Patricia Expérimente

Puisque Myriam m’a cité lors de son récit, (titre : Myriam se révèle) il est temps que je me dévoile un peu, à mon tour. Je vais vous livrer une aventure assez représentative de ma sexualité.

Je m’appelle donc Patricia, 35 ans, célibataire la plupart du temps… Je mesure 1m66 pour 46 kilos. Je suis donc très fine et élancée. Je suis très sportive et en bonne « runneuse », j’ai un petit cul galbé et bien ferme. Mes seins sont menus (85b) mais étant très brune à la peau légèrement mate, mes tétons foncés sont longs, charnus et hyper sensibles. Comme je ne suis pas une adepte du soutien-gorge, mes pointes apparentes sous mon haut attirent très souvent les regards des hommes et des femmes qui croisent mon chemin et font le bonheur de mes collègues de bureau ce qui me vaut le surnom de « Pointricia » dans les couloirs… Pendant mon adolescence, j’ai porté mes cheveux noirs longs et détachés. J’ai opté depuis plusieurs années pour une coupe plus courte avec un brushing. J’arbore le plus souvent un grand sourire et mes joues creuses accueillent de nombreuses fossettes. Mes grands yeux marron sont volontiers rieurs et parfois coquins. Parmi mes occupations favorites : draguer des hommes mariés sur les sites de rencontres et me faire sauter par des inconnus ; des hommes murs le plus souvent.

Il y a environ deux ans, c’est par ce biais que j’ai engagé une conversation avec un certains Christian, 48 ans, qui me proposa une aventure inattendue. J’habite la région Toulousaine et bien qu’habitant sur Lyon, il se montre fort motivé à l’idée de « cajoler mon petit cul » qu’il a pu voir en photos (soft) jointes à certains de mes mails. Il m’informe alors qu’il a parlé de moi à son épouse. Ils forment un couple libertin et Madame, bi, est très attirée, elle aussi, par ma petite personne. Je n’ai jamais eu d’expérience homosexuelle jusque-là, mais, par curiosité et très excitée par la situation, je poursuis alors les échanges et comme prévu, Bernadette, l’épouse se joint à nos conversations.

Je reçois des photos de mes deux aspirants. Christian est un bon « nounours » d’un mètre quatre-vingt-quinze pour une bonne centaine de kilos. Sa calvitie naissante ne le prive pas d’un certain charme et ses yeux verts clairs donnent un côté fougueux à son allure rassurante. Bernadette est une belle femme de 44 ans. Grande blonde, très fine. Son corps semble ressembler au mien mis à part ses 8 centimètres de plus que moi. Ses cheveux sont mi longs sont joliment ondulés et ses seins sont aussi petits que les miens. Je fais d’ailleurs remarquer à Christian que même en nous rassemblant, sa femme et moi, dans son lit, il n’aura pas une bonne paire de « lolos » à tripoter !

Ils se dévoilent enfin et m’invitent chez eux pour un week-end. Nous poursuivons des échanges par mails puis par texto, de plus en plus chauds avant que je me décide à accepter. Les échanges sont crus avec Christian qui me promet de me « défoncer », de me « baiser comme une bonne petite chienne », de me « manger le cul »… Tandis qu’une complicité torride s’installe avec Bernadette. Elle dit vouloir me « câliner », « déguster ma petite moule crémeuse »…

Mon excitation l’emporte sur mon appréhension et je me décide à prendre mon billet de train pour Lyon afin d’aller passer un week-end entier chez ces hôtes. Je descends du train le samedi matin à 11 heures. C’est Christian seul qui m’attend sur le quai. Il m’explique rapidement un léger contretemps. La mère de Bernadette est arrivée en retard pour venir chercher Tristan, leur fils de 6 ans, pour le week-end. Il semblerait donc que « belle maman » soit dans la confidence des raisons de ma venue.

Christian ne cache pas sa joie de m’accueillir. Il me prend dans ses bras et ses mains se montrent audacieuses en empoignant fermement mes petites fesses à travers ma jupette. Je le sens prêt à me trousser, là, sur le quai, à la vue des autres passagers mais je me dégage lestement. Je me baisse pour ramasser mon petit sac de voyage et déjà les mains de Christian s’engouffrent à nouveau sous ma jupe et c’est à ma culotte qu’il en veut cette fois.
Ses doigts savent exactement ce qu’ils veulent et en passant furtivement sous le satin de mon tanga, c’est mon anus qu’ils recherchent. Je me relève en souriant, faussement choquée… « Oooh, mais quel coquin ! » « Je veux ton cul ma petite chienne » me murmure-t-il… « Mais tu vas l’avoir, je suis venue pour ça ! » je lui rappelle pour calmer son impatience. Une fois devant le coffre de la voiture, il me laisse déposer mon sac et ses mains empoignent ma poitrine cette fois-ci. Je me retourne, lui fait face et sans hésitation, il me prend la bouche avec fougue. Il me roule une pelle autoritaire. Ces mains entreprennent à nouveau mon popotin. Je suis prise par la bouche et ne peux me dégager de ses attouchements de plus en plus précis et son index s’enfonce une première fois dans ma rondelle. Pendant quelques secondes, en plein milieu du parking, je me fais ainsi branler le cul puis nous montons enfin en voiture.

