Les Vacances 2: Il Faut Se Méfier Des Apparences Trompeuses

Il y a quelques jours de ça je reçois un commentaire suivi d’un mail d’une lectrice qui vient de finir mon histoire "Ma première partouze, les possibilités augmentent ». Elle me dit qu’elle aime beaucoup toutes mes histoires et qu’elle aimerait que l’on se rencontre. Je lui réponds avec plaisir même si je sais que HDS ne déroge pas à la règle, très souvent je reçois des messages de personnes qui aimerait que l’on se rencontre mais entre la distance et la vraie motivation je n’ai réussi à voir que quelques uns d’entre vous.

S’en suit une petite série de messages dans lesquels j’apprends qu’elle s’appelle Cathy, elle a une petite dizaine d’année de moins que moi, un beau 95D (elle m’envoie même la preuve en image), elle a de belles et longues jambes (pour ça aussi je reçois une photo) mais surtout qu’elle habite à 15 minutes à pied de chez moi.

Puis un jour je reçois un mail de sa part qui me dit:
« Bonjour mon Romain, je viens de lire « Ma secrétaire, la vieille fille » encore une fois je n’ai pas réussi à retenir mes caresses. J’aimerai beaucoup que tu viennes toi même me lire ta prochaine histoire pendant que je m’occuperai, avec mes lèvres, de ton sexe que j’imagine très appétissant.
J’espère à très très vite.
Cathy »
Bien évidement je sens mon sexe qui commence à se tendre dans mon boxer et encore plus quand j’ouvre la photo qui l’accompagne et que je découvre en gros plan des lèvres charnues teintées de rouge bien vif mais atténuées par plusieurs traces blanches de sperme.

Si vous avez lu plusieurs de mes histoires, vous me connaissez assez pour savoir que je ne refuse jamais une telle proposition. Je lui réponds donc que j’ai déjà 3 histoires d’écrites et que j’ai hâte de lui les lire en face à face (enfin pas tout à fait). Je lui envoie aussi une photo de ma queue raide suite à la lecture de son mail et la vue de sa photo torride puis une autre pendant que j’éjacule. Trop impatient de faire ma première lecture « publique » d’une de mes histoires, je vérifie mes messages presque toutes les heures.



Le soir même je n’ai toujours pas eu de réponses, je me dis que je suis encore tombé sur une allumeuse et rien d’autre alors je me calme tout seul. Même si je n’ai plus tellement d’espoir de la rencontrer à chaque fois que je vérifie mes mails je positive mais rien. C’est seulement une semaine après que je vois l’adresse mail de Cathy s’afficher dans mes messages et en plus je vois le trombone qui indique la présence d’une photo. C’est le premier message que j’ouvre.

Je m’attendais à un long discours sur son silence ou autre mais c’est tout le contraire. Il y a uniquement écrit:
« J’espère que tu avais compris….
Bisous
Cathy »
Je me dépêches d’ouvrir la photo pour essayer de comprendre et je vois une blonde debout entièrement nue, sans aucun poils, avec la même poitrine que celle que j’ai déjà reçu mais entre les jambes elle a un sexe d’homme.

Comme mes histoires les prouves j’ai déjà eu pas mal d’expériences sexuelles avec des femmes, des hommes, des travestis mais jamais avec une ladyboy. Je zoom sur la photo je reconnais bien les seins de Cathy et sa bouche pulpeuse puis je fais un gros plan sur son sexe, elle a les couilles plutôt petites et remontées et un sexe de quelques centimètres avec un long prépuces. Je n’ose pas lui répondre que je pensais qu’elle était une « vraie » femme et que maintenant je comprends mieux son long silence, mais cette situation m’excite tellement que je lui réponds tout simplement:
« Non, mais j’ai encore plus hâte de te rencontrer! »

Nos échanges de messages et de photos reprennent de plus belles et nous fixons de nous voir le premier lundi de mes vacances en fin de journée puisqu’elle aura déjà repris le travail. Je regarde toutes ses photos avec beaucoup d’attention et maintenant que je le sais je remarque que son visage et son corps ont des formes masculines mais si je n’avais pas vu sa bite je n’aurai jamais cru qu’elle n’ait pas de chatte.

