
• Vus sous ces angles, dès que tu es prête, nous retournons au manoir.
• Ce n’est pas tout.
• Que veux-tu de plus ?
• Tu m’as dit que les femmes riches aimaient s’attacher des petites salopes formées par Madame !
• Oui.
• Si je me marie avec toi, je serai une femme riche !
• Doublement, tes parents t’on caché certaines choses, à la mort de ta grand-mère le testament te faisait propriétaire de beaucoup de ses biens, mais surtout une grosse somme d’argent, que tu devais toucher à tes dix-huit ans, ils allaient te le dire le jour où tu avais décidé de fuguer.
• Alors, inutile de vendre notre cottage en Normandie, nous allons aller voir Monsieur et je récupérerais Wanda pour ton fils, mais aussi Lucia, cette petite salope qui sera ma soumise, elle adore être dominée.
• Encore un moment au lit, regardes-tu me fais bander simplement à l’évocation de ce que va être notre vie, après nous retournons au manoir.
Rends-toi compte, ça fait des années que je ne m’étais pas réveillé à côté d’une jeune femme aussi jolie, avec les putes, lorsque j’ouvrais un œil dans ces chambres d’hôtel, elles étaient parties.
• Tu veux que je sois ta pute, j’adore ça, par où voulez-vous commencer monsieur mon client, vous venez de vous payer une pute, elle est à votre disposition, fellation et sodo, peut être au menu, ça vous irait !

Il me baise une nouvelle fois, je pense que les perspectives que je lui offre doivent le ravir, quand il me sodomise, je n’ai même pas mal, je fais travailler mes muscles anaux, il aime.


• Oui, Albert, c’est Lucas, nous sommes à la grille, pouvez-vous nous ouvrir, je voudrais voir Monsieur.

Le pingouin est sur le perron après que nous sommes entrés par la grille qu’ils doivent commander à distance.

• Je viens de prévenir, Monsieur, montée, il vous attend dans son bureau.
Non, Carla, il a dit que tu attendes dans mon bureau, suis-moi.
• Juliette, Monsieur, je m’appelle Juliette, depuis hier, de nouveau, je dirige ma vie, j’ai retrouvé mon prénom, Monsieur.
• Monsieur Lucas, voulez-vous que je demande à Monsieur de garder votre future femme jusqu’à votre mariage, je trouve qu’elle manque encore de docilité.
• Non, c’est comme cela que je l’aime, je l’ai vu pousser avec son caractère et hier, je me suis rendu compte que c’est ainsi que je l’aime.

Il me prend dans ses bras et nous lui prouvons notre amour.

• Je monte, soit sage, je vais faire ce qu’il faut pour te faire plaisir.

Quelques minutes, on frappe à la porte du bureau.

• Entrez !
• Monsieur Albert, Madame m’a fait appeler et demander de venir ici, Carla, que fais-tu là.
• Juliette ma chérie, c’est Monsieur qui a voulu changer mon prénom, je m’appelle Juliette, je vais épouser mon parrain qui s’appelle Lucas, nous avons passé une nuit merveilleuse.
Il voulait que j’épouse son fils, mais je n’ai pas voulu, je lui ai proposé que ce soit toi qui l’épouse, ainsi, j’aurais respecté la parole que je t’ai faite.
• J’ignore ce que vous êtes promis, mais je sais des choses qui pourraient être préjudiciables à vos projets.

En disant ses mots, il ouvre son pantalon et sort sa verge.

• Une cagoule, le mot pute au rouge à lèvres sur le front, ça ne vous rappelle rien !
• Non, et toi Wanda ?
• Non.
• Je vais vous dire, je faisais une ronde, car ma femme qui a le sommeil léger, avait entendu du bruit, venant du bas du manoir.

Je suis allé faire une inspection, j’ai entendu du bruit dans la cave et je vous ai vu.
• Pourquoi ne pas vous avoir dénoncé ?
• Car j’espérais bien vous avoir à ma merci dans les jours prochains, j’aime baiser ma femme, mais j’adore des petites poulettes comme vous, je vois que vous allez m’échapper alors je veux que vous payiez votre dette.
• Notre dette, mais vous rigolez Albert, dans quelques minutes, mon futur mari va redescendre et nous allons partir, vous n’aurez qu’à vous taper une pignole en pensant à nous.