Nous roulons quelques minutes en direction d’une zone plus pavillonnaire. La conversation est plaisante et Christian me demande si mon voyage s’est bien passé. Je commence à lui raconter mon voyage en face d’une mamie qui ronflait bruyamment mais il ne m’écoute pas, me coupe sèchement la parole en me posant une main sur la cuisse : « Ferme-la, je veux voir ta chatte ! » Je prends ça pour un jeu de rôle, ouvre me cuisses, relève ma jupe sur mon ventre et écarte ma culotte pour dévoiler mon abricot épiler de frais. J’ai gardé un triangle de poils coupés court au-dessus de ma fente. « Branle-toi ! » ordonne-t-il. Avec deux doigts, j’ouvre mes lèvres et laisse apparaitre mon clitoris que je commence à caresser. Il engage la voiture dans un chemin communal et se gare. Sans éteindre le moteur, il me saute dessus et bascule mon siège en position allongé : « J’ai trop envie de te sauter petite pute ! J’ai promis à Bernadette de ne pas te prendre avant de te ramener à la maison mais tu m’excites trop, faut que je te tire une première fois ! » Je tente de le raisonner « T’es sûr que tu ne veux pas attendre que Bernadette soit avec nous ? » Mais déjà ses doigts fouillent ma chatte, il dévore mon cou, descend vers mes seins.
Il déboutonne mon chemisier et trouve mes petites tétines toutes nues comme presque toujours. Il se jette sur un de mes tétons déjà bandés. Je mouille de plus en plus et il le sent bien. Je tente vainement une dernière négociation : « Tu ne préfères pas que je te suce, juste et on baisera à la maison ? » « Non, tu vas me sucer tout le week-end mais c’est défoncer ta foune que je veux maintenant ! » Il ne tarde pas à se mettre en action. Il a sorti sa bite et je ne peux résister à la prendre dans ma main. Il est couché sur moi, je relève mes genoux au niveau de ses hanches pour lui ouvrir et lui offrir ma chatte dégoulinante. Son sexe est de bonne dimension et je le sens rentrer. Il est dur comme une barre d’acier. Il se met aussitôt à me limer avec ardeur et mangeant mes pointes de seins. Il me baise comme ça pendant près de 10 minutes avant de se retirer au bord de l’explosion. Il me retire ma culotte, l’enroule autour de sa queue et se masturbe avec puis éjacule dedans avant de me la rendre. Pas question que je l’enfile à nouveau alors je la glisse dans mon petit sac de voyage. Je referme mon chemisier tandis que Christian a déjà repris le volant. A peine un quart d’heure plus tard, nous sommes garés devant le pavillon.

Enfin gentleman, Christian porte mon bagage en m’accompagnant à la porte qu’ouvre déjà Bernadette avec un sourire béat. « Te voilà enfin ma chérie ». Elle me fait une bise sur chaque joue puis un troisième sur la bouche. Je suis debout dans le hall d’entrée et je vois passer le jeune Tristan qui court d’une pièce à l’autre et la mère de Bernadette vient me saluer avec un sourire étrange. Bernadette s’excuse : « Tristan et ma mère sont un peu en retard mais ils sont sur le point de partir. » Elle me saisit par le bras et m’attire dans un coin du couloir. Toujours aussi souriante, elle lève ma jupe et empoigne ma motte avec force. Elle est surprise de me trouver sans culotte mais surtout de découvrir ma chatte gluante et ouverte. Elle comprend aussitôt et me murmure discrètement à l’oreille : « Ca fait tellement longtemps que j’ai envie de te renifler le cul ma jolie !.
.. Mais tu t’es déjà taper mon mari espèce de petite pétasse ? Tu vas me payer ça ! » Finit-elle froidement.

S’adressant à la gentille grand-mère : « Maman, tu peux mettre Tristan devant la TV stp ? Et mets le son assez fort, j’amène Patricia visiter la maison… » Sa mère répond par un sourire tendre.
Puis à moi : « Suis-moi petite putain ! »

Nous sommes dans la chambre du couple. Elle se montre désormais très autoritaire et froide : « Mets- toi à quatre pattes sur le lit et montre-moi ton cul » Dans cette position, je ne peux voir ce qu’elle est en train de faire mais je n’ai pas à attendre longtemps pour sentir ses mains qui ouvrent mes fesses et son visage tout entier s’enfouir dans ma raie du cul. Elle me renifle de façon animale et sort enfin sa langue qui s’écrase sur mon anus, le rappe puis descend fouiller l’entrée de mon vagin. « T’as l’huitre bien salée ma chérie, comme je les aime ! » Elle reprend son exploration de mon intimité avec sa bouche experte puis tout s’arrête. Elle empoigne mes hanches et je sens un long cylindre me pénétrer. Je me retourne vivement et constate qu’elle a enfilé un gigantesque gode ceinture et qu’elle entreprend de me défoncer avec. Elle s’allonge sur mon dos, me tire la tête en arrière par les cheveux pour m’obliger à me cambrer et lui faciliter l’accès au plus profond de ma chatte. Je gémis de plus en plus en fort. Bien campée, debout derrière moi, sur ses jambes écartées et fléchies, elle entame une série de va et -viens de plus en plus rageur. Elle me fend en deux littéralement. Elle glisse une main vers ma moule et pince mon clitoris, le triture, le décapuchonne et le branle habilement. Je sens l’orgasme venir, à la fois vaginal et clitoridien. Je sens que je vais exploser. Mes gémissements deviennent des cris mais elle me prive et me frustre en stoppant tout net sa séance de baise. Elle se retire laissant mon vagin béant et affamé. Lestement, elle m’enjambe pour se poster à 4 pattes devant moi et me présenter son cul à sucer. A peine le temps de constater que je me retrouve en face des trous d’une femme pour la première fois de ma vie qu’elle écrase son fessier sur mon visage. L’odeur me répugne, je tente d’y échapper. Je me tourne sur le dos mais elle s’assoit sur mon visage et fait glisser sa raie de haut en bas sur mon visage et cherche à pénétrer son anus avec mon nez. « Lèche moi le cul ou je te pisse dessus » me dit-elle froidement. Alors je m’exécute et elle ne tarde pas à s’affaler sur moi prise d’un orgasme bruyant. Je me souviens tout à coup que lors de nos échanges, elle s’est dite « fontaine » quand la jouissance était très forte. Les puissants jets chauds que je reçois dans la bouche, sur le visage et sur les cheveux me confirment ses propos…

