La 'Mauvaise' Surprise

Quelques semaines après mon week-end à Dijon ma vie avait repris son cours avec sa routine quotidienne l'ennui et la déprime qui m’envahissait. Loin de mon amant, avec qui je continuais à correspondre par téléphone, je trouvais le temps définitivement trop long et trop éprouvant, ne ressentant en même temps aucun remord pour mon adultère. Mon mari travaillait comme un acharné, ne comptant pas son temps et par conséquence me délaissant, ce qui me laissait libre de mes pensées et de mes fantasmes. J’avais essayé d’échaffauder plusieurs stratagèmes divers et variés afin de pouvoir retrouver Thierry, mais les occasions ne se présentaient pas ou les circonstances ne s'y prêtaient pas. Mon humeur était maussade, ce que mon mari avait constaté. Il me poussa à prendre quelques jours, loin de la maison, pour me changer les idées. Je sautais sur l'occasion m’inventant un séjour « Shopping » sur Paris avec une amie, alors que ma destination était bien évidemment : la Bourgogne. En quelques jours, tout était organisé, et j’informais en dernière minute Thierry de mon arrivée imminente. Surpris, il lui avait été compliqué de s'organiser, et de trouver un alibi ou une excuse pour passer la soirée avec moi. J'avais quand même prévu d'arriver en fin d'après-midi et de repartir le lendemain pour une nuit torride dans ses bras, en m’offrant entièrement à lui. Je réservais le même hôtel que la fois précédente. Le jour J arriva, et après avoir préparé ma valise, je pris mon train en direction de Dijon. Je m‘étais habillée avec élégance, avec un ensemble chemisier et jupe d’un grand chic. La chemise de type blouse était rayé bleu et blanc d’une grande élégance avec un type de motif floral, et un col boutonné jusqu’au cou. La jupe longue en satin classique était serrée aux hanches et aux cuisses, évasée aux genous et festonnée, avec des ourlets à volants, une ceinture avec une petite boucle en argent. J’étais délicieuse voire très appétissante.

Un taxi à mon arrivée me déposa à l'hôtel où Thierry devait me rejoindre en début de soirée.

Il avait prétexté un dîner avec un client pour expliquer son absence à sa femme. Arrivée à l'hôtel, je prenais possession de ma chambre, m’installais et attendais mon amour avec impatience. Je m’étais préparé pour la circonstance, délaissant mes vêtements pour un ensemble en dentelle noir, porte-jarretelles, soutien-gorge et étais prête à accueillir dignement mon amour bourguignon sachant son arrivée imminente. Installée dans un fauteuil, les jambes croisées, j’avais masqué mes yeux avec un ruban noir assorti à mes sous-vêtements et recouvert mes mains de longues mitaines en laize dentelle avec de longues bandes à nouer et dénouer permettant aussi une certaine forme d’immobilisation. J’attendais patiemment quand la porte s’ouvrit enfin, entendant mon amour rentrer dans ma chambre. Sans un bruit et sans une parole, j’imaginais son désir et son envie grandir à la vue de cette bourgeoise en sous-vêtements, offerte sur un fauteuil, prête à se faire prendre comme une femelle en chaleur. Il s’approchait de moi et dans une ambiance terriblement romantique et sulfureuse, je savais qu’il allait se ruer sur mes formes pulpeuses. J’attendais ce moment depuis tellement longtemps, que je voulais maintenant sentir son corps, son sexe se frotter contre moi, m’utilisant comme son jouet, sa chose. Son doigt se posa sur mes lèvres m’invitant à ouvrir la bouche, pour me caresser le pourtour des lèvres. Je devenais folle, j’attendais, offrant ma bouche grande ouverte, dans laquelle il poussa son pouce entier, afin de simuler une fellation avec sa main. Je suçais son doigt le laissant jouer de moi, me livrant à lui, soumise et offerte. Sa main gauche m’attrapa par les cheveux, et me poussa la tête vers le dossier du fauteuil, alors que la droite se posa sur mes gros seins uniquement protégés par mon soutien-gorge. Je sentais sa caresse mammaire, au travers ma dentelle raffinée, et le bout de mes gros seins durcir. Il m’attrapa avec force mes belles miches de femme mûre, et me pétrit tel un boulanger travaillant sa pâte.
Mes gros seins roulaient sous sa main, il les tirait, les malaxait, les tournait, les massait, et n’avait pas de cesse que de titiller mes tétons. Je ne résistais pas, excitée par la situation, et en manque de sexe depuis trop longtemps. Soumise, je me laissais caresser et posséder par mon amant, attendant qu’il enfourne enfin son membre au fond de ma gorge. Il ne tarda pas, et sans aucun préambule, je sentis son sexe s’introduire entre mes lèvres que j’engloutis instantanément. Il poussa sa bite au fond de ma bouche, et je pouvais sentir la frénésie de son désir frustré de tant de semaines loin de moi. Il me tenait fermement par les cheveux et se masturbait le sexe à l’aide de mes lèvres pulpeuses, grognant comme un animal affamé.