Arrive enfin le lundi, j’ai une bouteille de champagne au frais depuis la veille et à 19h30 je prends la route pour chez Cathy avec les bulles dans une main et une rose dans l’autre.
Quand je sonne à sa porte, j’ai une petite appréhension mais quand la porte s’ouvre je me retrouve nez à nez avec une grande (elle est un peu plus grande que moi avec ses talons) blonde au regard noisette, de belles lèvres bien rouges dans une longue robe rouge fendue sur le coté gauche jusqu’à mi cuisse et un décolleté très plongeant sur son 95D qui fait tout de suite réagir ma tige.

Nous nous faisons la bise et elle me fait rentrer, je lui donne la fleur et la bouteille et nous allons dans son salon où un petit apéritif nous attend. Elle pose le champagne sur la table basse et va mettre la fleur dans un vase, elle revient avec 2 flûtes. Pendant que nous buvons, nous discutons un peu chacun de nos vies j’apprends qu’elle tient sa propre boutique de vêtements (je suis passé des centaines de fois devant son magasin sans même imaginer qu’elle lisait mes histoires et encore moins que la vendeuse est transgenre).

Une fois que l’alcool commence à faire effet, elle ose me demander si j’ai vécu toutes les histoires que je publie. Je lui dis que oui mis à part celles d’Albert et de Michel, comme elle est curieuse je lui explique qu’ils m’ont contacté par mail suite à la lecture de mes histoires et m’ont raconté leurs vies pour que je les mette par écrit afin qu’ils les partagent avec les lecteurs d’HDS. Elle semble ne pas me croire.

Comme je suis très excité par la situation et même depuis le début d’après midi, j’att ma sacoche et j’en sors mon ordinateur en lui disant:
« Tu m’avais demandé de te lire une de mes histoires, tu veux un style en particulier? »
Elle me demande si j’ai vraiment vécu « Une étrange cliente », je lui dis que oui. Elle m’explique que cette histoire l’a beaucoup excitée et qu’en la lisant elle s’est imaginée à genoux devant moi entrain de me sucer et de se caresser. Elle veut entendre celle la de ma bouche je commence la lecture alors qu’elle vient se coller contre moi sur le canapé.

Au bout d’un moment je pose l’ordinateur sur l’accoudoir et avec ma main gauche je lui caresse la cuisse, d’abord au dessus du tissu rouge puis je passe ma main dans la fente de sa robe pour caresser directement sa peau qui est très douce.
Je remonte doucement et de plus en plus car je suis très curieux par sa culotte et se qu’elle cache. Cathy se colle un peu plus à moi et me caresse le dos alors que je continue la lecture en prenant tout mon temps pour faire durer le plaisir.

Lorsque ma main se pose enfin sur son entrejambe je suis très étonné de ne pas sentir de bosse, même si sa bite n’est pas énorme je devrais la sentir! Je pars un peu plus en l’exploration en ayant de plus en plus de mal à lire mes propres mots surtout depuis qu’elle me caresse la bosse qui ne n’arrête pas de gonfler dans mon pantalon. Cathy att mon visage, le tourne vers moi et colle ses lèvres aux miennes, sa langue force le passage et vient danser avec la mienne.

Après quelques minutes de cette belle pelle torride, elle pose mon ordinateur sur la table basse devant nous et une fois debout face à moi elle soulève le bas de sa robe rouge jusqu’à mi cuisse (j’essaye mais n’arrive pas à voir sa culotte). Elle écarte les jambes qu’elle place autour des miennes et vient s’assoir sur moi, elle plaque sa poitrine imposante contre la mienne et m’embrasse encore une fois à pleine bouche.

Je pose mes mains sur son dos que je parcours, à travers le tissu, alors que nos lèvres sont toujours soudées puis je les descends doucement vers ses fesses et ses cuisses jusqu’à ce que mes mains se retrouvent contre sa peau. Cathy se colle encore plus à moi, je sens ses seins s’écraser contre moi alors que mes mains remontent sur son cul nu (elle porte un string) et caresse ses fesses un peu trop plates à mon goût.

