A La Campagne, Quand Femme Et Belle-Mère Sont En Chaleur

Quelques jours avant l’aventure que je vais écrire, ma belle-mère (agricultrice de 49 ans, 1m70 65kg) nous a surpris et épiés alors que ma femme Mélanie (agricultrice de 24 ans, 1m65, 60kg) me pompait la queue dans une dépendance de la ferme. Ma belle –mère, un peu surprise que se croisent nos regards, j’ai souri, elle un clin d’œil… !
Le pantalon sur les chevilles, Mélanie pompait ma bite et malaxait mes couilles. J’ai pris la tête de ma femme entre les mains et appuyé ses mouvements sur ma queue. Le fait que je sois épié, accentuait d’avantage mon excitation et je donnais de grands coups de bassin tout en regardant ma belle-mère qui avait une main sous sa jupe. Ma queue disparaissait à chaque fois bien loin dans sa bouche. Je connaissais l’épilogue car Mélanie était dans sa mauvaise semaine, elle allait me traire jusqu’à la dernière goutte. Je criais de plaisir pour faire entendre à ma belle-mère que sa fille était experte avec une grosse queue dans sa bouche.
De son côté, belle-mère, avec une main entre ses jambes, a continué à regarder jusqu’à ce j’éjacule dans la bouche de ma femme. Mélanie s’est redressée, ma belle-mère s’est éclipsée, et m’a embrassé avec mon sperme plein la bouche. Après que Mélanie soit sortie de l’étable, j’ai continué à faire le petit boulot dans cette dépendance et belle-mère est entrée. Elle s’est approchée de moi et a relevé sa robe, dégagé sa culotte pour me montrer sa chatte très poilue en me disant :
- Je sais que Mélanie est réglée, alors profite de ma chatte.
Pour la première fois, j’ai mis ma main entre ses jambes, sa chatte était trempée et elle n’a pas hésité un moment à me masser la queue au travers de mon pantalon. Je lui ai répondu « une autre fois »
Mélanie pourrai nous surprendre.
Et l’on en est resté là malgré la déception lisible sur son visage.
Et puis vint ce jour d’été…. des consultations et différents examens à l’hôpital universitaire situé à une centaine de kilomètre de la maison.

Ils étaient partis pour la journée.
Comme belle-mère, n’a pas de permis de conduire, c’est ma femme qui transporte et accompagne son père à l’hôpital pour passer de nombreux examens. Nous habitons le même logis de ferme.
Depuis que Mélanie a accouché, ma belle-mère n’accompagne plus son mari car elle garde notre petite fille.
Alors que je travaille de nuit une semaine sur deux (en usine), je dors de la matinée. Comme d’habitude, c’est à poils et très souvent sans couette car j’ai toujours trop chaud. La porte de la chambre reste toujours entre-ouverte ou même totalement ouverte. Notre chambre est la dernière porte dans le hall de nuit.
Couché sur le dos, je me réveille vers midi avec une solide érection. Je prends ma grosse queue en mains et fais quelques mouvements de vas et vient. Mélanie n’étant pas là, cette petite masturbation me fait beaucoup de bien et j’ai bien l’intention de la mener jusqu’à jouissance quand sur le mur du hall de nuit, je vois une ombre s’approcher. Je lâche ma queue et fait semblant de dormir. J’entends quelqu’un entrer dans la chambre, j’ouvre faiblement les paupières et quelle ; surprise !…belle-mère vient vers moi, ôte sa jupe et son t-shirt. Je ne dis rien et ne bouge pas. Elle a une très belle silhouette pour son âge. Malgré ses gros seins lourds ses tétons sont très bien érigés sur le haut de ses nichons. La voyant nue, une décharge d’adrénaline fait durcir encore plus ma queue. Tout doucement elle att ma queue et la redresse, elle fait quelques longs mouvements de va et vient avec mon prépuce mais bien vite mon dard plonge dans sa bouche. Sa langue me lèche la queue comme si c’était une glace. Elle dépose énormément de salive sur ma queue. Puis des deux mains elle masse ma bite lentement. Maintenant c’est sa bouche qui reprend le relais et d’un coup elle avale complément ma queue. Je ressens des petits mouvements de succions autour du gland au fond de sa gorge et elle y reste certainement une dizaine de secondes.
