Les Vacances D'April Et Ses Amis Partie 3

P.O.V Ana :


Le lendemain matin, je décidais de me lever plus tôt que tout le monde pour prendre une bonne douche revigorante. Sous le jet d'eau, je me lavais en essayant de ne pas trop me caresser. Après cette bonne douche je me mis un peignoir. Soudainement, on me prit par les hanches et on me poussa sans brutalité de face contre le lavabo. Je regardais dans le miroir : Scott se tenait derrière moi, simplement vêtu d'un caleçon, caleçon qui avait une grosse bosse. Il se colla contre moi et défit la ceinture de mon peignoir pour me mettre à nue. Toujours dos à lui, je le saisis par les fesses et plaquai son son sexe contre mon fessier. Tout en le branlant avec mon cul à travers mon caleçon, je le questionnai :


- T'es bien excité, ce matin Scott. Je t'excites tant que ça ?
- Oui, tu m'excites beaucoup. Répondit-il en me caressant mes seins et en m'embrassant dans le cou.


Ses mains descendirent sur mon fessier qu'il malaxa vigoureusement. Il s'agenouilla, son visage à hauteur de mes fesses, et il me donna plein de doux baisers sur mon cul. Il écarta mes deux globes fessiers pour avoir libre accès à mon petit trou. Il me chatouilla le contour avec sa langue experte. Tout en me titillant mon anus, il massa vigoureusement mon fessier, décuplant mon plaisir. Mes mains s'agrippèrent au lavabo, tentant de résister au plaisir qui m'envahissait. Mais c'était quasi mission impossible, Scott était trop doué avec sa langue. Il finit donc par me procurer un intense orgasme. Les jambes tremblantes, je dus me tenir plus fermement pour ne pas vaciller. Alors que j'étais toujours en train de récupérer, Scott retira son caleçon et rentra doucement dans mon cul bien lubrifié par son anulingus. Il commença dans un rythme lent, ne voulant pas aller plus vite. Mais je n'étais pas du même avis :


- Défonce-moi Scott ! Va plus vite !


Un petit sourire se dessina sur ses lèvres et je compris qu'il avait envie de me faire languir.

Je voulus me retourner pour le renverser et le chevaucher mais il s'y attendait : il me recadra en me donnant un puissant coup de rein qui me fit crier. Il commença alors à me baiser puissamment et rapidement. Sa bite me procurait un énorme plaisir et je ne pouvais m'empêcher de pousser de grands cris de plaisirs. Je ne mis pas longtemps à jouir ce qui me fit pousser un long hurlement. Mes cris ne passèrent pas inaperçus car on frappa contre le mur et la voix de Mary se fit entendre:


- Ana, prends du plaisir en silence ! On essaye de dormir !


Personnellement, je m'en foutais de faire du bruit mais pas Scott : tout en continuant à me baiser efficacement, il mit sa main gauche sur ma bouche pour me bâillonner. Mais je lui mordis la main pour qu'il la retire. Il fut surpris et enleva sa main, j'en profitais pour lui ordonner :


- Fais-moi crier Scott ! Défonce-moi encore plus fort ! On s'en fout si on les réveille !


Scott hésita, alors je donnais moi-même de vigoureux coups de bassin pour le convaincre. Cela fonctionna car il se mit d'un coup à me pilonner vigoureusement ce qui me fit pousser un grand cri. Il m'agrippa les cheveux, me tirant la tête en arrière. Il se mit alors à m'embrasser dans le cou et à me caresser mes seins. Il me baisait puissamment mais en même temps, il m'embrassait doucement et sensuellement. Ce contraste me rendait folle et me faisait pousser des hurlements de plaisirs. Je ne pouvais pas tenir bien longtemps à ce rythme et Scott s'en aperçut : pour m'achever, il me lâcha les cheveux et me titilla le clito avec vigueur. J'eus alors un orgasme monstrueux qui me fit hurler comme jamais. Mon plaisir ne redescendit pas tout de suite car Scott était proche de l'orgasme : il continua donc à me baiser jusqu'à ce qu'il jouisse à son tour.


Scott se retira de moi haletant, tandis que je me tenais au lavabo pour récupérer. Après quelques secondes, je complimentais Scott :


- Mmm, c'était géant Scott.



Scott sourit et me prit dans ses bras pour m'embrasser tendrement. Je répondis à son baiser puis lui dit :


- Allonge-toi, je vais m'occuper de toi maintenant.


