Botero Au Cap D'Agde

Voilà , mon épouse vient de rejoindre notre domicile . Jeune , jolie , corps de liane sans un pouce de gras ,
L'envers du décor est chanté par Brassens : «  quand vous ne nous les caressez pas , chérie vous nous les cassez »
Son travail l'appelle et je ne suis pas mécontent de la voir s'éloigner.


Nous étions depuis plusieurs jours sur notre voilier au Cap d'Agde .
A port Ambonne exactement , en plein cœur du complexe naturiste tant commenté et parfois décrié.

Endroit merveilleux , lieu de tolérance , d'excès en tout genres , ou chacun trouve ce qu'il est venu chercher, J'ai voyagé dans le monde entier , découvert des plages paradisiaques , mais cette enclave naturiste à 2 heures de chez moi reste « le must »....

Le soir même , mes voisins de ponton m'invite pour le traditionnel apéro, Il faut dire que seul , 2 organes fonctionnent à plein régime ici : - les génitaux mâle et femelle , très sollicités sur la plage , le soir dans les coursives et les lieux de débauche du camp( voir mes précédents récits ! )
- le foie qui distille dés le midi ( et voisin ! Un petit
rosé ? ) , avec reprise des hostilités vinicoles vers 19 heures jusqu'à pas d'heures.. .


Mon cerveau au repos , je franchis donc la rambarde qui me permet d'accéder au bateau de Thierry , Il possède un 10 mètres à moteur avec une grande plage arrière , « Nous serons huit ce soir et tu restes dîner , J'attends notamment une certaine Pauline , avec qui j'ai dialogué sur un site de rencontres , Elle ne connaît pas le camp et veut le découvrir »


Après plusieurs tournées , et quelques conversations niveau campeur bidochon , le portable de Thierry sonne , Pauline est à l'entrée du camp ; elle n'a pas le passe qui lui permet de franchir la barrière .


Je me propose d'aller la rejoindre pour lui permettre l'accès sans qu'elle ne soit obligée d'avoir à payer.

Elle m'attend patiemment dans sa C4 Picasso, Et là ce fut le choc : 140 kgs au bas mots , assez petite , presque aussi large que haute , ouf …

Au deuxième abord , tout n'est pas négatif : belle gueule , un beau sourire qui illumine son visage , une voix douce , 34 ans , fille classée de suite sympa à très sympa. Mais alors ce cul énorme , que je devine encore masqué par une jupe noire qui lui arrive au genou !!!

Son indice de masse corporelle doit atteindre des sommets . Ses cuisses sont de beaux jambons , que l'on a envie de tapoter pour en apprécier la texture , La cellulite apparaît au travers du tissu .

Très rapidement , elle s'est intégrée à notre groupe . Elle tombe sa chemisette et son soutien gorge taille 100 H certainement . Une paire de mamelles gigantesques , flasques , qui lui tombe sur l'abdomen .Un tablier abdominal qui doit peser un quart de quintal , et qui repose sur ses cuisses , masquant son pubis . Je vous dis , Botero et Rubens réunient. Une vraie hippopodame !!


Au fil de la soirée , notre groupe se délite, Nous nous retrouvons à trois avec Thierry et notre chère Pauline , bien décidée à nous croquer tous cru.

Deux options s'offrent à nous . Notre hôte serait plutôt partant pour aller au « jeux de mains «  , , un club dans le camp ou les hommes seuls peuvent rentrer. Beaucoup de couples viennent là pour assumer leurs plaisirs . Bukkaké , cuckolding , candaulisme , et autre douches de sperme , toutes ces petites activités hors du commun , mais si répandus en ces lieux de débauches .


Pauline et moi , préférons rester sur le bateau . Thierry se range à notre avis et nous rentrons dans la cabine .
En quelques secondes , elle est nue et nous aussi . Sa peau est douce , et je prends beaucoup de plaisir à lui baiser le cou , déclenchant chez elle , des frissons sur tout le corps . Chaque mâle lui prend un sein , et nous la caressons avec tendresse , faisant monter rapidement sa température corporelle et l'envie de nous bouffer tout cru !


Elle s'allonge sur la banquette , Thierry lui tendant sa bite qu'elle enfourne avec gourmandise. A voir la mine réjouit de mon ami , je comprends aussi que c'est une pompeuse XXL.

Quant à moi , je m'attaque à la partie inférieure de notre animal ; j'écarte ses énormes cuisses , soulève son abdomen pour accéder à son pubis . Lécheur invétéré , je me jette sur sa vulve . Le choc est violent . L'odeur est disons « intense » .

Ses muqueuses prisonnières de son excès de replis graisseux , libèrent un parfum animal , proche d'un fauve ayant parcouru la savane durant plusieurs jours , Tant pis , je vais au charbon et me jette sur son vagin humide.Je nettoie tout ça à grands coups de langue , ma tête est happée par l'étau de ses jambons . Ça y est , j'ai son clitoris au bout de ma langue et je m'active , encouragé par ses grognements .

Un doigt puis deux cherchent le fameux point de graffenberg , contribuant à l'écoulement de ses parois vaginales . De son coté , Thierry atteint ses limites et se déversent en gueulant son bonheur dans la bouche de notre chérie . Pas une goutte sur le canapé , Pauline en gourmande insatiable , a avalé l'intégralité de son éjaculation . Cette grosse cochonne en profite alors pour se redresser , remonter ma tête à son niveau et me rouler une pelle d'enfer . Elle est gentille . Elle me fait partager le sperme qu'elle a en bouche . Poli , je partage ! Je ne voudrais pas qu'elle se fâche .



Notre Bérurier au féminin , n'en a pas fini avec moi . Elle s'allonge sur le lit , écarte ses jambes . Capote en place , je m'enfonce dans une fente à la mesure de Pauline : large , longue , une caverne qui vous aspire tout entier . Un instant , mais seulement un instant , j'ai l'impression de baiser une génisse , tellement le spectacle est hors du commun .

Bien sur , nous varions les positions . je m'allonge sur le dos et elle vient se coucher sur moi . Je disparais sous la masse , pesant la moitié d'elle . Thierry est derrière elle ,et ne peux s’empêcher de lui travailler le cul . Il enfonce sa rondelle , déclenchant un nouvel orgasme de Pauline qui cri son plaisir . Je l'adore cette fille , si libre de son corps , totalement décomplexée de son physique , ne recherchant que son plaisir .

A mon tour , je décolle ,remplissant mon préservatif.

Elle en veut encore et encore . Je la met à genoux et j'enfonce un doigt , deux doigts , ma main dans son antre . Incroyable , tout passe jusqu'à mon poignet et je la baratte tenant mon avant-bras avec mon autre main . Je lui impose un rythme d'enfer , la bourrant comme un sauvage . La cyprine s'expulse hors d'elle , elle crie sa joie . Je sens au bout de mes doigts , le col de son utérus qui se contracte.

Ouf , repos , câlins , petite clope et verre de jus de fruit.

Pauline travaille demain à 8 heures . Je la raccompagne jusqu'à la sortie du camp , derniers baisers et commentaires sur notre sauterie . que du bonheur !

C’était hier soir , et ce matin , elle a rappelé Thierry pour remettre ça. Insatiable je vous dis ...

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