Soumise Aux Ordres De Mon Maître. La Maison Close. Je Passe Enfin À La Casserole.

Soumise aux ordres de mon Maître.
La maison close. Je passe enfin à la casserole.

(Cette histoire est écrite avec la complicité d’une de mes lectrices. Mais je ne vous dirai pas si tout ou partie est fantasme ou réalité. L’auteur)


Je baisse la tête, une petite larme de frustration, de déception, ..., une preuve de ma contrition? Un silence.
Sa voix, qui fait vibrer mon être, vite, je le regarde:
- Les filles, occupez-vous d'elle! Foutez la à poil et à vous trois faites la supplier de lui pardonner!
Il se recule et s'installe confortablement dans un fauteuil à oreilles, les mains posées sur les accoudoirs, le dos droit et ses yeux qui m'observent. Est-ce un demi-sourire?
Il a un langage souvent très cru, je ne sais pas si j'apprécie. Cela me perturbe mais me force à employer moi aussi des mots, des expressions que j'ai lus avec plaisir mais jamais usités.

Mon corps devient un terrain de jeu pour les trois taupes, et moi, je ne le quitte pas des yeux, tout ce que je vais ressentir, je le lui offre.
Je sens des mains le long de mes cuisses, des mains sur mes reins, des mains sur mes épaules. On me détache le soutien-gorge, les bas, mes boucles de chaussures. Un pied puis l'autre, plus de chaussure, un bras puis l'autre et mes seins qui pointent, brûlés par son regard qui me caresse, je sens deux mains sur mes hanches et mon string descend en même temps que mes deux bas. Elles sont efficaces.
Et commence leur jeu, je sens des bouches, qui me lèchent les seins, les mordillent (Hummmm ! J'adore), une autre bouche est sur mes lèvres vaginales, la pointe de la langue a trouvé mon clitoris, des mains et une autre bouche descendent le long de ma colonne pour s'attarder sur mes fesses, quelques coups de dents.
Je gémis, je ne le quitte toujours pas des yeux. Je ne sais pas qui est qui, mais les trois sont très fortes, elles connaissent le corps d'une femme, les endroits sensibles, je coule.

Il ne bouge pas.
Je gémis plus fort, me tortille, je sens deux doigts en moi, une bouche qui continue ses caresses sur mon bouton.
Mes seins sont humides, gonflés, les tétons irrités, je pourrais jouir de mes seins, j'ai un doigt qui force mon anneau. Je gémis, j'ondule, je sens une montée, la boule de feu qui se forme dans mon ventre.
Mon ventre si vide, mon ventre qui te veut. Ton regard balaye mon corps mais revient à mes yeux puis tu te lèves, je te suis du regard, tu tournes autour de moi, je me contorsionne en gémissant.

Mais tu restes à deux mètres, comme pour garder une vue d'ensemble. Je brûle, je coule, je te veux. Je ne vais bientôt plus pouvoir maîtriser la montée puissante, le raz de marée qui s'annonce.
Elles ne sont pas là, elles ne comptent pas, c'est bien toi à travers elles qui me donnes tout ce plaisir.
Patriiick ! Je vais craquer ! On entend mes gémissements, des mots me viennent en tête "s'il te plait, pitié, encore, plus loin, plus fort, mordez-moi ! Pincez-moi ! Patrick, Patrick, Patrick !"
Mais un sursaut d'orgueil, je geins mais pas un mot ne m'échappe, par un sursaut de volonté, je me libère des pétasses (oups, ça m'a échappé) et je me jette à son cou, mes mains descendent immédiatement sur la bosse, épaisse qui tend le pantalon.
J'arrache presque le bouton, la braguette, et ma main rencontre enfin sa verge. J’avais raison, il ne portait rien sous son pantalon. Hummmm ! Enfin, je colle ma bouche dans son cou pendant que mes doigts tâtonnent, explorent. Je sors sa queue, c'est fou je l'ai déjà vue plein de fois en photo, en vrai aussi mais je ne m'habitue pas, je tombe à genoux.
De mes deux mains je le caresse sur toute sa longueur, mes lèvres déposent des baisers le long de son mât, à gauche, à droite, en dessous sur sa veine, au dessus, hummmm ! Le gland dans ma bouche, ma langue qui frotte, joue l'entoure, je le suçote, me délecte. Mes mains courent, passent en dessous, saisissent ses couilles.
Il y a tellement de surface pour jouer.
J'entends sa voix :

-Aidez-là, les filles ! Je crois qu’elle ne peut plus attendre !
Elles se jettent sur lui et le dévêtissent. Les salopes ! Je voulais le faire toute seule. Mais je ne veux plus lâcher le centre de son corps, le centre du plaisir, de MON plaisir !
-Maintenant, reprenez votre activité, je veux qu’elle n’arrête pas de jouir !
Elles s’occupent de nouveau de mon corps pendant que je m’enivre de l’odeur de mon Maître.
-Tu as carte-libre, Sophie ! Je suis tout à toi ! Ordonne et je t’obéirai !

