Voyage Initiatique - 07

Chapitre 7 : Les Etats-Unis Partie 1 – Walker Texas Ranger

Voilà 3 mois que je suis parti de la Colombie et j’arrive enfin aux Etats-Unis dans le Texas. Après ma baise avec Paolo, nous avons feint de nous être lever peu de temps avant. Marcio n’a pas l’air d’avoir calé et durant les deux jours restants j’ai pu coucher en solo avec les deux séparément où j’ai pu prendre Paolo par derrière. Puis l’heure de repartir est arrivée et je suis parti en direction des Etats-Unis. J’ai donc traversé de multiples autres pays avec plus ou moins des aventures sexuelles intenses mais pas exceptionnelles non plus. J’ai croisé des personnes extraordinaires et vu des paysages à couper le souffle. Mais le plus contraignant dans tout ce trajet c’est l’arrivée à la frontière états-uniennes avec tous les contrôles. Heureusement pour moi, malgré mon bronzage, on voit encore assez bien que j’ai une tête d’européen de l’Ouest alors j’arrive à passer relativement vite. C’est donc parti pour le Texas où je rêve depuis petit de traverser ses déserts, ses canyons et ses villages en mode cow-boy.

Cela fait peut-être deux semaines que je traverse cet Etat et je suis tellement heureux. Alors certes il fait super chaud et j’ai soif toute la journée mais tout ça vaut le coup. Mais arrive le moment où je n’ai plus d’eau et aucune habitation à l’horizon. Je commence à flipper et à me dire que je risque d’y laisser ma peau au milieu de cette chaleur. Puis mon pied trébuche et je m’effondre au sol. Je me relève avec grandes difficultés mais 10m plus loin je m’écroule à nouveau. Cette fois-ci je n’arrive pas à me relever et je sens mes yeux se fermer d’épuisement. C’est la fin.

J’ouvre les paupières, je vois flou, je me rendors. Je me réveille et me concentre sur l’ouïe avant la vue pour tenter de savoir où je suis. Suis-je mort ? Quelqu’un m’a sauvé ? Qu’est-ce qu’il m’est arrivé au juste ? Je reprends tous mes esprits en m’efforçant d’écouter les bruits autour de moi.

J’entends le bruit de l’eau, un cheval au loin. Non deux. Puis des voix qui s’élèvent derrière un mur. Soudain une porte s’ouvre et les deux hommes continuent leur conversation avec un fort accent. Je me rends compte que depuis le départ de mon périple je parle en espagnol et très peu en anglais alors il me faut un petit moment avant de reconnecter mon cerveau avec l’anglais et comprendre ce qu’ils disent. Je finis par ouvrir les yeux pour pouvoir les observer. Ils sont les deux de dos et prépare ce qui semblerait être un repas. Je suis allongé dans un canapé avec une serviette mouillée sur le front. Je les observe quelques minutes et force est de constater qu’ils ont l’air tous deux bien foutu. Ils sont habillés comme les cowboys qu’on voit dans les films avec leurs chapeaux. Ils ont les épaules larges et semblent bien s’entretenir. Si je n’étais pas aussi épuisé, j’aurais sûrement bandé comme jamais. Un bruit s’échappe de ma bouche et dans un même geste, les deux cowboys se retournent pour me regarder. Il y avait un jeune d’une vingtaine d’années et un autre plus vieux, je dirais la quarantaine mais bien entretenu. A première vue je dirais que c’est le père et son fils. Le père s’approche de moi et vint me tâter le front pour voir si j’ai de la température. Il me pose quelques questions et je mets un petit moment à traduire la phrase. Il me donne quelque chose à manger puis m’allonge à nouveau pour me reposer. Je me rendors.

