Première Fois Au Boulot

Nous sommes vendredi début de soirée.Je suis encore au bureau, car il

faut que je peaufine un contrat que je

dois signer avec un client pour lundi à la première heure.

Ce contrat m'est très important car j'ai mis du temps pour parvenir à

mes fins.

En effet, je suis responsable d'une petite boutique de vêtements sur

Paris et je m'apprête, si tout ce passe

comme convenu, à faire signer un grossiste qui pourrait me faire des

prix qui me reviendraient 3 fois moins cher

qu'à l'accoutumée.J'ai la chance d'avoir quelques connaissances qui

m'ont misent sur ce coup.

Ce contrat, s'il n'est pas vital, me permettrait tout de même

d'envisager l'avenir avec beaucoup plus de

sérénité.

Malheureusement, je ne suis pas tout seul sur le coup.Une autre boite

serait aussi sur les rangs.C'est pour cette

raison que je suis encore au boulot à 21heures.

Mais cette fois, c'est bon, je viens de boucler la rédaction de ces

fichus contrats.Je n'ai plus qu'à attendre lundi,

pour lui faire parvenir a son bureau à la première heure.

Du coup, je rentre chez moi un peu plus léger, même si ce n'est pas

encore çà, tout à fait.Le stress de cette

semaine est encore bien présent.

Sur le chemin du retour, qui dure à peu près 30 minutes, je décompresse

comme je peux en écoutant de la

musique.Celle -ci me fait l'effet escompté, du moins, me faisait, car

10 minutes à peine après être parti, mon

portable sonne.C'est le numéro de l'un de mes collègues, qui lui aussi

a eu une rude semaine, et cette appel ne me

laisse rien présager de bon.Quand il m'appel à cette heure-ci c'est

qu'il y a un problème.

Si cela n'avait été que çà!

Il m'apprend, je ne sais comment, que mon conccurrent a été plus rapide

que moi pour rédiger ses contrats et

qu'il les a déjà fait envoyés dans l'après-midi.



Catastrophe!Cela signifie qu'ils seront déja sur son bureau quand les

miens arriveront.Et dans ce genre

d'affaire, c'est le plus rapide qui l'emporte.

Alors que faire?

A ce moment là, je ne saurais pas l'expliquer, mais la seule idée qui

me soit venue en tête a été de couper l'herbe

sous les pieds de la conccurrence plus rapide, en proposant à mon futur

client de diner ensemble.

Sachant qu'il n'était pas de la région et qu'il était à Paris

uniquement pour signer les contrats, il ne devait pas

faire grand chose ce week-end.Alors je l'ai appelé.

Nous entretenons tous les deux de bons rapports.C'est quelqu'un qui

est, malgré son poste enviable dans sa

société, très ouvert et à l'écoute.Le courant est très vite passé entre

nous.Ce qui a surement fait que je puisse

rivaliser sur ce dossier avec l'autre boite, plus importante que la

mienne.

Au départ il fut surpris de ma proposition, mais contournant habilement

le fond de mon appel, je sus le faire

accepté.

Rendez-vous était pris pour le lendemain soir à la maison.

J'ai eu beaucoup de mal à dormir cette nuit là, pensant sans cesse a ce

que j'allais lui dire, comment j'allais lui

présenter la chose et surtout, allait-il bien prendre le fait que je

l'invitait juste pour lui faire signer mes

contrats?

Je me suis endormi en pensant à tout çà, espérant que tout se passe

pour le mieux.


Le lendemain, dès le réveil, j'étais tout excité par le stress de

cette soirée.Ma femme, que j'avais informé la

veille au soir, était mise à contribution.En effet c'est elle qui

allait s'occuper de tout ce qui serait

extra-contractuel.Ayant elle-même vécut par mon biais l'importance de

cette affaire, elle savait qu'il fallait que

tout soit le plus agréable possible pour lui ce soir.


Le soir venu enfin, après une très longue journée, notre invité se

présenta à notre domicile.Ma femme et moi, si

nous n'étions pas sur notre 31, étions habillés comme pour les grands

soirs, tandis que lui, contrairement à

d'habitude, etait plus décontracté:"C'est le week-end" me dit-il.

