Collection Zone Rouge. Le Videur De Grenier (1/1)

« ROBERT B. Videur de Grenier – Cave – Dépendance en tout genre.
Téléphone : 06 00 00 00 00 »

C’est ce qui est écrit sur ma camionnette, j’ai créé ma société en auto-entrepreneur, j’ai ce que l’on appelle de gros bras et une tête qui a du mal à trouver un emploi stable.
À 24 ans, j’avais trois choix, chômeur de longue duré finissant au RSI ou au RSA, je ne sais plus.
Ouvrier d’usine avec le risque de casser la figure à tout chef d’équipe, un peu trop dirigiste.
Ou de créer mon entreprise, c’est ce que j’ai fait à la suite de la demande de la fille d’une vieille dame partant en maison de retraite, qui me connaissant a souhaité que j’emporte des paquets à la déchetterie.
Il faut dire que Juliette me connaissait bien, nous avions été amants son mari étant gaulé comme une ablette alors qu’elle adorait mes gros bras.
Je l’avais rencontré au super marché ou je l’avais aidé à attr un paquet placé trop haut pour elle, elle avait les bras tendus, mais touchait à peine la boîte qu’elle convoitait.
D'autres auraient pris le paquet pour lui donner, je l’ai pris par les hanches, avant qu’elle ait le temps de comprendre ce qui lui arrivait, je l’ai soulevé pour qu’elle l’att.
Je l’ai retrouvé par chance sur le parking, je l’ai aidé à ranger ses cabas trop lourds et elle m’a proposé de les monter chez elle, c’est ainsi qu’il y a eu un cocu de plus sur la terre.
Je suis venu plusieurs fois à son appel sur mon 06 quand elle avait des paquets à monter, ce sont les ressorts de son matelas que j’ai testés jusqu’au jour où le mari est rentré après que nous nous fûmes endormis, s’est là que j’ai vu la carrure du mec.
J’ai quitté la maison sans courir alors que ce pauvre garçon faisait des moulinets avec ses bras en me disant qu’il avait fait de la boxe et allait me casser la gueule.

Quand Juliette m’a appelé, je suis venu chez sa mère, nous avons remis le couvert pendant que la vieille dame regardait la messe à la télé, c’est dans la cuisine que je l’ai prise ma main sur sa bouche pour éviter que sa mère, même si elle était sourde l’entende.


C’est en la baisant et en voyant le capharnaüm que l’idée m’est venue de créer mon entreprise de nettoyage, sa maman gardait tout, il paraît que c’est une maladie, j’ai acheté la camionnette nécessaire à ce travail m’endettant pour plusieurs mois.

• Êtes-vous monsieur Robert ?
• Oui.
• On ne se connaît pas, je m’appelle Joseph, j’ai trouvé votre numéro de téléphone sur Internet, vous habitez dans la même ville que mon papa qui vient de décéder.
Je cherche quelqu’un comme vous, il avait un pavillon en retrait du centre-ville que je veux vendre habitant Marseille d’où je vous téléphone.
Je suis commandant dans la marine marchande, il m’est impossible de m’en occuper, je repars en mer pour deux mois, les clefs sont chez sa voisine qui s’est occupée de lui après la mort de ma mère, il y a cinq ans.
Vous videz tous, vous vendez ce qui est vendable, mais ce n’est pas moi qui vais vous apprendre votre métier.
Vous gardez simplement les papiers importants, le courrier, et les photos.
Dans leur armoire, vous trouverez des films que nous faisions pendant nos vacances avec le Caméscope, qui je le crois, ne fonctionne plus.
Vous remettrez ces quelques objets à la voisine, je passerais les récupérer après mon retour quand j’irai régler la vente du pavillon.
Vous me ferez un chèque sur la vente des objets avec la déduction de votre prestation, je vous fais confiance.

J’accepte le travail, je récupère les clefs, je me mets au travail, je vide les meubles, je charge des objets dans des caisses en plastique bleues, que j’emmène chez un brocanteur de mes amis.
Je mets en Déchetterie des kilos de choses invendables que je centralise dans des caisses identiques, mais rouge, c’est incroyable ce que les personnes peuvent conserver inutilement.
Je vide l’armoire que mon client doit venir chercher avec le reste de la chambre, dans le bas, je trouve deux boîtes en carton, dans l’une le Caméscope avec des films où tout est marqué.


