La Faute

Après une semaine difficile, tant au boulot qu’à la maison où mon fils me pose des problèmes, j’ai commis une erreur lors d’une commande, ce qui aurait pu avoir de grosses conséquences financières et administratives pour l’epahd où je travaille. Si mon étourderie sait finalement bien terminée, il ne m’en reste pas moins que je savais que j’allais être convoquée par la direction et j’avoue que je m’en menais pas large .
Dans mon casier la convocation : après votre service , avant de partir, je vous prie de passer à mon bureau : la directrice. Je suis étonnée car mon service se termine à 21h,et il est très rare que la direction soit encore présente à cette heure ; après m’être changée, je me présente, inquiète, à son bureau.
C’est une grande te belle femme, la cinquantaine, en générale très souriante, mais aussi très à cheval sur le règlement et alors elle peut être très agressive ; ce qui semble être le cas ce soir car le sermon , que je mérite, n’est pas tendre ; je m’attends au pire quand quittant son bureau, elle vient s’assoir , devant moi, une fesse sur le bureau et s’adressant à moi :
« Que dois-je faire, votre faute est grave, mais je sais que vous êtes un bon élément, sur qui en principe je dois compter et je vous aime bien ; mais il me faut vous sanctionner et cela me gêne un peu, à moins que je puisse dorénavant compter sur vous, mais il faut me le prouver ! »
M’excusant à nouveau et en lui promettant de faire très attention, je lui confirme que je suis à sa disposition. Elle a un sourire puis « toute à ma disposition ? » ; je suis très étonnée par la tournure des événements d’autant plus que maintenant, sa position a changé et que je peux découvrir l’intérieur de ses cuisses, sa robe ayant remontée lors de la conversation. « tu es bien sûr de le vouloir ? « oui Mme , j’en sur sûr »
« bon alors voilà ma proposition : elle est passée derrière moi et ses mains se posent sur mes épaules ; à ce contact, je ne peux retenir un geste d’esquive ; non ne bouge pas ;je te propose d’effacer ton erreur, sans sanction, mais en compensation, tu seras à mes petits soins ; j’aime les femmes et toi en particulier, tu me fais envie » » ses mains sont descendues sur mes seins et elle les presse , s’acharnant un peu sur les pointes visibles sous mon chemisier ; à ce contact mon corps frémit, j’y suis très sensible et elle le perçoit « tu vois , tu aimes mes mains ,alors voilà mon marché, tu es à ma disposition, sans réserve et j’oublie le reste ; par contre, un écart ou une indiscrétion de ta part et ton dossier ressort et tu sais que c’est la porte ; toujours d’accord ? » Je n’ai pas le choix, mais en plus son corps collé contre mon dos me donne des envies ; je suis bi et j’avoue que cela ne me laisse pas indifférente :
« oui Mme, je suis d’accord » elle revient devant moi et s’asseyant sur son fauteuil et remontant sa jupe, découvrant ainsi un pubis libre de toute contrainte « alors viens me lécher la chatte, elle est toute mouillée, fais-moi jouir ».

me mettant à genoux, je plonge ma bouche sur ses lèvres , gonflées, pleine de cyprine ; son odeur est forte , signe de son plaisir et quand elle m’appuie sur la tête, ma langue s’enfonce dans son antre ; mes doigts accompagnent mes succions et je la fouille, me reculant pour mieux la pénétrer ; sa chatte est très large, gorgée par le plaisir et c’est presque toute ma main qui joue en elle ; cela semble lui plaire car elle se cambre brutalement favorisant ainsi la pénétration ;et toute ma main qui s’enfonce dans sa matrice
Sous la pression de ma main sur ses parois, elle gémit, m’encourage à la fouiller ; c’est la première fois que je fiste une femme, mais le souvenir de mes expérience me guide et ma main virevolte , appuie sur le fond de sa matrice, dilate ses parois ; sa jouissance déferle et elle m’asperge d’ un long jet de cyprine , inondant mon visage et mes vêtements . la tête rejetée en arrière, elle se laisse aller, toujours empalée sur ma main, retenant ses cris en se mordant la main ; puis enfin elle se redresse, délaissant les doigts qui lui ont apporté le plaisir. M’embrassant à pleine bouche, elle se cole contre moi puis me prenant par la main, se rajustant elle m’entraine vers la sortie.
« Ce soir tu es à moi, tu restes avec moi, moi aussi je peux t’apporter du plaisir » lui faisant remarquer que je devais aller à la maison, pour mon chien, c’est avec un grand sourire qu’elle m’a dit « alors je vais te posseder sur ton lit. » ce qui fut le cas
A suivre si vous aimer

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