Ça fait quelques jours que je me suis réveillé et tout va mieux. J’ai retrouvé ma force d’avant et j’ai fait connaissance avec mes hôtes. Ils ne sont pas père et fils comme je l’avais supposé mais oncle et neveu. L’oncle s’appelle Walker et le neveu Dean. Ils me racontent que Dean a perdu ses parents à son adolescence et que Walker l’a pris sous son aile pour l’élever et qu’aujourd’hui il reste avec lui pour travailler avec son bétail. Ils sont tous deux touchants et, il faut le dire, putain de canon. Walker a 40 ans mais en parait 35 tant il est encore musclé et bien entretenu.
Il a une mâchoire carrée avec une petite barbe virile. Ses yeux noisette brillent au milieu de ses sourcils broussailleux et ses cheveux courts n’apparaissent que lorsqu’il daigne enlever ce chapeau. Il a un grand sens de l’humour et les soirées passées en sa compagnie me réchauffe le cœur. Je sais que je dois bientôt partir car ça fait déjà deux semaines que je suis là et qu’il faut que je continue mon périple mais je me sens tellement bien ici. Et ce n’est pas Dean qui va me faciliter la tâche. Deux ans de moins que moi, il a déjà tout d’un tombeur et diffère de son oncle dans un sens tout en ayant le même pouvoir d’attraction. Il a certes aussi la mâchoire carrée et le corps d’un Apollon mais ses cheveux et son visage sont beaucoup plus clairs et moins marqué. Il a de superbes yeux bleus et un sourire à tomber. Il n’a pas de barbe mais il me semble qu’il est plus du style imberbe que poilu vu qu’il n’a pas l’air de se raser non plus. Les deux habitent dans un ranch à quelques kilomètres d’un plus grand village, ce qui leur confère un grand espace pour leur bétail et de la tranquillité.

Toutes les semaines, une soirée à lieu dans le village d’à côté et demain sera une soirée encore plus spéciale car ils fêtent la date d’un mec qui a dû faire un truc ici, enfin je ne sais pas. Dean très entreprenant s’est dévoué pour aider à préparer la soirée et après son travail il part en direction du village pour aider à finir les préparatifs. Je me retrouve seul avec Walker qui est encore dans la grange et prépare le foin pour son bétail. Je le rejoins avec deux bières et il accepte de faire une pause pour boire un coup. On parle un peu de tout et de rien en abordant le cas de Dean où il se dit très fier de ce qu’il est devenu et qu’il a toujours eu cette force de rédemption. On aborde divers sujets puis vient le moment où je dois lui annoncer mon départ pour la fin de la semaine. Il ne dit pas grand-chose mais paraît peiné. Je le suis tout autant que lui et le remercie encore et encore pour m’avoir sauvé la vie et m’avoir tant apporté durant ces deux semaines.
Il me questionne sur ma prochaine destination et je lui dis que je vais partir sur New-York pour aller dans une grande ville. Je sens qu’il est touché par mon départ et je fais semblant de rien paraître mais au fond je sens que ça va être tout aussi compliqué pour moi. Je me tente alors à l’étreindre dans mes bras et un câlin de quelques secondes s’ensuit. En nous éloignant un peu, nous nous retrouvons face contre face, nez contre nez et bouche contre bouche. Nos regards se contemplent quelques secondes et nos bouches s’effondrent l’une contre l’autre. Nous échangeons un baiser bien langoureux et déjà nos mains se baladent contre l’autre. Je sens sa main se glisser dans mon pantalon pour rejoindre ma queue qui commence à durcir sévère. Il me déboutonne le pantalon et se met à genoux sans plus tarder pour gober ma queue. Il me suce tellement bien que je dois aller m’appuyer contre une botte de foin pour ne pas tomber. Il me regarde par moment ou m’embrasse le bas du corps avant de reprendre sa fellation. Je le repousse un peu de la tête pour qu’il se relève et l’embrasser à nouveau avant de me