La Confrerie Des Vignerons

Je me réveillais au terme d’une longue sieste qui m’avait permis de me reprendre des forces, après notre dégustation à la chapelle et une après-midi mouvementée. J’étais seule dans ce grand lit de cette magnifique chambre d’hôtel, entendant du bruit dans la salle de bain ou Thierry devait, selon toute vraisemblance, prendre une douche et se préparer pour notre soirée à la confrérie.
- Tu es réveillée mon amour.
- Oui, je ne t’ai pas entendu te lever.
- J’ai essayé d’être le plus discret possible, tu dormais comme un bébé.
- Merci, j’avais besoin de me reposer, surtout après ce que tu m’as fait subir, tu es un vrai démon, je suppose que tu le sais ?
- J’adore quand tu me traites de démon.
Il s’était assis sur le bord du lit, à mes côtés, et se pencher sur moi pour m’embrasser. Une fois de plus, son baiser était non seulement rempli de tendresse et de sensualité, mais d’une grande dose d’érotisme, réveillant mon corps, sensible à cette excitation. Je sentais sa langue en moi, qui me dégustait de l’intérieur, alors que ses mains parcouraient mon corps. Je étais presque nue, recouverte de mon collant déchirée, dont la vue ainsi que mon corps dénudé réveillait l’excitation de mon amant. Je sentis sa verge se dressait en dessous de son peignoir de bain, pendant que ses mains et sa langue visitaient à nouveau toutes les parties de mon corps. Tout doucement, il se releva pour se placer entre mes jambes et plongea sa tête entre mes cuisses. Sa langue s’introduit en moi, me léchant le vagin avec passion, gourmandise et délectation. Je tenais sa tête fermement par ses cheveux, afin de prolonger cette caresse buccale le plus longtemps possible. Bien accroché à mes collants détruits, il continua cette caresse, explorant chaque millimètre de mon entre-jambe. Mes fantasmes sexuels avaient beaucoup évolué au fil des années, suivant mon évolution et mes attentes sociales, mais au fond, j’étais restée une grande sentimentale qui rêvait d’un modèle romantique traditionnel et passionnel, dont cette caresse en était la matérialisation.

Il me dévorait et me mangeait gratuitement avec pour seul objectif me donner du plaisir. Sa langue provoqua rapidement des contractions utérines qui m’emmenèrent dans un spasme orgasmique intense. Je m’écroulais à nouveau sur le lit, le laissant repartir à la salle de bain. Ayant enfin repris mes esprits, je le questionnais sur notre soirée à venir.
- Tu ne m’as toujours expliqué ce qu’était cette confrérie ?
- La Confrérie des vignerons est indissociable de la Saint-Vincent. Il en existe plusieurs au travers de la bourgogne, mais la nôtre à un caractère plus traditionnel et plus confidentiel. La Confrérie est essentielle à mes yeux, pour l’image de la viticulture et pour l’histoire. C’est le patrimoine de nos terroirs avec un cérémonial, des intronisations. Bref, une véritable culture qu’il faut entretenir.
- Vous avez une organisation particulière ?
- Oui, chaque confrérie vineuse, a son organisation et ses règles. À l’origine, le but était d’apporter truculence, bonne humeur et bon sens. Nous avons notre conseil présidé par le Mayer entouré d’un maître de maison, d’un intendant, d’un bouteiller, et d’un argentier et quelques ambassadeurs. Les autres membres sont les cousins. Tous les officiants portent un costume de gentilhomme campagnard du XVIIIe siècle, avec jaquette de velours vert-bronze, long gilet et chemise blanche à jabot et un tricorne en velours vert bronze. Pour le mode de fonctionnement, c’est organisé en chapitre avec un cérémonial, ou chaque membre porte son costume.
- Et quel est le thème ce soir ?