Et le week-end ne fait que commencer…

Elle est ainsi, l’entre cuisses affalé sur mon visage dégoulinant de mouille. Je suis nue sur le dos, le visage coincé dans son intimité. Ses jets visqueux m’ont trempé les cheveux. Ma chatte béante qui réclame encore l’orgasme dont elle a été privée, fait face à la porte qui s’ouvre. Je ne vois rien mais prie pour que ce ne soit pas le gamin. De sa position, elle se retourne effrayée elle aussi. C’est la voix de sa mère que j’entends :

« Ma chérie, on va y aller, nous. Tristan est attaché dans la voiture, il attend son bisou. Je te préviens que le son de la TV n’a pas couvert tous vos cris ! Christian vient de rentrer des courses et vous attend dans le salon. Quelle jolie vue sur une belle petite moule d’ici » finit-elle. Bernadette m’a enjambé et s’est assise à côté de mon visage souillé pour faire face à sa mère. « Je suis sûre que ça te fait envie de voir une buffarde pareille, n’est-ce pas ma petite maman ? » « Bien sûr ! » répond aussi sec la vieille. Bernadette passe une main sous chacun de mes genoux et les ramènent vers ma poitrine en tenant mes cuisses bien ouvertes. Je me retrouve dans la position d’un bébé qu’on va changer, totalement exposé de manière indécente au regard de la dame de près de 70 ans dont le regard tendre devient lubrique.

Elle s’approche doucement, rajustant ses lunettes carrées aux fines montures dorées. Ses cheveux gris crêpés, d’un autre temps. Elle se penche au-dessus de mon sexe grand ouvert et je vois par le col de sa robe qui tombe vers l’avant, ses gros seins blancs, serrés l’un contre l’autre par un soutien-gorge en satin bleu marine qui cache les tétons. « Goûte maman, tu vas voir, elle est délicieuse. » La gentille mamie sort une langue rose et en pose la pointe sur ma rosette ridée puis écrase ensuite sa langue de toute sa largeur sur la longueur de ma fente. Elle aspire ma mouille et finit sa sussion en mordant légèrement mon clitoris. En se relevant, elle assène : « Tu as toujours eu bon goût ma fille, mais avec celle-là, vous allez bien vous amuser ! Elle part quand ? »

Je suis l’objet de la conversation et je n’ai pas mon mot à dire pour autant. « Dimanche en fin de journée. T’as qu’à ramener Tristan en début d’après-midi comme ça on te laissera le temps de jouer avec elle avant de la ramener à la gare… »
Bernadette a quitté son gode ceinture et a enfilé un t-shirt et un mini short et elle précède sa mère pour sortir de la chambre. Les deux femmes me laissent en plan. Je reprends mes esprits et file prendre une douche.
Je regagne le salon enfin propre et fraîche mais enroulée dans une serviette de bain car mon sac d’affaires est resté là. Bernadette vient de rejoindre son mari sur le canapé et les deux me regardent étrangement.

« T’es assez habillée pour le week-end ma chérie » débute Bernadette. « Viens un peu par ici, tu vas sucer Christian pour qu’il me baise devant toi. » En m’approchant, je jette un œil vers la baie vitrée et remarque une magnifique piscine. « On peut faire ça là-bas ? » j’ose demander. « Pas de problème ma poulette. » Répond Bernadette qui sort la première et commence à installer les transats. Au moment où je m’apprête à sortir moi aussi, Christian, juste derrière moi, m’att par la taille et commence à m’embrasser le cou. Il détache ma serviette et je me retrouve nue au milieu du salon. Il veut profiter du fait que sa femme soit affairée dehors, à quelques mètres de nous pour me prendre à nouveau.

« Je veux te mettre un autre coup de bite ma petite chienne » Je prends rapidement appui sur le dossier du canapé en cuir beige. Il crache dans sa main et me graisse l’entrée du vagin, il sort sa queue et me la rentre sans plus de préparation. « Hummm t’es bonne à sec, bien serrée ma jolie ! Serre les cuisses, j’adore ça. Je vais te faire couiner ma petite chatte » Christian est donc en train de me limer à la va vite mais bien sûr Bernadette, se retourne et nous voit tout de suite. Elle débarque, faussement en colère dans le salon et je comprends que ce sera leur jeu du week-end : Christian essayant de me sauter dans le dos de sa femme le plus souvent possible pour prétendre rendre jalouse cette dernière qui s’adresse à moi avec véhémence : « Mais t’as le feu au cul petite poufiasse. Je ne peux pas tourner le dos sans que tu montes sur la queue de mon mari ? T’as pas compris tout à l’heure ? Je vais encore être obligé de te faire sucer mon cul pour t’expliquer ! » Elle met ses menaces à exécution en baissant son short en montant sur le canapé, les fesses face à mon visage.