La soirée se déroula dans une ambiance exquise.Plus le temps passait,

plus je me déridais un peu, oubliant de

temps en temps ces fichus contrats.Nous en étions au fromage quand il

commenca a se livrer un peu.Prit dans la

bonne ambiance il nous parla un peu de lui, de sa vie de couple, de son

travail, etc.C'était un homme d'une bonne

quarantaine d'année, sportif car bien bati, et qui devait surement

plaire aux femmes autant qu'il était

intraitable en affaire.Gentil certes, mais intraitable.C'est à ce

moment là que j'ai fais une gaffe.Nous venions de

finir le dessert et Emma commencait à débarasser la table, quand j'ai

mis l'histoire des contrats sur la table.A son

regard, j'ai tout de suite compris que j'avais fait une boulette.Il

n'avait semble-t'il pas trop apprécié que je brise

la chaine de la convivialité avec mes histoires.

Malgré tout, nous avons parlé boulot.Je lui fis mon speach, que j'avais

préparé de puis l'après-midi, qu'il écouta

d'une oreille distraite.Cette attitude me laissait pantois.Je ne savais

pas comment le prendre.Je me suis levé

pour allé en cuisine, prétextant d'allé aider Emma, mais surtout pour

lui laisser le temps de bien réfléchir à ce

que j'avais dit.

Dans la cuisine, je dis a ma femme que je pensais avoir amené le sujet

trop tôt et que cela l'avait énervé.Elle me

rassura en disant que non et que de toutes façon c'était fait, me

rappelant l'importance de cette signature.


Rassuré, je revint m'asseoir a ses côtés.Mais cette assurance

s'effondra quand il me dit qu'il avait été très déçu

que je gache ce repas avec mes histoires et que sur-ce, il allait

rentrer et voir tout cela lundi.

La convivialité avec fait place a la froideur professionnelle.

Conscient de ma bourde je le suppliais de rester prendre un café, lui

promettant que j'allais tout faire pour me

rattr.

D'Hôte dominant et sur de lui qui reçevait, j'étais passé à dominé prêt

à tout pour se racheter.

Il accepta ma proposition, ajoutant, avec un petit sourire en coin,

qu'il y avait peut-etre une solution pour ne

pas perdre les contrats.

A peine avait-il fini sa phrase, que j'avais déja deviné ce qu'il

voulait dire par là.

Et oui, j'avais très bien remarqué lors du repas, qu'il lorgnait , en

se cachant apeine, sur les cuisses de ma femme

lorsqu'elle se levait pour nous servir.J'avais très bien compris

qu'elle ne laissait pas indifférent et surtout, lui

aussi avait très bien vu que j'avais compris.D'où cette proposition

indécente.

Ma femme et moi avions déja fait l'amour a plusieurs, mais elle était

tjours consentante et c'est elle en générale

qui choisissait les partenaires.Allait-elle accepter si je lui

soumettait cette hypothèse?

En me levant pour allé la voir en cuisine, mon client, Paul de son

prénom, me lança un regard qui me signifiait qu'il

fallait mieux pour moi qu'elle accepte.

Dans la cuisine, je lui exposait les faits.Elle fut a moitié surprise

car elle aussi avait remarqué les oeillades

poussées de notre invités.Elle n'était pas franchement emballée alors

je lui ai rappelé combien cette signature

m'était importante et qu'elle nous aiderait a améliorer notre train de

vie.
Je la poussais a faire un effort, pour

moi.Elle accepta sans dire un mot, juste en hochant la tête.

La remerciant, je lui dis que nous prendrions des café et revint dans

le salon.

Paul s'était installé dans le sofa.D'un regard, il me questionna pour

savoir si c'était bon.J'acquiessa également de

la tête ce qui lui fit esquisser un sourire de satisfaction.

Emma amena les cafés 2 minutes après.Toujours sans un mot, elle servit

les tasses et les plaça devant nous.