- Oui, vas-y, c’est bon ma salope, tu m'as tellement manqué, suce-moi, donne-moi tout, joue avec tes belles lèvres de grosse pipeuse. Haaaaaaaa oui quelle bonne suceuse, laisse-moi caresser tes gros nichons avant que je te baise comme une chienne.
Il était dans une position propice à la domination, gardant un contact visuel en me fixant dans les yeux, et s’était saisi de mes bras qu’ils tenaient fermement derrière ma tête afin d’accen encore plus ma soumission. Je pompais son sexe qui allait et venait entre mes lèvres, évitant tout contact de mes dents avec son membre. Le coulissement de sa bitte dans ma bouche secrétait un surplus de salive, contribuant à lubrifier et à rendre ma fellation bien baveuse. Tout en gardant mes mains serrées, il m’attrapa par les cheveux continuant à jouer avec sa bitte qui dansait entre mes lèvres comme un ballet sans fin. Il me poussa à laper son membre. J’alternais entre le plat de ma langue et la pointe qui était particulièrement efficace sur son gland. Il prit ensuite son sexe en main comme un bâton, et exerça de petites tapes avec son gland sur ma langue, avant de le pousser profondément au fond de ma gorge. Ce n’était pas la première fois que je lui faisais une gorge profonde essayant de résister au réflexe de nausée, en gardant la langue en dessous de son membre.
Il se délecta de mes lèvres pendant un long moment résistant à l’envi de me gicler au fond de la bouche, gardant son précieux liquide le plus longtemps possible. Il se releva enfin et me retourna, me positionnant en levrette sur ce fauteuil, et me tira les mains derrière le dos Apercevant les lanières en dentelles de mes gants, il les utilisa pour me ficeler solidement les poignets avant de m’appliquer une grande claque sur ma croupe offerte.
- Voilà, c’est comme ça que je t’aime ma belle, soumise docile et offerte. Tu n’en pouvais plus d’attendre ? Dis-le-moi ? Dis-moi que tu veux que je te baise maintenant...
- Oui, Thierry, prends-moi, ma croupe et à toi, je veux te sentir en moi, fourre-moi comme une oie...
- Haaaaaa ma salope, tu as bien mérité ma grosse bitte...
- Hooooooooo, Ouiiiiiiiiiii...
Il m’avait pénétré, d’un seul coup sans préliminaire, comme un animal, me possédant comme son esclave sexuelle. Son sexe s’activait en moi, alors que ses mains, accrochées à mes porte-jarretelles, me manipulaient comme un jockey grimpant et prenant sa jument rebelle. Je jouissais comme une folle, ayant attendu ce moment pendant des semaines. Une longue période d’abstinence à son sexe qui se terminait enfin sur ce fauteuil dans une position de chienne soumise, défoncée par son amant surexcité. Il me claquait mon gros cul, alternant les va-et-vient rapide et hystérique, et ne se préoccupant pas de mes cris et gémissements qui envahissaient la chambre.
- Oui, continue la salope, regarde-moi ce beau gros cul bien rouge, bouge-moi tes grosses fesses et fais-moi jouir cochonne...
- Hooooooooo, Ouiiiiiii, je suis ta cochonne vide toi sur mes fesses, vas-y mon amour...
Il continua à me démonter les fesses, comme un automate, une machine sexuelle qui profitait du cadeau qu’il venait de recevoir... Il grognait comme un animal ; annonçant la libération proche de son précieux jus, qui se répandit enfin sur mes fesses...
- Haaaaaaa, oui voilà, prends mon foutre salope, tu vas le garder toute la soirée, sur toi ma pétasse !!!!!!
On s’allongea sur le lit quelques instants pour reprendre nos esprits.

- Ma chérie, je suis tellement heureux que tu sois venue, mais tu m’as pris un peu au dépourvu, je n’ai pas eu le temps de m’organiser.
- Je sais, je voulais te faire une surprise, tu es content ?
- Oui bien sûr, mais il faut être prudent, j’ai dû inventer une histoire de dernière minute à ma femme pour ce soir...
- Ohhh, je suis désolé, je pensais te faire plaisir ?
- Mais je suis super content, je n’en pouvais plus de ne pas te voir.
- Oui, j’ai pu le constater... Qu’as-tu prévu pour ce soir ?
- J’ai réservé une table dans un restaurant à l’extérieur de la ville, on sera tranquille, et ensuite, je te raccompagnerai à l’hôtel, mais après, il faudra que je rentre.