Elle empoigne mes cheveux, se cambre et plaque à nouveau son fessier odorant sur mon visage. Mais cette fois-ci, je me concentre aussi et surtout sur les coups de pistons que m’inflige son mari et je joui doucement, enfin… « Nanette, je ne vais pas tarder à venir, on lui sert son milk-shake ? » demande Christian à sa femme. « Bonne idée mon chéri ! » Elle dégage mon visage de sa raie, se positionne sur le dos sur le canapé avec le cul sur un accoudoir et les mains sous les fesses pour tenir sa chatte bien en l’air. A cause de mes coups de langue sur son trou du cul, sa moule déborde de cyprine. Christian sort de moi et très vite, enfile la chatte de son épouse. Quelques va et vient et il s’immobilise, la remplissant de son jus. Il extirpe sa queue dégoulinante et revient vers moi. Il m’invite à me mettre à genoux en face du cul de sa femme, il penche ma tête en arrière et il aide enfin son épouse à se relever pour qu’elle vienne placer sa vulve au-dessus de ma bouche ouverte. Elle contracte son vagin et libère un mélange chaud et visqueux de sperme et de mouille. Christian me pince aussitôt le nez pour m’obliger à avaler cette liqueur qui m’arrache un haut le cœur.
Puis, nous allons enfin plonger dans la piscine, tous les trois, complètement nus.

Ils m’entourent, Christian face à moi et Bernadette dans mon dos qui joue avec mes pointes de seins les donnant à sucer à son mari. Tantôt lui, tantôt elle, me roulent des pelles vicieuses et ardentes, me rentrant des langues profondes ou suçant la mienne avec force. Dans l’eau, toutes les perceptions sont différentes mais je sens nettement que Christian bande à nouveau et cherche une nouvelle fois à m’enfiler tandis que sa femme branle mon cul avec deux doigts qu’elle replie à l’intérieur de mon rectum pour me prodiguer des caresses très précises que je découvre. Je commence à gémir et la deuxième main de Bernadette, repoussant le gland de Christian entreprend ma petite moule. « J’adore ton abricot » me souffle-t-elle en rentrant deux pointes de doigts pour caresser directement mon point G. En quelques secondes, je joui comme une folle et me rue sur Christian, l’embrasse à pleine bouche, enroule mes jambes autour de ses hanches et malgré la présence des doigts de sa femme dans ma chatte et mon cul, j’empale ma minette sur sa queue et le supplie « Baise moi, putain, mets la moi encore, défonce moi chéri ! » Bernadette en rigole de me voir dans cet état second. Elle retire ses doigts de ma chatte pour laisser toute la place à la tige de son mari mais avec un troisième doigt planté dans mon arrière train, c’est elle qui me fait monter et descendre sur le pieu de son homme. Je joui plusieurs fois de suite mais Christian tient bon. Bernadette me glisse à l’oreille : « « On va servir le quatre quart à Christian, vient ma belle ! » Je la suis hors de l’eau. Elle s’allonge sur un transat, sur le dos, remonte ses jambes en les tenant grandes ouvertes et m’invite à me coucher sur elle, mon ventre sur le sien et mes jambes enjambant le transat. De cette façon, je pose ma chatte juste au-dessus de la sienne. Christian se tient maintenant derrière nous et de son poste, il voit nos quatre orifices ainsi alignés et je comprends enfin la notion de quatre quart. Bernadette appose ses mains de chaque côté de mon visage et me dit en souriant : « On va se faire tirer ensemble ma jolie poulette. » Je sens Christian qui s’affaire derrière nous. Bernadette m’embrasse tendrement et je la sens se crisper un peu. C’est donc en elle qu’il rentre en premier. Pas pour longtemps. Je sens son gland gluant pousser maintenant sur mon anus. Je comprends qu’il a trempé sa queue dans la chatte de sa femme pour la lubrifier avant de m’enculer. Il me sodomise doucement, m’ouvrant le boyau tellement bien préparé par sa femme, tout à l’heure dans la piscine. Il vient maintenant brièvement visiter ma chatte. Il est déjà ressorti et je sens Bernadette se crisper plus fort. Il a, cette fois, lubrifié sa bite dans ma chatte pour enculer sa femme qui gémit au fur et à mesure qu’elle se fait ouvrir le cul. Christian alterne maintenant et rentre sa bite de façon aléatoire dans la rondelle ou la grotte poilue de l’une ou de l’autre nous amenant toutes les deux par l’alternance de la pénétration et de la frustration, au bord de la jouissance. C’est Bernadette qui part en premier. Elle me mord la langue, se crispe sous moi puis crie enfin son bonheur. Je prends un ultime coup de queue dans les fesses et j’explose moi aussi, Christian besogne encore nos quatre trous dans un désordre exquis tandis que nous jouissons comme deux petites chiennes en chaleur, tortillant nos petits fions comme des adolescentes. Sans crier gare, Christian pénètre avec grande force dans ma caverne et je le sens déverser son foutre dans mon vagin. Quel salaud ! Voilà qui n’était pas prévu.
« T’inquiète pas, on a des pilules du lendemain » me rassure Bernadette qui voit ma colère.