- Ce soir, nous allons introniser deux nouveaux cousins, que j’ai spécialement parrainés. Il s'agit de mon beau-frère et un ami à moi qui souhaitent rentrer dans la confrérie depuis quelque temps déjà. Ça va se dérouler pendant le banquet traditionnel avec un menu tout en finesse, des vins subtils, et un groupe folklorique pour animer le repas.
- Ton beau-frère ?
- Oui donc inutile de préciser que la discrétion est de rigueur ?
- En effet, à quelle heure doit-on y être ?
- 20 H, tu as 45 minutes pour te préparer.

- Et comment vas-tu me présenter ?
- Une riche cliente et investisseuse, cela me semble tout indiquer.
- Alors laisse-moi la salle de bain, car ce soir mon chéri, je vais te sortir le grand jeu.
- Attention à ne pas trop affoler les membres, je connais ton pouvoir de séduction, belle dame !!! De plus, une femme splendide dans une confrérie, tu vas te faire draguer...
- J’espère bien, je veux te rendre fou de jalousie et de désir, et ensuite, ce sera mon tour de m’occuper de toi !!!
Je pris une douche rapide, me maquillais et m’habillais. J’avais décidé de lui rendre aux centuples tout ce qu’il m’avait donné depuis mon arrivée. Tout d’abord les sous-vêtements, atout majeur et machiavélique. Un galbe taille de couleur crème de la collection de lingerie Soir de Venise qui permettait de dévoiler ma peau avec beaucoup de sensualité, tout en reproduisant la magie de Venise grâce à une broderie haute-couture, travaillée avec raffinement. Rehaussée de strass, cette ligne m’apportait élégance et sensualité, donnant un rendu de séduction raffiné transcendant les sommets de la passion. Un Tanga réalisé en dentelle Leavers de Calais agrémenté de délicates broderies et un soutien-gorge avec armatures dont les bretelles étaient ornées de détails guipure et agrémentées de délicates broderies complétées ma tenue. Toute la magie de Venise sur mon corps de bourgeoise mature prête à se donner comme un bijou d'exception. Pour la suite, j’avais opté pour une robe en satin à manches longues de type gigot et de couleur Lilas. Avec une coupe régulière en trapèze, un col châle et une finition en portefeuille. La robe m’arrivait au tibia, avec une ceinture également en satin, et légèrement ouverte sur le devant. J’étais chic et terriblement sexy. Je sortais de la salle de bain perchée sur mes escarpins de 12 cm, croisant les yeux de mon amant affamé et près à se jeter sur sa proie. Il m’attrapa par les hanches pour m’attirer à lui...
- Tu as de la chance que nous manquions de temps sinon je pense que j’aurais souillé ton corps de bourgeoise pulpeuse.

- Garde tes forces, Monsieur le Comte, ce soir, je vais te faire découvrir une Patricia, que tu ne connais pas encore...
Après 30 minutes de voiture, nous étions enfin arrivés sur le site de la confrérie, dans lequel devait se dérouler le chapitre suivit du banquet appelé « Goûtaillons » et organisé sous les voûtes séculaires du caveau communal. Nous fûmes accueillis par les Trompes de la Saint-André, fanfare de circonstances, avant d’être servi par le traditionnel verre de l’amitié. Thierry me présenta, au Mayer, ainsi qu’à l’ensemble du conseil. La participation aux Goûtaillons n’étant pas soumise à parrainage, tous ceux qui le désirent, Cousins ou pas, pouvaient participer. En sa qualité d’ambassadeur, Thierry m’avait présenté comme une riche investisseuse grande amatrice de vin, recherchant un parrainage pour une potentielle intronisation. Il avait ce titre honorifique, depuis quelques années qui était décerné aux cousins les plus fidèles, contribuant à la renommée de la cousinerie et des vins de Bourgogne. Le repas était agrémenté tout au long de la soirée par le groupe de la commune qui interprétait leur répertoire de chansons à boire, enchaînant également les bans bourguignons pour le plus grand plaisir des convives. Assise au milieu d’un groupe d’ami de mon amant, j’étais entourée par les futurs cousins, dont Arnaud le beau-frère, homme d’une quarantaine d’années qui me faisait la conversation avec Thierry en face de moi qui me regardait en souriant comme un ado amoureux. Les intronisations démarrèrent un peu avant le fromage. Le Grand Conseil apparut, en grande tenu, marquant le début de la cérémonie pour introniser le beau-frère et l’ami de Thierry. Chacun des postulants fut invité sur l’estrade pour recevoir l’écharpe, or et azur, signe de ralliement à la confrérie. Une fois la cérémonie terminée, chacun reprit sa place, et les chants se poursuivirent, accompagné par des vins exquis. Mes deux convives profitaient de ma candeur pour me faire boire plus que de raison, tout en continuant à me parler de leur belle région.
