Jef Et Fred, Ados Musclés 9

9ème partie

Après 3/4h de route environ, les voitures s'immobilisent dans une grande cour de ferme où il y a déjà pas mal de véhicules. On nous a retiré nos bandeaux et on se dirige vers une entrée visiblement de cave qui se trouve sous le perron de l'escalier principal qui donne accès à la bâtisse. 2 gardes sont là et après avoir pris le carton d'invitation que Maître Eric leur a tendu, nous ouvrent la porte. Effectivement nous arrivons directement sur un escalier en pierre qui descend vers des caves sans aucun doute. Maître Eric pousse une 2ème porte et nous entrons dans une cave voûtée où il y a du monde. Maître Eric nous explique alors que cette première cave est l'endroit où l'on doit s'inscrire (il y a une sorte de banque avec 2 gars derrière) et s'est aussi le « vestiaire » où on déposera nos affaires dans des casiers. Ca donne l'impression d'être super organisé, il y a même un endroit où l'on peut louer ou acheter du matériel de toute sorte si on a pas apporté le nécessaire. Maître Eric nous fait signe de le suivre jusqu'au guichet et fait l'inscription pour le concours, puis l'inscription de Johan et Yann comme esclaves. Les 2 se voient attribuer un N° qu'un des 2 mecs leur marque en gros sur le pec droit avec un feutre puis sur un grand tableau qui comporte des colonnes correspondant aux « jeux sm » que les esclaves sont prets à pratiquer. Si la colonne est cochée, c'est que l'esclave est prêt à subir ce type de jeux. Maître Eric supprime donc tout ce qui est pisse, scato, mutilation, marques indélébiles, fisting. Ensuite il faut noter sur le tableau, la catégorie. Il y a 4 niveaux, light, normal, dur, hard. Les 2 premiers niveaux correspondent à des séances de 1 ou 2 h maxi, les 2 autres, 3 ou 4h. La catégorie « hard » fait l'objet d'une évaluation de l'esclave par le maître qui l'a choisi. C'est un « mini concours ». L'esclave qui est le mieux noté dans cette catégorie permet à son maître d'obtenir une récompense (en général des cadeaux sous forme de matos et/ou fringues donnés par les sponsors).

