Mon Neveu Est Partageur


Quelques semaines après ma mésaventure avec la belle-mère de Sébastien, je me rendais chez mon neveu à sa demande. Bien qu’anxieuse, j’étais néanmoins impatiente de le retrouver et comme à chaque fois j’avais fait un effort de toilette. Longue jupe fourreau avec un pull en laine moulant légèrement décolleté, le tout masquant des dessous combinant soutien-gorge corbeille, porte-jarretelles et tanga modèle harmonie andalouse de Lise-Charmel. Il m’avait demandé de passer prétextant de vouloir enfin me rendre les photos et vidéos qu’il utilisait depuis de long mois pour r et profiter de moi. Notre relation devait cesser et j’étais prête à tout. Arrivée devant l’immeuble je sonnais à la porte qui s’ouvrit rapidement et pris l’ascenseur. Une fois sur le palier, je rentrais dans l’appartement ou Sébastien m'accueillit, sa femme étant absente pour l’après-midi.

- Tu m’as beaucoup manqué me glissa-t-il à l’oreille, mais je ne suis pas seul.
- Je suis juste venue pour que tu me rendes les photos et que tu arrêtes de me faire chanter…
- Détends-toi ma tantine, tu auras tes photos je te l’ai promis… Un jour peut être … Dit-il en souriant

Agaçais, de sa réponse, je le précédais et entrais dans le salon, ou je vis un homme assit sur le sofa. Il était grand et plein de puissance à la peau noire comme de l’ébène. Magnifique, tout en muscle, une vraie statue de musée. Que faisait-il là ? En quoi pouvait-t’il être lié à mon neveu ? Était-ce encore un stratagème de Sébastien pour me soumettre ? Toutes ces questions se télescopaient en moi et se mêlaient à mon désir et excitation. J’étais une fois de plus partagée entre mon besoin de soumission et ma répulsion d’être dominée à la volonté de mon neveu. Nous échangeâmes les politesses d’usages, rapidement, pendant lesquelles je pus sentir dans sa poignée de main la force bestiale du monstre que j’avais en face de moi. Fort et tellement beau…

- Viens dans la chambre te débarrasser de ton manteau me dit Sébastien

Une fois dans la chambre, j’enlevai mon manteau.

Au travers le regard lubrique et bestiale de mon neveu, Je constatais rapidement de l’effet que je faisais. Il me trouvait à coup sûr magnifique et terriblement désirable, manifestant son excitation en me regardant avec un air gourmand dans ma longue jupe en laine et mon pull moulant faisant ressortir mes formes généreuses. Il se glissa derrière moi et me saisit par les hanches me glissant à l’oreille :

- J’ai envie de toi
- Ce n’est pas possible ton ami et dans le salon et je ne suis pas venue pour cela
- Ne t’inquiète pas juste un petit coup rapide et la porte fermée, il n’entendra rien
- Non Sébastien, je ne veux pas… et tu dois me rendre mes photos, tu me l’avais promis…
- Sois sage belle pouliche, et si je suis satisfait de ta performance de bonne bourgeoise tu auras tes photos…
- Tu es odieux, un vrai salaud, je ne sais pas pourquoi je continue à me laisser faire
- Parce que tu aimes te faire prendre comme une chienne, parce que tu es une vraie cochonne, une grosse pute en chaleur… tu adores ma grosse bite… tu veux d’autre raison ma salope ?

Je ne répondais pas, mon silence étant comme une forme d’acceptation. Il est vrai qu’il me faisait terriblement jouir, par ses paroles, ses regards, son comportement lubrique et son sexe bien dur. Ses mains remontées sur ma poitrine tellement voluptueuse qui se durcissait sous la pulsion de son étreinte animale. Je me laissais faire sentant le désir m’envahir. Il referma la porte et me bascula sur le lit. Très vite et sans préliminaire, il remonta ma jupe laissant apparaître ma croupe protégeais juste par mon tanga, ainsi que mes cuisses gainées de nylons maintenues par mon superbe porte-jarretelles.

- Tu t’es encore habillée comme une bourgeoise qui veut se faire saillir… Avoue-le, tu es venue pour que je te défonce… Mets-toi à quatre pattes me dit-il.

Refusant d’obtempérer à ses ordres il m’appliqua une grande claque sur mes fesses.