Thierry était littéralement subjugué par la situation, regardant sa maîtresse au look de bourgeoise chic, convoitée ouvertement par ses amis. Ils me draguèrent pendant toute la soirée. Je dansais avec eux, alors que le comportement de son beau-frère se faisait de plus en plus intrusif. Les mains étaient baladeuses, profitant de notre promiscuité pour me parler dans l’oreille.
- Patricia, je vous trouve très désirable.
Je riais, alors qu’il essayait de m’embrasser, avant de repousser poliment ses avances, ce qui ne l’empêcha pas de retenter sa chance à plusieurs reprises. Je me laissais enfin faire après une ultime tentative, fixant mon amant dans les yeux en souriant alors que son beau-frère m’embrassait dans le cou. Je voulais l’exciter encore davantage, en jouant avec ses fantasmes. Je savais d’expérience qu’au-delà d’un sentiment de jalousie, les hommes adorent voir leur amante susciter le désir. J’avais donc décidé d’aguicher mon homme et de le rendre fou, tout en ne dépassant pas une certaine limite. Je mis enfin un terme à cette danse avant de rejoindre Thierry.
- Ça t’excite de me regarder me faire tripoter par ton beauf sous tes yeux, avoue-le ?
- J’avoue que tu me fais bander en ce moment, tu ne veux pas aller te repoudrer le nez ?
- Non-non petit cochon, je sais trop bien ce qui risque de se passer, et je veux ton sexe bien dur pour moi toute seule à l’hôtel...
- Hummmm, tu es une belle salope, retournes danser avec eux, je veux les voir te peloter ton gros cul...
- Tu n’es pas jaloux ?
- Si, mais tu me fais trop bander...
Ce petit jeu continua jusqu’à la fin de la soirée, ou je continuais à danser avec mes deux prétendants qui rivalisaient d’imagination pour me séduire, alors que j’observais mon amant au bord de l’explosion. La soirée se termina vers 1 H du matin, où nous prenions congé, afin de rentrer à l’hôtel. Nous allions partir quand Arnaud demanda à Thierry s'il pouvait les déposer au centre-ville, ce qu’il accepta, en me regardant avec un sourire vicieux. Arrivés à la voiture, Arnaud me tenant par le bras, m’entrainant avec lui sur la banquette arrière suivi de son ami qui s’installait de l’autre côté.
- Thierry, tu ne vois pas d’inconvénient si on s’installe derrière pour faire découvrir la ville à Patricia ?
Dans l’impossibilité de refuser sans dévoiler notre relation et donc son adultère, il accepta en souriant, tout en me regardant avec envie. Sans discuter, je me laissais faire et m’installais entre ses deux hommes, bien décidée à fleureter avec eux, pour la plus grande excitation de mon amant. La voiture démarra, et déjà, Arnaud posa sa main sur ma robe en satin, tout en se penchant vers moi pour m’embrasser à nouveau dans le cou, tout en me parlant à voix basse.
- Vous sentez tellement bon, belle Patricia, ...
- Voyons Arnaud soyez sage, je suis une femme mariée
- Hummm, ça vous rend encore plus désirable.