- Oui, je comprends, mais avant fais-moi confiance, je me serais bien occupé de toi !!!!
- Quelle coquine tu es ...
On se rhabilla, et prit la voiture pour se rendre au restaurant, ou il avait réservé une table. Proche du caveau de la confrérie, il connaissait bien l’endroit, reconnu pour sa discrétion. On s’installa, profitant d’un verre de Blanc Pulligny Montrachet en apéritif. Alors que nous passions la commande, je croisais surprise le regard d’Arnaud, le beau-frère de Thierry qui venait de rentrer dans le restaurant avec son ami Cyril de l’intronisation. Il me reconnut immédiatement, et s’approcha de nous.
- Patricia !!!! Quelle belle surprise... Bonjour Thierry, ma sœur m’a dit que tu dînais avec un client, mais j’ignorais que c’était avec notre belle amie ?
- Ohhh Bonjour Arnaud, en effet ravie de vous revoir !!!
- Salut, oui, je discute les détails avec Patricia, pour qu’elle rejoigne notre confrérie ...
- On peut se joindre à vous, je serais ravi de partager avec vous mon point de vue ?
- Ohhhh, mais oui avec plaisir...
Notre soirée, était ruinée, dans l’impossibilité de refuser sans éveiller les soupçons, Thierry accepta, coincé par son entreprenant beau-frère qui s’assit à ses côté, laissant Cyril à ma gauche.
- Tiens, Thierry, on va se faire un selfie pour ma sœur ça va lui faire plaisir ...
Il prit une photo de lui et Thierry qu’il envoya à sa sœur, mettant définitivement un terme à tout espoir de finir notre soirée ensemble. Le dîner se déroula rapidement, Thierry souhaitant mettre un terme le plus rapidement à cette situation embarrassante. À la fin du repas, et après avoir payé l‘addition, Thierry se leva, prétextant de devoir me ramener à mon hôtel sur Dijon.
- Mais non ne t’embête pas, nous rentrons à Dijon avec Cyril, et toi, tu es dans le sens inverse, on va ramener Patricia, ça vous convient chère amie ?
- Heuuu, eh bien oui, si ça peut éviter un détour à Thierry...
- Super, tu vas pouvoir rejoindre ma sœur, elle va être contente de te voir rentrer plus tôt que prévu...
L’homme avait été machiavélique, et venait d’écarter Thierry, qui n’avait pas d’autres choix que de rentrer chez lui et de me laisser seule avec ces deux hommes. L’affaire fut donc entendue, et je prenais position à l’arrière du véhicule d’Arnaud, alors que les deux hommes étaient devant. Il prit la route en direction de Dijon...
- Même hôtel que la dernière fois Patricia, je suppose,
- Oui, en effet, vous avez une bonne mémoire.
- Ohhh que oui, j’avoue qu’il est difficile d’oublier notre dernière rencontre qui nous a fait beaucoup d’effet...
- Oui, je comprends, mais bon, on dira que c’était sous l’effet de l’alcool...
- Alors j’aurais dû vous faire boire un peu plus ce soir ...
- Oui, en plus, vous êtes toujours aussi élégante...
- Merci, vous êtes trop aimable.
- Que diriez-vous d’un dernier verre, je connais un café bar super sympa, cela vous tente ?
- Je suis un peu fatiguée, je préférais rentrer.
- Allons, vous n’allez pas vous coucher tout de suite, faites-nous confiance...
- Bon d’accord, mais pas trop tard...
Ils m’entraînèrent dans un bar de nuit au sud de Dijon, qui dans une atmosphère chargée d'histoire offrait une scène musicale sur laquelle se produisait un groupe local. L’ambiance était jeune, branchée et festive, et je devais être de loin la plus âgée de tous les clients, avec un look de bourgeoise qui dénotait avec le cadre. On s’installa tous les trois, à une petite table en fond de salle, face à la scène, et Arnaud commanda une bouteille de vin. Le bruit de la musique nous empêchait de converser facilement, et alors que j’étais assise entre ces deux hommes, ils se penchaient vers moi pour me parler à l’oreille, me faisant goûter le vin de leur belle région.
- Patricia, tu es très désirable... J’ai une envie folle de t’embrasser.
Liant les actes à la parole, Cyril m’embrassa dans le cou, alors que la main d’Arnaud s’était posée sur ma jupe me caressant doucement et discrètement la cuisse. J’essayais de les repousser en vain, mais ils continuèrent, à vouloir flirter avec moi, sûrement frustrés par la façon dont cela, c’était terminé la dernière fois... Je repoussais chaque tentative, mais qui n’avait pour conséquence que de réitérer leurs tentatives. Arnaud continuait à me faire boire sous prétexte de goûter et tester en vue de ma future intronisation à la confrérie. À plusieurs reprises, je me levais pour rentrer à l’hôtel, mais c’était sans compter sur mes deux amis, qui me forçaient à rester. Les caresses étaient de plus en plus prononcées, quand Arnaud profitant que mon attention était détournée par Cyril m’embrassa à pleine langue. Surprise, je n’eus pas le temps de le repousser et il me roula une pelle gourmande, alors que son ami glissait ses mains sur mon corps. Dans un ultime sursaut, je me relavais, mais une fois de plus rattrapée par le beau-frère.