Je le lâche pour laisser mes mains parcourir l'ensemble de son corps, il est bien conservé mon pas si jeune étalon.
Je m'enivre de sa peau, des baisers, des caresses, il m'électrise.
Les filles ont des mains très actives aussi, mais j'avoue que rien ne surpasse le plaisir de le toucher, de le mordiller, de le lécher... Comme une jeune fille, je pourrais lui faire des suçons!
Mon corps est un brasier qui ne sait plus où il est, ne comprend plus, trop de mains, trop de caresses, trop d'envie, hummm ! Des langues aussi.
Il m'a dit qu'il est à moi, je veux le chevaucher, me donner à lui.
Je lui prends la main, me faufile entre les donzelles, elles sont tenaces celles-là.... "Ordonne et je t’obéirai!".... La voilà la solution.
- Patrick, allonge-toi sur le lit et les poufs peuvent se gouiner plus loin, pas besoin d'elles pour l'instant!
Ça fonctionne ? Oui!

Je m'agenouille sur son côté, et j'embrasse ses cuisses, dessus, intérieur, je remonte en un long coup de langue sur sa verge dressée, je passe sur son ventre, sa taille, ses tétons, son cou ses lèvres, je suis allongée.
Un très long baiser langoureux, humide, délicieux, caresse des langues, mes mains sur ses épaules, les siennes autour de ma taille sur mes fesses. Je sens son envie, la bête qui bouge, me veut. Je coule, mon corps se prépare à le recevoir.
Je me redresse, me mets à califourchon et, telle une amazone, je saisis sa belle queue à la base de la main droite, la gauche en appui sur son torse lui pince un téton, gémissements de lui, de moi.

De son gland, j'étale ma mouille. La capacité d'un corps à s'adapter est incroyable, je le laisse entrer, je descends, il m'élargit, tellement!
Tout mon vagin se fait envahir, chaque millimètre carré est en frottement contre son pieu si épais, si chaud, si dur, si doux, si BON ! Je me laisse descendre, il se faufile, me transperce, c'est BON, oui, presque au fond, il est si large… Je mouille tellement, ma main droite est partie sur mon sein, pincement, je poursuis cette descente interminable... J'adore.
- Encore un peu Sophie !
Oh oui, encore ! Tout ce que tu veux, plus loin, ..., mon utérus. Tu me remplis tant, je pose ma main sur mon ventre, je crois que je dois pouvoir sentir ton mât en moi. C'est tellement BON ! Oui, ça y est je sens tes couilles contre mes lèvres, Pause.
Je mets mes deux mains sur toi, me penche, observe ton regard interrogatif :
- Je vais bien. Je suis bien, enfin!
Je t'embrasse, mes mains sur ton visage, tu es tellement loin en moi, je me sens femme, complète, enfin entière. Il n'y a que ta majestueuse bite qui peut me satisfaire, me combler.
Tes mains sur mes hanches, pouces de chaque côté du bassin sur l'os saillant. Dressée je remonte, me vidant de toi dans un long frottement, gémissement, je m'étire, me cambre, mes mains sur tes avant-bras.
- Oui Patrick! Aide-moi!
Et nous partons dans un long rodéo, plus haut, plus loin, plus puissant, je coule, t'inonde.
Je sais que tu es long à jouir mais moi je ne vais pas pouvoir t'attendre, j'ai une montée électrisante. Tous mes membres fourmillent, se tendent, chair de poule, poils dressés, feulement, et j'ondule sur toi, tu vis en moi.... Ca monte avec une puissance dévastatrice et je hurle, je me vide :
- Patrick, OUIIIIIIIIII ! Encore, encore, encore ! Plus fort ! Oh Patrick, OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII!
Poupée de chiffon....
- S'il te plait Patrick, à toi, please, help ! Fais de moi ce que TU veux.
Et je parsème au ralenti son torse et son cou de baisers, lui toujours en moi.


(À suivre)

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