Le Nouveau Mâle Dominant De La Meute. 1
LE NOUVEAU MÂLE DOMINANT DE LA MEUTE. 1
L'histoire que je vais vous raconter mest arrivée l'année dernière. Jai déjà connu des garçons et je dois dire que je nen garde pas un excellent souvenir et depuis je suis peu encline "aux choses du sexe". Jai aussi un frère qui lui na pas beaucoup de succès auprès de la gente féminine car il nest pas très beau.
Le problème, cest que, comme je suis une fille plutôt jolie, je suis souvent invitée et mon frère jamais.
Ce soir là, jétais invitée chez un copain qui fêtait son anniversaire et je lui avais donné comme condition à ma présence que je vienne avec mon frère.
Je vous conte donc ce quil cest passé.
Avec mon frère et moi, nous sommes dix filles pour six gars. Gâteau danniversaire, bière et autres alcools, musique et flirt. Le truc habituel, quoi !
La soirée avance et nous nous retrouvons autour de la piscine.
En cette fin du mois daoût, l'air est suffocant, inclinant au bain de minuit. Mais il ny a pas que la température qui chauffe à blanc les esprits et les corps de tous ces jeunes avides de mordre à pleines dents dans leurs sexualités exacerbées. Lalcool et la musique amènent doucement tout ce beau monde à laisser tomber tous leurs tabous (sils en avaient).
Jai une petite revanche à prendre avec deux des garçons et avec certaines pimbêches qui me narguent avec leur fric depuis des mois.
Je ne bois pas et demande à mon frère de ne prendre que du jus de fruits. Cest lui larme de ma vengeance et je veux quil ait tous ses moyens.
Je regarde dun regard froid la scène pitoyable de ces richards bien éméchés. Des mains baladeuses commencent à se glisser sous les robes ou caresser des seins. Certaines palpent ouvertement des fesses rebondies.
La transpiration coule à flots et ce qui devait arriver arriva. Un des garçons pousse à leau une fille et plonge la rejoindre. En moins de cinq minutes, tous les autres se dénudent entièrement et se glissent dans la piscine malgré quelques rebuffades de certaines filles.
Bien sûr, Paul et Jean, ces deux petits cons, font les malins et se débrouillent pour se pavaner en bandant devant les filles, prenant bien soin quelles admirent leurs machins avant de plonger.
Lydia demande à mon frère pourquoi il ne les rejoint pas. Il lui répond quil se baignera plus tard car il a quelque chose de prévu avant.
Elle ne sait quoi penser de sa réponse et loublie aussi vite.
Je lui révèle enfin ce que jattends de lui :
-Tu vois le garçon qui roule des mécaniques avec sa bite ?
Paul est ressorti de la piscine. Il faut bien reconnaître quil a une belle queue bien raide. Il se pavane comme un coq de basse-cour montrant ses attributs autour des poulettes qui sortent de londe.
Il sait parfaitement quil est beau et bien foutu et je comprends pourquoi toutes les filles lui tournent autour. Je nai rien à leurs reprocher car jy ai succombé moi aussi.
-Cest lui que je veux que tu ridiculises !
(Il faut quand même que je vous dise pourquoi jai voulu que mon frère soit là. Il a été souvent rejeté par ses copains. Vous savez ! Celui quon ne prend dans léquipe que quand il ne reste plus que lui. En plus les autres se foutent de sa gueule car il ne veut jamais prendre une douche avec eux après les matchs et ils le traitent de « billoute ». Les filles aussi le rejettent avec son visage juvénile, ne le jugeant que sur un physique lui donnant lair davoir trois ans de moins que son âge. Il ny a que peu quil a connu sa première femme, et depuis les choses ont bien changées.)
<Lire : Le fils de ma meilleure amie, du même auteur>
Trois gars et une fille sortent de leau suivis peu de temps après par les autres. Des couples et même des trios se forment et cest parti pour une partouze !
Bien sûr, Paul et Jean ne se privent pas daller butiner les autres filles mais cest « chasse gardée » pour Sylvie et Lydia, leurs petites copines.
Les garçons pelotent l'une ou l'autre des filles.
Jespère que ces petites connes prennent toutes la pilule !
Certaines les malaxent puis les prennent en bouche sans arrêt. Ils leur donnent la pareille en glissant leurs doigts dans les coquelicots offerts, jouant comme des s avec ce nouveau jouet très sensible chez toutes les femmes.
Lun deux commence à descendre vers le vagin pas rasé de sa partenaire déjà perdue dans des gémissements de délectation et y introduit sa langue avec bonheur. Il a lair expert en la matière car la fille décolle en un rien de temps.
-Ahhhhh ! Oui continue !
Il nen est pas à son coup dessai avec le cunnilingus et aime en faire profiter ses conquêtes, les amenant vers des sommets de plaisir intense. La fille, allongée sur un transat, est incroyablement belle avec ses seins qui pointent, un grand sourire illuminant son visage.