Retire ma queue totalement de sa bouche et puis recommence.
Après ces quelques mouvements, elle vient se mettre en 69 et gobe de nouveau ma bite au plus profond de sa gorge, elle me suce, me lèche et sa salive coule de plus en plus le long de ma queue
Je ne bouge toujours pas mais avec les yeux grands ouverts, j’ai une superbe vue sur sa chatte. Au dessus de ses lèvres déjà luisantes de cyprine, un petit bout pointe, son clito. Sa toison pubienne est très fournie, fort étendue et d’un noir très prononcé. Seule la partie autour de ses lèvres est rasée on peut voir des petits poils naissant. Avec sa dextérité à me pomper le sexe je ne peux que commencer à gémir.
Elle descend son bassin et frotte doucement sa chatte sur mes lèvres et mon nez. Sa chatte sent bon la fraîcheur d’un soin qu’elle venait certainement de lui donner. Lentement ses grosses lèvres caressent ma bouche et elle enfonce mon nez dans sa grotte trempée. Elle commence à balancer son bassin et ses mouvements me badigeonnent la figure de cyprine.
De mon côté, j’explore sa chatte de la langue. Mes doigts s’aventurent autour de son puits d’amour et je décalotte son clito qui est devenu bien visible. Comme sa fille, elle a un clitoris assez développé que je m’empresse d’aspirer dans ma bouche. Elle lâche son premier cri de satisfaction
Son bassin bascule de plus en plus et sa bouche n’arrête pas de me sucer le dard, sa langue tourne autour de ma queue, elle l’aspire, je sens ma queue buter au plus profond de sa gorge…..Elle suce ma colonne de chair avec passion…. quel plaisir pour moi… !
Elle gémit de plus en plus fort sous mes coups de langue qui taquine sa chatte et son clito. J’ai même baladé ma langue sur sa rondelle et sa réaction m’a fait comprendre que cela lui plaisait. Avec un doigt bien trempé dans son jus, j’ai badigeonné sa rondelle. Les petits soubresauts de son bassin m’indiquent qu’elle adore et puis d’un coup j’ai défoncé sa rondelle. C’est à ce moment qu’elle a eu son premier orgasme, assez bruyant il faut le dire, pas loin du cri de tarzan.
Je sentais une énorme fierté monter en moi, je me disais que, jeune baiser que j’étais, je savais donner tant de plaisir à une femme avec beaucoup d’expérience.
Après avoir retiré mon doigt de sa rondelle, elle se redresse et écrase sa chatte sur ma bouche et le vas et vient de sa chatte, aidé de ses poils, me mouille totalement la figure, je sens sa cyprine mélangé à ma salive couler sur mes joues. Putain, j’ai la figure plus mouillée que lorsque je prends une douche !!!
Belle maman, Marie de son prénom, se retourne, guide ma queue et l’enfourche d’un coup au plus profond de son puits d’amour. Quel bonheur de sentir mon dard ainsi aspirer au fond de sa chatte brulante. Le moindre de nos mouvements provoquent des bruits d’humidité
C’est elle qui marque la cadence, j’adore cette position cela me permet de m’occuper de son opulente poitrine à gros tétons que je peux voir de très près et palper en même temps pour la première fois.
- Suce-moi les mamelles, fait les durcir et rougir….mmmm continue que c’est bonnnnnn
Tout en bougeant son bassin sur ma queue, ma bouche s’acharne sur ses tétons. Au plus je les mordille au plus ils s’allongent et grossissent. Ses mouvements deviennent trop forts et je ne. parviens plus à garder ses tétons en bouche. Ses nénés balancent dans tous les sens. Je les att et. mes doigts prennent la relève. Je pince ses tétons et les fait rouler entre les doigts. Rouges écarlates, ils prennent des dimensions comme jamais je n’avais déjà pu en caresser.
- Putain, tu es plus excitée qu’une vache en chaleur.