pencher à mon tour pour enlever ce tissu qui cachait son pénis. Une fois enlevé, je me retrouve en face d’une bite bien veinée d’environ 18cm. Ses boules pendaient lourdement et ma bouche ne peut s’empêcher d’aller les gober une par une puis les deux ensembles. A la lourdeur, on dirait qu’il n’a pas baisé depuis un moment. Je prends enfin sa queue en bouche et elle glisse comme jamais dans ma bouche c’est tellement bon. Je sens des gémissements émaner de sa bouche qui me confirme qu’il aime ça. Il finit par me relever et me placer contre la botte de foin pour venir me lécher le cul. Il me le travaille comme un pro et j’ai la sensation que ce n’est pas la première fois. Il me doigte comme jamais avec ses gros doigts de travailleur. Quand je me tourne pour l’observer je bande encore plus à le voir avec son chapeau sur la tête, regard vicieux dans le mien et ses doigts dans mon cul.
J’en peux plus et lui demande de m’enculer. Il ne se fait pas attendre et je me retrouve rapidement avec sa queue dans le cul qui commence ses vas et vient illico. Je gémis de plaisir et personne pour te dire de faire moins fort car personne n’habite à côté. Le kiff total. Il me bourre donc le cul sur une botte de foin, mon pantalon toujours à mes chevilles et mon tee-shirt toujours sur moi. Il se retire une minute histoire que je puisse me foutre à poil et changer de position afin de voir Walker, daddy bien dosé qui me pète le cul comme j’aime. Ses tétons sont durs et tendus et tous ses muscles sont saillants au possible dans cet effort. Je le pousse sur la table à côté de nous et grimpe sur lui en lui disant que j’ai toujours aimé le rodéo. Je m’enfourche sur sa queue tendue et rebondis sur elle avec profondeur. Il est en kiff total et me claque les fesses comme si j’étais son cheval de course, même si actuellement je suis plutôt son étalon. On change une nouvelle fois de position pour que je sois maintenant sur le dos jambes écartées et lui debout à me pilonner le cul. J’aime ce moment où je me sens défoncé par un mec bien viril et en particulier quand il porte des santiagues et un chapeau de cow-boy. Mais voilà venu le temps où il ne peut plus tenir et sans prévenir, Walker se décharge en moi dans des coups de reins bien appuyés. Je suis autant épuisé que lui et pourtant je n’ai pas encore joui. Il me prend alors la queue et tout en continuant de m’enculer, il me masturbe. Il finit par se retirer de mon cul pour venir me sucer la queue mais sa bite est vite remplacée par ses doigts qui rentrent à trois dans mon cul. Il sait vraiment y faire ce mec et je suis tellement content d’avoir pu baiser avec avant mon départ. Je sens mon jus monter et bientôt des jets giclèrent dans l’air accompagné de la jouissance auditive et des râles d’encouragement de Walker. Je me laisse aller sur la table quand Walker grimpe à son tour dessus et se positionne au-dessus de ma tête. Je vois alors sa bite de gros cochon encore bandée et s’apprêtant à s’enfoncer dans ma bouche. Dans l’excitation je la gobe et le goût de mon foutre envahit ma bouche. Il ne me laisse pas le choix du rythme car étant au-dessus de moi, il me bloque la tête contre la table pour m’enculer la bouche. Enfin il finit par déverser sa deuxième dose directement dans ma gorge. Il y reste quelques secondes et c’est seulement quand elle est redevenue molle qu’il daigne la retirer. Il s’allonge alors à mes côtés et m’embrasse à fond de gorge pour mélanger nos salives et nos spermes. Il finit par poser sa tête contre mes pectoraux et me remercier de cette baise qui sera sans doute une des meilleures de sa période de quadragénaire. Je souris et voyant le ciel se voiler de plus en plus, je me rappelle que Dean devrait rentrer bientôt. Alors on ne tarde pas à s’habiller pour éviter d’être surpris.

