La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1236)

chienne Vénus au Château – (suite de l'épisode précédent N°1235) -

- Oui Maitre, avec grand plaisir… répondis-je soulagée et enfin heureuse de retrouver ma place, la seule qui me sied, à Ses pieds …

Sur ces mots, le médecin entra avec tous les papiers mais en même temps je ne sais pas ce qui se passait en moi, je me sentais bizarre. Mes quelques semaines de captivités ont été très dures pour moi et je pense que le médecin s’en est aperçu. Il a signalé, à Monsieur le Marquis, qu’il me faudrait du temps pour me sortir du choc psychologique… Une fois revenu au Château, Maitre m’installa exceptionnellement dans une de Ses chambres de Ses appartements privés. Il m’avait prévenu que le temps de ma convalescence, il me considérerait comme une invitée et c’est ce qu’il fit durant quelque temps. Je pus donc me reposer, manger normalement. Le Noble faisait attention à ce que je prenne bien mon traitement … J’avais du mal à cette condition, je voulais retrouver ma place mais je ne pouvais pas décider car Il était Le Maitre donc j’attendais patiemment. Plus le temps passait, plus j’avais envie et besoin de soumission, j’en étais en permanence trempée, j’étais en manque. Je ne pouvais pas participer aux soirées mais je pouvais entendre ce qu’il s’y passait. Tout cela était terriblement frustrant pour moi…

Ce fut un matin, alors que je travaillais dans le bureau attenant à celui du Châtelain, qu’Il vint me voir. J’étais heureuse qu’Il est daigné passer me voir car Lui aussi était beaucoup affairé dans Ses occupations. Je n’avais pas remarqué Sa présence trop concentrée dans mes papiers et à préparer mon voyage à l’étranger. J’attendais la validation de mon visa qui tardait à être accordé. C’est au bout d’un moment que je remarquais que le Noble m’observait accolé au pas de la porte, les bras croisés, la tête haute… Depuis l’acceptation de Maitre à Ses pieds nous avions du mettre en place certain code surtout au niveau travail.

Une seule règle entre Lui et moi. Les moments où je portais mon collier, j’étais Vénus Sa chienne, Sa propriété et sans le collier je restais quand même à Lui mais ce n’était que dans le cadre professionnel. Et quand j’avais besoin de travailler en dehors du Château ou en réunion, faire la différence ne me donnait pas droit à des privilèges. Simplement durant les moments où le collier n’était pas autour de mon cou et, dans le bureau qu’Il m’avait octroyé pour le travail, seul Maitre avait la possibilité de venir et de m’utiliser car dans ces moments de travail, Il me voulait totalement concentrer sur mon activité. Il lui est arrivé de passer de temps à autre voir l’avancée de mes travaux surtout ces derniers temps car je programmais un départ pour une durée d’un mois car j’avais reçu un contrat pour l’organisation d’un grand mariage aux Émirats Arabes Unis, pour l’Emir du Qatar et mon départ étais prévu pour demain matin…

Quand je levais la tête, je m’aperçus enfin de Sa présence, je ne savais pas comment me comporter surtout que depuis mon enlèvement, Maitre avait toujours refusé de m’utiliser. Je fermais mon ordinateur et m’installais à genoux, fesses contre mes talons et mains sur mes genoux, paume vers le haut et tête baissée. Le Noble s’approcha de moi d’une démarche que je connaissais si bien, une démarche… Dominante, comme un prédateur s’approchant silencieusement sur sa proie. Il me caressa doucement le visage et de Ses doigts, le Châtelain remonta mon menton pour que je plonge mon regard dans le Sien. Ses yeux étaient tellement Dominants, fermes et si tendres à la fois, que je sentais en moi monter mon excitation humidifiant mon bas-ventre. Ma respiration s’accéléra, mon rythme cardiaque aussi, j’étais si bien, tellement moi et surtout à ma place, ressentant pleinement toute Sa forte Dominance m’irradier entièrement. Sans rien dire, Maître s’accroupit à ma hauteur et sans prévenir, le Châtelain prit possession de mes lèvres dans un baiser fougueux, tellement torride, tellement Dominant, que je fondais sur place.
Il força l’entrer de ma bouche de Sa langue pour l’enrouler autour de la mienne, c’était tellement bon, un baiser passionnel et sauvage à la fois, j’avais envie de plus, tellement envie… D’un coup, Il se retira, se dégagea et alla dans Son bureau. Je ne quittais pas ma position et le Noble revint avec le collier qu’il m’avait offert pour me le poser sur ma nuque toujours sans rien dire. Monsieur le Marquis accrocha le mousqueton de la laisse au collier et me fit le suivre jusqu'à Sa chambre et Il dit :