D'un air autoritaire, il nous dit de nous détendre.Elle le regarda

assez froidement.

Et c'est là que tout a commencé.

Toujours d'un ton autoritaire, car il était claire que c'était lui qui

dominait les débats maintenant.Il lui ordonna

de se deshabiller tout doucement devant nous.Elle me regarda comme pour

me demander si vraiment j'étais sur

de vouloir faire çà.Chose que je lui confirmais d'un oeil

insistant.Alors ayant ma bénédiction, ma femme, qui est

déja peu farouche en temps normale quand elle est excitée, se lacha

totalement et accepta de lui obéir.

Elle ota délicatement son chemisier, bouton après bouton, laissant

apparaitre son soutien-gorge en lycra blanc

et le jetta en notre direction.Elle enleva également jupe en ondulant

son corps, d'une façon qui, la connaissant

bien, était faite pour aguicher celui qui l'observerait.

Son string, aussi en lycra blanc, contrastait avec la noirceur de ses

bas.Elle avait même fait attention a

conserver ses talons, car elle savait que c'est quelque chose que

j'adore.

De la façon dont elle bougeait, je savais qu'elle s'était totalement

prise au jeu et que plus rien ne l'arreterait

dorénavent.

Paul lui somma de monter sur la petite table de notre salon et de

s'agenouiller dessus.Elle s'exécuta.Se tournant

vers moi, il me dit d' aller derrière elle et de la tripoter.Ce que je

fit tout de suite, la situation commencant à me

plaire vraiment.Et pendant que je m'affairais à la doigter et la

"cunnilinguer", il l'obligea à se mettre face à lui,

car il voulait voir chacune de ses expressions.

Elle gémissait sous mes attouchements.

"Est-ce que tu aime çà?" lui demanda-t'il.

"ouiii" réponda-t'elle dans un râle de plaisir.

"tu veux vraiment aider ton mari à avoir ces contrats?"

" Ouiii".

"Vraiment?Alors il va falloir être très très gentille ce soir".

Et elle lui rétorqua de façon plus que décidée:"Alors tu peux déja les

signer!".

Venant d'elle, cela voulait tout dire.

Toujours à quatre pattes, elle lui ouvrit la braguette et en sortit son

sexe déja en érection.Il avait un beau

sexe, bien droit et de bonne taille.

Il se leva, lui attrapa la tête et lui remplit la bouche avec.

"allez, suces-moi salope.Montre à ton mari comment tu l'aimes."

Elle lui dévorait littérallement la queue, alternant des petites

suçions et des aspirations jusqu'à la garde.

"Baises la" me dit-il, "baises la comme tu ne l'a jamais baisé.Sois

obéissant et je te récompenserais" insista-t'il.

Je m'exécutais sans broncher.Il me parlait comme si j'étais son esclave

devant ma femme et je ne lui disais

rien.Au contraire, cela m'excitait.Alors je me suis aussi levé et j'ai

commencé à baiser Emma.

"Plus fort que ça.Plus fort que ça" criait-il.

Je la tamponnais à fond.Elle gémissait mais il l'empèchait de crier

avec sa bite dans sa bouche.

Mais plus je me donnais, moins il semblait content.

"Il faut vraiment tout faire tout seul ici, alors.Tourne toi

salope.C'est moi qui vais te tringler."

Il l'empoigna par les hanches et la retourna brutalement.Elle était sur

le dos et sa tête dépassait de la table.Elle

tombait un peu en arrière.

"toi, me dit-il, mets toi au dessus d'elle.Présente lui tes couilles

pour qu'elle te les sucent aussi".

Elle me les goba en entier.C'etait extrêmement bon.Elle me caressait

les fesses de ses mains, qu'elle balladait sur

mon corps.

Elle alla même jusqu'à me titiller l'anus, sachant que

j'appréciait.Voyant çà, il n'en fallu pas plus a Paul pour lui

ordonner de me lecher.Elle ne me l'avait jamais fait.elle avait deja

enfoncé un doigt ou deux dans ma rondelle

mais pas plus.

C'étais divin.