Dean est rentré finalement plus tard que prévu et on a eu le temps de reprendre le cours de notre journée normale que nous le contons avec joie tout en évitant le passage de la grange. J’en profite pour lui annoncer à son tour mon départ prochain et sa réaction ne me donne pas plus envie de partir que lorsque Walker m’a fait part de sa tristesse. Mais Dean reprend vite ses esprits et m’oblige à venir à la grande soirée demain. Il convainc même son oncle qui n’est pas très soirée de venir. Son excitation nous emmène encore plus loin car il me propose de m’habiller comme un cow-boy pour me fondre dans la masse. Il me dit que ses vêtements devraient m’aller vu qu’on fait à peu près la même taille et qu’on est musclé presque pareil. Je lui dis que je réfléchirai mais à voir sa tête j’accepte finalement deux minutes plus tard. Je pense un instant aux fringues de Dean sur moi et je bande instantanément. Il faut vraiment que j’arrive à coucher avec avant mon départ.

Nous voilà le soir de la grande fête et il est l’heure de se préparer. Après s’être douché, on se dirige dans la chambre de Dean pour s’habiller. Il me sort plusieurs jeans et chemises pour que je choisisse celle qui me plaît le plus. Pas pudique pour un sou, Dean se met en caleçon devant moi et mes yeux peinent à trouver un autre chemin que celui de son corps. Il est façonné comme un dieu grec et semble beaucoup s’entretenir. Mais un détail m’a sensiblement échappé depuis mon arrivée et je me rends compte à quel point son cul est musclé et galbé. Il se baisse pour ramasser un vêtement et mon regard est obsédé par ce cul. Mais il décide de se retourner et je feins d’hésiter entre deux chemises et dans le même temps gagner du temps pour débander. Je teste alors plusieurs jeans et chemise et je mets le jean le plus moulant ainsi qu’une chemise rouge assez serré pour laisser entrevoir mes muscles. Dean pendant ce temps essayait plusieurs jeans et alors qu’il allait se décider pour un, je lui conseille de mettre l’autre car il moule beaucoup mieux son cul. Il me regarde avec un air coquin et me dit que je n’ai pas tort. On parle de tout et de rien pendant les essayages et je me renseigne sur sa vie sexuelle pour voir s’il avait déjà une copine. Il me répond par la négative et espère que ce soir il trouvera quelqu’un. Il m’explique que c’est compliqué ici de trouver de nouvelles personnes vu que c’est un village un peu paumé mais que lors de ce genre de grande fête, beaucoup d’habitants alentours viennent faire la fête ici. Je souris et il me retourne la question. J’ai cru comprendre que l’homosexualité n’était pas un sujet très tendance ici donc j’évite de parler de mon penchant pour les mecs et me concentre sur les relations féminines que j’ai pu avoir. Je pimente ces relations en ajoutant des détails avec des plans cul gay pour rendre cela plus passionnant et un peu plus véridique. On discute ensuite d’autres sujets divers sans jamais avoir un moment de malaise ou de blanc. J’aime beaucoup ce garçon et je suis triste de devoir le quitter dans quelques jours car à défaut d’en faire un petit-ami, j’aurais adoré l’avoir comme ami proche.

Nous voilà partis pour la grande soirée ! Nous sommes tous trois bien excités et habillés comme des cow-boys, Walker m’ayant prêté un de ses chapeaux. Santiagues aux pieds, je me sens comme dans le Far West, prêt à dégainer mon pistolet pour buter les méchants venus voler la banque. J’ai l’impression d’aller dans une fête folklorique et on sent à ma démarche que cet accoutrement est plus un déguisement pour moi qu’un réel style vestimentaire. Par contre quand je vois Dean et Walker marcher côte à côte je sens qu’ils sont dans leur élément en mode viril au possible. On rejoint la fête et Dean commence à dire bonjour à pas mal de monde. Il m’a l’air plutôt connu et je comprends pourquoi quand je perds mes pensées sur son corps. Dean et Walker m’introduise auprès de leurs voisins et plusieurs feignent d’apprendre la nouvelle même si on sait tous que j’ai débarqué ici il y a deux semaines. On est dans un village et les ragots vont vite. D’autres, moins hypocrites et plus ouvert d’esprit viennent me questionner et s’intéresser sur mon voyage. Je me détends rapidement et après un tour à la buvette, un petit groupe s’était attroupé autour de Dean et moi pour écouter mes aventures et la mésaventure qui m’a conduit chez Dean. Et donc Dean enchaîne sur comment ils m’ont découvert et un peu trop pris par le côté théâtral, il n’a de cesse d’en rajouter des tonnes. Je suis pris de fous rires à côté de lui et ne peux m’empêcher de le regarder raconter son histoire sans enlever ce sourire sur mes lèvres. Puis il est venu le temps des danses et tout autre choses divertissements. Je me retire vers le bar pour boire un verre car Dean est occupé avec deux trois autres jeunes pour l’organisation. C’est alors que Walker me rejoint avec le sourire. On discute et je lui demande comment se fait-il qu’un si bel homme n’ait pas de compagne. Il me répond que son ex-femme est allée inventer des centaines de ragots sur lui et que cela a atteint son honneur et sa dignité. Il avait mis longtemps à reconstruire sa réputation et s’est juré qu’il ne se laisserait plus avoir. Son récit me touche et si nous étions seuls je l’aurais pris dans mes bras mais je me contente d’une accolade. Je l’incite alors à aller faire de nouvelles rencontres et laisser le passé au passé pour avancer. Il rigole et me dit que je n’ai peut-être pas tort. Je balaye la fête d’un regard et repère une femme de sa tranche d’âge regardant dans notre direction. Elle est plutôt mignonne et sans attendre je pousse Walker à aller à sa rencontre. Il hésite au départ puis après avoir prit son courage, et bu sa bière cul sec, il part dans la direction de la femme.