Nos bouches se décollent mais ses lèvres restent sur ma peau et ma barbe, elles descendent dans mon cou alors que ses mains ouvrent un à un les boutons de ma chemise. Cathy passe ses mains entre les poils de mon torse et me caresse la peau du bout des ongles, ça m’électrise. Elle me titille les tétons, les tire et les pince alors que son visage est maintenant au niveau de mon entrejambe et se frotte contre ma braguette qui est prêté à exploser.


Ses doigts abandonne ma poitrine mais je lui att les poignet pour les replacer sur moi et j’ouvre rapidement mon pantalon. Sans lâcher mes tétons elle se lève de mes jambes pour que je retire mon jean mais je garde mon boxer et j’écarte les cuisses afin qu’elle s’agenouille devant moi. Ses doigts et ses ongles continue à me pincer alors qu’elle passe ses lèvres et sa langue sur la bosse de mon caleçon.

Elle m’excite tellement avec ses mains et sa bouche que mon gland dépasse, dès que Cathy le remarque elle se met à me lécher et essaye de descendre mon boxer avec ses dents bien que je maintiens ses doigts contre mon torse. Je la laisse faire et une fois que mon caleçon est bloqué sous mes couilles, elle pose sa langue sur la base de ma bite et la remonte tout doucement en insistant sur mes veines. Elle s’arrête un moment sur mon frein qu’elle titille aussi avec ses lèvres avant d’arriver au niveau de mon gland.

Quand Cathy enserre mon champignon dans sa bouche je la maintien par la tête pour l’arrêter. Je la fais se lever avec moi pour la déshabiller et la laisser uniquement en string noir en dentelle. Son entrejambe est plat comme chez toutes les filles, j’en oublie presque qu’elle a une bite. Je l’allonge sur le canapé et m’allonge sur elle pour lui lécher le sein gauche ensuite le droit. Je m’attarde un moment sur ses tétons mais elle ne semble par être très sensible de cette zone alors je descends le long de son ventre plat jusqu’à me retrouver nez à nez avec son petit triangle de tissu noir.

Je la caresse un moment, je ne vois ni ne sens de bosse mais comme des très grosses lèvres intimes par contre je ne sens pas d’intérieur. Pourtant je n’ai pas rêver j’ai bien vu une bite pendouiller entre ses cuisses sur la photo. Je décide d’encore plus explorer et je la relève pou faire rouler vers le bas son string, qu’elle soit en tenu d’Adam, ou plutôt Eve, en faite les deux.

Je lui caresse le haut des cuisses, plus par curiosité même si c’est très agréable, je comprends quand ma main part explorer son cul. Ce que je prenais pour des grandes lèvres était ses couilles qu’elle remonte et elle tire sa queue en arrière pour coincer son prépuce entre ses fesses. Elle écarte un peu plus les jambes mes surtout son derrière et sa bite se met à balancer. Je la ramène vers moi, je la caresse un moment puis je commence à la lécher.

Au bout de quelques minutes où sa queue est restée totalement flasque dans ma bouche, Cathy m’arrête pour m’expliquer:
« A cause des hormones j’ai du mal à bander correctement et longtemps»
Elle se retourne pour se mettre à 4 pattes et rajoute:
« Par contre ça m’aide de me faire bouffer le cul »
J’écarte à deux mains ses fesses pour découvrir sa rondelle totalement lisse. Je pose ma langue dessus et commence à la laper de bas en haut, de plus en plus vite et ardemment. Rapidement je sens son petit trou s’ouvrir sous mes coups de langue et du coup je la sodomise tout doucement avec ma langue.

Alors que je fais aller et venir ma langue entre ses fesses, avec une main je lui caresse d’abord ses petites couilles totalement remontées. Je sens que sa bite gonfle de plus en plus alors je l’enferme lentement dans ma main gauche et je la branle pendant que mes autres doigts s’affairent sur sa rondelle pour l’ouvrir encore plus. Une fois que je sens son cul bien ouvert, je maintiens Cathy dans cette position et je me glisse sous elle pour lui donner ma bite à lécher pendant que je suce la sienne qui est ni complètement molle ni complètement dure alors que je masse son petit bourrelet à 2 doigts.

