Vengeance 3

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

- Salut Valérie ! Lui dis-je en ouvrant la porte et en lui faisant signe d’entrer. J’imagine, puisque tu es venue sans poser de questions que tu as compris la situation ?
- Tu n’es qu’une salope ! Me répond t-elle, les yeux brillants de haine. Tu ne fais pas le poids. Rends-moi mes photos avant de le regretter.
Je suis estomaquée de cet aplomb. Je bégaie un peu :
- Je … c’est… je…
- Toujours aussi cruche à ce que je vois, persiffle-t-elle.
Trop habituée à me soumettre et me taire devant elle, j’en perds mes moyens et mon assurance s’évapore d’un coup. Heureusement, Dario vient à mon secours. Pour l’occasion, il s’est mis une cagoule noire sur la tête. Il est totalement vêtu de noir, avec une chemise satinée.
- Tais-toi espèce de chienne ! Lui lance t-il, habité par son rôle. Respecte ta maitresse.
Valérie semble d’un coup moins assurée. Elle hésite avant de répondre d’un ton qui sonne creux :
- Ma maîtresse ? Hahaha, quelle sottise !
Dario se précipite vers elle, l’att par les cheveux et la jette au sol, au milieu de mon salon.
- Aïe ! Vous êtes fous ! qui êtes-vous ?
- Tu n’as pas à le savoir, répond t-il. Tu restes à genoux et tu obéis.
Je suis toute tremblante, debout devant la porte.
- Sara. Ne fais pas ça ! S’il te plaît !
Un bref instant, j’hésite à tout arrêter, m’excuser et lui dire de partir. Mais les souvenirs du bureau sont plus forts.
- Tu vas devoir payer pour ce que tu m’as fait subir toute l’année. Obéis ! Et je te rends tes photos.
- Bien ! Dit Dario. Puisque nous sommes tous d’accord. Tu vas commencer par te déshabiller.
Valérie le regarde d’un drôle d’air.
- On… On se connaît ? Votre voix m’est familière.
- T’occupes pas de ma voix ! Ou je te cogne salope. Et baisse les yeux quand tu me parles.
- Vous êtes fous. Sara, je t’en prie…
Ses paroles s’éteignent dans sa bouche.

Un coup de cravache sur les reins la remet à sa place.
Elle se relève, les larmes aux yeux et commence à se déshabiller. Elle porte un t-shirt moulant qui met bien en valeur sa jolie poitrine. Sa jupe tombe sur ses talons hauts et Valérie se retrouve, toujours perchée sur ses talons et du haut de ses 30 ans, devant moi, en culotte et jarretelles, les seins à l’air.
Je ne peux m’empêcher de jalouser ce corps parfait. Je ne la hais que d’avantage.
- A genoux ! lui lance Dario.
Cette fois, Valérie s’exécute sans rechigner. Dario lui assène encore un coup de cravache sur les fesses et Valérie pousse un petit cri aigu.
- Rampe vers ta maitresse, dit-il.
Valérie approche de moi et je prends peur. Qu’est ce que je suis en train de faire ? Comment est-ce que cette histoire va se terminer ?
Elle arrive devant moi.
- Enlève ses chaussures.
Un peu étonnée, je lève un pied, puis l’autre, pour qu’elle puisse s’exécuter. Elle enlève aussi mes chaussettes.
- Lèche !
- Non ! Pitié ! Pleurniche t-elle ! Pas ça !
J’ai une envie soudaine de la frapper. Je me contente de lui coller mon pied sur le visage et d’introduire mon gros orteil dans sa bouche. Elle le suce en sanglotant.
Après deux ou trois minutes, je retire mon pied.
- Tu peux partir maintenant. Et n’oublie pas ! Tu me respecteras dorénavant. Tu auras tes photos sur ton bureau lundi matin.

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