Je rejoins finalement Dean qui avait fini de résoudre le problème et qui buvait des bières avec ses amis. Il m’accueille avec un large sourire mais pas autant que les filles assisent à sa table. Je me sens désiré mais le seul que je désire ne semble pas le savoir. Je propose donc un jeu d’alcool et nous voilà parti pour enchainer bière sur bière. Les jeux se succèdent et vint le jeu « Truth or Dare », soit Action ou Vérité en français. Je ne suis pas hyper chaud à ce jeu car je le trouve assez dérisoire mais mon taux d’alcool et la pression des autres me poussent à accepter d’y jouer. Comme d’habitude, tout commence soft et c’est des questions ou des actions drôles. Mais plus ça avance et plus ça devient salace. Les amies entre-elles s’entraident et comme par hasard, je dois la plupart du temps embrasser l’une d’elles. Dean n’est pas en reste mais l’atout étranger joue en ma faveur. Puis l’un d’elles propose que Dean et moi nous nous embrassions. La table éclate de joie mais Dean eut un moment de recul voire de dégoût. Je ne laisse rien paraître car ce geste me déçoit mais je ne laisse pas éclater ma joie non plus. Après des encouragements venant des filles, Dean et moi s’embrassons mais il effleure à peine mes lèvres avant de se retirer tandis que les mecs autour de la table poussaient des râles dégoûtés tout en disant que c’était dégueu deux mecs qui s’embrassent. Eh ben heureusement que je n’ai pas parlé plus tôt de mes penchants pour les mecs. Le temps continue et je sens que Dean n’est plus hyper à l’aise que tout à l’heure et le jeu finit par se terminer. On continue malgré tout de boire et plusieurs fois, ses copines me font des avances que je repousse gentiment sans éveiller de soupçons. La soirée n’est pas encore finie mais je sens que je suis complètement déchiré et je vois que je ne suis pas tout seul en voyant autour de moi des gens torses nus sur les tables à danser. Mon regard se pose sur un couple tout au fond dans un coin reculé et je reconnais Walker et la femme inconnue. Je souris en me disant qu’au moins un des trois aura eu ce qu’il voulait. Mais je me trompe puisque je vois Dean et une certain Charlotte s’éloigner dans la pénombre en se tenant la main. Je suis dégoûté et super jaloux et je me renferme un peu. Après tout, qu’est-ce que j’espérais ? C’était sûr que je n’avais aucune chance avec lui. Je m’estime déjà chanceux d’avoir pu avoir Walker.