- C’est ta grosse queue, de jeune taureau qui me fait cet effet…..mmmmm je sens que je vais jouiiiiiiiiir
Ses balancements sur mon pubis s’accélèrent encore, ses gémissements deviennent des cris des plaisirs, si elle jouit autant qu’elle ne crie, elle doit avoir un terrible orgasme. Je suis un peu surpris par ses cris, est-ce ma queue qui lui fait ça ou jouis-t-elle toujours aussi fort… bref, elle jouit pour la deuxième fois.
Ses mouvements diminuent et je sens sa chatte se contracter plusieurs fois autour de ma queue, puis elle se lâche, totalement épuisée, elle se laisse tomber sur moi. Elle m’a donné une série de frissons quand sa langue s’est aventurée dans mon oreille. Puis elle me murmure à l’oreille qu’il y avait deux ans déjà (je suis marié avec sa fille depuis un peu plus que deux ans) qu’elle voulait que je la baise et qu’elle nous épie quand on baise.
Après que sa respiration se soit calmée, elle se redresse en prenant appui sur ses mains, ses gros tétons effleurent ma poitrine, elles les frottent sur mes poils du thorax, je les trouve énorme en longueur et grosseur.
- Dis donc, tu as des fameux tétons !
- C’est pas des tétons mais des mamelles
- Beh oui, on dirait des mamelles de génisses
- Tu sais que plus jeune, j’ai parfois mis la machine à traire sur mes tétons
- Tu faisais ça ?!!! incroyable…ça m’étonne pas qu’ils sont énormes
- Hihi, les médecins me disent ça aussi
Elle att mon nez (c’est vrai j’ai un nez assez proéminent) en bouche et le suce.
- Mmm ton nez goute mon jus !
Je lui donne des coups de bassin car ma queue est gonflée à bloc et je n’ai toujours pas jouis.
Sa chatte quitte ma queue et elle se retourne de nouveau et gobe mon dard, je le sens buter au fond de sa gorge.
Elle dépose sa chatte et ses poils dégoulinants de cyprine sur mes lèvres, ma langue rentre dans sa chatte pour récupère un maximum de sa mouille. J’aspire son clito dans ma bouche ce qui a pour. effet qu’elle lâche un véritable cri de guerre et donne de violents coups de bassin.
- Noooon, arrête je supporte plus !
Je ne résiste plus au coup de langue et j’éjecte ma liqueur par grosses saccades dans sa bouche et par des mouvements plus lents, elle me tari la queue. Mon bonheur est extériorisé par des cris et des contractions incontrôlables et violentes de mon bassin qui font preuve d’une sensibilité extrême de ma queue après cet assaut. Habituellement, j’arrache ma queue de la bouche de celle qui me fait une fellation, mais en soulevant mon bassin au maximum, j’aimais montrer à ma belle –mère qu’elle me faisait beaucoup de bien.
Elle se couche près de moi avec une jambe au-dessus de la mienne et elle vient m’embrasse. Ce baiser m’a fait un effet indescriptible car je n’embrasse jamais les femmes que je baise à l’exception de ma femme et de plus c’est ma belle-mère. Sa salive a le gout de mon sperme et nos langues ont tous mélangés. Elle me raconte que c’est la première fois de sa vie qu’elle laisse une queue éjaculer totalement dans sa bouche et avaler le sperme. Lentement elle bascule son bassin sur ma jambe et sa chatte détrempée me mouille la jambe.
- Est-ce que tu sens comme tu m’as mouillé la chatte ?
- Ho oui, je suis même trempé.
Je vois sur son visage qu’elle respire le bonheur d’avoir été baisée ainsi.
Je la félicite pour son énergie à baiser de la sorte et elle me dit :
- J’espère que tu me baiseras encore comme tu viens de faire car j’en ai besoin, ça me
- manque.
- Beh et ton homme ?
- Il n’a jamais été à la hauteur de mes attentes et maintenant qu’il est malade, il ne me touche plus depuis bien longtemps. (Il est 16 ans plus âgés que Marie).
- Je lui réponds que dorénavant elle ne sera plus jamais en manque et qu’elle peut se partager ma bite avec sa fille!
Pendant cinq années et jusqu’au décès de mon beau-père, à chaque visite chez le médecin (deux à trois fois par mois) on se retrouvait pour baiser et à chaque fois elle y mettait toute son énergie
Malheureusement, après cette période, les occasions se sont raréfiées. Une seule fois elle a été. obligée de se contenter de jouir avec un cunni car j’avais une panne, je ne parvenais pas à garder une érection ni à éjaculer ! C’était très frustrant pour moi, pourtant ce n’était pas la première fois. que je baisais une troisième fois en moins de douze heures.