- Sois docile sinon je vais te fesser ton gros derche ma pute, et les claques vont tellement raisonnées que même Albert à côté va les entendre…

Il me claqua le cul, faisant rougir mes fesses et raisonner le bruit au travers toute la pièce.
Effrayée à l’idée d’attirer l’attention d’Albert, J’obéis, et me plaçais de manière à lui offrir mes fesses comme une offrande à son maître. Très vite il baissa son pantalon écarta ma culotte et entrepris de me pénétrer. L’assaut fut rapide et intense et je me retrouvais envahie par le sexe de mon amant avant d’avoir pu faire quoi que ce soit. D’habitude il faisait preuve d’une grande exigence sur les préliminaires m’obligeant à le sucer. Cette fois le ton avait changé, il me traitait comme un objet juste bon pour étancher son désir, sans aucun respect de ma personne et le plus rapidement possible. Il voulait jouir et se vider les couilles sur son jouet le plus vite possible. Ce n’était pas sans me déplaire d’être prise sans aucune considération me sachant épier par un autre homme assis dans une pièce juste à côté. Les mouvements se faisaient rapide et brutal. Il se mit à me parler, et me dire des choses atroces de vulgarité m’insultant me bafouant. M’obligeant à lui répondre en me claquant le cul quand les réponses ne lui convenaient pas.


- T’aime ça d’être prise par derrière hein dit, tu veux que j’accélère la cadence salope, dis-moi que t’aime ça
- Oui j’aime ça, c’est bon
- T’es une cochonne, dis-moi que tu une grosse cochonne
- Non ne me traite pas comme ça
<<<<claque>>>>>>
- Oui je suis une cochonne
- Une grosse cochonne j’ai dit
<<<<<claque>>>>>>
- Oui je suuiiiisssss une grosse cochonne
- Ça te plait de te faire défoncer, alors qu’il y a un autre homme coté qui nous écoute
- Doucement s’il te plait, il va nous entendre
<<<<claque>>>>>
- Tu rigoles, poufiasse, ça se trouve, il te regarde te faire baiser par le trou de la serrure, tu veux que je vérifie
- Non, je t’en prie fais pas ça
<<<<<claque>>>>>
- Si je suis sûr que ça t’excite de savoir qu’un autre mec te regarde, en plus il doit se branler, à voir ton cul se faire défoncer, allez j’ouvre la porte il doit être derrière
- Non, non, non
<<<<claque>>>>
- Si ce n’est pas moi qui ouvre alors ça va être toi

Il me saisit par les cheveux me releva du lit et commença à me diriger vers la porte tout en continuant à me pénétrer.
Il me baisait debout, en marchant, me tenant par les cheveux comme un cavalier chevauchant sa monture. Je me débattais voulant rester sur le lit. Nous étions finalement devant la porte qu’il ouvrit. Mon cœur se souleva en voyant Albert me regardait d’un regard lubrique et gourmand. Cet apollon devant moi, m’observant défaite, soumise, moi cette bourgeoise de 45 ans, femme mariée et complètement dépravée.

- Tu vois ma salope, je t’avais bien dit qu’il t’espionnait par le trou de la serrure. Je sais qu’une gourmande comme toi meurt d’envie de faire plus ample connaissance… Approche, elle veut que tu la regarde.
- Ça ne m’étonne pas les bourgeoises comme elles sont toujours des belles salopes. Elle est superbe ta pouliche… Tu l’as trouvé ou cette belle jument.
- C’est ma Tante, ma grosse tata… C’est surtout ma poupée de sexe… Dis-moi Tata, Tu veux qu’il te montre sa bite. Je suis sûr que t’a jamais vu un sexe de noir.
- Surtout que j’ai un braquemart énorme… Tellement gros que je ne suis pas sûr que ton petit trou puisse l’encaisser…
- Non, je ne veux pas, non non !!!!!!!!
- Me tenant par les cheveux tout en continuant à me marteler, il m’appliqua une grande claque sur les fesses.
- Dis-moi que tu veux voir sa bite, dis le moi !!!!
- Oui montre-moi sa bite montre-la-moi, dis-je totalement soumise et n’en pouvant plus suite aux allez et venue de mon amant dans ma chatte
- Dégrafe-la toi-même dit Albert – se dressant devant mon visage, ou je pouvais voir une bosse énorme en dessous de son pantalon
- Non pas ça… Sébastien s’il te plait, je t’en prie
- Obéis sale pute en m’appliquant encore une autre claque
- T’as vu les nichons qu’elle a palpe-moi ça

Pendant que j’obéissais et dégrafais Albert celui-ci pelotait mes seins aux travers de mon pull en laine. Le sexe apparut enfin énorme et monstrueux tout noir comme un morceau de bambou dressait. Jamais je n’avais vue quelque chose d’aussi gros.
Il faisait définitivement partie de ses hommes qui dépasse les 25 cm, et visiblement il avait bien l’intention de s’en servir et de me prouver sa constitution hors norme.