Il obéit et s'allongea sur le tapis de la salle de bain. Je pris la ceinture du peignoir pour lui attacher les poignets au-dessus de sa tête. Scott se laissa faire et sa verge reprenait déjà vigueur. Sans attendre, je m'empalais sur lui, sans m'embarrasser de préliminaires. Je le chevauchais à une cadence rapide mais sensuelle. Scott gémissait doucement sous mes coups de reins et il avait les yeux mi-clos. Je pris appui sur son torse légèrement musclé, lui caressant ses pecs et ses abdos. Je ralentis le rythme mais lui donnait de puissants coups de reins qui le firent pousser de petits cris. Scott donna des coups de reins par en dessous pour augmenter la cadence mais je le recadrais en lui donnant des plus puissants coups de reins. Après quelques minutes d'une baise lente, je cambrais mon corps en arrière et je chevauchais sa bite vigoureusement. Nous gémîmes tous les deux de plaisir et, après quelques coups de bassin, nous eûmes un intense orgasme mutuel.


Après cette chevauchée très satisfaisante, je le détachais, l'embrassais tendrement et lui dit :


- Allez file maintenant. Faut que je reprenne une douche et si tu restes, on va encore baiser.


Scott m'embrassa une dernière fois puis sortit de la salle de bain pour me laisser me doucher.


P.O.V April :


Le soir venu, après une bonne journée de ski et le dîner, j'avais envie d'une bonne partie de jambes en l'air. J'entendais des gémissements dans la chambre de Mary, elle devait bien s'amuser. Entendre leurs soupirs de plaisir me donna encore plus envie de faire l'amour. Je recherchais donc Scott pour m'envoyer en l'air avec lui. Je le trouvais dans le salon, en short et torse nu, en train de regarder un film. Je me plantais devant lui et lui demandais d'un ton séducteur :


- Alors, il est bien ce film ?


Scott me vit et il eut un peu de mal à me répondre :


- Euh, oui.
.. il est… très bien.


Il n'arrivait pas à décrocher ses yeux de mon corps. En même temps, j'étais super sexy et j'étais vêtu d'une nuisette transparente bleue ciel très coquine et d'un string de la même couleur. Ne voulant pas faire traîner les choses, je lui dis d'un ton autoritaire :


- Viens devant moi à genoux et lèche-moi.


Obéissant, il s'exécuta et voulut retirer mon string avec ses mains mais je les lui ai giflées :


- Retire-le avec les dents Scott.


Scott m'obéit et attrapa l'élastique de mon string avec ses dents pour me le retirer. Ayant maintenant libre accès à ma chatte déjà mouillée, Scott commença un cunni, enfin pas vraiment puisqu'il voulut me faire languir : Il m'embrassa d'abord sur l'aine puis mon pubis ; il me donnait plein de baisers autour de mon sexe mais il ne s'en occupait pas. Je le pris alors par les cheveux et plaquai sa tête contre mon entrejambe :


- Arrête de me faire languir et fais-moi jouir.


Scott n'eut d'autre choix que de m'obéir : il me fit donc un délicieux cunni, tournoyant sa langue en moi et autour de mon clito. Je lui tenais fortement sa tête contre mon sexe l'empêchant de faire une pause. Scott continuait de me lécher encore et encore, me faisant gémir à chacun de ses coups de langue. Après quelques minutes, Scott me fit jouir intensément, ma main se crispant sur sa tête sous la force de cet orgasme. Après cette jouissance, il voulut se relever mais je l'en empêchai en l'allongeant sur le sol. Je retirai son short et son caleçon, révélant sa belle verge tendue à l'extrême. Je retirais mon string et je rentrais doucement sa queue dans mon petit trou, dos à lui. Je le baisais d'avant en arrière et de haut en bas, lui arrachant des petits gémissements. J'allais sur un rythme intense ne voulant pas le ménager. Scott passa sa main sur mon cul, me caressant les fesses. À un moment, il mit ses mains sur mes hanches pour me renverser et me prendre en levrette mais j'étais vigilante : avant qu'il ne me renverse, je m'allongeais de dos sur lui et je me déhanchais efficacement sur lui.
Changeant de tactique, Scott glissa ses mains sous ma nuisette, malaxant mes seins vigoureusement et pinçant mes tétons. Je gémissais de plaisir, mon corps frissonnant sous ses mains expertes. Il me donna aussi de vigoureux coups de reins qui eurent le mérite de me faire crier. En plus, une de ses mains descendit vers ma vulve : il titilla mon clito de son pouce tout en rentrant deux doigts en moi. C'en fut trop pour moi et j'eus un orgasme qui me fit feuler. Scott voulut profiter du fait que j'étais légèrement sonnée pour reprendre le dessus mais je ne lui laissais pas le temps : je me retirais de lui et lui dit de s'asseoir sur le canapé. Je voulais le faire jouir mais je lui laissais le choix de comment j'allais le faire jouir : fellation ou branlette espagnole. Il hésita quelques secondes puis répondit :


- Je préférerais que tu me suces.