Coincée entre ses deux hommes, je les laissais m’embrasser et m’appliquer de petites caresses sensuelles. La main du second s’était posée sur ma poitrine volumineuse, que j’essayais de repousser alors qu'Arnaud tentait de m’embrasser sur la bouche. Je résistais, les repoussais, riant de leurs tentatives, tout en sentant qu’ils se faisaient de plus en plus intrusifs. Je n’allais pas pouvoir résister longtemps avant qu’ils ne me violent sur cette banquette arrière sous les yeux de mon amant. Arnaud m’embrassait goulûment alors que le second avait passé sa main sous ma robe remontant le long de mes portes-jartelles jusqu’à mon entre-jambe.
- Ohhhhh, le dessous est encore plus beau que le dessus
- Ça suffit, messieurs, je pense que le jeu est terminé...
Sans même prêter attention à mes résistances, ils continuaient à m’embrasser et à me peloter comme une marchandise, sous les yeux de Thierry fasciné par la scène qu’il suivait dans le rétroviseur. L’ami plongea sa main sous mon Tanga pour me prendre la chatte à pleine main, alors qu'Arnaud avait ouvert ma robe portefeuille pour m’embrasser et me palper mes gros seins avec frénésie. Je bougeais mon corps, émue par les caresses, tout en maintenant une certaine résistance. Il fallait que j’arrête ce petit jeu avant que cela ne dé entièrement. J’étais néanmoins terriblement excitée par cette scène, apercevant Thierry qui se caressait le sexe, en me regardant me faire peloter par ces deux hommes. Sournoisement ; ils m’avaient coincé les bras sous leurs corps puissants, m’immobilisant le haut du corps, alors que je sentais les doigts du deuxième se glisser sous ma culotte. Arnaud m’embrassait goulûment, m’empêchant de manifester mes réticences, alors que mon corps réagissait à ces caresses volées. Les grosses mains d’Arnaud me palpaient mes gros seins, pendant que mon corps cambrait tentait de résister à cette masturbation inattendue. Je perdais le contrôle, me laissant faire, et répondant à leurs caresses. Mon corps m’avait abandonné, et je me livrais à ces deux hommes qui allaient me baiser en présence de mon amant. Ils continuèrent ces préliminaires pendant plusieurs minutes jusqu’à ce que Thierry décide de mettre un terme, à ce qui allait se transformer en viol.
- Tout va bien derrière ?
- Bon maintenant stop, je ne veux pas aller plus loin
- Allons ma belle, on va te faire du bien... Laisse-toi faire.
- Non, j’ai dit stop, Thiery s’il vous plaît, demandez à vos amis d’arrêter...
- Allez, Messieurs, la Partie, est terminé en plus, on est arrivé, je vais vous déposer au feu.
- Un dernier petit baiser...
Il m’embrassa à pleine bouche poussant sa langue entre mes lèvres alors que le second embrassait mes gros seins, avant de quitter le véhicule et de nous laisser seuls. Je restais assise au milieu de la banquette arrière, sous les yeux de mon amant qui m’observait dans son rétroviseur.
- He bien, il s’en est fallu de peu avant que je ne me fasse violer par ton beauf...
- Il faut dire que tu l’as allumé pendant toute la soirée...
- Dis-moi que tu as envie de moi...
- J’ai toujours envie de toi...
- Je t’excite quand je fais ma salope...
- Hummmmm, oui, continue fais ta pute, fais-moi un joli show...
- Alors chauffeur à la maison, s’il vous plaît...
J’écartais le décolleté de ma robe, laissant apparaître mon magnifique soutien-gorge blanc, et me caressais mes gros seins au travers de la dentelle élégante. Je remontais ensuite ma robe dévoilant mes magnifiques bas alors que mon autre main plongeait entre mes cuisses sous mon Tanga. Je me masturbais sous ses yeux, m’introduisant un doigt entre mes cuisses que je fis coulisser pendant les quelques minutes qui nous séparaient de l’hôtel... Je gémissais sous mes caresses, tortillant mon corps de désir et d’envie dans cette voiture de luxe, n’espérant qu’une seule chose : avoir son sexe en moi et qu’il me prenne dans mon habit de bourgeoise comme une bête. Alors qu’il garait la voiture, je me penchais vers lui et poussais mon doigt dans sa bouche.