L’heure de rentrer arriva et Dean était revenu depuis une quinzaine de minutes avec Charlotte sous les regards de leurs camarades amusés. Je feins aussi d’être heureux pour eux ce qui ne l’est visiblement pas. L’alcool est redescendu mais j’en ai encore assez pour être bien bourré. Tous ses amis partant, Dean me propose de rentrer chez lui. Je le suis avec un mélange de joie et d’amertume. Le trajet se fait un peu en silence mais rompu par quelques brides de conversations sur la soirée. On arrive enfin chez lui et on mange un bout car on crève de faim. Mais il s’aperçoit que quelque chose ne va pas et il me questionne. Je tente de trouver une fausse excuse en disant que c’est parce que lui avait choppé et pas moi. Il rigole et me dit que j’avais pleins de filles autour de moi et que j’ai repoussé tout le monde. Je suis à moitié démasqué et je sens que ses questions deviennent un peu plus pointilleuses. Voyant qu’il prenait le dessus, je renverse la conversation en lui demandant pourquoi il m’avait à peine effleuré les lèvres quand on devait s’embrasser. Décontenancé aux premiers abords, il me dit que c’était parce qu’il n’avait jamais embrassé un garçon et que c’était un peu dégueu. On part alors sur un débat et j’assume mes positions en disant que leurs réactions étaient rétrogradées et vraiment débiles. Il tente de se défendre mais il s’enfonce plus qu’autre chose. Il dit qu’il n’a rien contre mais que c’est ses amis. Je le prends alors au dépourvu et partant de cette hypothèse, je lui demande de m’embrasser étant donné que ses amis ne sont plus là. Bien sûr, je titille sa fierté en lui demandant confirmation qu’il n’embrasse pas comme ça en vrai car ça serait vraiment dommage. Il hésite un instant mais finit par se poser à quelques centimètres de moi et avance lentement sa bouche vers la mienne. Je le sens trop hésiter alors je place ma main derrière sa tête et l’embrasse à pleine bouche. Notre baiser suspend le temps quelques secondes avant que Dean se retire. Il n’est pas très à l’aise et conclu qu’il vient de le faire pour me prouver qu’il n’a rien contre ça mais qu’il n’éprouve rien d’autre. Machinalement, il range le reste de la nourriture non-consommée et se dirige vers sa chambre sans m’adresser la parole. Tout en l’observant, je sens que j’ai une chance, même infime, et que Dean ne m’avait pas embrassé que pour me prouver quelque chose. Je décide de jouer cartes sur table en me disant que de tout manière je ne risque pas grand-chose vu que je pars dans quelques jours. Je reviens donc sur la conversation tout à l’heure sur mon humeur bizarre. Il ne me regarde pas et continue à faire ses trucs mais je sens qu’il m’écoute d’une oreille. Je le suis dans sa chambre tout en continuant mon monologue et c’est arrivé à côté de son lit que je lui avoue que je n’étais pas jaloux qu’il ait trouvé une fille mais que j’étais jaloux de Charlotte car c’est lui que je veux désespérément. Il se tourne alors vers moi, les yeux embués, et accoure m’enlacer dans ses bras et m’embrasser tendrement.

Mes mains parcourent son corps mais ne cessent de se retrouver sur son cul parfaitement rond et cambré comme il faut. L’alcool encore très présent, je n’ai pas une grande envie de faire l’amour romantiquement au risque de m’endormir. Et je sens que ses gestes se font de plus en plus bestiaux. Je m’autorise alors à fesser son cul dans ma main de manière ferme et ses petits gémissements m’incitent à continuer. Je le fais mettre à genoux et présente ma bosse durcie à sa joue. Je me frotte contre lui et bande encore plus en voyant à quel point il est magnifique. Je déboutonne rapidement mon pantalon pour laisser apparaître ma queue. Je laisse mon jean en bas des fesses car être habillé comme ça m’excite comme jamais. Je retire néanmoins ma ceinture pour la passer derrière son cou et le faire avancer vers ma queue. Il prend ma queue en bouche avec excitation et hésitation. Je l’accompagne du mieux possible car je sens que contrairement à son oncle, il n’a pas l’habitude. Mais je sens de la détermination dans sa façon de sucer et il arrive tout de même à me faire du bien. Je finis par le relever pour lui rouler des pelles tout en lui malaxant les fesses à travers le jean. C’est alors que je sens un trou dans son jean pas loin de l’entrejambe. Je lui demande s’il y était avant et il me dit que non il est tombé à la fête et qu’il est foutu. Je lui demande bien de récapituler le fait qu’il va le jeter et à sa troisième approbation, je le retourne sur le lit et le fait cambrer. C’est alors que j’insère deux doigts dans le trou et tire de façon à l’agrandir. Il me demande ce que je vais faire et je lui rétorque que je vais le baiser habillé par le trou. Je sens que ça l’excite autant que moi et son cul se cambre encore un peu plus. Je mouille ensuite suffisamment son caleçon pour détendre le tissu et créer un trou qui finira agrandit à son tour. J’ai enfin une vue sur sa rondelle et sur l’extrémité de ses belles fesses. Sans plus attendre je lui lèche le trou pour le détendre au maximum. Il a un super bon cul à bouffer et vu comme il geint il doit kiffer ça. J’insère un doigt puis deux tout en tournant de manière à dilater son cul. Il est enfin prêt !