« Allez, profite du reste de l’après-midi pour te reposer parce qu’on a du monde ce soir et ton petit cul n’a pas fini de servir ma chérie ! »

L’après-midi passe agréable et chaude. Nous nous restaurons de fruits et glaces. Bernadette me prodigue un massage que je ne suis pas prête d’oublier tant le précision de ses doigts sur mon corps, mes seins puis ma vulve, mon anus et une caresse bouleversante de mon méat urinaire en tenant mes lèvres grandes ouvertes et en soufflant très fort dans mon vagin pour le remplir de son haleine chaude me provoquent des orgasmes délicieux. Puis, au prétexte que sa femme quittait la terrasse pour aller se préparer, Christian, que j’avais sucé longuement, lui sur le bord de la piscine et moi dans l’eau, m’a sauté une nouvelle fois, en missionnaire, sur un transat et a éjaculer sur ma petite touffe de poil surmontant ma plaie de plaisir. Il a ensuite titillé mes seins avec son gland pour faire durcir et s’allonger mes tétons qui n’en pouvaient plus de désir.

Vers 18h30, j’ai filé moi aussi sous la douche et Bernadette m’y a rejoint avec son gode ceinture pour me défoncer encore une fois et m’obliger à dévorer son minou qui a encore fini par libérer de longs et chauds jets de mouille sur mon visage. Elle fût très précise et me demanda, pour la soirée, de ne porter que le bikini bleu ciel que je porte sur certaines photos qu’elle a vu de moi. Une de ses photos notamment qui figure toujours dans les galeries visibles que je mets sur mes profils des différents sites de rencontres où je « chasse » régulièrement, est particulièrement appréciée : On m’y voit allongée sur une plage, sur le dos, une jambe posée sur l’autre ce qui a pour effet de faire ressortir mon mont de Vénus sous mon slip et à travers le tissus on devine assez nettement la naissance de ma fente sous mon pubis gonflée.

Bernadette m’explique que nous aurons, pour la soirée la visite d’une de ses meilleures amies. Elle vient de Toulouse elle aussi. C’est une copine de lycée de sa grande sœur. Elle a huit ans de plus qu’elle (donc 52). Elle est la deuxième épouse d’un homme beaucoup plus âgé et très riche. Elle lui a donné un fils. Cet homme avait, de son côté, déjà deux filles de son premier mariage avec une Japonaise. Chantal (puisque c’est son prénom) est une épouse volage et elle profite souvent de ces visites en, célibataire, à sa copine Bernadette, sur la région de Lyon, pour planifier de nombreux « plans culs ».
C’est elle qui, très jeune, a initié Bernadette aux joies lesbiennes. A de nombreuses reprises, lors de ses passages lyonnais, Christian, Bernadette et Chantal font ménage à trois, ou plus selon les rencontres organisées par cette dernière. Pour ce soir, il est prévu qu’elle vienne accompagnée.

A peine 19h30 et la sonnette retentit. C’est Bernadette qui ouvre la porte et une belle quinquagénaire se pend à son cou et lui prend la bouche. Solange est de taille moyenne avec un fessier plein et potelé. Elle bombe fièrement une jolie paire de seins en pomme, haut perchés pour son âge. Ses cheveux sont assez courts châtain avec des mèches blondes. J’observe son grand sourire ourlé de lèvres assez fines et son regard bleu de glace se plante dans le mien. Elle se plante devant moi et me scanne plus qu’elle ne me regarde. 5 hommes en file indienne rentrent à sa suite dans la maison. Il y a un grand black d’environ 45 ans, un jeune blond très frêle, un vieux magrébin vouté aux yeux lubriques et deux hommes mûrs aux tempes grisonnantes et d’’une grande élégance. Un sentiment étrange m’envahit car j’ai la curieuse impression de ne pas voir ces hommes pour la première fois.

Un des deux « George Clooney » prend la parole : « Bonjour Patxxx… ! » Mes jambes tremblent ; il m’appelle par mon pseudo sur les sites de rencontre et la mémoire me revient. Ce sont tous des hommes avec qui j’ai longuement échangé sur ces sites et par mail. Des échanges porno et souvent pervers. Chantal reprend la main : « Alors les gars, je vous avais bien dit qu’elle serait là celle qui vous chauffe depuis des semaines » Puis à moi : « Ma petite coquine, tu vas passer à la casserole. Tu les allumes depuis des semaines par tes mails, tes petites photos softs un peu coquines mais maintenant, ils vont te démonter toute la nuit ! » Le black et le vieux magrébin m’entreprennent déjà : « T’es encore plus bonne et bandante que sur tes photos petite salope. T’as bien fait de mettre le maillot de bain qui met ta grosse moule en valeur mais moi, c’est sur tes photos avec ton haut rouge et tes seins qui pointent dessous que je te préfère. D’ailleurs, tu pointes déjà, pétasse ! » Me dit le magrébin en m’empoignant les seins.

