La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1241)

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1240) -

Alix et Antonin - (toujours prisonniers à des centaines de kilomètres du Château) –

En pénétrant dans cette luxueuse pièce, Alix vit son oncle, le baron de Grenois, le visage triomphant un parchemin à la main. La voyant arriver, il le dissimula rapidement dans un tiroir du bureau, ce qui intrigua Alix.

- Ha ma nièce ! Avez-vous réfléchi ?
- Oui, heu … j’accepte d’épouser Léonard …
- A la bonne heure ! Toutes mes félicitations, dit-il d’un ton ironique et vainqueur
- Libérez les autres, maintenant lui lança Alix d’un ton décidé
- Pas si vite, ma chère, venez voir... Vous allez signer ce parchemin attestant que vous renoncez à appartenir à votre cher Seigneur d’Evans et d’épouser mon fils à qui vous jurerez fidélité et servitudes à vie...

Alix paniqua, car ça, elle ne l’avait pas prévu. Elle était piégée alors elle réfléchit à toute vitesse et soudain une idée subite et ingénieuse lui vint à l’esprit. Au lieu de signer Alix de Maisondieu, elle signerait Alix de La Maisondieu, son oncle ne sachant pratiquement pas lire ne le remarqua pas. Prenant le parchemin qu’on lui tendit avec une plume, elle signa ainsi …

- Bien, attendez ici. Je reviens, je vais ordonner la libération des autres.

Alix se retrouva un court instant seule. Elle repensa à l’autre parchemin qui était dans les mains du baron de Grenois et qu’il mit rapidement dans un tiroir du bureau dès qu’elle fut arrivée. Alors, elle ne perdit pas de temps pour le retrouver dans le tiroir. Elle lut le document et elle n’en croyait pas ses yeux. La jeune fille le plia et le mit rapidement dans sa poche. Il était temps car soudain quelqu’un entra dans la pièce :

- Qui êtes-vous demoiselle? demanda un jeune homme

Il était jeune et avait l’air aimable et il bien vêtu

- Et vous, qui êtes-vous ?
- Je suis François de Namur, fils du Compte Baudouin de Courtenay
- Et moi Alix de Maisondieu et je suis retenue prisonnière ici contre ma volonté et sans le moindre motif-
- Mais je n’ai jamais ordonné cela ?
- C’est mon oncle Henri-Jules de Grenois
- L’ami de mon père ! Je ne l’ai jamais apprécié, lui son fils, et leurs manières.

Ils m’ont imposé leur pouvoir … sans que je puisse faire quelques choses vis-à-vis de mon père … mais maintenant je comprends qu’ils avaient véritablement de mauvaises intentions …
- Vous me semblez être une bonne personne …Accepteriez-vous de nous aider ?
- Nous ? Vous êtes plusieurs ?
- Oui je suis avec mon cousin Antonin et nous sommes venus chercher, libérer mon frère Louis-Etienne qui se trouve au plus bas niveau de cette forteresse, prisonnier depuis des mois, ici.
- Depuis des mois ? Je l’ignorai … (Il appela) – Thomas !

Thomas est le frère de frère Justinien

- Tiens porte ceci aux gardiens que ces de personnes soient immédiatement libérées.
- Oui tout de suite, Sire
- Avez-vous besoin d’autre chose, demoiselle ?
- Il nous faudrait des épées et l’aide de Thomas quand il reviendra …

Thomas revint quelques instants plus tard avec Antonin libéré

- Ou est mon frère? Ou est Louis-Etienne? S’empressa de demander Alix
- Il va bien Alix, ne vous en faites pas. Il est faible mais il va bien
- Thomas, descendez hors de la forteresse en faisant ouvrir en grand le pont-levis et dite à Godulfe et ses hommes qui se trouvent dehors, d’entrer, d’intervenir et d’arrêter Henri-Jules de Grenois et son fils Léonard, demanda Antonin
- J’y vais tout de suite, répondit Thomas ayant reçu l’accord d’un geste positif du visage de François de Namur.
- Mon cousin, dit Alix, prenez une épée. Ha oui je vous présente Messire…
- François de Namur