- Masturbe-le, branle le juste qu’à ce qu’il te jouisse dessus
- Ohhhh oui branle-moi cochonne, tu dois être une experte…

Je branlais le noir pendant que le blanc me ramonait la chatte espérant juste ne pas avoir à prendre Albert en bouche car jamais je n’aurais pu avaler quelque chose d’aussi monstrueux. Malgré tout ce grand noir m’attrapa alors par les cheveux et me dit :

- Tu vas me sucer maintenant la bourgeoise, montre-moi comment on se sert de sa langue dans ton monde
- Non, Sébastien empêche le je ne veux pas !!!!
- Suce-le tout en m’appliquant une autre claque sur ma croupe complètement rouge.

J’engouffrais le sexe dans ma bouche qui ne pouvait entrait en entier tant sa taille était démesurée. Je le pompais alternant les coups de langue sur le gland et les remontées avec ma langue du bâton de chair, tout en continuant à le masturber. L’homme noir était surexcité passant ses mains sous mon pull afin me caressant les seins avec une telle brutalité qu’il en déchira mon soutien-gorge. Le bruit de la dentelle déchirée excita encore plus Sébastien qui accéléra ses va-et-vient. Ils grognaient tous les deux comme des animaux jouant des toutes les parties de mon corps de bourgeoise. Sébastien jouit enfin sortant son sexe et m’inondant les fesses. À la vue de sperme déchargé sur mes fesses Albert se saisit de me cheveux et forçat ma bouche profondément, m’obligeant à avaler son sexe dans ma bouche. C’en était trop, je ne pouvais avaler rien de plus. Sébastien s’était saisi également de mes cheveux aidant Albert à s’enfoncer entièrement, poussant les derniers centimètres de son membre au fond de ma gorge. Il me baisa la bouche pendant 2 longues minutes avant de jouir dans ma bouche déversant des quantités impressionnantes de liquide. Je retombais sur le lit, déchirée à demi nue, découverte avec mes dessous détruit, et totalement épuisée. J’avais joui plusieurs fois et je réalisais que je n’allais pas récupérer mes photos… Sébastien quitta la pièce me laissant seule avec Albert qui se penchant vers moi pour m’embrasser plongea sa langue au fond de ma bouche. Il m'embrassa longuement et profondément. Je ne m'attendais pas à cet excès de tendresse et me laissais faire répondant à son baiser. Sa main descendit entre mes cuisses et me caressa langoureusement l'entre jambe avec une infinie tendresse ce qui redoubla mon excitation. Cet homme était incroyable... Il me faisait jouir avec sa langue dans ma bouche, sa main sur mon sexe, je me perdais totalement dans ses bras, et me laissais faire jusqu'a ce que 'un nouvel orgasme m'envahisse. Avant de partir, il me glissa à l'oreille.

- Ton neveu et un salaud, il ne te mérite pas, et je veux t'aider à te libérer de lui…

Il quitta la pièce et j'en profitais pour sortir de l'appartement, ignorant totalement Sébastien, pour qui je commençais à avoir un profond mépris...

Quelques jours plus tard, j'étais invitée à une soirée cocktail très chic chez mon amie Marielle qui après son divorce avait retrouvé l’amour avec un homme de 15 ans son ainé. Ils habitaient un joli manoir avec des écuries ce qui convenait à Marielle étant elle-même passionnée d’équitation. Je déambulais dans la salle de réception remplie de monde dont beaucoup de politique locaux (communal et régional) une coupe de champagne à la main. Discutant avec un groupe d'ami commun, quand furtivement j’aperçu un grand homme noir qui me scrutait. Je reconnu tout de suite Albert à qui j’avais administré une fellation gloutonne quelques jours plutôt chez Sébastien. Une fois de plus j’étais surprise et gênée de sa présence, tout en ressentant une certaine émotion au souvenir du baiser que nous avions échangé. Il était magnifique, avec son costume de haute couture, d'une élégance extrême et tellement beau. J'essayais toutefois d’éviter son regard, afin de ne pas être obligé de discuté avec car ce n'était ni le moment ni l'endroit. Pendant à peu près une demi-heure je m’arrangeai pour ne pas le croiser, mais au hasard d’une porte je tombais dessus.

- Bonjour Patricia, comment vas-tu ? tu ne me reconnais pas ? C’est vrai que notre rencontre de la dernière fois a été plutôt "particulière" et que tu n'es pas habituée à me voir habillé, même si tu es plus familière avec d’autres partie de mon corps qu'a mon visage
- Bonjour Albert, je me souviens très bien, mais je préférais être discrète, Que me voulez-vous ?
- Tu veux toujours de mon aide je suppose. Ton neveu est un fumier, et il va continuer à te faire chanter. J’ai un truc à te montrer, si tu veux te débarrasser de lui, je t’attends dans cinq minutes au fond de l’allée du château dans les écuries
- De quoi s'agit-il ?
- Tu verras bien, pas ici en tout cas ce que je peux te dire c'est que tu es très photogénique...

