Première Fois À Plusieurs Au Ciné

Nous sommes un couple uni, moi 48 ans, ma femme Béatrice 44. L’âge lui a donné quelques rondeurs qui la rendent encore plus sexy et je remarque souvent les regards des hommes mais aussi de quelques femmes qui se posent sur elle lorsque nous sortons.
Nous avons une vie sexuelle épanouie et Béatrice m’excite comme au premier jour, sinon plus.
Nous avions quelques fois parlé de pimenter un peu notre vie intime par une expérience à trois mais c’en était resté au stade de la discussion. Béatrice n’était pas très partante, je n’avais plus trop insisté.
Il y a quelques mois, nous avons passé un week-end prolongé en Zeelande. Un soir, après un excellent repas au restaurant, nous sommes allés faire une ballade dans les rues de la petite cité où nous logions.
Au détour d’une rue, nous sommes passés devant un cinéma X. J’ai invité Béa à y entrer et, sans doute un peu grisée par les apéros et le vin du repas, elle a tout de suite accepté en riant.
La caissière nous a souhaité une bonne soirée et nous sommes entrés dans la salle de projection où le film était déjà commencé. Sur l’écran, une blonde pulpeuse se faisait ‘besogner’ par une bite de belle taille. La pénombre ne permettait pas d’y voir très distinctement mais j’ai aperçu un ou deux autres couples et plusieurs hommes seuls. Je tenais Béa par la main et je la sentais nerveuse. Je l’ai donc précédée et je me suis assis dans l’avant-dernière rangée de fauteuils, au troisième fauteuil précisément. Béa s’est assise à ma gauche et m’a sourit en regardant la scène à l’écran. Elle s’est blottie contre moi et j’ai passé mon bras sur ses épaules.
J’étais moi aussi très excité par la situation et j’ai embrassé Béa tendrement. J’ai alors commencé à lui caressé la poitrine puis, voyant qu’elle m’embrassait goulûment et semblait apprécier de sentir mes mains sur ses seins, je me suis enhardi et j’ai commencé à déboutonner sa robe légère. Béa a réagi, un peu inquiète, en me disant qu’on allait nous voir.