Au même moment Henri-Jules entra dans la pièce. De suite voyant la scène, il prit le regard brillant de fureur de rage et de folie, il se rua sur Alix son épée à la main. Heureusement Antonin s’interposa entre son père et Alix en disant :

- Etes-vous donc si peu respectueux des règles pour vous attaquer ainsi à une dame
- Mon fils, vous n’êtes qu’un traite et ce n’est pas une dame, c’est une catin tout au plus …

Alix fulminait et se joint au combat

- Oublieriez-vous monsieur que mon père était Compte et que notre famille est de la noblesse française
- Laissez ma cousine c’est à moi de régler cette affaire.


Soudain Henri-Jules dit à Antonin

- Si vous êtes un homme, battons-nous en combat loyal vous et moi.
- Parfait, en garde
- Vous me le payerez, tous autant que vous êtes …

Malgré sa faible corpulence, Henri-Jules déployait une énergie hors du commun. Avançant à grandes enjambées, il poussait son fils vers l’extérieur. Antonin se contentait de feinter et d’esquiver les coups portés par son père, sans chercher à attaquer. Antonin avait pour lui sa jeunesse et il espérait bien que son vil père se fatiguerait rapidement. Alix les suivait des yeux, prête à intervenir, terrorisée par l’expression de haine qu’elle lisait sur le visage de son oncle. Un instant le baron fut déséquilibré, son épée heurta le pat de granit, et quelques étincelles en jaillirent. Il marqua un temps d’arrêt puis se retourna faisant tournoyer sa lame. Surpris Antonin recula et se retrouva acculé contre la muraille. Il n’eut d’autre choix que de descendre l’escalier raide qui courait le long des remparts jusqu'à une terrasse et le combat reprit de plus belle. Antonin n’avait plus seulement envie de se défendre et se montrait belliqueux. Mais soudain son pied buta contre une pierre détachée d’un muret en mauvais état, le jeune homme tomba à la renverse. En voulant se rétablir, il pivota sur lui-même et son front vint heurter le mur de l’édifice… Alix se rua sur son oncle le voyant s’approcher, l’épée pointée sur la poitrine de son fils inanimé. Alors Alix n’hésita pas une seule seconde, elle piqua sa lame entre les reins du méprisable baron.

- Arrière! Ordonna-t-elle.

François intervint au même moment

- Frapperiez-vous un homme à terre, lança-t-il au baron ? Ce serait un geste bien peu chevaleresque.

Le baron en mauvaise posture, recula d’un pas en arrière comme lui ordonna Alix. La pointe de l’épée d’Alix dans le bas du dos, il se redressa, jetant sa propre épée comme pour se rendre. Il profita d’une demi-seconde de surprise pour s’esquiver et tenta de fuir, grimpa rapidement sur le rebord de la fenêtre.
Il escalada le petit pat pour se retrouver dehors dans le vide et, fit rapidement un mètre contre la muraille extérieure puis son pied glissa et il tomba des remparts et se tua sur le coup des dizaines de mètres en contre-bas. Ses complices et Léonard furent arrêtés… François de Namur prenant le commandement et donnant des ordres aux gardes, ordres tous en faveur d’Alix et d’Antonin…

Pendant ce temps au Château :

Le Seigneur Charles d’Evans fit venir Marion dans sa chambre et lui dit :

- Ma belle petite chienne Marion, je t'ai délaissé ces dernier temps.
- Non Maître, je n'ai jamais pensé cela, vous m'utilisez à Votre guise et ce que Vous daignez m'accorder suffit à mon bonheur.
- Fort bien mais je vais me rattr maintenant, j’ai envie de toi, Ma bonne femelle de chienne. Couche-toi sur la table sur le dos tout de suite...