"dis donc, tu as l'air d'apprécier ça toi aussi" me lança-t'il tout en

besognant ardemment ma femme.

"Alors je suis tombé sur un couple de salope?Mais il fallait me le dire

tout de suite.Agenouille toi, m'

ordonna-t'il.Agenouille toi devant moi."

Je n'en pouvais plus.J'étais complètement dominé.J'avais très bien

deviné dans ses yeux ce qu'il allait me

demander.Mais je m'en fichais.J'etais prêt à tout pour avoir ces

contrats.Et comme j'avais deja penser faire

l'amour un jour avec un homme, l'occasion etait trop bonne.

Alors je l'ai pris en bouche de moi même et je l'ai sucé.

Il n'avait pas l'air plus étonné que cela.Il devait avoir l'habitude de

ce genres d'expériences.

Ma femme , elle, était sciée.Son mari était en train de sucer une bite

devant elle.Et il y mettait du coeur.

Mais elle n'eut pas vraiment le temps d'en prendre conscience.

"Continus à lui lécher le cul, salope.Mets lui tes doigts dans le trou

de balle.Je veux qu'il soit bien dilater quand je

vais l'enculer.

Parce qu'il rêve de ça.Hein que tu rêves de ça petite pute" me dit-il.

Je me cambrais encore plus pour montrer que j'étais d'accord.

Pendant ce temps ma femme m'enfoncait encore plus profondemment ses

doigts.

"Alors comme ça t'aimes aussi les hommes, salaud?"

Son etonnement etait passé et j'ai compris a cette phrase que cela ne

lui déplaisait pas forçément.Alors elle me

pénétra de plus belle, pendant que je m'occupais à bien sucer cette

queue que j'avais en bouche.J'avais

l'impression d'avoir fait ça toute ma vie.je prenais du plaisir à le

faire et je semblais bien le faire.

"Allez, tournes toi mon coco, je vais te montrer comment on baise un

cul."

Je fis ce qu'il me dit.J'étais à genoux par terre, le torse sur le

sofa, bien ouvert, soumis et je l'ai senti présenter

son gland chaud contre mon oeillet que ma femme avait bien préparé, car

il rentra sans trop de peine.

Elle, cette salope, en profita pour se glisser devant moi pour que je

lui lèche la chatte.

J'étais pris en sandwich, comme j'aimais à le faire subir à Emma

lorsque nous nous partagions.

"Regarde comme je l'encule bien ton pédé de mari.Ca te plait ça salope,

pas vrai?"

"Oui!Vas-y, baise le fort.Plus fort que moi.Défonce lui son ptit cul"

lui réponda-t'elle.

A l'entendre dire ca, je m'excitais encore plus.

" Tu as entendu petite pute, me dit-il, elle veut que je te cartonne le

cul.C'est vrai que tu as un beau cul.Il était

tout frais.Maintenant je vais en faire mon territoire!".

Et il décupla ses coups de butoir.

J'étais à deux doigts de jouir quand il se retira de mon anus, se

compressant la verge à la base.

"A genoux, tous les deux.Vous allez boire mon foutre petites salopes!"

Et il cracha sa semence dans nos bouches grandes ouvertes, pendant que

ma femme du bout des doits me titillait

l'anus.

Le visage plein de sperme, j'ai embrassé Emma, et nous lui avons

nettoyé le sexe avec nos langues.


Depuis ce jour, ma vie sexuelle et professionnelle a un peu évoluée.

Professionnellement, j'ai eu les contrats, ce qui m'a permis de doubler

mon chiffre d'affaire cette année et donc

de voir plus grand.

Et Sexuellement, je réalise des fantasmes que je ne me connaissais pas,

tout comme ma femme.Désormais, quand

nous faisons l'amour en groupe, il n'y a plus qu'elle qui se fait

ramoner le derrière, quand ce n'est pas moi qui

encule d'autres étalons et même lorsque nous sommes seuls, elle s'est

découvert le plaisir de sodomiser son petit

amour a l'aide d'un gode-ceinture.


Merci Mr Paul.Je vous rend la pareil quand vous le désirez.

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