« Vacances 11 ans de Joseph »
« Anniversaire 15 ans de Joseph »

Et des dizaines d’autres, ce doit être les fameuses cassettes à redonner à la voisine, Joseph étant le nom de mon client, je prends le Caméscope, je branche la prise, contrairement à ce qui m’a été dit, il fonctionne.
Je mets la cassette « Vacances 11 ans de Joseph. », je vois des gens sur une plage, l’homme certainement le père jouant avec le fils dans l’eau, dommage j’aurais aimé voir le visage de la mère, mais elle doit filmer, respectant l’intimité de la famille, je m’arrête à cette simple cassette familiale.

La deuxième boîte est emballée dans du papier kraft, sur le dessus un mot au feutre dit.

« À détruire sans ouvrir, je devrais faire disparaître ces cassettes, mais je ne m’y résolus pas, j’aurais l’impression de faire disparaître ma femme une seconde fois. »

J’allais mettre le carton dans une caisse rouge pour destruction quand un doute me prend, si ces cassettes tombaient entre de mauvaises mains, il semble que le père de Joseph n’ait pas réussi à les détruire de son vivant, je décide d’ouvrir pour sortir les bandes magnétiques les rendant illisibles.
Ce sont bien des cassettes numérotées avec un cahier d’écolier.

« Cassette N°1 »

« J’écris ces mots pour raconter les dérives de notre vie avec Colette que nous avons tournée avec le Caméscope que ma belle-mère nous a offert pour filmer notre fils et avoir des souvenirs pour nos vieux jours.
Cette cassette nous montre en train de baiser, le Caméscope étant posé sur l’étagère de l’armoire, nous montrant sur le meilleur angle, j’adore la regarder, on voit bien quand je rentre en elle et surtout les cris de jouissance qu’elle lance à qui veut l’entendre. »

Je devrais tous effacer, mais mon instinct voyeur me pousse à mettre cette cassette et à la regarder, Colette est dans la position du missionnaire au début, Alfred, le père, dont j’ai vu le nom sur des dizaines de lettres que j’entasse dans les caisses bleues, la laboure alors que ses jambes sont relevées, rapidement, il la fait couiner une première fois.

Il se retire sans avoir déchargé et comme une mécanique bien huilée, elle se met d’elle-même en levrette, il la reprend et au moment où le film s’arrête elle commençait à jouir son mari décharge, son corps se tend au moment où il éjacule.
J’ai pu voir le corps de cette Colette et c’est un sacré joli morceau dans ces années-là.

« Cassette N°2 »

« Suite logique et explication notée sur le cahier.
Elle a été tournée en vacances pendant que Joseph était au club Mickey, Colette avait envie d’une autre bite que la mienne, comme j’ai aimé la voir se faire baiser cette cassette est l’une de mes favorites. »

Colette est dans un couloir, son soutien-gorge de maillot de bain dégrafé, retenu par ses bras, elle est appuyée au mur, son slip est au sol retenu par une de ses chevilles, son partenaire la prenant debout entrant par l’arrière sans qu’il soit dit si elle se fait prendre par la chatte ou par l’anus.

Je suis de plus en plus intrigué jusqu’à où ce couple a pu aller, je comprends que si Robert n’a pas eu le courage de les détruire, il souhaite que son fils ne les voie pas.
Voir sa mère se comporter comme une chienne, si comme tous les s, surtout les garçons, il la chérissait, c’est un coup à être traumatisé pour le restant de sa vie.

« Cassette N°3 »

« Primordiale dans notre vie, même si elle est sans grand intérêt, pour la suite de ce qui va se passer dans notre couple, Colette a voulu jouer les putes, vous nous verrez dans une ville voisine de la nôtre racoler un client en attendant sur le trottoir ou de nombreuses filles travaillent.
Je suis frustré, elle part avec son client vingt minutes avant qu’ils reviennent, je suis sans image de la fellation qu’elle lui a faite, elle me l’a raconté.