Je m'accroupis entre ses jambes, prit en main son sexe et... le glissa entre ma poitrine pour lui faire une branlette espagnole. Scott voulut protester mais il en fut incapable car il perdit momentanément l'usage de la parole au moment où je fis coulisser sa queue entre mes obus. Je le branlais d'abord lentement, léchant le bout de son gland à chaque fois qu'il ressortait de ma poitrine. Scott poussait des gémissements et il luttait contre la vague de jouissance qui l'envahissait à grands pas. Pour le faire céder j'accélérais la cadence et je scrutais son visage grimaçant de plaisir. Scott ne put se retenir plus longtemps et explosa de jouissance, libérant sa semence sur mes seins et mon cou. Il avait les yeux clos à cause de cet orgasme, j'en profitais donc pour m'empaler sur sa queue qui n'avait pas débandée. Pendant que je le baisais de façon torride, Scott voulut me retirer ma nuisette mais je l'en empêchais en prenant ses poignets et en les plaquant contre le dossier du canapé. Il se débattit mais je le tenais solidement et il n'eut pas d'autres choix que de se laisser faire. Je le baisais ardemment, son visage à quelques centimètres du mien ; son visage était déformé par le plaisir et il se mordillait la lèvre inférieure tandis que je le regardais, ravie du pouvoir que j'exerçais sur lui. Mais malgré le fait que je le baisais superbement bien, Scott réussissait à tenir bon et c'est moi qui commençait à approcher de l'orgasme. Le plaisir monta de plus en plus en moi et je finis par jouir intensément. Mais cet orgasme me fit baisser ma garde : ma prise sur les poignets de Scott se relâcha et ce dernier en profita pour m'allonger sur le canapé. Il mit mes jambes sur ses épaules et me prit en enclume. Scott profita de cette position et se pencha légèrement pour me retirer ma nuisette, me mettant enfin à nue. Mes seins tressautaient à chacun de ses coups de reins et c'était un spectacle très agréable pour Scott qui n'arrivait à les lâcher du regard. Je me mis à me caresser ma poitrine sensuellement et je l'implorai du regard :


- Bouffe-moi les seins Scott.


Scott ne résista pas à cet appel : il continua à me pilonner vigoureusement mais il s'allongea sur moi pour prendre en bouche mes seins. Je le laissais faire quelques instants, me délectant de sa langue experte sur chaque parcelle de mes deux beautés, puis je repris le dessus : profitant du fait qu'il était allongé sur moi, je le fis tomber au sol, sur le dos, et je me réempalai sur lui pour le chevaucher à nouveau. J'allais à une cadence infernale pour sonner Scott et cela fonctionna : il était impuissant à reprendre le dessus, se contentant de savourer ma chevauchée et de crier comme une fille. Je voulais néanmoins qu'il continue de s'occuper de mes seins, alors je lui tirais les cheveux pour le mettre assis, en position du lotus, et lui fourrais sa tête entre mes seins. Il ne se fit pas prier et il s'occupa de mes seins tendrement tandis que je le chevauchais sauvagement. Cette chevauchée était trop intense pour nous deux : après quelques infernales coups de reins, Scott finit par jouir en poussant un grand cri de plaisir. Désirant moi aussi jouir, je le replaquais au sol, continuant de le chevaucher intensément jusqu'à ce que jouisse à mon tour. Je m'écroulais ensuite sur lui, très satisfaite de cette baise qui nous avait épuisée.


Scott me dit faiblement :


- J'adore trop baiser avec toi April. Je crois que je pourrais jamais me passer de toi.


Je l'embrassais sensuellement et lui répondit d'une voix suave :


- Ça tombe bien, je compte bien te baiser pendant encore longtemps. Et puis j'adore quand tu n'arrives pas à te retenir de gémir comme une fille quand je te chevauches.


Il fut quelque peu vexé mais ne répondit pas, sachant pertinemment que c'était la vérité.


Nous restâmes étendus à même le sol, récupérant de cette baise puis nous allâmes nous coucher dans le même lit, dans les bras l'un de l'autre, pour une nuit sage.


