Les Aventures De Muriel Episode 02

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Le lendemain, lorsque je reviens du travail, je passe chercher mon petit frère Fabrice de dix huit ans chez mes parents. Il viens m’aider à monter un meuble et va rester la semaine chez moi car il est seul.
Je n’ai pas besoin de descendre de la voiture qu’il arrive avec un sac avec ses affaires.
Il monte, me fais la bise, et devient tout blanc en me voyant. Il faut dire qu’il me déshabille du regard, comme très souvent, d’autant plus qu’aujourd’hui je porte ma petite robe blanche à larges bretelles et profond décolleté surtout avec mon 90C. Dans mes pieds, des sandales noires très fines à talon de dix centimètres.
Je la rajuste car elle montée vraiment trop haut sur mes cuisses même si je trouve ça amusant de voir mon petit frère tout émoustillé.
Arrivés chez moi, je demande à mon petit frère de prendre mon courrier car j’ai les deux mains prises par les courses. Mon voisin arrive et prend son courrier aussi.
_ Bonjour, Madame.
_ Bonjour Monsieur.
Ensuite, pour monter dans mon appartement, ils me font passer la première et les deux me suivent de près, même de très près. Mais la longueur de ma robe leur empêche de voir ma petite culotte.
Une fois devant ma porte, je vois les deux regardant de grandes photos.
_ Qu’est-ce qu’il y a de si intéressant ?
_ Toi !
_ Vous ! Répondent-ils en cœur.
Ce sont des photos de moi de la veille où plusieurs hommes s’occupent de moi.
_ Donnez-moi ça !
Je prends les photos et nous rentrons chez moi.
_ J’avais beaucoup trop bu et ils profités de moi !
_ T’avais pas l’air d’être contre.
_ Tu sais, je bois trois verres et je suis pompette alors là j’en avais bu au moins sept ou huit !
Je mets les photos dans la commode de ma chambre et viens m’asseoir en face de mon frère.
_ Tu ne parleras à personne des photos ! Je te fais confiance !
_ En échange je peux te prendre en photo, je dis à mes copains que j’ai une sœur super canon et ils ne t’ont jamais vu !
_ Si tu me promets de n’en parler à personne.

Promis ?
_ Promis ! Euh, sinon le voisin à pris une clef usb qui été avec les photos !
_ Le salaud, ça ne me surprend pas de lui. J’irai la chercher plus tard. Il attend qu’une chose, c’est couché avec moi !
Mon frère sort son téléphone et prend plein de photos de moi. Je le vois tout énervé. Tout doucement ça m’excite me sachant désirée ainsi. Je m’amuse à croiser et décroiser les jambes, me baisser mon bien accen mon décolleté à la limite des mamelons.
_ Tu veux boire quelque chose ? Je lui demande.
_ Oui, j’ai amené deux bouteilles d’épine, t’en veux ?
_ Ben, j’ai pas mal picolé y hier, alors je ne sais pas !
_ Allez, je ne l’ai pas amené pour rien !
_ Ok.
Je me lève pour aller chercher des verres, en me dandinant. Je me fais encore avoir en buvant au moins une demi bouteille d’épine. L’alcool me fait rapidement de l’effet, elle me désinhibe et un rien m’excite.
_ On va à la piscine, il fait beau et c’est juste à coté. On pourra se faire bronzer sur l’herbe. Ca te dit ? Me dit mon frère.
_ Pourquoi pas ! Je vais préparer mes affaires et toi ?
_ J’ai tout dans un sac à dos.
Dix minutes plus tard nous voila partis à pieds car c’est à dix minutes.