Cependant, il ne veut pas sarrêter là et elle découvre toute la puissance dune réelle jouissance lorsque la verge de son jeune partenaire prend le relais dans son vagin.
Elle hurle sans soccuper du voisinage, vibrant sous les assauts du garçon.
Il ne tient pas longtemps avant de jouir et déverse une bonne dose de sperme sur le visage de sa partenaire en poussant un râle viril. Sans rechigner, elle avale toute la semence du jeune mâle.
Un peu plus loin, deux filles esseulées se débrouillent entre elles, têtes-bêches regardant avec envie la belle Sylvie gémir de plus en plus fort sous le pilonnage de Paul qui pistonne son vagin.
Je jurerais que sa bite grossit encore aux derniers coups de boutoir quand les couilles de Paul se contractent en cognant le cul de Sylvie avant dexploser comme un volcan tandis quun orgasme la dévaste comme un véritable raz-de-marée.
Le dernier des cinq mâles présente son gland à deux filles, affolant leurs sens de son odeur musquée. Lune lui lèche les couilles et la hampe pendant que lautre glisse son gros bout au plus profond de sa gorge.
Enfonçant les doigts dans ses cheveux, il va et vient dans sa bouche comme si cétait une chatte et moins dune minute plus tard, il se cambre tandis que ses giclées de sperme arrosent les visages des filles qui savourent le goût salé de sa semence.
Ils sont là, ils attendent patiemment leur tour. Dès quun se retire, un autre arrive et le remplace. Les chattes et les culs sont tellement dilatés et graissés de foutre que ça devient facile maintenant, tout pourrait rentrer dans ces puits sombres.
Plus tard, quand ils sont enfin rassasiés, repus de sexe et les couilles vides, ils sétendent sur le bord de la piscine. Tout cette orgie na pas duré plus dune heure.
Les protagonistes redescendent enfin sur terre et se rendent seulement compte que nous navons pas participé à leur partie de jambes en lair.
Bien entendu, cest Paul qui décide de se foutre de nous :
-Alors Marie ! Ça ne ta pas plu ? Tu naimes-pas les grosses bites ? Se gausse-t-il. Et pourquoi as-tu amené ton couilles-molles de frère ?
-A nous frérot ! Montrons leur pourquoi tu es là !
Je me tourne vers lui et déboutonne son pantalon que je baisse, découvrant la racine de son sexe. Il ne bande pas du tout, je continue à baisser son pantalon et découvre à la vue de tous une queue qui n'en finit pas de se déployer. C'est un véritable serpent.
Je me précipite sur son nud et le suce comme une furie jusquà ce quil commence à se raidir et prendre une taille colossale.
Je lui retire son polo et dégage ses jambes du pantalon. Les filles ne peuvent quitter des yeux ce sexe monumental, raide comme la justice et pratiquement plaqué contre son ventre. Les garçons non plus dailleurs.
Une véritable barre-à mine, beaucoup plus large que mon poignet, aussi longue que mon avant-bras, cache son nombril dun gland trigonocéphale monstrueux, encore plus large que la hampe déjà hors normes.
Une paire de couilles proportionnelle à la hampe magnifique est suspendue dessous.
Ils ont tous lair stupides et ahuris, hébétés de voir une bite si volumineuse car mon frère et plutôt fluet et ressemble à un ado boutonneux.
Les conversations se sont tues depuis un moment déjà. Ils sont tous comme abasourdis de voir une telle matraque barrant le ventre de mon frère.
Je me tourne vers Paul et lui réponds enfin :
-Si ! Jaime les grosses bites ! Mais comme tu le vois, tu fais plutôt petit à côté du gros porteur de mon frangin ! Hein les filles ?
Mon frère va vers les filles qui écarquillent les yeux parce quelles nont jamais vu une aussi grosse bite bien quil ait un peu débandé.
Il passe entre elles et Lucie se précipite vers lui pour limplorer :
-Oh elle est belle ta teub ! Je nen ai jamais vu daussi grosse, tu me laisses la toucher ?
-Ne ten prive-pas si ça peut te faire plaisir ! Juste un instant.
Alors elle prend la bite dans ses mains et elle commence à la branler. Elle redevient énorme atteignant sa dimension peu commune de 26 cm. Cest déjà impressionnant sur un beau black dun mètre 90 mais sur mon frère qui atteint péniblement un mètre 65, je ne vous dis pas le contraste que ça fait !
Il passe de lune à lautre, sarrêtant quand elles agrippent sa verge, en baissent avec difficulté lorgueilleuse rigidité pour en goûter le museau mafflu entre leurs lèvres qui palpitent déjà à l'idée de sentir cette colonne de chair glisser à l'intérieur de leur bouche.
(À suivre)
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