Marion s'exécuta sans tarder et le Maître lui attacha les poignets et les chevilles aux pieds de la table et lui caressa doucement tout son corps. Marion avait la chair de poule car elle aimait tant les caresses douces et précises du Maître. Le Seigneur d'Evans qui la connaissait parfaitement savait exactement comment la faire vibrer et monter son excitation. Tout en parcourant son corps il lui caressait et pinçait les tétons, Marion fermait les yeux de plaisirs et sa respiration s'accélérait. Le Maître aimait la forte poitrine aux gros tétons roses de jeune soumise et il adorait agacer ses tétons de sa langue habile. Mais aussi en les pinçant, tirant, vrillant et embrassant, Marion était excitée à l'extrême et jubilait de plaisirs par des gémissements de bien-être. Ce qui n'échappa pas au Maître. Quand il passa sa main sur sa chatte, elle mouillait abondamment.

- Tu sais que tu m'excites toi quand tu mouilles comme une chienne en chaleurs. Ma salope de chienne en chaleurs...

Marion le regarda et demanda ainsi silencieusement la parole. De la même manière par son regard approbateur il l'autorisa à parler.


- Maître, je sais que vous aimez quand je suis humide et j'aime Vous satisfaire. C’est ma seule raison de vivre…
- Hummmm ! Bonne petite salope, soumise au Maître.

N'y tenant plus le Seigneur d'Evans sortit Son noble sexe déjà tendu à l'extrême et le frotta sur la fente de la chatte de Marion qui se cambrait appelant ainsi le Maître à la baiser tout en gémissant encore de plaisirs.

- Maître, par pitié, baisez-moi.
- Oui Ma chienne, j'accède à ta requête, Salope …

Et le Maître la pénétra d'un coup profond, ce qui la fait gémir encore plus tant elle aimait sentir en sa chatte, la grosse et noble queue du Maître. Marion se cambrait pour le recevoir au plus profond de son sexe trempé. Le Seigneur d'Evans alternait ses va-et-vient, parfois très lents, parfois très rapides, tout en lui pinçant violemment les tétons. Marion cria autant de plaisirs que de douleurs et avait peine à retenir son orgasme et elle mit toute la force de sa volonté et de sa dévotion pour ne pas exploser d’une jouissance pour le moment non autorisée.

- Maî… Maître … je...je vais jou…jouir... bientôt.
- Hors de question, jamais sans Mon ordre.
- Maîîîîîîître ! pitié ! Je tiendrais plus.
- J'ai dit non.

Il lui répondit cela en la besognant de plus belle, accélérant ses coups de reins, amplifiant fortement ses pénétrations de plus en plus profondes et cadencées, lâchant des ‘hans’ à chaque poussée. Marion allait craquer quand le Maître se retira et la libéra de ses entraves et lui lança :

- En levrette, salope !

Marion s’empressa d’obtempérer et le Maître se plaça derrière elle et avec une lenteur qui ne fit qu'augmenter l'envie de Marion il prit possession de son cul en la sodomisant. Et rapidement avec fougue, il accéléra ses coups de reins puissants et virils jusqu’aux fonds de ses entrailles. Il n’hésitait pas à lui frapper abondamment le cul par des fortes fessées qui lui faisaient rougir la croupe à vue d’œil, tout en la pilonnant bestialement. Après plusieurs minutes qui parurent à Marion une éternité à ne pas lâcher son orgasme, enfin il lui murmura à l'oreille :

- Jouit maintenant, je l'exige !

Et ensemble, ils jouirent de concert avec des cris orgasmiques forts et puissants. Cet accouplement anal était une véritable saillie animale et leur jouissance commune fut ponctuée de tremblements de tous leurs membres … Après être revenu sur terre, ils s'endormirent tous les deux épuisés par ces moments d’extrêmes plaisirs sexuels…

(A suivre …)

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