- Une chose est certaine, Mélanie et toi avez plus que le feu au cul, vous êtes toujours en « chaleur »... tu lui as transmis ce gène ?
- Oui je sais qu’elle est également très portée sur le sexe comme l’étais mon père aussi.
Mélanie n’avait pas encore 16 ans, que je l’entendais presque tous les soirs se masturber dans son lit, au moment de jouir elle lâchait toujours un petit cri. Quant à vous deux, vous baisez souvent avec la lumière de la chambre allumée je vous ai épié plusieurs fois, j’adore voir ta queue entrer et sortir de sa chatte. Cela me permet de me masturber et de jouir
Quelques semaines plus tard, Mélanie me demande pourquoi j’aime tant baiser lumière allumée dans la chambre. Je ne lui ai pas dit, mais rien qu’à savoir que belle-mère peux nous regarder, mon excitation est décuplée… ! Je lui ai répondu que j’adore voir sa tête quand elle jouit. Peu importe la position employée pour lui faire l’amour, quand elle jouit, elle jette toujours sa tête en arrière au maximum et pousse sa poitrine en avant. Quand je la prends en levrette elle me demande de tirer fort sur ses cheveux afin que sa tête remonte bien pendant qu’elle jouit.
- Tu sais que ce n’est pas bien ce que l’on fait…et si Mélanie ou ton homme viennent à apprendre que tu es une chaude salope qui baise son beau-fils ?!
- Puisque tu utilises ce mot…et toi si tu venais à apprendre que ta salope de femme baise avec d’autres mâles que toi …que dirais-tu ?
- Tu ne m’apprends rien…nous c’est pour le sexe seulement… et j’en bande très fort
- Ah bon… tu adores être cocu à ce point ?
- Pas de soucis, tu peux m’appeler de cette manière mais sache que je suis un cocu content !!! et moi je sais que tu t’envoies en l’air avec Félix le veto ou Victor le marchand de bestiaux et dernièrement avec Edgard le fermier voisin.
- Ah tu sais ça aussi ? …. Oh ! Edgard c’est mon préféré !
- La semaine dernière, je vous ai vu, il te prenait par derrière dans l’étable des vaches
Il avait relevé ta jupe sur le dos et lui avait seulement sortis sa queue de son pantalon et il te pilonnait à grand coup de queue. Quand je l’ai dit à Mélanie, elle m’a dit qu’il y a des années que tu trompes son père.
- Oui c’est vrai, même avant d’être marié, il était déjà cocu. Et sais-tu qu’Edgard est un chaud mâle, monté comme un âne ?
- Oui je l’ai vu et Mélanie me l’a dit également
- Et tu lui as demandé comment elle sait qu’il a une énorme queue ?
- Beh elle t’a vu baiser avec lui !?
- Oui, peu de temps avant qu’elle perde sa virginité, elle m’a vue baiser et moi aussi j’ai vu qu’elle m’épiait, ce jour-là je lui ai expliqué pourquoi je trompais son père. Son père ne m’a jamais fait jouir et parfois je me demande comment avec sa toute petite queue il a réussis à me mettre deux fois enceinte et je lui ai rappelé de ne pas oublier de prendre sa pilule tous les jours. Sais-tu que c’est Edgard (célibataire de 35 ans) qui a pris sa virginité vers ses 17ans ?
- non elle a seulement dis que je n’étais pas le premier… ce n’est pas grave, j’ai baisé d’autres filles avant elle. Mais comment sais-tu ça ?
- Une maman sait tout… elle a perdu beaucoup de sang lors de son premier rapport et elle s’est inquiétée. Elle est venue me trouver en me montrant sa culotte bien imbibée de sang.
Elle m’a avoué avoir fait l’amour avec Edgard et qu’elle est certainement déchirée car sa queue est trop grosse….. Mais rien de grave, j’ai contrôlé sa chatte et je l’ai rassurée en lui disant que la prochaine fois, elle ne a plus. Edgard parlais souvent des belles formes de Mélanie et je sentais bien qu’il voulait la baiser.
