La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1227)

Petite chienne au Château -

‘’Petite chienne, 25ans, mamelles de 95C, épilée, corps équilibré, sans Maitre, passée entre les mains de plusieurs Dominants, prête à vivre et assumer pleinement son statut de femelle chienne en chaleur’’

C’est suite à mon état de soumise présentée ainsi et à mes divers contacts depuis de nombreux mois avec Monsieur le Marquis d’Evans que je suis en route pour aller vivre, enfin, ce que je suis dans Son Château sur Ses Terres beaujolaises. Après avoir pris un TGV de Strasbourg à Lyon puis une correspondance jusqu’à la gare de Villefranche sur Saône. Le ciel est d’un bleu magnifique et sans nuages, l’air est chaud, c’est l’été, presque la canicule en cette fin juillet, ce qui génère de ma part une tenue légère. Je me rends au parking où les différents taxis attendent, comme devant toutes les gares. Je remarque mon nom sur une pancarte portée par un taximan adossé à la portière de sa voiture. Alors je me dirige vers cet homme, portant le costume à la perfection. Il porte des lunettes noires qui lui donnent un petit air mystérieux. Poliment, je le salue, et lui confirme qu’il s’agit bien de moi. Sans un mot de sa part et juste après un bref salut de la tête, il ouvre le coffre, y introduit ma valise, et m’ouvre la portière à l’arrière. Je m’approche en silence, la robe d’été que je porte est très légère et fluide, m’allant jusqu’à mi-cuisse. Malgré tout je tente de ne faire aucun faux pas, avec mes talons hauts. Alors que je souhaite m’installer, je remarque sur le siège du milieu, un plug ventouse, d’une taille raisonnable et d’un diamètre quelque peu conséquent. Je jette un regard au chauffeur, qui me répond par un simple sourire et toujours sans aucun mot. Je devine rapidement qu’il connait le but de ma visite dans cette belle région viticole et boisée. A ce moment précis, je reçois un message sur mon téléphone, il s’agit de Lui, Monsieur le Marquis d’Evans en personne :.

- Relève ta robe, petite femelle en chaleurs, que ton cul de salope soit en contact direct avec le cuir du siège et ouvre ton trou de chienne avec le plug.



Alors que je fais un pas en avant pour entrer dans la voiture, le chauffeur me stoppe dans mon mouvement, et toujours silencieux, il jette un regard vers le bas de mon corps. Je comprends que je dois relever ma robe avant d’entrer dans le véhicule. Je jette un coup d’œil aux alentours, personne ne semble se préoccuper de nous. Rapidement, je relève ma courte robe jusqu’au-dessus de mes fesses, et n’ayant aucun sous-vêtements, je m’installe sur le siège arrière de la voiture, enfonçant le plug déjà lubrifié dans mon fondement de chienne. Le cuir est chaud sous mes fesses, ce qui me donne une bouffée de chaleur. Le chauffeur prend place, le moteur ronronne et nous voilà quittant la gare. L’homme est concentré sur sa route, il roule doucement au vu de la forte circulation pour sortir de la ville. Je vérifie ma robe qui couvre mon bas ventre dénudé et le haut de mes cuisses. Je remarque que je suis installée au milieu de la banquette, où le plug trônait, cela me semble étrange, d’être ainsi placée au centre. Le véhicule est luxueux de son intérieur tout capitonné, la banquette est agréable, et à ma droite, je remarque un mini-bar.

Une vitre teintée me sépare du chauffeur, je ne peux pas le voir, (mais j’ai vite compris que lui, peut me voir) de même les vitres du véhicule sont elles aussi teintées, et cette fois, je peux voire à l’extérieur. Je remarque qu’on prend la direction d’un petit quartier, les maisons parfaitement alignées se ressemblent… Je m’interroge… Je ne pense vraiment pas que le fameux Château est dans cette direction… Je sens le véhicule ralentir, jusqu’à s’arrêter. Je n’ose bouger, et alors que j’entends une porte s’ouvrir, je comprends que le chauffeur vient de quitter le véhicule. Je reste sagement installée, n’ayant pas eu d’ordres contraires. La porte à ma droite s’ouvre, et une femme d’une forte corpulence s’installe sur la banquette. La robe couvrant aussi bien le haut de mes cuisses que mes fesses sur le côté, je me sens rassurée.
Ainsi vêtue, elle ne peut connaitre ma véritable position sur cette banquette : cul nu et plugué. Cette femme au regard sévère me toise du regard, je lui souris et poliment, lui souhaite un :

-Bonjour (Ce dont elle me réplique sèchement : )

- C’est ainsi qu’on dit « bonjour » à une Dame, petite chienne ?

Mes joues s’empourprent, je tente de me reprendre, mais dans la surprise, je bégaie, balbutie mes mots et lâche un lamentable :

- Bon… Bonjour… Ma… Ma…dame
- Je suis sûre que tu peux faire beaucoup mieux que cela, petite salope !

Je baisse la tête, les yeux fixant mes pieds ; pour dire correctement :

- Bonjour Madame
- Voila qui est beaucoup mieux, petite chienne, cette erreur mériterait une belle punition, j’en ferai part à Monsieur le Marquis. En attendant, tu vas te mettre en tenue adéquat au vue de ton statut de chienne. Ôte-moi, cette robe qui n’a pas lieu d’être sur ton corps de pute.