- Ma belle petite chienne, demain tu quitteras le Château pour ton activité professionnelle. Malheureusement, je n’ai pas pu m’arranger pour te suivre. Je veux que tu te montres digne de Mon éducation car, comme tu dois le savoir, l’Emir du Qatar est un très bon ami de la famille des Evans. Son père a commercé durant plus de 30 ans avec mon père et j’ai repris la suite du bisness avec lui. Nous avons donc des liens étroits qui dépassent largement les marchés, ce sont des liens forts d’amitié … Et il connait ta condition de chienne. Alors fait-Moi honneur. Pour le moment, c’est Moi qui va m’occuper de toi, histoire que tu n’oublies pas à qui tu appartiens… A quatre pattes…. Voila qui est mieux, Ma chienne… Je vais t’utiliser, te prendre, te baiser comme la salope de chienne en chaleurs que tu es pour Mon plaisir et peut-être que je daignerais te laisser jouir… on verra…

Une fois finie de parler, il s’enfonça dans ma chatte de salope trempée par Ses mots. Il me baisa comme ça durant deux heures, alternant entre ma bouche et ma chatte sans jamais se vider en moi. J’avais impression d’ tellement le proche orgasme montait mais je devais me retenir, me contenir pour Lui pendant qu’Il me prenait sauvagement et vigoureusement mon antre humide du plaisir qu’Il prenait. Par moment, je sentais des coups de martinet frappé ma croupe pendant qu’avec de puissants coups de reins, Il était toujours à l’assaut de ma chatte dégoulinante et ruisselante de cyprine qu’Il me fit lécher à plusieurs reprises.
Quand Il décida, une fois de plus, de prendre possession de ma bouche, Maitre s’enfonça d’un seul coup dans ma cavité buccale, ce qui me provoqua des hauts de cœur, que je dus contenir pour recevoir Sa grosse Verge gorgée de plaisir, m’étouffant à plusieurs reprises. Mais Maitre savait très bien que l’ me donnait un plaisir fou et décuplé à mes excitations. Ce fut un véritable supplice pour moi mais tellement bon autant que de sentir le contrôle que le Noble avait sur moi. Il pouvait à tout moment décider de se retirer ou de continuer encore et encore…

Petit à petit, je commençais à suffoquer, Maitre me faisait comprendre qu’Il avait tout pouvoir sur moi et que Seul Lui décidait quand Il daignait m’offrir une bouffée d’air, ce me fit couler d’avantage tellement j’aimais cela. Il se retira d’un coup et je pus respirer à fond à grande bouche ouverte afin de laisser passer un maximum d’air tout en gonflant mes poumons. Quand il jugea que cela suffisait, il me baisa de nouveau la bouche sans ménagement et ainsi de suite, jusqu’au moment où le Noble se retira ne voulant pas se vider dans ma bouche. Et sans préambule il m’encula avec une extrême puissance, qui me fit hurler de douleur sans se soucier de moi, ce qui me fit encore plus mouiller d’excitation d’être prise telle une poupée gonflable sans ménagement. Monsieur le Marquis commença alors à me labourer bestialement mon trou du cul par d’intenses coups de boutoir, de longs va-et-vient durant un long moment, Ses couilles claquaient contre mes fesses accompagnées de ‘’han’ qui sortaient de sa bouche à chaque puissante poussée tel un bûcheron en exercice... Et pour finir, Maître se déversa enfin sur mon dos en de longs jets de Sa noble semence chaude. Le Châtelain continua une bonne partie de la nuit ainsi alternant les moments entre ceux où l’on dormait et d’autre ou il me baisait sauvagement. En fin de nuit alors que je dormais, Il me réveilla, une dernière fois, par des stimulations de mon clitoris plus ou moins vigoureusement jusqu'à m’accorder le droit de jouir et pendant qu’Il me branlait le clito Il me baisa aussi la chatte et je pus enfin jouir pendant qu’il se répandit dans mon orifice vaginal.
Je lâchais à ce moment un orgasme si intense dans des cris forts et discontinus, hurlant ma prodigieuse jouissance si explosive, si puissant, que j’eus durant un long moment des spasmes dans tout le corps, via des violentes décharges électriques orgasmiques qui me menaient dans un monde de puissants plaisirs jouissifs jusque-là peu atteint ... Une fois calmée, Monsieur le Marquis me dit avec fierté :

- Ma belle petite jouisseuse, je te félicite pour t’être retenue et c’est pour cela que tu as eu le droit de jouir… Viens te coucher dans Mon lit et viens dormir dans le creux de mon épaule, j’ai envie de sentir Ma chienne contre Moi car tel est Ma volonté … Mais attention, Ma chienne, ne me réveille pas. Pour demain, j’ai déjà vu avec Walter et Marie pour que tu puisses prendre un petit déjeuné comme il se doit avant un voyage. Ensuite Walter te conduira à l’aéroport. Pareillement, Mon vieil ami, l’Emir, a reçu mes consignes te concernant, lesquelles il aura plaisir à suivre, m’a-t’il répondu. Comme tu le sais, Il est Dominant et une de Ses femmes, Sa favorite, est switch, elle est donc aussi soumise que Domina. Tu leurs obéiras comme si c’était Moi. Maintenant dors car tu vas en avoir besoin…

Sur ces mots je m’installai dans les bras de Maitre et je m’endormis épuisée de la nuit que j’avais passée…

(A suivre …)

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