- oui il parait que cela arrive parfois d’avoir des hémorragies la première fois… !
- mais ce n’est pas fini, maintenant je vais t’apprendre que tu as des grandes cornes… !
- grandes ou petites cornes, ça n’enlève rien à mon plaisir…raconte quand même !
Elle a hésité et puis tout en caressant ma bite elle a raconté que les deux derniers mois de la première grossesse de Mélanie, elle a régulièrement vu entrer Edgard et Mélanie dans la grange et elle les a suivi. Edgard utilisait la même cachette qu’avec elle.
- Cette cache, je l’avais très bien aménagée avec des ballots de foin bien disposes et plusieurs plaids déposés sur ceux-ci me dis-t-elle Edgard et moi étions bien tranquille pour baiser et Edgard l’utilisait avec Mélanie aussi. Avec Victor aussi je suis allé dans mon coin secret. Afin de voir Mélanie et Edgard sans être vue, elle s’est créé une cachette pour pouvoir les observer confortablement.
- A chaque fois que tu étais parti travaillé, je les voyais s’éclipser dans la grange, je les ai épiés
Sa facilité avec laquelle elle me raconter avec détails les aventures de ma femme et Edgard est vraiment déconcertante, on sent que c’est du vécu. Tout en caressant ma queue encore au repos elle essaye d’atténuer l’adultère de sa fille tel que :
- Tu sais que c’est magnifique à voir, Mélanie et Edgard totalement nus, lui avec ses 22 cm et 17 de circonférence qui pointe vers le ciel et elle avec son gros ventre et ses deux gros seins magnifiques qui n’ont pas besoin de soutien-gorge, ma fille a un corps superbe je l’envie.
Il est vrai qu’à la fin de sa grossesse, elle avait des seins super magnifiques « D » avec des tétons qui restaient en érection. A la ferme, elle ne portait jamais de soutien-gorge ni avant, ni pendant et toujours pas après sa grossesse. Avec les travaux lourds qu’elle faisait, elle avait des pectoraux solides et qui sont certainement la cause de la beauté de ses seins. Porter une cruche de lait de 20 litres à chaque bras et ensuite les vider dans l’écrémeuse…pour elle c’était un jeu d’.
Moi j’étais fier quand quelqu’un venait à la ferme, surtout pendant sa grossesse, et qui matait ses tétons au travers de ses robes légères ou après son accouchement quand sans gêne devant. n’importe qui, elle relevais son t-shirt pour donner le sein à la petite pendant ses deux premiers mois et je me disais… s’ils savaient qu’elle ne met pas souvent de culotte sous ses jupes ou robes… !!???
- Bon si tu jouais la « voyeuse » raconte-moi comment il baisait ?
- Souvent, il lui léchait la chatte et il mettait ses gros doigts dans sa chatte et dans son cul et elle jouissait très vite.
- Oui ok mais comment il l’a pénétrait ?
- Parfois, elle était couchée sur le dos, ses jambes sur les épaules d’Edgard et lui à genou entre ses cuisses et dans cette position il l’a faisait jouir et crois-moi qu’il savait la faire gémir de plaisir.
- Oui oui elle crie toujours quand elle jouit, et lui éjaculait dans sa chatte ?
- Pas toujours, il ressortait sa queue et giclais des jets puissants et une quantité impressionnante de sperme sur le ventre et les seins ou bien elle prenait son gland en bouche et avec les mains elle branlait la partie de sa queue qui n’était pas dans sa bouch et alors il jouissait dans sa bouche
- Ah bon et les autres fois comment faisait-il?
- Elle a quatre pattes sur les ballots de foin et lui l’a prenais en levrette, dans cette position je pouvais bien voir la queue dans la chatte. Ses gros seins balançaient dans tous les sens.
Moi je trouve qu’il y allait trop fort, sa queue entière entrait dans sa chatte et elle criait continuellement « encore ». Et crois-moi que je sais ce que c’est que d’avoir un tel calibre dans la chatte, il va très loin ! Après avoir joui, il sortait sa queue pleine de sperme, elle léchait souvent sa queue jusqu’à ce qu’elle devienne molle et quand je te dis molle c’est plus long et gros que la tienne en érection !