Machinalement j’obéis, craintive et vraiment intimidée, je retire ma robe, dévoilant ma nudité à cette parfaite inconnue au ton directif. Elle tire sur ma queue de cheval, me prenant ainsi en main, et me fait mettre à genoux entre ses cuisses. Cette femme passe une main sur mon dos, descend jusqu’à mon trou de cul, toujours garni par le plug. Elle frappe mes fesses avec vivacité en grognant de plaisirs pervers des mots vulgaires en mon encontre. Je reste silencieuse, gardant le regard au sol. La Domina finit par quitter mon fessier pour sortir un objet de son sac à main que je ne vois pas.

- Penche-toi en avant, petite chienne

Je m’exécute, et je la sens se pencher sur moi, elle joue un peu avec mon plug en appuyant dessus de son gros pouce, tout en allant me branler quelques secondes mon clitoris exposé à son regard. Il n’en faut pas moins pour que ma chatte réagisse en s’humidifiant d’avantage. Puis un petit cliquetis se fait entendre. Une matière douce et soyeuse alors caresse mes cuisses, je comprends qu’elle vient d’ajouter une queue synthétique d’animal à mon plug qui était visiblement doté d’un anneau.


- A présent, tu as l’allure d’une petite chienne, sans collier, certes, mais tu ne mérites pas encore le port d’un collier, pour cela, tu devras démontrer que tu es digne d’en recevoir un, et il faudra surtout qu’un Dominant ou une Domina te reconnaisse comme étant Sa propriété. Pour ma part, je n’ai pas le temps de me consacrer à l’éducation d’une petite femelle de chienne de ton espèce, j’ai eu des échos sur ton petit cas par Monsieur le Marquis qui m’a sollicité pour t’accompagner dans ce taxi, dont pour ton information la société de taxis Lui appartient. Monsieur le Marquis m’a donné carte blanche pour faire ce que je veux avec toi, la salope … Je vais donc juste juger par moi-même tes capacités de petite chienne obéissante, car l’affirmer c’est une chose, l’être en est une autre … Aller, vient entre mes cuisses, petite salope, je suis curieuse de savoir si tu sais donner du plaisir à une Domina...

Je n’attends pas une seconde, porter un plug-queue est un pur bonheur, ainsi, je me sens totalement à ma place de chienne soumise femelle en chaleurs. Je me plonge donc entre les cuisses bien développées de cette Domina’, et gueule ouverte, je passe ma langue entre ses cuisses, à la recherche entre ses plis graisseux, de son clitoris que je décalotte. Ma langue caresse ensuite ce clito, et je le fais vriller entre mes lèvres, je joue avec lui, l’odeur forte graisseux de cette Domina excite la petite chienne qui est en moi. Heureuse, je remue les fesses, naturellement sans même m’en rendre compte, tellement je suis concentrée à donner du plaisir à cette Domina qui m’a doté d’une queue, qui me frôle les cuisses aux moindre de mes mouvements. Je souhaite la remercier par mes coups de langue et lui donner un maximum de plaisir. Sa cavité s’humidifie à l’évidence car je sens que mon jeu de langue fait son petit effet, son souffle est plus fort, je l’entends haleter, elle commence à légèrement se déhancher sur son siège. Je descends alors de quelques centimètres, pour introduire ma langue entre ses grosses lèvres intimes qui me paraissent très développées, voire disproportionnées, et ainsi lui donner encore plus de plaisir…

J’ai chaud sous sa jupe, mais cela m’importe peu, je me sens heureuse à ses pieds, lui procurant du plaisir, car je sais que cela se fait selon la volonté de Monsieur le Marquis, et je n’ai aucune envie de le décevoir.
Mes coups de langue se font plus rapides, ses jambes se mettent à bouger autours de moi, elle les passe sur mes épaules, et les croise dans mon dos, m’obligeant à conserver la tête entre ses cuisses, qu’elle maintient fermement de ses deux grosses mains plaquées derrière mon crâne. Sa cyprine coule sur ma gueule de chienne, elle pousse de longs gémissements de plus en plus amplifiés au niveau sonore. Je ne cesse de lui lécher et aspirer son sexe, ses grosses lèvres intimes et son clito et ce moment est un pur délice. La Domina finit par lâcher de puissants cris qui succèdent à ses gros gémissements de plaisirs quand elle laisse exprimer son orgasme, m’inondant mon visage en appuyant sur mon crâne afin de bien coincer ma bouche contre son sexe coulant sa cyprine jouissive. Elle reste ensuite un long moment ainsi, de longues minutes sans bouger tenant ma tête prisonnière entre ses cuisses tandis qu’elle reprend son souffle. J’ai un peu de peine à respirer, et les odeurs de ses sécrétions vaginales se font encore plus sentir sous mon odorat. Au bout d’une dizaine de minutes la Domina décroise enfin ses jambes de mon dos, et m’exige de la nettoyer. Je m’applique à ma tâche, léchant toute trace de cyprine autours de son sexe, une fois satisfaite, je reprends ma position à genoux, tête baissée. Elle me tapote le crâne avec satisfaction, et me passe un bandeau sur mes yeux. La Domina me présente ses doigts devant ma gueule, et tout en conservant ma position, je lui lèche ses doigts délicatement comme pour la remercier...

(A suivre …)

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