Elle gémit tellement qu’elle a du mal à me sucer par contre je sens ses gros seins se balader sur ma tige. Pendant ce temps je tète son sexe qui prend de plus en plus de place dans ma bouche et je la sodomise lentement avec mon index et mon majeur. Je fais aller et venir mes doigts sur toute leur longueur, elle mouille du cul et s’ouvre tellement que j’y rentre un troisième doigt sans aucune difficulté pendant que Cathy gémit de plus en plus fort.

Au bout de quelques minutes de ce traitement j’ai envie de lui faire profiter de mon corps alors je lui demande de me préparer le cul pour qu’elle me sodomise. Cathy me dit qu’à cause de son traitement elle risque d’avoir du mal à maintenir une assez bonne érection pour me prendre. Je lui demande de me donner de la ficelle, de la corde ou même le bolduc de la rose que je lui ai amener.

Quand elle vient me rejoindre elle a les mains pleines, elle me tend un bout de ficelle assez long. Je l’att pour le poser sur la table basse et je me met à 4 pattes sur le canapé pour lui offrir mon postérieur. Sa langue est très agile de ce côté la aussi, facilement elle me détend suffisamment la rondelle pour réussir à me pénétrer avec sa langue. Ensuite elle m’ouvre encore plus avec un doigt et très rapidement un deuxième.

Au bout d’un moment elle retire ses doigts l’un après l’autre et comble le vide qu’elle vient de créer avec un rosebud. Puis Cathy vient me présenter ses fesses après m’avoir tendu un plug en silicone noir de taille assez impressionnante. Je la lèche et branle un bon moment et je ne rencontre presque pas de résistance quand je la pénètre avec. Elle se retourne et me présente sa bite en me disant:
« Si tu arrives à assez me faire bander, je t’enculerai. »

J’att le morceaux de ficelle qu’elle m’a apporté avant, je fais deux tours pas serrés autour de sa tige à demi flasque, ensuite je fais un autre tour mais cette fois autour de ses couilles et je bloque le tout par une série de noeuds. Quand je commence à la faire bander grâce à mes coups de langues, lèvres et dents je me rend compte que j’ai peut être un peu trop serré la corde, sa queue est boursouflée autour du noeud.

En tout cas Cathy elle même est étonnée par son érection et j’ai l’impression que ça l’excite encore plus puisque même si sa bite continue de coulisser entre mes lèvres, elle me la retire. Puis elle me retourne brutalement et enlève sans aucune délicatesse le rosebud qui est reste planté tout le temps dans mes entrailles. Elle sort une capote et du gel dont elle se dépêche de s’équiper et après avoir masser mon petit bourrelet avec son gland elle me pénètre lentement.

Une fois que tout son champignon et passé, elle ne s’arrête même pas pour que je m’habitue et elle me plante le reste de sa bite d’un seul coup dans mon cul. Elle me maintient ferment par la tailleuse sens qu’à l’entrée de mon cul s’est très gonflé. Elle se met à me ramoner ardemment pendant quelques minutes avant de s’immobiliser au fond de moi. Elle se penche contre moi, j’adore sentir une paire de seins se plaquer contre mon corps pendant que je suis sodomisé mais de savoir que la poitrine (certes pas naturelle) et la bite appartiennent vraiment à la même personne m’excite encore plus. Je tourne la tête pour que nous nous embrassions la langue dehors et je lui demande de continuer.

Elle démarre un mouvement de sortie assez lent et au lieu de s’arrêter avant la naissance de son gland elle décule entièrement. Elle repositonne son sexe entre mes fesses qu’elle écarte au maximum et me pénètre une nouvelle fois mais moins délicatement. Elle me lime à différents rythmes elle commence même à me fesser, de temps en temps je m’agite pour sentir ses seins caresser mon dos. Au bout de quelques minutes elle s’immobilise à mi chemin entre la sortie et le plus profond de mes entrailles. Elle reste un moment sans bouger.

