Dégradation D'Une Bourgeoise

Mère d’une fille de 19 ans, je me suis mariée très jeune, étant enceinte. Mon mari m’a quitté il y a 8 mois pour, suprême humiliation, vivre avec un homme. Gérante d’une petite société immobilière assez prospère, je vis désormais seule et sans problème financier.
J’ai une fille, Isabelle, jolie brune de 19 ans, à la taille fine et aux seins généreux. Elle fréquente depuis quelques mois un garçon, Gérard, bel athlète de 23 ans.
Ma fille s’est rendue en week-end chez sa grand-mère, j’étais seule à la maison. Nous étions samedi ; j’avais paressé quelques temps dans mon lit avant de prendre une douche. A peine sorti de celle-ci, la sonnette retentit. Je décidai de ne pas y donner suite et continuai à m’habiller. Le carillon retentit à nouveau avec insistance. Je criai : un moment, j’arrive.
J’eus juste le temps d’enfiler un string et de mettre un peignoir.
- Qui est-ce ?
- C’est Gérard, vous pouvez m’ouvrir.
Tout étonnée, je lui ouvris la porte.
- Isabelle n’est pas là ; elle est chez sa grand-mère ; tu ne le savais pas ?
- Si mais c’est pour vous que je viens. Depuis que je fréquente Isabelle, je fantasme sur vous.
- Arrêtes de dire des bêtises ; j’ai près de 40 ans ; tu as Isabelle ; un bien plus joli morceau que moi.
- Isabelle est une petite gourde, tandis que vous vous dégagez une sensualité énorme. S’il vous plait, enlevez votre peignoir.
- Tu es fou ; à quoi penses-tu ?
- Je vous en prie, j’ai envie de vous voir nue.
- Il n’en est pas question.
Sur ce il se lève, viens vers moi et ouvre brutalement mon peignoir, dégageant me seins, dont il faut dire, je suis très fière. Je me lève, outrée, et me rajuste.
Je reçois alors une magistrale gifle.
- Dois-je changer de ton, salope ; j’ai dit « à poil » et plus vite que cela.
Je commençai à paniquer. Il m’agrippa les mains et m’arracha littéralement mon peignoir. Puis il tira mon string.

J’étais nue devant l’ami de ma fille. J’essayai en vain de cacher mon sexe et mes seins mais une deuxième gifle me fit chanceler.
Tirant mes cheveux il me fit mettre à genoux, dégrafa sa braguette et sortit son sexe.
- Suce salope et mieux que ta conasse de fille.
Je tentai de résister, refusant d’ouvrir ma bouche ; je me mis à pleurer mais cela ne fit qu’exciter l’homme. Il me força la bouche et je fus obligée de sucer son sexe, long et gros. Une nouvelle gifle m’obligea à m’appliquer et bientôt ce membre devint énorme et vint me frapper le fond de la gorge.
- Vide moi les couilles, salope.
Je fus très vite inondée de son sperme qui coula le long des commissures de ma bouche.
- Pour un début ça va ; je reviens ce soir vers 8h. Je veux voir : d’abord que tu épiles ces horribles poils. Une chatte cela doit être lisse ; ensuite je veux te voir en tenue sexy. Une guêpière ferait bien l’affaire. Si tu n’en as pas, tu as la journée pour t’en acheter une. Compris ?
Sans réfléchir, je répondis : « oui », troublée par le fait que malgré ce viol de ma bouche, mon sexe était trempé et que j’avais désiré inconsciemment que cet homme, pourtant l’amant de ma fille, me fasse l’amour.
Je reçus une nouvelle gifle.
- On dit « Oui Monsieur ».
- Oui Monsieur
- A ce soir sale pute.
Dès qu’il fut parti, je rassemblai mes esprits. Était-il possible que ce charmant Gérard se comporte ainsi. Bon, me dis-je, c’est un coup de sang ; il devait être sous l’influence d’une drogue. En tous cas pas question de le voir ce soir.
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Je passai ma journée assez énervée, me demandant s’il allait oser revenir le soir. Vers 20h, mon énervement était intense et lorsque la sonnette retentit, je faillis défaillir. Je fis le plus grand silence et ne répondis pas. Trois fois la sonnette insista, puis le silence se fit. J’en profitai pour rejoindre ma chambre et prendre un livre pour me détendre. Quand je revins, surprise, Gérard était au milieu du salon.