Je visionne la cassette, cette femme est canon, surtout avec ses vêtements de pute, je bande juste en la regardant, quand la voiture part, je suis moi aussi frustré de ce que je loupe.


« Cassette N°4 »

« Colette m’a dit qu’ils avaient été dans l’allée du petit bois à la sortie de la ville, sur cette cassette tournée le lendemain, elle a aguiché son client au même endroit, je me suis caché dans le petit bois, bien placé quand elle est arrivée.
Hier elle m’a expliqué dans les détails comment elle avait dégrafé le pantalon du client pour le sucer alors qu’il était resté derrière son volant, aujourd’hui, elle suit mes directives. »

Je mets la cassette, quand la voiture arrive, ils descendent, quand ils se rejoignent à l’avant de la voiture, elle s’agenouille en relevant sa jupe, le mari fait un zoom sur la chatte de sa femme que je vois de très près pour la première fois.
La fellation d'une dizaine de minutes, elle lui aspire les burnes jusqu’au moment où il explose, la salope, se tourne vers l’arbre ou son mari est caché, elle ouvre la bouche remplie de sperme, avale et se lèche les doigts après avoir récupéré du sperme ayant coulé.
Je dois dire, que je commence à bander.

« Cassette N°5 »

« Cette cassette a été tournée dans notre salle à manger, je viens de perdre mon emploi, il y a un mois, je suis dans l’impossibilité de payer la facture de l’électricité.
J’ai une connaissance qui est intéressée pour nous envoyer des clients pour ses affaires, cette cassette est la première d’une longue série de passe qu’elle a faite sauf la cassette N°7 plus personnelle.
Je dois reconnaître que j’adore la voir se faire baiser après que le client lui eût donné du pognon, dès qu’il est parti elle sait que je vais la prendre souvent à quatre pattes sur la peau d’ours devant le canapé. »

La peau d’ours, je l’ai vendue hier au copain, je la regarde s’occuper du client qui finit par l’enculer, le faisait-elle déjà ou vient-elle de franchir une étape.
Elle est tellement bandante, si c’était maintenant, j’aurais voulu être son client, je me masturbe et j’éjacule avant de mettre la « cassette N°7 » intriguée par le mystère entretenu dessus.
Bizarre pas de N°6, ça restera un mystère, difficile d’interroger quelqu’un.

« Cassette N°7 »

« C’est l’anniversaire de Joseph, il a 12 ans, il veut un circuit 24 heures du Mans, Colette a fait deux clients justes de quoi nous nourrir en plus de mon chômage. »

Je mets la cassette, on entend les deux garçons parler dans le vestibule voisin, ils entrent dans la salle et le beau brun inconnu prend le père dans ses bras et les deux s’embrassent à pleine bouche.
Je suis profondément hétéro, se baiser me gêne surtout au moment où l’argent est échangé et que le prof s’agenouille comme la mère l’avait fait pour ouvrir le peignoir que le père a sur le dos, il commence à le piper, j’en ai assez vu, j’efface cette cassette faisant sortir la bande pour la détruire.
Par sécurité, je vais la brûler dans un tonneau dans le jardin.

Dans le fond du carton, une enveloppe, il y a une cassette sans numéro, rien sur le cahier, je la place, comme la première ou Alfred baise sa femme, une femme est couchée sur la table de salle à manger, vu l’angle, le Caméscope est placé sur le meuble.
Les images défilent, la femme se rajuste et quitte le logement, la cassette s’arrête.

Quant au reste, j’apporte les bandes soft à la voisine, avec photos et lettres, surprise, cette voisine à qui je dois amener les choses personnelles, c’est la femme qui se faisait baiser sur la table, bien sur, je ne dis rien.

Je mets le carton avec les bandes hard et le Caméscope sur le siège à mon côté, pourquoi perdre ces bandes, si un jour, je décède, celui ou celle qui videra mes affaires, les trouvera au fond de mon armoire, montrant les turpitudes de Colette et Alfred, personnes ne les connaissants.
Le principal, c’est que la volonté du père envers son fils soit respectée, il ignorera que pour manger et lui acheter ses jouets de Noël, le couple se prostituait, je suis certain de faire une bonne action.

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