- Tu aimes l’odeur de ma chatte ?
- Je vais te défoncer ma belle salope... Je vais te prendre comme une grosse cochonne que tu es à quatre pattes, comme une femelle en rut !!!!
- Hummmm, oui, s’il te plaît. Je t’avais prévenu que tu aurais droit au grand jeu ce soir... Je veux que tu me prennes comme une bête, tout mon corps est à toi...
- Vient vite ma belle, j’en peux plus, je vais te prendre ton gros cul, et te débarrasser de la souillure de ces deux porcs !!!!
On sortit enfin de la voiture pour regagner notre chambre. Il était presque 2 heures du matin, et je savais que la nuit serait courte... Il pénétra dans la chambre en premier, me poussant contre le mur pour m’embrasser à pleine bouche. Sa langue plongea en moi, alors que ses mains s’activaient à me défaire la ceinture de ma robe en satin. Il me déshabilla entièrement, découvrant mon corps emballé dans mon galbe taille Lise-Charmel, qui mettait mes formes en avant. Il me regardait avec gourmandise, surexcité par la vue de cette bourgeoise plantureuse, dont le gros cul et les gros seins débordaient de sa dentelle mondaine. Il plongea sa main dans mon Tanga comme pour vérifier mon niveau d’excitation. Il me doigta avec violence, et frénésie, telle une punition pour l’avoir excité pendant toute cette soirée.
- Prends ça ma salope, je vais te faire jouir d’abord debout contre cette porte. Allez bouge-moi tes belles courbes, montre-moi que tu aimes ça te faire tripoter comme une grosse pute.
- Hoooooooo, Hummmmmm, Thierry, Ouiiiiiiiiiiii !!!!!!!
- Quand j’en aurais fini avec ta chatte en feu, je m’occuperai de ton anus que je vais dilater avant de t’enculer à quatre pattes, comme une chienne...
- Haaaaaaaaa, tu es fou !!!!!! Tu vas me faire jouir !!!!!!
Je criais, gémissais sous ses caresses brutales, jusqu’à ce qu’un premier orgasme me transperce le corps... Sans me laisser le moindre répit et il me tourna, écarta mon Tanga et plongea son doigt plein de cyprine dans mon petit trou...
- Voilà comment je t’aime avec un doigt dans ton gros cul... Dire que j’ai attendu si longtemps pour avoir enfin ton anus !!!! Dis-moi que tu aimes ma pute !!! Dis-moi que tu es une grosse salope !!!!
- Hoooooo, nonnnnnnnn pas si fort !!!!!!!
Il joua comme ça pendant plusieurs minutes avec mon corps coincé debout contre ce mur, alternant entre mon anus et mon vagin, avant de me pousser à quatre pattes dans le centre de la chambre. Il se positionna derrière moi et me prit enfin en levrette, martelant ma croupe tel un marteau-piqueur. Il me pilonnait, me défonçait, j’avais la figure écrasée sur le tapis, qu’il maintenait fermement afin d’atténuer les bruits de mes gémissements. Il était accroché à mon galbe taille, et mes jarretelles, utilisant ma dentelle comme un jockey bien décidé à dresser la jument rebelle entre ses cuisses. Son sexe me pulvérisait, je jouissais une fois de plus comme une folle, transportée dans un univers dément de plaisir sexuel sans contrainte. Je m’étais abandonnée ne pouvant plus rien contrôler dans un besoin excessif de désir sexuel et émotionnel. Cet homme m’aimait cela ne faisait aucun doute, et je voulais lui donner mon corps comme une offrande démoniaque et totalement désinhibé. Ses mains s’abattirent sur ma croupe, résonnant dans notre chambre entre mes gémissements et ses grognements.