- Alors salope, on fait la sourde oreille ; avec moi cela ne prend pas ; j’avais les clés de ta fille. Je croyais t’avoir dit de t’habiller sexy ? Ou est ta guêpière ? A poil alors…
- Ecoutez Gérard, cette plaisanterie a assez duré. J’oublierai l’outrage que vous m’avez fait subir ce matin. Rentrez chez vous et laissez-moi, s’il vous plait.
- Apparemment tu n’as rien compris. Tu es désormais ma chose, mon vide-couilles ; tu m’obéiras jusqu’à devenir mon esclave, sans quoi….
- De quoi me menacez- vous ?
- Tu vas voir.
Il me pousse dans ma chambre, m’arrache mes vêtements et quand je suis nue devant lui, sort d’un sac deux paires de menottes qu’il enserre à mes chevilles. Il me jette sur le lit et attaches les menottes aux coins du lit. Couchée sur le ventre, les jambes écartelées par les menottes, je suis totalement incapable de bouger. Gérard sort une caméra du sac, la pose sur un meuble et la met en marche. Après quoi, il dégrafe son pantalon et en tire sa ceinture.
- Vingt coups sur le dos pour avoir oublié la guêpière et vingt coups sur les fesses pour ne pas avoir couper tes poils.
Quarante fois la ceinture s’abattit sur moi. Je criais, je pleurais et cela ne fit qu’augmenter la vigueur de ses coups.
- Par pitié, Gérard, arrêtez et laissez-moi tranquille.
- Ta gueule putain ; tu n’avais qu’à obéir à mes ordres. Ce que tu feras désormais, sinon cette splendide vidéo sera montrée à ta fille et envoyée à toutes tes connaissances. Elles sauront ainsi combien tu es dépravée.
Il détache mes chevilles et attache mes poignets aux montants du lit, cette fois couchée sur le dos.
- Puisque tu n’as pas voulu m’obéir, c’est moi qui te débarrasserai de ces poils inutiles, mais à ma façon…et toujours filmé…
Il sort un briquet de sa poche et met le feu à ma toison. A chaque coup de briquet, quelques poils brûlent dans une odeur de laine consumée. Mon ventre souffre de ces brûlures et il faut certainement 10 minutes pour que mes poils disparaissent.

- Après tu égaliseras avec un rasoir, puis quand ta peau sera prête, tu te feras épiler. Maintenant passons aux choses sérieuses.
Il se mit nu et je voyais qu’il bandait déjà fameusement.
- Tu vas enfin te faire baiser sérieusement par un homme, un vrai, pas un pédé comme ton mari, ni par le vibro que tu as dans ta table de nuit d’après ta fille.
Il m’écarte les jambes et me pénètre avec brusquerie. C’est vrai que mon mari n’était pas très bien monté et qu’il n’était jamais arrivé à me faire jouir sérieusement. C’est vrai aussi que j’avais un vibro dans ma table de nuit avec lequel je me consolais de temps en temps. Là, c’est comme si j’avais été déflorée ; son membre s’enfonçait en moi et j’avais l’impression qu’il était sans fin. Malgré moi, je commençai à couiner, puis à haleter et enfin à crier. Malgré ou à cause de l’humiliation, ce fut l’orgasme le plus puissant de ma vie. Lui continuait à me chevaucher, à me défoncer. Jamais je n’avais été aussi longuement baisée ; avec mon mari, cela ne durait pas plus que deux minutes ; là cela me parut des heures ; j’eus bientôt un deuxième orgasme et lorsqu’il m’inonda de son sperme, je hurlai de plaisir.
Puis la tension retombée, j’eus honte, affreusement honte ; honte d’avoir joui avec l’amant de ma fille ; honte d’avoir joui alors que j’étais violée ; honte d’avoir joui devant cette caméra.
- Désormais je viendrai te baiser quand j’en ai envie ; je te ferai éventuellement baisée par l’un ou l’autre de mes copains. Je continuerai bien sûr à baiser ta fille, quoi qu’elle ne soit pas à ta hauteur. Je ferai de toi une putain qui me suppliera de la baiser. Et à la moindre réticence, la vidéo sera envoyée à qui j’ai envie.
- S’il vous plait Gérard ...
Une nouvelle gifle…
- Tu m’appelleras Maître sauf quand ta fille est présente. Compris ?
- Oui Maître….
J’avais dit cela sans réfléchir alors que cette acceptation faisait de moi sa soumise.
- Tu seras à ma disposition quand j’en ai envie : matin, midi, soir ou même nuit.
Ta fille ne saura rien tant que tu m’obéis. Tu vas t’acheter dès demain des vêtements sexy. Quand je viendrai et je te préviendrai de mon arrivée, je veux te voir habillée en pute. A toi de voir à quoi une pute peut ressembler.
Il se rhabilla et s’en alla, me laissant nue et pantelante sur mon lit.

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