Un autre : « Moi c’est sur la photo de ton cul, à 4 pattes dans l’herbe en bermuda beige que tu me donnes le plus envie de te déchirer le trou de balle… » En quelques secondes, sous les regards amusés de mes hôtes et de leur copine, je suis happée par ses hommes bien décidé à me faire la fête. J’entends à peine Chantal dire à Bernadette : « Je vais prendre une douche vite fait par ce que j’en ai soulagé deux des 5 avant d’arriver et j’ai la chatte qui colle si tu vois ce que je veux dire ! » Je suis maintenant entreprise par ces cinq hommes qui vont me besogner pendant de longues heures. Je vais prendre des coups de bites partout et très vite, Bernadette vient se joindre à moi pour profiter des étalons. Un peu à l’écart de la mêlée sous laquelle Bernadette et moi, côte à côte, nous faisons partouzer. Nous ne subissons pas tout à fait le même traitement. Je vois Bernadette se faire monter avec plus d’égard tandis que je me sens comme un vulgaire bout de viande que ces mâles en rut prennent un grand plaisir à maltraité à l’aide de leurs queues, leurs doigts. Les propos sont salasses, je reçois des gifles, mes seins sont maltraités, je me fais sodomiser, double pénétrer et je crie quand ma bouche n’est pas obligée de sucer.

A l’écart de nous, Christian baise tendrement une Chantal fraîche et douchée, en missionnaire puis en levrette. Le traitement de choc monte encore d’un cran quand deux des hommes projettent de rentrer à deux dans mon vagin. C’est la première fois que je subis cela et j’ai peur de me faire déchirer. Mais ma chatte tient le coup. Bernadette dirige les hommes qui me démontent et me besognent depuis maintenant une heure. De temps en temps, l’un d’eux éjacule : en moi ou dans mes cheveux. Je me sens sale et grogne ou crie comme une petite truie. Au bout d’un moment, tous les mâles ont besoin de reprendre un peu de forces. Chantal qui vient de faire jouir Christian sur ses fesses se jette alors sur moi et me lèche avec un appétit vorace.

« On t’’a déjà fisté ? » Me demande-t-elle d’une voix blanche. « Non, jamais… me je suis trop étroite pour ça… » « Avec ce que tu viens de prendre depuis ce matin, ça m’étonnerait ! » Ricane Bernadette. Chantal malaxe déjà ma chatte et ses doigts s’enfilent l’un après l’autre dans mon vagin. Je ferme les yeux et respire profondément quand je sens sa main qui cherche à rentrer toute entière. Elle pousse franchement et ma chatte avale son poignet dans un bruit de clapotis. Elle se met aussitôt à bouger sa main de façon experte à l’intérieur de moi et je perds pieds. Un orgasme d’une intensité inconnue me saisit et ne va plus me quitter pendant de longues minutes. Je suis en sueur, des flots de cyprine coulent de ma moule le long de son poignet qui me fouille sans cesse. « Fais la pisser Chantal » crie Bernadette qui vient de s’assoir sur la queue bandant à nouveau du grand black. Chantal pétrit alors de plus belle, à pleine main, l’intérieur de ma grotte et sa deuxième main vient branler vigoureusement mon clitoris qu’elle a décapuchonné très vite.

Je perds pieds de plus en plus et sous l’effet de ces attouchements odieux, je ne parviens plus à contrôler ma vessie et le haut de ma chatte se gonfle encore et je lâche plusieurs grands jets d’urine jaune. Je crie, honteuse, tremble de tout mon corps. « Y en a un qui est prêt à l’enculer encore pendant que je la fiste les gars ? » demande Chantal. Un des grisonnant se glisse sous moi et c’est Chantal en personne qui enfile sa queue dans mon cul. Je tourne la tête et je vois Bernadette prise désormais en double puisque le petit jeune s’est placé entre ses cuisses. Je ne distingue pas si les deux queues sont dans sa chatte mais je le soupçonne en l’entendant crier comme une lionne. Le second grisonnant prend maintenant Chantal en levrette lente et profonde quand je pisse à nouveau. Avec son pouce, Chantal dirige le jet chaud vers le vieux magrébin qui s’approchait de moi pour se faire sucer. La colère le gagne et décalottant sa queue, il change ses projets et se met à me pisser dessus lui aussi. Dans cette ambiance vulgaire, la soirée s’éternise. Lorsque je me réveille, nous sommes au milieu de la nuit. J’empeste la sueur, le foutre et l’urine. Le petit jeune est couché sur moi et sa bite ramollit est encore engagé dans mon vagin. Nous sommes collés l’un à l’autre pas la mouille et le foutre séché. C’est le vieux magrébin qui dort sous moi. Un peu plus loin, Chantal est blottit entre Christian et le grand black. Je me dégage, pousse la porte de la chambre et surprend Bernadette encore en train de se faire limer par un des deux grisonnant tandis que l’autre dort à leurs côtés.