- Et toi dans quel état étais-tu ?
- Moi je me masturbais en les regardant.
- Je suis parfois inquiet qu’Edgard la mette enceinte !
- Ho ne t’inquiète pour ça, il n’a pas de spermatozoïdes. Il a été marié deux ans et sa femme à demandé le divorce pour cela.
- Cela me rassure un peu mais il n’y a pas que lui.
- Oui mais elle prend quand même la pilule !

Ma queue avait repris du volume rapidement et elle me dit :
- non mais dis donc c’est le fait de savoir que Mélanie baise avec Edgar qui te fait de nouveau bander à ce point?
-oui rien qu’à savoir que d’autres la font jouir, ça m’excite énormément et je n’y peux rien
Mais il y a toi aussi qui me masses tellement bien la queue.
Je me place sur elle, elle écarte les jambes au maximum. Ma queue tombe dans sa chatte détrempée et elle cale ses pieds dans mon dos. Après quelques mouvements de bassin, on a malheureusement été obligé d’arrêter car la petite qui était réveillée et s’est mise à pleurer.
Elle s’est rhabille en vitesse pour la petite, je me suis masturbé en pensant à la grosse queue qui labourait la chatte de ma femme et j’ai ajouté une dose de jus sur mon ventre.
Avant l’accouchement de ma femme et un soir après avoir fait l’amour, je lui ai fait remarquer que sa chatte était détrempée et qu’elle avait le goût de sperme.
- Mon petit chou tu sais que c’est toi que j’aime mais je n’y peux rien, je suis chaude comme la braise ou comme une pute ou j’ai le feu au cul, appelle cela comme tu veux mais depuis plus d’un mois et j’ai besoin de jouir plus qu’une fois par jour. Tu me fais très bien jouir mais cela ne calme pas mon ardeur et quand tu es partis travailler Edgard me fais jouir aussi et s’il n’est pas là, je me masturbe
- Et ou vas-tu pour baiser ?
- Souvent dans la grange ou bien chez lui.
- Tu vas au lit avec lui ?
- Oui, mais rassure toi c’est jamais pour longtemps, c’est sans préliminaire … c’est presque me
saillir qu’il fait. Dès que j’ai reçu ses jets de sperme dans la chatte, je repars.

Moi par contre, je n’ai jamais osé dire que je baisais sa mère.
Quelques mois après son accouchement, Mélanie a accepté de se faire laminer par Edgard pendant que j’étais dans la cachette.
J’ai eu droit à un véritable spectacle de baise, pendant une demie heure le couple était déchaîné, elle a jouis certainement 3 ou 4 fois et lui a éjaculé 2 fois dans sa chatte. Je dois admettre que sa queue est beaucoup plus impressionnante que la mienne, je pense que je devrais plus tôt écrire que c’est une queue monstrueuse. Et moi je me suis masturbé en les regardant. A ma demande, Mélanie a tenté avoir une relation à trois, mais Edgard n’a jamais accepter.

30 ans après, on s’aime toujours autant mais la fréquence de nos rapports est plus espacée. Mélanie ne met toujours pas de soutien-gorge et pas plus de culotte lorsqu’elle est en robe ou jupe à la ferme. Par sa position lors de la traite des vaches, certaines personnes reçoivent le privilège de voir cette nudité. Et quand je suis présent, on voit bien que ces personnes sont quelques peu gênées et moi intérieurement j’en prend plaisir et souvent je bande.
Edgard et mes beaux-parents sont décédés.
Nous avons deux filles et deux petits s. Notre deuxième fille a sûrement hérité du gène de sa mère mais malheureusement elle est divorcée. Son ex n’a pas supporté ses infidélités.
Je pense que le garant de la longévité de notre union est dû à la confiance réciproque en notre amour libre.
Libre à vous de croire en mon histoire….. moi je suis un homme heureux d’avoir pu vivre de cette façon et mon épouse également.
J’ai encore d’autres aventures a raconté pour autant que celle-ci ne soit pas démolie par mon manque d’expérience dans l’écriture ! On ne peut pas être bon dans tout…hihi !!!
PS j’accepte bien volontiers les critiques.

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