P.O.V Mary :


Aux alentours de 21h30, J'attendais Ana dans ma chambre, vêtue simplement d'une culotte et d'un soutien-gorge noir. J'avais dit à Ana de venir dans ma chambre pour qu'on baise ensemble. Enfin ça c'est ce qu'elle croyait : en réalité je voulais la « punir » pour m'avoir empêché de dormir ce matin.


Elle ne tarda pas à arriver et elle apparut dans l'embrasure de la porte, vêtue elle aussi d'une culotte et d'un soutien-gorge noire. Ana s'approcha de moi et posa ses mains sur mes hanches :


- Alors, dit-elle d'un ton langoureux, on passe aux choses sérieuses ?


Je l'embrassais langoureusement puis lui répondit :


- Oui, tourne-toi que je m'occupe de ton cul.


Ana s'exécuta et je lui retirais sa culotte, dévoilant son superbe cul bien ferme et bombé. Je lui caressais le cul puis je pris des menottes et lui attachais les mains dans le dos :


- Qu'est-ce que tu fais ? Me demanda-t-elle.
- Je vais te punir pour m'avoir empêchée de dormir ce matin.


Ana eut un petit rire et me dit d'un ton coquin :


- Tu vas me mettre la fessée ?


Je lui mis aussitôt une claque sur les fesses ce qui la fit frémir. Je désignais le lit et lui dit d'un ton autoritaire :


- Allonge-toi sur le dos et plus vite ça.


Ana s'exécuta sans protester. J'ouvris un tiroir de la commode et je pris un bâillon-boule :


- Avec ça tu ne pourras pas exprimer ton plaisir. Lui dis-je avec un sourire narquois.


Docile, Ana ouvrit la bouche pour que je lui mette le bâillon. Elle était maintenant allongée, les mains attachées et la bouche entravée, totalement à ma merci. Je vis dans ses yeux une lueur de soumission, ce qui m'excita davantage. Je lui retirais son soutien- gorge et je me jetais sur ses seins bien ronds. Je les embrassais de partout, profitant de la douceur de sa peau. Je m'occupais aussi de ses tétons que je mordillais et titillais. Ana commença à se trémousser, appréciant mon traitement.


Désirant la mettre encore plus au supplice, je descendis vers sa chatte, couvrant son ventre plat de baisers. J'entamais un doux cunni, léchant d'abord ses lèvres, titillant son clito puis j'infiltrais ma langue en elle. J'allais à un rythme lent, très lent même, pour ne pas qu'elle soit satisfaite et pour qu'elle désire plus que tout que je la soulage. Mais il n'en était pas question, du moins pas pour le moment. Je continuais alors à la tourmenter pendant de longues minutes jusqu'à ce qu'Ana se cambre et atteigne presque l'orgasme. Malheureusement pour elle, elle ne jouit pas car je me retirais juste avant qu'elle puisse jouir. Ana poussa un râle de frustration étouffé par son bâillon et se tortilla, tentant de se libérer.


Je la mis alors à quatre pattes, mettant son joli cul en valeur. Je lui claquais plusieurs fois son fessier, la faisant gémir à chaque fessée. J'infiltrais ensuite deux doigts en elle et cette fois-ci je la doigtais vigoureusement. Elle criait de plaisir aussi fort qu'elle le pouvait dans son bâillon. Je la branlais efficacement tout en la fessant. Elle tortillait du cul pour accen son plaisir et pour essayer d'atteindre la jouissance. Après moult va-et-vient dans son cul, j'arrêtais de la doigter et je pris un gode-ceinture de 20 cm de longueur et d'une bonne largeur. Son petit trou étant déjà dilaté par mes doigts, je rentrais dans son cul sans difficulté. À peine étais-je rentré dans son cul qu'elle gémit de plaisir. Sa tête était enfouie contre le matelas, elle ne pouvait que profiter de la situation. La prendre en levrette était très plaisant, je comprenais pourquoi les mecs adoraient cette position. Je la prenais sauvagement sans douceur, lui claquant les fesses par intermittence. Ana ne résistait pas à ce traitement, et elle approchait de plus en plus de l'orgasme. Clémente, je ne me retirais pas et continuais de la baiser jusqu'à ce qu'elle jouisse dans un cri étouffé qui fit trembler tout son corps.


Après qu'Ana eut joui, je voulus me retirer pour m'occuper d'elle autrement. Mais un événement imprévu m'en empêcha : en effet, quelque chose d'assez long, épais, chaud et tout dur venait d'entrer dans mon derrière. Je poussais un cri de surprise et je jetais un coup d'oeil en arrière : c'était Nassim qui, tout nu, venait de me sodomiser. Ce dernier me sourit et nous dit :


- Salut les filles. Vous m'en voulez pas de me joindre à vous ?