Je le redresse alors debout et le place contre le mur, mains sur les hanches. Je m’enfonce lentement mais sûrement provoquant des gémissements bien poussés de la part de Dean. J’y vais bien en profondeur et une fois au fond je lui laisse le temps d’assimiler ma queue pendant que je l’embrasse tout le long de son cou. J’avais laissé nos chapeaux sur les têtes car ça m’excitait beaucoup trop et que ce soir je baiserai comme ça jusqu’au bout, quitte à être en sueur. Je commence des allers-retours plus fréquents et déjà je sens qu’il se détend et semble apprécier le coulissement de ma bite dans son cul. Il cambre comme un malade et je vois un grand potentiel de baise pour ce mec. Mes coups deviennent un peu plus fort et brutal tout comme ses gémissements. J’étais en train de lui bourriner le cul, la main contre sa tête pour le plaquer au mur, quand je tournai la tête pour apercevoir Walker dans le couloir la main dans le pantalon. Dans l’action on avait pas fermé la porte et encore moins entendu l’arrivée de Walker. Je le regarde avec vice et encule de plus en plus fort son neveu. Il dégaine alors son portable et prends plusieurs photos puis une vidéo où j’en profite pour bien claquer son cul. Je lui fais comprendre discrètement de ne pas se vider et que je passerai par la suite dans sa chambre. Il comprend et part dans sa chambre, non sans m’exhiber sa queue bien dure. Une fois disparu, je m’autorise à laisser la tête de Dean bouger n’ayant plus peur qu’il surprenne son oncle nous filmant. Je me retire ensuite pour lui demander de se mettre à quatre pattes sur le lit, cul cambré. Il s’exécute et accompagné de ma ceinture, je lui claque quelques coups sur son joli petit cul. Mais sa rosette m’appelle tellement que je ne peux résister plus longtemps à refourrer ma queue dans son fourreau et laisse la ceinture de côté. Je le fais hurler comme jamais tout en ayant en tête Walker se masturbant dans la pièce d’à côté. Mais en me tournant un peu, je vois que Walker est revenu dans le couloir, nu cette fois-ci, mais toujours avec son portable pour filmer cette nouvelle position. Il n’y a aucun risque que Dean ne s’en aperçoive alors je donne tout ce que j’ai pour le pilonner, lui parler salace et l’ dans son coussin. Je sens qu’arrive l’heure de gicler et dans un dernier effort je place tout ce que j’ai pour le doser bien profond. Nous savant seul, je me laisse hurler de jouissance. Je vois Walker s’avancer doucement dans la chambre pour filmer de près son cul et pour éviter que Dean se retourne, je me retire de son cul pour m’écrouler sur lui et lui embrasser le visage. Ma position l’empêchait de se mettre autrement qu’en étant cambré, laissant tout le loisir de Walker filmer mon foutre sortir du cul de son neveu. Il comprend aussi le danger de la situation et s’enfuit rapidement dans sa chambre. Je reprends mes esprits et retourne Dean sur le dos pour me mettre au-dessus de lui à califourchon. Il me remercie pour cette baise mais je me dois de le couper car ce n’est pas fini. Il me regarde avec interrogation et, tout en déchirant sa chemise pour laisser apparaître ses abdos, je lui dis qu’il n’a pas juter. Il a tellement kiffé qu’il en a oublié sa propre jouissance. Je lèche chacun de ses abdos et m’attarde sur ses tétons quelques secondes. Je déboutonne son jean, fais voltiger sa ceinture et gobe sa bite directement. Elle est encore molle car son plaisir était principalement anal. Mais elle prend rapidement forme et je sens ma bouche se remplir de ce qui s’apparente à un joli 19 cm. Elle parait similaire à celle de Walker à défaut d’être un peu plus incurvée. Je la suce tout en lui enfonçant mes doigts dans son cul dégoulinant de sperme. Il reprend alors un nouvel orgasme et gicle une dizaine de jets dans ma bouche. Son sperme n’est pas trop amer, j’aime beaucoup. Je reste un peu à téter sa queue puis remonte vers lui pour me blottir contre lui et l’embrasser langoureusement. Il me dit alors que c’est la meilleure baise jamais faite et que je peux rester dormir avec lui. Mais il précise avant ça qu’il doit aller se doucher car il est un peu sale.