Maître Eric demande à Johan et à Yann si ils sont ok pour cette catégorie. Après une petite hésitation, ils donnent tous les 2 leur accord. 3 esclaves seulement sont inscrits pour cette catégorie sur le tableau qui comporte une bonne vingtaine de N°. Après quoi, Maître Eric explique à Johan et Yann que les maîtres vont venir faire leur choix grace au tableau et venir chercher leur esclave dans la cave suivante où nous devons nous rendre. Avant nous devons nous mettre en tenue et déposer nos affaires dans le vestiaire. Nous voilà donc tous les 4 en string cuir, nos instructeurs nous mettent un collier d'esclave autour du cou et un harnais et nous entrons dans la cave suivante, très vaste, une partie comporte une scène, l'autre partie est divisée en 2, une réservée aux esclaves , l'autre aux maîtres. Johan et Yann vont s'installer dans la partie réservée aux esclaves Jef et moi suivons Maître Eric dans la partie réservée aux Maîtres et rejoignons un petit groupe de 3 maîtres également accompagnés de leur esclave. Ce sont les candidats inscrits pour le concours nous précise Maître Eric. Un autre maître tenant un esclave en laisse à 4 pattes, nous rejoint. Nous sommes installés assis à genoux sur nos talons, de chaque côté de Maître Eric, heureusement le sol est recouvert d'un revêtement souple assez épais ce qui nous apporte un certain confort.
Il y a environ 1/4h que nous sommes installés, à peu près tout le monde semble arrivé et le maître des lieux monte sur la scène et lance le démarrage de la soirée en demandant aux maîtres d'aller chercher les esclaves qu'ils ont choisis pour cette première partie et de rejoindre les dungeons qui leur ont été attribué. Maître Eric nous indique que les dungeons se trouvent dans la 3ème cave et c'est vraisemblablement là que Johan et Yann vont être emmenés. Plusieurs maîtres se lèvent, passsent dans la partie réservée aux esclaves et emmènent leur victime vers la cave du fond où sont aménagés les donjons. Johan à 4 pattes suit un maître qui a l'air bien sadique, cravache à la main, tandis que Yann accompagne un maître très balèze, en short cuir lacé et tee-shirt cuir très moulant, avec des bras et cuisses impressionantes.
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2 couples (maître-esclave) montent sur la scène, apparement la séance va se dérouler en public pour ces 2 là.
1 jeune maître en jean tient en laisse une petite lope visiblement qu'il fait monter à 4 pattes à coups de rangeos et va s'installer sur une chaise, « le chien » coucher à côté de lui. Cravache à la main, il lui fait nettoyer ses pompes bien boueuses, avec la langue bien sûr et en le stimulant bien avec sa cravache.
L'autre maître, plus mûr, a installer son esclave, à 1 croix de St André placée au fond de la scène. L'esclave, en jock-strap, présente son dos au gros fouet lourd à une vingtaine de lanières au moins que son maître fait s'abattre de plus en plus fort. Ses épaules et son dos bien rougis, il s'attaque maintenant à son cul qui va vite prendre des couleurs.
L'autre maître vient de délacer ses rangeos et les inspecte, elles sont nickel, mais il reste un petit cailloux coincé dans la semelle qu'il fait sauter avec son ongle. Il le traite de tous les noms, et lui promet une bonne correction pour ne pas avoir fait son boulot correctement. La pauvre lope, quasi à poil (il porte juste une sorte de string en tissu de toile lui cachant son sexe et tenu par une ficelle) se retrouve à genoux, les poignets attachés aux chevilles, face au sol, le cul en l'air. Le maître se saisit d'un « leather strap » et commence à lui appliquer de violents coups sur son cul. La lope ne peut s'empêcher de crier, mais les coups s'abattent toujours plus fort, son cul est maintenant tout cramoisi, violacé et commence à . Son maître le détache finalement et se place devant lui (il est à genoux) et le regarde sadiquement. « Alors sale chien, on ne remercie pas son maître de la bonne correction qu'il t'a donné et que tu as bien méritée ». La lope bredouille 2 ou 3 mots d'excuse, mais le maître le saisit par le collier et l'entraîne vers la croix de St André (qui vient de se libérer) pour l'attacher dos à la croix, mais suspendu par les poignets, ses pieds ne touchant pas le sol.

Il commence à lui travailler les tétons et lui fixe de méchantes pinces auxquelles il suspend 1 puis 2 puis 3 poids (de 100grs environ). La lope hurle de douleur ce qui lui vaut un beau baillon boule.
L'autre scene, notre esclave est maintenant attaché par les poignets au-dessus de sa tête et son maître armé d'un fouet à 1 lanière(type single-tail)lui dessine de belles zébrures croisées sur son dos ; l'esclave encaisse, mais souffre pas mal visiblement.
Retour à notre lope toujours suspendu à la X , débarrassé maintenant de son string, le maître vient de présenter au public le parachute en cuir orné de pointes à l'intérieur, qu'il est en train de lui mettre autour de ses couilles qui pendent bien. Quelques poids viennent lui tirer ses burnes un peu plus et surtout on imagine bien que les pointes doivent bien faire leur effet, la lope se tortille, pousse des cris étouffés par le baillon ;
Pour l'autre esclave dont le dos est maintenant zébré de toutes parts, c'est à son cul que le maître s'attaque. La lanière claque sec laissant à chaque fois une belle marque. Après une bonne cinquantaine de coups, il le détache, pour l'installer sur un pilori qui lui prend le cou et les poignets, il a le dos à l'équerre, cul bien présenté. Il commence à le goder avec un plug pas trop gros, puis prend un god à boules progressives avec une poignée, nombreux va-et-viens son nécessaire pour faire pénétrer la 3 ème boule, mais il ne s'arrêtera pas la et lui travaillera le cul jusqu'à la pénétration par la dernière boule. L'esclave pousse des cris de douleur, mais son maître ne cessera pas tant que la 4ème boule ne rentrera pas facilement.
Pour la lope, c'est le moment de la libération (séance d'1h pour lui), son maître le détache et le présente à genoux au public qui applaudit un peu, puis descend de la scène en le tirant par son collier.
Pour l'autre esclave la séance n'est pas terminée. Après lui avoir placé un gros plug dans le cul qui n'est pas rentré facilement, son maître le libère du pilori et lui attache les mains dans le dos et va chercher 2 trépieds reliés par 1 barre.
Il prend ensuite une paire de ciseaux et découpe son jock et libère une bite impressionante qui surmonte une paire de boules tout aussi impressionante qu'il emprisonne dans le dispositif prévu au milieu de la barre.