J'eus un peu de mal à lui répondre à cause de son sexe en moi mais j'y réussis néanmoins :


- Pas du tout, tu peux rester. Par contre, Ana reste attachée, elle est punie.
- Aucun problème.


Sur ce, Nassim me pilonna vigoureusement tandis que je continuais à enculer Ana. La sensation de me faire prendre par derrière tandis que je prenais moi-même Ana par le cul était très plaisante et jouissive. Nassim dégrafa mon soutien-gorge et vint malaxer mes seins vigoureusement. Il me pinçait aussi mes tétons, me procurant un délicieux frisson de plaisir. Après quelques va-et-vient, Ana eut un orgasme intense qui la fit grandement crier tandis que je jouis à mon tour sous les coups de butoir de Nassim.


Je me retirais de son cul et je vins m'asseoir sur le lit. Je fis asseoir Ana sur moi, le gode dans sa chatte et je dis à Nassim


- Prends la par derrière, on va la prendre en double.


Il ne se fit pas prier et rentra dans le cul d'Ana sans attendre. Ana gémissait déjà comme une folle, son bâillon retenant à peine ses cris. Nous donnâmes tous deux des coups puissants à l'intérieur d'Ana, la poussant au supplice de résister au plaisir. Mais elle ne tint que très peu de temps et elle eut rapidement un nouvel orgasme. Elle avait les yeux mi-clos et ne faisait que crier sous le plaisir qu'elle prenait. Je posais mes mains sur ses seins, les malaxant vigoureusement, profitant de leurs rondeurs et de leurs fermetés. Nassim, quant à lui, claquait les fesses d'Ana et lui tirait les cheveux pour accen sa domination. Nous continuâmes à la baiser passionnément jusqu'à ce qu'elle ait un nouvel orgasme qui la fit crier une fois de plus.


Je me retirais et enlevais mon gode-ceinture. Pendant ce temps, Nassim se retira lui aussi, se branla devant le visage d'Ana et il jouit en arrosant Ana de sa semence. Malgré sa jouissance, Nassim était toujours aussi dur, je décidais alors d'en profiter. Je le plaquais au sol et je m'empalais sur sa verge. Je le chevauchais ardemment, follement excitée. Je ne cherchais pas à aller lentement ou à le faire languir, je voulais juste prendre mon pied. Je le baisais sauvagement, comme une furie, prenant appui sur son torse tout en le griffant. Nassim voulut se rebeller mais j'y allais trop sauvagement pour lui : il ne pouvait que crier et quand il posait ses mains sur ses mains sur mes hanches, il n'arrivait pas à me renverser car mes coups de reins le rendaient faible. Je n'avais même pas besoin de lui tenir les poignets, il n'arrivait tout simplement pas à me renverser. Profitant à fond de sa queue en moi, j'eus un premier orgasme qui me crier de plaisir.


Mais cet orgasme, bien que très plaisant, n'était pas suffisant, j'en voulais encore un autre. Je continuais donc à baiser Nassim sauvagement. Quant à Ana, elle était à genoux, tout près de nous, ne pouvant rien faire d'autre que nous regarder baiser. Je giflais Nassim en le narguant :


- Tu aimes ce que je te fais ? Tu ne peux pas te rebeller, pas vrai ?


Il fut incapable de me répondre, trop occupé à crier sous le plaisir que mes coups de reins lui infligeaient. Je lui mis deux, trois autres gifles, histoire d'accen ma domination. Nassim voulut caresser mes seins mais je lui pris ses poignets et les plaquais sur son torse. Je le chevauchais ardemment, l'observant d'un air narquois. Cette baise intense était super mais je commençais à fatiguer. Heureusement, j'eus rapidement un nouvel orgasme qui me combla de plaisir. Nassim commençait à gémir de plus en plus, je savais qu'il approchait inexorablement de l'orgasme. Je me retirais alors et j'enlevais le bâillon d'Ana. J'ordonnais à Nassim :


- Finis-toi sur elle.


Nassim se leva et il mit sans attendre son sexe palpitant dans la bouche d'Ana. Il fit quelques va-et-vient puis il se retira et éjacula sur le visage d'une Ana docile et soumise. Nassim s'assit ensuite sur le lit épuisé. J'embrassais Ana qui me rendit le baiser langoureusement avant de me dire :


- J'ai adoré ma punition. Merci Mary.


Je lui donnais encore un baiser puis je la détachais. Ana alla se laver le visage puis nous nous couchâmes tous trois sur le lit et nous dormîmes jusqu'au petit matin.

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