Cinq minutes plus tard je pénétrais dans les écuries.

- Viens par là me dit Albert m’entraînant dans un box à chevaux vide
- Faisons vite Albert, on va se rendre compte de mon absence...
- Ne t'inquiète pas, regarde par toi-même ce que ton neveu m'a donné. Il utilise cela pour trouver des partenaires qui acceptent de te baiser avec lui.
- Quoi !!!!!!! Non mais quel Salaud, je vais porter plainte...
- Avec toutes les photos tu sais ce qui se passera...

Il me tendit une enveloppe, avec des clichés. On pouvait me voir dans de nombreuses positions avec son sexe dans la bouche ou entrain de me faire prendre en levrette. Une était même dans une pissotière, ou il avait du me piéger afin de me prendre en cachette....

- Tu n'auras jamais la garantie de récupérer tes cliches, alors je te propose qu'on le piège ensemble en qu'on utilise les mêmes pratiques. Il n'aura pas d'autre choix que d'arrêter... Qu'en penses-tu ?
- S'il te plait aide-moi, il faut que tout cela cesse...

Je me blottissais dans ses bras, outrée et scandalisée et en même temps émue de son aide, mais également tellement excitée par sa présence... Il m'embrassa à nouveau comme la fois précédente... Sa langue plongea en moi, énorme, m'envahissant.

- Laisse-toi faire ma belle, soit gentille, je vais prendre soin de toi maintenant

Habillé d’une longue jupe en toile bleu turquoise, et d’un pull noir laissant mes bras et mon dos entièrement dévoilé j'étais très désirable. Il se saisit de moi m’attira vers lui et continua à m’embrassait fougueusement. Il palpa alors mes seins rebondissant en dessous de mon petit pull noir pendant de longues secondes. Il me retourna et remonta ma jupe, qu’il maintenait en la coinçant en dessous de mon porte-jarretelles baissant ma culotte à mi-cuisse.

- Je n’ai pas pu te baiser la dernière fois mais on va se rattr. Je sais que tu en as envie, tu en meurs d'envie ma belle
- Oui, prends-moi vite maintenant fais vite on n'a pas le temps, mais j'ai besoin que tu me baises...

Il plaça ses mains en dessous de mes bras afin de passer ses mains dans l’encolure de mon pull et d’attr mes gros seins. Il me pétrit à pleine main mes grosses mamelles et je pouvais sentir son énorme sexe contre mes fesses. Jamais je n'avais été prise par un aussi gros membre, j'étais anxieuse, mais tellement excitée de prendre sa grosse queu en moi. Il enfonça enfin son énorme engin dans mon sexe. me limant de grand coup de reins. Je me sentis tout de suite partir perdant toute notion. J'étais envahie par son bâton de chair, je n'avais jamais sentie une telle chose avant. Il allait vite et fort. Avec son doigt il titilla mon anus continuant les coups de butoirs et accélérant. Je ne pouvais rien faire, mon corps ne répondait que de manière automatique comme une poupée désarticulée manipulée par cet hercule

- T'aime ça ma belle, dis-moi que tu en veux encore ... Ne t'inquiète pas je ne vais pas te sodomiser, je suis trop gros, mais promis la prochaine fois je t’encule

Il sortit son sexe de son vagin et le dirigea vers son anus. Il positionna son gland à l'entrée de mon petit trou pratiquant quelques petites poussées afin de me montrer qu'il en avait envie. Ce petit jeu continua quelques secondes frottant son énorme braquemart contre mon anus. Il sentait que j'aimais cela mais nous n'avions pas le temps. Il me re-pénétra tout doucement de peur de me faire mal, vue la taille de son engin même si ma chatte était déjà entièrement dilatée. Il remua et continua à me saccager.

- Tu jouis avec ma bite dans ta chatte, hein cochonne. Tu m’appartiens maintenant tu es à moi. Je te veux entièrement, bouge tes fesses, fais-moi jouir salope... La scène dura plusieurs minutes avant qu’il ne décharge sur mes fesses.

Il m'embrassa longuement, et tendrement, quel amant, quel apollon, quel homme. Nous nous rhabillâmes et retournèrent à la salle me promettant de revenir dans les jours suivants avec un plan pour me débarrasser de mon neveu...

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