Un autre maître fait grimper un bel esclave black sur la scène. L'esclave est assez musclé, beaux pecs et super abdos, il porte un harnais avec un collier de cuir à pointes et un string cuir dégrafable. Le maître est aussi assez bien bâti, torse nu et porte une chap's cuir laissant apparaître un string cuir.Il attache son esclave dos à la X et avec un gros martinet commence à le fouetter sur les pecs, les abdos et les cuisses.
Pendant ce temps, l'autre esclave se fait masturber sa super bite, alterné avec des séances de coups de cravache sur ses couilles, bien exposées. Sa bite est maintenant hyper raide, son gros gland bien décalotté, le maitre se saisi d'un martinet court et lui fouette sa verge et ses couilles. L'esclave hurle presque à chaque coup. Le maître arrete de le fouetter de temps en temps pour lui masser sa bite et reprend le fouettage de plus belle.
L'autre esclave est maintenant face à la X et c'est son dos et son cul qui sont en train de chauffer avec un gros fouet multi lanières, bien lourd..
Après avoir bien masturbé et fouetté les couilles de son esclave, le maître va chercher une mallette et en sort un appareil d'électro. L'esclave comprenant ce qui l'attend et le regarde terrorisé. Le maître remplace son gros plug, par un autre, un peu plus long à 3 boules et muni d'une prise électro. Il lui place ensuite un plug d'urêtre creux court mais de bonne taille (10-11mm)avec un anneau de gland qui le maintien en place et raccorde un fil avec une petite pince croco.Ses burnes auront droit chacune à un patch. Après avoir branché les 2 fils à l'appareil, il met en route le 1er canal qui électrise ses burnes. Visiblement l'appareil envoit des impulsions longues qui montent en puissance tous les 20 à 30 sec, et redescend à 0 puis repart. L'esclave se crispe et hurle, mais le maître monte régulièrement la puissance.
L'esclave black qui était face à la X est maintenant à genoux sur le pilori, cou et poignets emprisonnés dans le carcan et son maître lui frappe sévèrement son beau cul rebondi avec un méchant leather-strap orné de rivets. Son cul musclé se crispe à chaque coup et il commence à gémir.
Le maître de l'autre « tableau » vient de brancher le 2ème circuit, en mettant une forte puissance dans les impulsions. L'esclave crie très fort, sa super bite en errection maximum semble vouloir exploser et un long jet de sperme s'écoule maintenant de son plug d'urêtre, son maître augmente encore la puissance sur les 2 circuits et une grosse quantité de sperme s'écoule à nouveau. Le maître arrête l'appareil, enlève les électrodes et les plugs et libère les couilles de l'esclave en sueur. C'est fini pour lui, ils redescendent de la scène sous les applaudissements du public.
2 h sont passées et quelques groupes (5) d'esclave-maître reviennent de la 3ème cave où certains esclaves ont visiblement bien soufferts aussi vu l'état de leur dos ou de leur cul.
Le beau black sur le pilori se fait maintenant bien travailler son trou par son maître avec une tige à boules. Il couine pas mal et le maître le travail dur pour lui faire entrer la totalité avant de lui placer un gros plug électro qu'il a préparé.
Un autre couple vient de monter sur la scène, une petite lope toute tatooée avec des percings un peu partout juste vêtu d'un string un peu transparent, bien rempli et laissant apparaître des percings sur son service 3 pièces. Il est attaché en X par les poignets et les chevilles, ses pieds touchant à peine le sol et son maître, un grand baleze en short cuir lacé, le cravache sérieusement sur tout le corps.
Le black, qui s'est vu débarrassé de son harnais et de son string, est maintenant couché sur un banc, sur le dos, complètement à poil et son maître lui bonde les couilles en séparant bien ses 2 belles burnes, sa bite est impressionnante, (au moins 22-23 au repos) et il commence à triquer ferme. Son maître lui astique maintenant son engin.
La lope se prend maintenant une bonne série de coups de fouet (type single-tail) qui le fait hurler et lui vaudra un baillon boule. Son dos et son cul commencent à être méchament zébrés, mais le maître ne semble pas vouloir arrêter et la lanière claque impitoyablement.