J’attends que le verrou de la salle de bains s’enclenche pour filer dans la chambre de Walker qui m’attendait impatiemment. Il était en train de se doigter tout en se branlant devant les vidéos prises plus tôt. A ma vue, il oublie tout ça et se redresse pour m’accueillir. Je lui dis que je n’ai pas beaucoup de temps et que je ne peux que le sucer. Il se satisfait de cela et prend ma tête comme un trou et commence à me baiser la bouche. Pour ajouter de l’excitation, je commence à le doigter et je sens qu’il aime bien ça. Tout en me baisant la bouche, il commente comment j’ai baisé son neveu et à quel point il s’est montré comme une petite chienne. Tout cela ne tarde pas à l’exciter et dans une gorge profonde, il expulse tout son jus que je suis obligé d’avaler pour respirer. Il me retire et vient m’embrasser. Le temps presse et chaque minute peut être cruciale alors je retourne sans hésiter dans la chambre de Dean. Heureusement, il n’était pas encore là. Je m’allonge donc dans son lit après avoir enlever toutes mes fringues et sens que je bande encore. Je commence donc à me doigter tout en repensant à cette soirée. Dean arrive à ce moment là et parait étonné de me voir encore en forme après notre baise. Il me dit que je n’arrête jamais et je lui rétorque que lorsqu’il est question d’étalon je suis toujours en forme. Il me rejoint donc nu et en rigolant sur le lit. Il m’embrasse et caresse mon corps avant de venir remplacer mes doigts par les siens. On sent que c’est un domaine qu’il maitrise mieux et qu’il a dû doigter pas mal de chattes. Il me fixe dans les yeux d’un regard enjôleur et me dit que c’est à son tour de me faire du bien. Et mon dieu que c’est bon. Il gère ses doigts comme de rien et arrive à me faire cambrer sans effort. Il remplace rapidement ses doigts par sa queue et, étant incurvée, je la sens bien frotter mes parois. J’aime cette sensation qui rend le moment plus romantique que le précédent. Tout en m’enculant avec des mouvements lents et amples, Dean m’embrasse de tout mon corps et me caresse les pectoraux tout en me susurrant des choses dans les oreilles. Il prend mes deux mains dans les siennes et les bloquent au-dessus de ma tête pour accélérer ses mouvements tout en restant profond. Au bout de quelques minutes, il se retire et vient me porter sa queue à ma bouche. Sa queue est belle et bien dure. Je pourrais vite en devenir addict. Il imprime un rythme lent et profond pour que je puisse déguster tous ses centimètres. Il finit par se retirer et après lui avoir lécher une dernière fois sa queue tout en longueur, il vient s’allonger contre moi pour m’enculer en cuillère. J’aime sentir cette queue en moi et être enlacé par ce dieu texan. Il continue de m’embrasser dans le cou et au moment d’éjaculer, il s’enfonce un peu plus en moi en lâchant un soupir d’aise dans mon oreille. Il empoigne ma queue pour la masturber tout en continuant de m’enculer. Je finis par éjaculer rapidement sur les draps. On reste quelques minutes comme ça puis en se retirant il me conseille d’aller me doucher pendant qu’il nettoie le drap. Je l’écoute sans sourciller et pars me doucher.

Pendant la douche, je me remémore toute cette soirée ainsi que ces deux semaines passées avec eux. Je me disais que si tout ça était arrivé plus tôt, on aurait pu baiser pendant deux semaines. Mais je finis par me dire que c’est comme ça et que c’est mieux ainsi car j’aurais pu être susceptible de tomber amoureux de Dean. Puis je repense à Rafael qui ne m’a pas donné de nouvelles depuis plusieurs semaines. Il me manque terriblement aussi. Je sors de la douche, me sèche et part me coucher. Dean dort nu sur le lit sans couverture dans une position où je n’ai plus qu’à me blottir contre lui et m’endormir.

Il est aujourd’hui l’heure de partir et dans cette dernière journée, j’ai la joie de passer du temps individuel avec chacun d’entre eux. Walker me raconte où ça en est avec la femme de la fête et qu’il a retrouvé espoir en l’amour. Dean lui se montre plus distant en justifiant cela par le fait que je vais lui manquer. On prit donc un moment pour se câliner et se parler. Il me parle entre autres de ses penchants pour les gars mais aussi son mal-être de ne pas pouvoir l’assumer dans sa région encore très homophobe. Je le rassure tant bien que mal. On se raconte encore quelques souvenirs et dans un dernier baiser, qui finit en préliminaires, je le laisse sur le palier de la porte en m’en allant vers l’inconnu.

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