J’essaye de savoir ce qu’il se passe mais elle me dit simplement « attends ». Je sens qu’elle commence à libérer mon cul très délicatement et une fois qu’elle est complètement dehors, elle me replante le rosebud dans les entrailles. Elle me fait m’assoir sur le canapé et me demande d’ouvrir la bouche, une fois qu’elle a retiré sa capote elle pose son gland sur ma langue tendue et après seulement 3 allers retours avec sa main le long de sa queue, elle m’envoie deux giclées pas trop fourni mais bien puissantes et tout ça dans un grand râle de bonheur.

Cathy me tend un préservatif, pendant que je le déroule sur ma queue en avalant son jus, elle ouvre un peu ses jambes et sort violemment le jouet qu’elle avait planté dans les entrailles. Elle empoigne mon sexe et se l’empale entièrement jusqu’à ce qu’elle soit assise sur moi en me tournant le dos. Je pose mes mains sur chacun de ses seins et je les malaxe férocement alors qu’elle me chevauche ardemment.

Si je ne sentais pas son sexe gigoter dans tous les sens j’en oublierai que ce n’est pas une femme à part entière. Sa poitrine mais aussi ses mouvements ses cris de plaisirs sont féminins. Même sa façon de retourner sa tête à la recherche de ma bouche pendant que je continue de la sodomiser me fait penser à une femme.

Après être montée et descendue sur moi à différents rythme et avec différentes amplitudes, Cathy s’enfonce complètement ma queue entre ses fesses. Elle pose chacun de ses pieds sur mes genoux et recommence toujours seule son limage. Pendant que je lui les tétons, j’adore voir sa bite venir taper contre son ventre ou sa cuisse en plus elle contracte de plus en plus souvent ses sphincters ce qui me rapproche à grand pas du septième ciel.

Au bout de plusieurs minutes elle calme le rythme, je suppose que cette position n’est pas la plus facile à gérer. Elle s’empale une dernière fois très lentement, elle n’arrête pas de contracter son anneau autour de ma tige. Une fois assise, elle repose les pieds à terre et après quelques mouvements de bassin elle décule complètement. Une fois que mon sexe est libre elle lui enlève aussitôt le latex qui l’entoure. Elle att mon ordinateur qui est toujours sur la table basse et me le tend. Elle s’agenouille devant moi, elle empoigne ma queue et avant de commencer à me sucer elle me dit:
« Je t’avais promis de te faire jouir dans ma bouche pendant que tu me lis une de tes histoire! Alors finis la lecture je m’occupe du reste! »

Même si c’est elle qui a fait tout le travail je suis quand même essoufflé, j’ai du mal à sortir les premiers mots mais elle en a aucun à rentrer mon sexe entre ses lèvres charnues. Je continue de lui raconter mon histoire avec Jonathan, la « cliente de la pizzeria », pendant que sa bouche s’agite de plus en plus sur ma tige, sa langue sur mon frein, la paume de sa main me malaxe les couilles et son majeur triture le rosebud qui est toujours planté en moi.

Alors que dans mon histoire je commence seulement à pilonner le cul de Jonathan dans la réalité je m’arrête de lire et je me répand tellement dans la bouche de Cathy qu’un filet de sperme coule sur le côté. Une fois que je me suis bien vidé les couilles je la fait se lever pour que nous partagions mon sperme mais la coquine à déjà tout avalé alors je me contente de se qui a coulé et j’envahis ses lèvres avec ma langue.

Une fois remis de nos émotions nous buvons encore un petit verre de champagne pendant que je lui fais l’histoire. Sa main toute entière s’occupe de mon entrejambe ce qui me refait bander mais je ne tarde pas à rentrer parce que le lendemain je prends la route de bonne heure pour aller rejoindre mon cousin. J’ai promis à Cathy d’écrire une histoire sur notre petit moment en tête à tête et de venir la lui lire avant de la publier. Comme je ne peux pas trop bougé en ce moment c’est elle qui est venue me voir et notre histoire lui a tellement plu que j’en ai déjà une autre à vous raconter…

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