Je file à la douche. Pourvu qu’ils partent vite, je n’en peux plus. Mon cul et ma chatte sont douloureux comme jamais. Je voulais me faire baiser : me voici servit. Et je repense à mon rendez-vous avec la mère de Bernadette qui m’attend…

Je rêvasse sous ma douche nocturne et réparatrice et je perçois quand même les cris et gémissements de Bernadette qui est encore en train de se faire sauter dans la chambre voisine. Quelle santé cette cochonne. Contre toute attente, la porte de la salle de bain s’ouvre et c’est Chantal qui me rejoint sous la douche. Je remarque que ses tétons sont percés et portent chacun un petit anneau doré. Alors qu’elle m’a fisté, léché, brouté, ce détail m’avait échappé. Elle se savonne en me regardant à peine. Son cul rond est très beau, sa chatte est lisse, parfaitement épilée comme sa raie. Je prends goût aux femmes et je la trouve très belle. Elle e frôle pour se rincer et nous nous enlaçons sans un mot. Elle se met à genoux en face de moi et respire mon sexe sans pudeur. « Tu as quel âge ? » me demande-t-elle en se relevant. Je lui réponds « 32 » en le reprenant dans mes bras et me laissant aller dans les siens. « Une des deux filles de mon mari à le même âge que toi et l’autre à juste 3 ans de plus. C’est le bon âge, c’est la pleine maturité de ta chatte. Elle sent bon ta moule. C’est maintenant qu’il faut tout essayer. On va rester en contact et comme on n’habite pas loin, on va se revoir chez moi et tu vas découvrir des trucs incroyables, fais-moi ma confiance ma chérie. » J’ose enfin lui demander comment elle a organisé cette partouze avec des hommes qui me connaissaient sur le net ? « Facile, je connais ton profil sur les sites puis grâce à Christian, j’ai récupéré les contacts de mecs qui en voulaient à ton cul. J’ai éliminé tous ceux qui t’avaient déjà tringlé pour chauffer à blanc ceux qui voulaient vraiment te démonter depuis pas mal de temps. Y en a certains qui ont déjà bousillé ta copine black… Myriam, c’est bien ça ? » « Oui, oui, c’est ça. Il nous arrive parfois de se repasser les plans fesses avec Mymy… » « Tu as déjà sucé des nichons à piercing » me demande-t-elle voyant que mes yeux ne quittent pas ses seins. « Non jamais… » « Alors ne te gêne pas : mange-moi les loches ! » Je m’exécute et déguste sans retenu ses seins lourds en poires. Je joue avec ma langue à faire bouger les bijoux qui ornent ses tétines roses foncés aux aréoles parfaitement dessinées. Elle me rend la pareille en suçant mes longs tétons bruns et glisse une cuisse entre les miennes pour énerver ma chatte déjà brulante. Je l’imite et je sens sa grosse moule lisse bien baveuse sur ma cuisse également. Nous nous donnons un plaisir mutuel de cette façon.
La douche finit, nous nous isolons sur les transats qui bordent la piscine et finissons la nuit à la belle étoile. Je lui ai prêté une jupe et un débardeur qui comprime ses gros seins. Pour ma part, j’ai enfilé une culotte sous un short et je porte le fameux débardeur rouge sous lequel les hommes voyaient pointer mes petits nichons sur les photos.
Au lever du jour, je suis réveillé par un coup de bite sur la joue puis un gland qui cherche à violer mes narines. Le grand black et le vieux magrébin sont au garde à vous et promènent leurs queues sur moi. « Tu passeras le bonjour à ta copine Myriam » me dit l’ancien. « T’es vraiment une super salope, encore mieux qu’elle ! » Je commence à les sucer mais je comprends vite qu’ils veulent encore me mettre une séance. « On reprend le train de midi pour Toulouse avec Chantal donc on va te casser le cul une dernière fois petite putain ! » m’informe le black. Je me lève et les suis sur la pelouse. Mon short et ma culotte à mi-cuisses, je me mets à genoux dans l’herbe. Le black se met à me bouffer littéralement le cul en pétrissant mes petits seins à travers mon haut. Le vieil arabe me présente sa queue que je suce machinalement. Je sens le black se dresser derrière moi mais c’est mon petit trou qu’il va perforer à sec et d’un coup. J’hurle de douleur et d’effroi car je ne suis pas préparer et parce que les innombrables assauts de la veille ont meurtri mon rectum. Je le supplie de changer de trou mais je pense que mes implorations l’excitent encore plus. Il pince mes mamelles encore plus fort et m’insulte de plus belle le vieux m’empoigne par les oreilles, quand à lui, et me baise la bouche avec force et autorité. Je suis défoncé et j’en pleure en prenant quand même mon plaisir. La douleur dans mon cul devient une sensation de piston qui me fait fourmiller le ventre. Je sens ma chatte en manque de queue et quand le black me demande où je souhaite qu’il jute, je l’implore : « Dans ma chatte s’il te plaît, remplie moi, saillie moi comme une bonne jument ! » Il s’exécute et je sens son jus dans mon ventre. Le vieux a quitté ma bouche et le remplace dans ma chatte pour me couvrir lui aussi et je sens ma chatte qui déborde de foutre après ces deux saillies bestiales.

Les autres n’auront pas la force de m’honorer une dernière fois avant leur départ qui survient après un petit déjeuner en commun. Le petit jeune sera quand même isolé une dernière fois dans la chambre par Bernadette qui se fera donc honorer une énième fois.

La maison est bien vide après le départ de tout ce petit monde.

Christian et Bernadette me laisse me reposer au bord de la piscine et partent chercher leur fils. « T’inquiète pas ma belle, me rappelle Bernadette, on récupère le petit et on va faire un tour avec lui pour laisser le temps à ma mère de venir jouer avec toi ! » Moins de 40 minutes plus tard, la mamie est là, en face de moi. Je suis en bikini noir à grosses fleurs rouge sur mon sein droit et sur mon pubis.