Le black est inquiet, son maître vient de sortir d'une malette 2 belles pinces électro qu'il lui fixe sur ses tétons, et un anneau de gland métallique qu'il relie à une pince croco. Il colle ensuite 2 patchs sur ses burnes et relie le tout à un générateur d'électro sur 3 circuits. (1 pour les tétons, 1 pour ses burnes, 1pour son plug et son gland). Il met en route le circuit des tétons, rien ne se passe au début, puis le black pousse un cri violent, le générateur lui envoie une décharge qui monte d'un seul coup et se maintient une quinzaine de secondes avant de s'arrêter complètement. Sa bite s'est dressée au max sous l'effet de cette impulsion, il transpire déjà et 1 mn plus tard , la 2ème impulsion lui arrache à nouveau un grand cri. Le maître monte un peu l'intensité, les décharges le font triquer un max, sa bite est raide, gonflée, le gland énorme complètement décaloté, il branche maintenant le circuit des couilles qui lui envoit des impulsions en vagues, le black se tortille sur son banc, le maître monte l'intensité régulièrement, il transpire, gémit....
La lope est maintenant complètement à poils, son maître vient de lui arracher son string dégageant sa bite respectable, légèrement bandée et ornée d'un P.A et de 5 ou 6 percing « barettes » du gland à la base. Ses couilles pendent bien et le maître lui fixe un parachute electro garni de pointes qu'il leste bien avec 2 disques de 1kg. La lope hurle sous la douleur au travers de son baillon, ce qui lui vaut quelques coups de cravache supplémentaires. Sa bite est bien raide maintenant, le maître lui introduit un plug creux d'urêtre à boules et raccorde 2 pinces croco à son P.A et au percing à la base de sa bite..........
Le black est maintenant branché sur les 3 circuits, il se tortille toujours un max, de fortes impulsions lui traversent maintenant sa bite hyper tendue, il transpire de plus en plus, son maître augmente la puissance et au bout d'une dizaine de minutes un jet interminable de sperme jaillit de sa bite. Quand il est bien vidé, le maître arrête le générateur, lui enlève tout le matos, le détache en lui passant du papier esuie tout. La séance est terminée, le maître et l'esclave sorte de la scene sous les aplaudissements nourris du public.
La 3 ème heure est passée maintenant et 4 couples maître-esclave, reviennent de la 3 ème cave, Yann et Johan ne sont pas du lot, ils sont bons pour la totale.
La lope est maintenant branché et visiblement son maître ne lui fait pas de cadeaux, il se tortille, tente de crier mais le baillon l'en empêche, le maître augmente le générateur qui alimente sa bite et à l'aide d'une télécommande, envoie des impulsions dans ses couilles ; Il transpire à fond, son supplice durera une bonne vingtaine de minutes jusqu'à ce qu'il éjacule un long flot de sperme. Le maître arrêtera enfin son supplice, le débranchera et le détachera en le maintenant, il tient à peine debout, toalement groggi et épuisé. Le public aplaudira également et nous attendrons encore un petit quart d'heure, avant qu'une sonnette retentisse, signifiant la fin de la 1ère partie de la soirée.
Quelques groupes maître-esclave reviennent maintenant des donjons et les 5 derniers sont les candidats à la séance « hard » dont font partie Yann et Johan. Un organisateur les fait monter sur la scène, les maîtres vont donner leur appréciation ainsi qu'une note à l'esclave qu'il a tourmenté pendant ces 4 heures. Yann et Johan ont dû bien déguster, vu l'état de leurs dos et culs, particulièrement Yann qui a encore le dos en sang.
Le maître de Johan présente son esclave comme très performant et super résistant et lui attribue une note de 18,5. Les 3 autres esclaves ne dépasseront pas 16, Yann quand à lui est présenté par son maître comme un esclave remarquable qui a encaissé tous les supplices les plus hard sans pratiquement broncher. Il lui attribuera une note de 19,5 sans hésitation et c'est donc Yann qui emporte la victoire. Le maître de séance lui remet un coupon pour récupérer le prix en le félicitant et invite les esclaves et les maîtres à rejoindre leur place pour la suite de la soirée ;
Je sens l'adrénalide monter, car bien sûr notre tour est arrivé maintenant.

( àsuivre)

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