Je n’ai rien répondu et ai continué mes caresses.
Deux hommes assis à la rangée avant la nôtre nous avaient repérés et étaient attentifs à mes caresses. La situation m’excitait, Béatrice avait les yeux clos et s’abandonnait. De la paume de ma main, j’ai caressé ses seins sous le soutien-gorge, titillant les mamelons qui durcissaient. De mon autre main, je continuait à déboutonner la robe de ma chérie, découvrant bientôt son torse, son ventre puis ses cuisses. Béa haletait sous mes caresses et semblait très excitée de la situation. Je n’ai su que plus tard qu’elle avait vu nos deux ‘voyeurs’ de la rangée de devant et que, elle d’habitude assez prude, était particulièrement excitée de se savoir épiée comme ça.
Tout absorbé par mes caresses et mon ‘déboutonnage’ je n’avais pas vu qu’un homme était venu s’asseoir à côté de Béa et ne perdait pas une miette du spectacle que je lui offrais en déshabillant Béa. Sa robe était maintenant largement ouverte et on pouvait voir ses rondeurs charnues. Je m’enhardis davantage et glissai une main sous l’élastique de la culotte de Béa et je commençai à caresser sa petite chatte. Soyons clairs, elle était littéralement trempée et ne pu s’empêcher de gémir lorsque mes doigts ont atteint son puit d’amour.
Son inconnu de voisin avait sorti sa queue de son pantalon et se masturbait allègrement, tout excité par le spectacle offert. Il m’adressa un clin d’oeil admiratif et je lui répondis sans trop savoir pourquoi par un sourire. Il a sans doute pris cela pour une invitation car j’ai alors vu sa main qui se posait sur la cuisse de Béa. Elle se raidit immédiatement et me glissa à l’oreille « il me touche » cherchant auprès de moi une issue de secours. Je ne lui répondis pas et entrepris de l’embrasser fougueusement tout en caressant ses seins que j’avais sortis de son soutien.
L’homme avait pris de l’assurance et ses doigts caressait maintenant la vulve gonflée de plaisir de Béa par dessus sa culotte puis y introduit deux doigts et commença un va-et-vient qui provoqua de nouveaux gémissements chez Béa qui avait ouvert ses cuisses largement pour faciliter l’accès à son intimité.
J’avais moi aussi sorti ma bite de mon pantalon et je pris la main de Béa et la posai sur ma queue bien raide l’invitant à me branler. Elle commença alors à s’activer sur ma queue. Son voisin, manifestement très excité pris l’autre main de Béa et la posa sur sa queue. Ma chérie me regarda,, complètement perdue et, après avoir posé un baiser sur ses lèvres je l’invitai à se laisser aller : »branle le comme tu sais si bielle faire ma chérie ». C’était sans doute la réponse qu’elle attendait car elle s’exécuta de suite. Les deux voyeurs du devant avaient carrément tourné le dos à l’écran pour s’agenouiller sur leurs sièges et profiter du spectacle en se branlant énergiquement. L’un d’eux posa alors ses deux mains sur Béa et commença à lui caresser l’intérieur des cuisses en remontant jusque la culotte. De nouveau, Béa se cabra et me regarda inquiète. La situation m’échappait complètement mais je dois reconnaître que j’étais excité comme jamais et je laissai donc faire l’inconnu et embrassai ma belle en guise d’encouragement; Elle haletait de pus pus fort. L’inconnu dû prendre cela pour un encouragement car ses deux mains agrippèrent les jambes de Béa qu’il tira vers lui puis saisit l’élastique de la culotte et il la tira sur ses cuisses et la fit descendre au sol. Béa était maintenant offerte aux regards et aux caresses de ces inconnus, elle me branlait et de son autre main, astiquait le pieu de son voisin.
Le voyeur passé au rang d’acteur agrippa les jambes de ma belle et les remonta vers lui. Il plaqua sa bouche sur le sexe de Béa et, en un temps record, lui procura un orgasme violent.
Le voisin de Béa, ne voulant pas être en reste, pris le commandement des opérations et fit lever Béa pour la mettre à genoux sur son siège, penchée vers moi. Elle avait cessé toute résistance et se laissait clairement aller au plaisir que lui procurait toutes ces mains et ces bouches. L’entreprenant voisin fit pencher Béa vers ma queue et lui intima l’ogre : »suce ton mari salope ».
Elle s’exécuta immédiatement, me gratifiant de sa langue experte. L’homme ne perdit pas de temps et, écartant les fesses de Béa, fouilla sa vulve et son anus de sa langue. Béa jouit une seconde fois et fut prise de soubresauts violents.
Les deux voyeurs de devant se branlaient toujours et tâtaient les seins de Béa.
Ma chérie me regarda inquiète en sentant l’inconnu derrière elle s’affairer et me demanda : »qu’est-ce qu’il fait ? Il va me prendre ? »
Moi : « tu en as envie ? »
Béa : « oui, je t’en supplie, laisse-le me prendre »
J’étais stupéfait de sa réponse. Ma femme d’habitude réservée se comportait comme la dernière des salopes et me suppliait de la laisser se faire prendre par un inconnu en public.
De mon côté, moi qui voulait simplement nous exhiber un peu dans ce cinéma, je perdais complètement le contrôle.
L’inconnu qui avait compris que ma chérie avait cessé toute résistance, sortit une capote de sa poche, l’enfila et entra sa queue raide dans la chatte de Béa d’une seule poussée. Il entama immédiatement des va-et-vient sans ménagements, agrémentant les fesses de ma belle de quelques claques sonores. Excité par la scène, j’explosai dans la bouche de Béa.
Pendant ce temps, un des deux voyeurs avait fait le tour de la rangée et était venu se placer devant Béa en lui présentant sa queue à sucer. Elle s’exécuta immédiatement et en quelques secondes, l’homme balança quelques giclées de sperme dans la bouche de ma femme. En se retirant, il ‘biffla’ Béa en la traitant de pute puis me remercia et s’en alla.
Celui qui besognai Béa en levrette ne baissait pas de rythme, au contraire. Il se retira enfin, ôta sa capote puis se branla et envoya son sperme sur les fesses de ma belle. Sans autre forme de procès, il remis son pantalon, m’adressa enclin d’oeil et partit.

Béa mit quelques secondes à retrouver ses esprits, ramassa sa culotte et son soutif, reboutonna sa robe et m’invita à partir. En sortant, la caissière qui arborait un sourire moqueur s’adressa à Béa : « alors ma belle, tu as pris cher on dirait !? ».


Rentrés à l’hôtel, après une bonne douche, Béa s’est lovée dans mes bras et nous nous sommes endormis, épuisés par cette soirée torride. Une première fois que nous n’oublierons pas.

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