Elle est élégante dans sa robe vert pomme au décolleté dévoilant le profond sillon entre ses gros seins blancs que je devine lourds et douillets. Elle s’approche de moi, souriante. Elle s’est maquillée avec beaucoup de goût pour l’occasion et j’apprécie l’attention. Elle passe sa main douce dans mes cheveux et sur mon visage et commence à prendre tendrement ma bouche en touchant délicatement mes seins. Je luis rend son baiser. Sa langue visite ma bouche, lèche mon palais. « Ils sont très jolis tes petits nénés. » Me dit-elle en les déballant de mon haut de maillot de bain.

Je commence à malaxer ses seins et, mes mains qui filent dans son dos, descendent la fermeture de sa robe qui tombe à ses pieds. Elle porte un joli ensemble en satin blanc avec un porte-jarretelle qui retient des résilles. Son cul est large et capitonné. Ses seins pèsent dans son soutif et leur vue me fait aussitôt penser aux nichons de ma mère. Cette furtive image ueuse m’excite brusquement et je sens ma vulve qui déborde de jus. Ça tombe bien, ses doigts sont déjà à l’entrée pour recueillir mon nectar. Elle les porte à sa bouche et semble se délecter de mon jus de femme. Je lui rends sa caresse en glissant une main dans sa culotte pour rencontrer sa toison fournie qui s’avèrera grisonnante elle aussi. C’est une dame « à l’ancienne » ! Nous nous touchons, nous nous frottons puis je m’agenouille devant son tablier de sapeur pour la manger un peu. Bien vite, elle me relève et s’agenouille devant moi. Elle me respire, me suce, me lèche. Je suis au bord de l’orgasme. Nous filons sur le canapé.

Malgré son âge, sa peau flasque, son cul de cellulite, elle me plaît cette grand-mère. Une fois ses seins libérés, je constate ses aréoles larges, rosées et parfaitement dessinées au centre desquelles dardent de gros tétons courts. Je la tête, elle me doigte. Nous faisons l’amour avec volupté et sans pudeur. Nous explorons aussi nos anus mutuels, grignotons nos lèvres et nos clitoris, branlons nos chattes gourmandes. Cela dure presqu’une heure et à plusieurs reprises, l’orgasme nous fait chavirer ; tantôt l’une, tantôt l’autre, tantôt les deux en même temps. Nos jambes entremêlées, nos chatte se frottent, se ventousent délicieusement. Elle me demande de la fister et sans aucune difficulté, j’enfonce ma main entière dans sa grosse moule qui m’aspire. Quelle étrange sensation que de toucher tout l’intérieur d’une femme de la sorte. Elle jouit furieusement cette fois-ci…

Nous sommes juste rhabillées mais encore collées l’une à l’autre en plein baiser torride quand nous entendons la voiture de sa fille et son gendre faire crisser la castine. La petite famille débarque et Christian et Bernadette font mine de ne pas remarquer les joues pourpres de mamie Solange. Elle est chargée de garder Tristan tandis que le couple me ramène déjà à la gare.
Je quitte Solange à regret. J’ai passé une petite jupe et un débardeur pour le trajet retour. Christian a obtenu de sa femme, l’autorisation de me tringler une dernière fois sur le trajet. Il me rejoint donc sur le siège arrière du Q7 et je passe la demi-heure de route à me faire limer la chatte puis enculer en guise d’adieux. Au moment de remettre ma culotte, Bernadette me tend son string qu’elle vient d’enlever. Elle ramasse le mien sur le tapis de sol, le renifle et l’enfile. C’est à la fois répugnant et excitant de savoir sa chatte blottit dans mes sécrétions vaginales car Christian n’avait pas oublié de me faire mouiller mes dessous avant de me saillir. En touchant celle de Bernadette dans ma main, je constate que nos ébats qu’elle a dû regarder grâce au rétroviseur en conduisant, ont rendus sa vulve bien liquide et odorante. Sans faire d’histoires, j’enfile son string noir. En effet, une sensation fraîche et humide sur ma chatte gluante. Les adieux sont fougueux et nous échangeons baisers et attouchements coquins pour la dernière fois.

Une fois dans le train, la pression retombe et je ressens de nouveau mon trou du cul et ma chatte meurtri par un week-end où rien ne leur fût épargné. Un homme s’assoit à mes côtés. A peine croyable : il s’agit d’un des deux « George Clooney ». Il s’empresse de me dire : « Tu me plais vraiment Patricia. Je devais rentrer par le train d’avant avec Chantal mais j’ai préféré t’attendre pour voyager avec toi. J’ai rendez-vous demain midi avec ta copine Myriam pour la défoncer mais si tu acceptes de devenir mon plan cul régulier, j’annule ! » J’accepte bien entendu et le train roule depuis moins de vingt minutes que nous sommes déjà en train de baiser dans les toilettes. Je monte et descend sur son membre, debout, à l’étroit, dans les effluves de pisses et secouer par les mouvements saccadés du train.

Cela fait maintenant un an que nous baisons ensemble au moins une fois par semaine. Si ça se trouve, un jour il aura le courage de parler de moi à son épouse et, qui sait, peut-être acceptera-t-elle de me recevoir chez eux pour un week-end…

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