- Vas-y grosse chienne, bouge-moi ton gros cul... Bouge sous l’homme...
- Hummmmmmm, Hoooooooooooo, Houuuuuuuu
- Oui, c’est bien, tu es une bonne baiseuse, je vais gicler sur ton gros cul, je ne vais pas pouvoir tenir, tu m’excites trop ma grosse pute...
Il m’insultait me claquait mon gros cul, ayant compris mon attrait pour la soumission, il m’utilisait comme sa poupée, sa chose, son jouet... Dans un ultime coup de rein, je m’écroulais à nouveau les fesses anéanties, sous ce dernier orgasme violent... À moité consciente, je sentais son sexe toujours coulissant en moi, pas encore entièrement rassasié de mes formes généreuses... Il me baisa encore pendant de longues minutes avant que je ne sente enfin son liquide chaud se répandre sur ma croupe et mes dessous chics. Une fois vidé, il s’écroula sur moi. Tous les couchés sur le tapis, nous reprenions notre souffle avant de regagner ce grand lit pour une dernière nuit blottis l’un contre l’autre avant mon départ prévu pour le déjeuner. On passa notre dernière nuit comme les précédentes, l’un contre l’autre comme une ultime tentative pour arrêter le temps. Nous savions tous les deux qu’il allait falloir retrouver notre quotidien, et faire face à notre amour adultère impossible. Je chassais ces pensées, et m’endormais rêvant de passion et d’amour dans des endroits magiques et féeriques.

Le réveil fut un mélange de tendresse, de tristesse et de nostalgie, nous venions de passer les dernières 36 h à faire l’amour avec passion et désir, avec une envie forte de continuer de manière éternelle, mais une obligation sociale de retourner à nos vies légitimes. On restait longtemps dans ce grand lit, dans les bras l’un de l’autre sans parler, évitant le sujet de mon départ inéluctable. Après un copieux petit déjeuner, je me préparais pour le départ, avec un pantalon, élégant noir taille haute et patte d’éléphant avec fermeture bouton en guise de ceinture et un pull top haut blanc en coton extensible côtelé manche longue et col carré ouvert sur un décolleté plongeant et généreux. Il était 10 h 30, et nous quittions l’hôtel, mon train était prévu à 11 h 45. Il alla directement à la gare, garant sa voiture au même endroit que mon arrivée. Il allait sortir de la voiture quand je me penchais vers lui...
- Attends, juste un détail...
Je me penchais vers lui et dégrafais son pantalon, pour sortir son sexe encore flasque et le prenais en bouche. J’avais décidé de le sucer, en guise d’au revoir, et pour lui démontrer mon amour sans limite. Je le pris en bouche entièrement, faisant automatiquement durcir son membre entre mes lèvres. Il attrapa mes gros seins au travers de mon pull en coton qu’il caressait avec délectation, pendant que sa queue coulissait dans ma bouche. J’étais affamée de sa bite, alors que lui jouait avec mes grosses mamelles débordantes de mon soutien-gorge et de mon pull.
- Ohhhhhhh, oui ma salope suce-moi, oui comme ça comme une glace, je vais te gicler dans ta bouche de pute...
- Hummmmmmm, Hummmmmm
Il me prit par les cheveux et me baisa la bouche avec force, grognant sous ma pression buccale, je voulais son sperme dans ma bouche... Je le pompais rapidement sentant sa délivrance proche.
- Ohhhh, je vais me vider dans ta bouche, tu pourras profiter du goût pendant ton voyage de retour... Hoooooooo, Ouiiiiiiiiii, Avale-tout !!!!!!
Il se vida enfin dans ma bouche, me retenant par les cheveux afin de me faire avaler chaque goutte de son sperme. Il me garda dans cette position pendant une longue minute, jusqu’à ce j’eu fini de pomper tout son foutre. J’avais le goût de mon amant en bouche et c’était sûrement le meilleur cadeau que je pouvais avoir pour ce long voyage de retour.

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