C’est à ce moment que nous entendons frapper une nouvelle fois à la porte.

• Entrez !
• C’est Madame qui vient de me dire de vous rejoindre mademoiselle Carla dans le bureau de monsieur Albert, mais je vous dérange.
• Pour commencer, je m’appelle Juliette et non Carla, mais peu importe, mon futur mari a dû faire le nécessaire, Wanda et toi, vous allez venir habiter avec moi.
• Mais je n’ai rien dit pour la cave !
• C’est bien, tu es une bonne fille, tu te souviens de ce que tu nous as dit quand nous nous occupions de toi dans la cave après la vacherie que tu m’as faite.
• Certes, je t’ai fait tomber, mais la punition a été exemplaire, surtout après avec Madame, mais j’en dis trop, il faut toujours que j’ouvre ma grande bouche.
• Tu en as trop dit, qu’est-ce que Madame t’a dit, parle, dans quelques minutes mon futur mari va te faire quitter le manoir pour que tu vives avec moi.
• Elle m’a fait venir dans sa chambre comme souvent, mais là, elle a voulu que je m’allonge les cuisses bien écartées et a entré sa main dans ma chatte.
• T'a-t-elle fisté ?
• J’ignore comment cela s’appelle, elle m’a fait horriblement mal la première fois, maintenant, j’aime bien.
• Voilà la phrase exacte que tu as prononcée dans la cave « Ne me faite pas de mal, je serais à votre service chaque fois que vous voudrez de moi, je serais docile. »
Il est temps de respecter ta parole, surtout dans les jours prochains chaque fois que Wanda et moi te donnerons un ordre, nous allons commencer.

Monsieur Albert, nous allons vous prouver que nous ne sommes pas des ingrates d’avoir gardé pour vous ce que nous avons fait à notre petite soumise, Lucia, monsieur Albert à sa queue en main, suce-le, fais-lui une fellation à notre place.
• Mais, je n’ai pas appris à faire cela, juste les dames.
• Tu ne voulais pas que l’on t’enlève ton pucelage et pourtant tu ne l’as plus, Wanda et moi par le mariage que nous allons faire allons devenir des dames, il serait mal venu de tromper nos promis dès le premier jour.

Lucia en bonne soumise qu’elle doit être de naissance qui contrairement à moi suis une rebelle depuis mes premiers jours s’agenouille et commence à sucer le pingouin, elle est loin d’être capable de faire une gorge profonde, nul doute qu’avec Lucas nous lui apprendront à être aussi doués que je peux l’être dans cet exercice.
Elle avale le sperme, pour une brouteuse de chatte, elle semble apprécier, quelques minutes plus tard, les deux rajustés mon homme nous rejoint avec Monsieur et Madame.

• Lucas, quand je te vois avec nos trois filles, je me demande si tu ne vois pas trop grand.

Il vient vers moi et me prend dans ses bras.

• Je connais quelqu’un qui va bien m’aider.

Et il m’embrasse tendrement.

• Ce n’est pas tout, mais j’ai un métier, j’ai des bouches à nourrir, venez mesdames.
• Les bagages de ces dames sont à côté des vôtres, si vos mariages sont couronnés de succès, dans quelques années, n’oubliez pas si vous avez des filles que le manoir existe.

C’est ainsi que je monte dans la voiture à côté de Lucas, après quelques minutes, j’entends des bruits caractéristiques à l’arrière où sont montées mon amie Wanda et ma soumise.
Wanda a dû relevé sa robe et sa main doit s’égarer dans la chatte de ma petite salope, je pourrais me retourner pour regarder, mais en ce moment, j’ai mieux à faire, j’ai ouvert la braguette de Lucas, sortie sa verge et je l’ai bien bandée au fond de ma gorge.
En gorge profonde bien sûr, le retour dans la ville où je vais retrouver mes parents, sachant ce que j’ai appris sur eux, nul doute que je vais pouvoir vivre ma vie comme je le veux avec Wanda en continuant à soumettre Lucia.

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