Arrivés à la piscine, nous prenons un cassier pour deux.
_ On se met sur l’herbe directement. Proposai-je.
_ Oui, si tu veux.
Nous nous plaçons derrière un bosquet à coté de la haie.
_ On se met là, on sera plus tranquille. Il n y aura pas de ballons qui volent.
On va se baigner une bonne demi-heure avant de s’étendre au soleil. Mon petit frère s’en va et revient avec un double morito.
_ Tiens, c’est pour toi. J’ai pris un coca pour moi !
_ Merci, mais fallez pas.
Après l’avoir bu, je m’allonge sur le dos. Mon frère ne me quitte pas du regard, il est allongé sur le ventre et ne bouge pas. Je pense qu’il en érection.
Une fois que je sens que ça chauffe, je me retourne sur le ventre.
Je m’assoupie.
_ Tu veux que je te mettes de la crème solaire dans le dos. Me demande mon frère.
_ Si tu veux. Je lui réponds à moitié endormie.
Il me met de la crème sur le haut des cuisses et dans le dos. Il me masse les cuisses jusqu’au maillot. Je sens qu’il dénoue le haut de mon maillot de bain.
_ Qu’est-ce que tu fais ?
_ Je t’en mets sur tout le dos pour éviter les marques de maillot.
_ Ah, ok.
Et je me laisse faire car c’est agréable de se faire masser.
Tout doucement je sens qu’il s’approche de plus en plus de mes tétons. Je ne bouge pas, je fais semblant de dormir. Soudain il m’att les tétons et me les vrille délicatement entre l’index et le pouce.
L’épine et les moritos faisant leur effet, je me laisse tripoter par mon petit frère. J’ai les mamelons en feu et je commence à mouiller. Je sens que je vais jouir si je ne lui dis pas d’arrêter alors je me retourne lentement sur le dos pour lui faire comprendre que je suis réveillé.
_ Merci pour la crème.
Je reste une dizaine de minutes les seins à l’air avant de dire :
_ Il est dix-neuf heures, on va rentrer à l’appartement.
_ Ok, on y va.
Nous retournons au vestiaire où nous prenons une douche avant de s’habiller et de rentrer chez moi.
_ Ca te dit, on mange et on va au cinéma !
_ Si tu veux Muriel.
Après un petit apero, nous mangeons des pâtes. Je pars me changer car j’ai mis de la sauce tomate sur ma robe.
Je commence par mettre un jeans et un tee-shirt, mais je change d’avis pour mettre une petite robe d’été blanche qui m’arrive en haut des cuisses à bretelles et zippée sur le haut. Je mets mes escarpins blancs à haut talon et nous partons.
Au cinéma, la séance que l’on veut voir est dans deux heures alors mon frère me propose de prendre un cocktail dans le bar juste à coté pour patienter. J’accepte car on a que ça à faire.

Puis nous retournons au cinéma voir le film.
_ Je, je crois que j’ai beaucoup trop bu.
C’était très alcoolisé ce cocktail ! J’ai la tête qui tourne.
_ On va quand même au cinéma, je veux voir le film !
_ Si tu veux mais tiens moi par le bras ! Je sens que je peux tomber.
Il me prend même par les hanches malgré qu’il fasse une tête de moins que moi avec mes talons et nous nous dépêchons pour ne pas être en retard ce coup ci.
Le film commence, mon petit frère est à droite de moi et à gauche se trouve un homme d’une soixantaine d’années minimum.
A la moitié du film, je sens mon frère se coller à moi et poser une main sur ma cuisse et la caresser.
_ T’as les jambes toutes lisses, et elles sont fermes !
_ Je me suis épilé hier, c’est pour ça. Et je peux mettre des petites robes d’été.
_ Je te trouve hyper canon. Me dit-il en remontant sa main sous ma robe jusqu’à ma petite culotte.
_ Non enlèves ta main, tu peux me mater mais pas toucher.
J’ai la force de lui répondre. Mais je suis encore bien sous l’emprise de l’alcool. Je suis contente qu’il enlève sa main car le vieux nous regarde. Mais maintenant je la sens qui titille mon sein gauche.
_ Là tu ne peux rien dire, je n’en fais pas plus que tout à l’heure à la piscine.
_ J’ai, j’ai, j’ai trop bu.
Il le sait et il en profite. Je ne sais pas dire non quand j’ai picollé et le moindre petit compliment ou le moindre regard insistant sous ma jupe ou dans mon décolleté m’excitent au plus haut point. Alors, en le laissant me caressant mon téton sur la robe, je fais semblant de regarder le film.
_ T’as vu, comment il te matte ton voisin de siège. Il est jaloux.
Je sens maintenant une deuxième main me caresser l’autre sein. Le vieux s’y est mit. Ils me descendent le zip de ma robe, sortent sans difficulté ma poitrine aux tétons en feu et me la malaxe.
_ Tout le monde va nous voir ! Il ne faut pas. Leur dis-je en me laissant faire avec un certain plaisir d’humiliation.
_ Vous etes très belle, madame, avec des nichons fantastiques.
Je vous invite après le film ?
_ Ca ne va pas être possible !
Ils veulent glisser leurs mains sous ma jupe mais je leurs en empêche. Sinon j’aurai joui instantanément et je ne veux pas. Heureusement le générique est déjà sur l’écran. Je me rajuste, je me lève et je pars avant que le vieux ai le temps de me voir en pleine lumière. Mon frère me suit et nous rentrons vite chez moi.

_ Je vais me coucher je suis fatigué. A demain.
_ Bon, ben, à demain. Me répond-il, un peu déçu de la fin de soirée.
Un fois seule dans mon lit, je me caresse en repensant au regard sur mon corps et je m’endorme tranquillement.

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