- Allons, inutile de faire ta mijaurée, je sais que tu baises avec Thierry, on vous a suivi la dernière fois à l’hôtel
- Quoi ? Mais de quel droit dites-vous cela ?
- Allons, laisse-toi faire, et je te promets que non seulement, tu vas passer une bonne soirée, mais en plus sa femme n’en saura rien...
- Oui, car je pense que si elle apprend ce que tu fais avec son mec, non seulement, il va être obligé de te larguer, mais en plus, elle le dira aussi à ton mari...
- Bon, ça suffit, je rentre à mon hôtel...
- Oui bonne idée, on va te raccompagner
- Non, je prends un taxi...
- Ne discute pas la beauté de toute façon tu n’as pas le choix...
Arnaud paya les consommations, alors que Cyril m’accompagnait à la voiture. Il me poussa sur le siège arrière s’installant à mes côtés, alors qu'Arnaud démarrait et sortait du parking.
- On va se trouver un endroit tranquille, car j’aimerais bien reprendre notre discussion, là où on en était resté, Patricia, quand dis-tu ?
- Vous pensez que je vais vous laisser r de moi, je n’en ai aucune envie.
Une fois de plus, je me trouvais à la merci de maître-chanteurs, dont le seul objectif était de me posséder. Même si l’idée de faire l’amour avec eux, ou de les laisser me violer ne me déplaisait pas, j’étais extrêmement contrariée par la révélation d’Arnaud sur ma relation adultère avec son beau-frère craignant des conséquences immédiates. Je savais que Thierry ne quitterait jamais sa femme pour moi, et de plus, je ne souhaitais pas quitter mon mari non plus. Malgré la distance cette situation me convenait parfaitement, mais je craignais que cela se complique en cas de révélation et tourne au scandale. Perdue dans mes pensées, je revenais à la réalité sentant les mains de Cyril qui s’étaient saisies de mes formes pulpeuses. Assise dans ce SUV à l’arrière, j’avais les jambes croisées afin de mieux me protéger alors que mon voisin, faisait glisser ses mains sur mon corps. Arnaud conduisait tout en nous regardant dans le rétroviseur et gara la voiture à l’extrémité d’un parking désert et isolé de supermarché. Il coupa le contact se retourna et nous regarda.
- Tu as fait exprès de nous exciter la dernière fois, pour mieux faire bander ton homme, donc maintenant faut payer la facture, belle dame... Malaxe-lui ses belles miches, je veux la voir réagir à tes caresses...
- Salaud...
Cyril, plaqua sa main sur mes gros seins, alors qu’il continuait à m’embrasser dans le cou. Il me pelota mes gros seins, tandis que je conservais cette position prude et élégante, gardant mes jambes croisées, comme un ultime rempart à mes charmes secrets...
- Oui, c’est bien ça regarde là se cambrer, elle aime ça se faire peloter ses grosses mamelles cette salope... Continue, j’arrive...
Arnaud prit place à l’arrière du véhicule, me coinçant entre eux deux. Il m’attrapa par les bras, les tenant fermement et m’attira vers lui, collant mon dos à son torse, alors que Cyril me faisait face. Immobilisée, je ne pouvais que laisser l’un jouer avec mes gros seins, alors que l’autre s’amusait à m’embrasser et à me lécher le cou.
- Oui, c’est bien ça regarde là se bouger, elle aime ça se faire peloter ses grosses mamelles cette salope...
Je m’abandonnais aux caresses de ces deux brutes, sachant qu’ils allaient sûrement me prendre dans cette voiture. J’étais venue pour me donner à mon amant, et je me retrouvais dans cet espace exigu prêt à me faire violer par deux maitres-chanteurs. Je me cambrais, réagissant aux caresses, alors que leurs mains continuaient à parcourir mon corps. Arnaud m’avait saisi mes gros seins, les malaxant par-derrière, alors que les mains de Cyril remontaient sur mes cuisses pour se poser sur mon entre-jambes, protégée par ma jupe en satin. Il me frottait le vagin au travers du tissu de manière hystérique, alors qu'Arnaud, me tirant par les cheveux, m’avait penché la tête en arrière et m’embrassait goulûment. Sa langue avait plongé en moi, toujours continuant à s’occuper de mes gros seins. Je sentais Cyril, déboutonner le haut de mon chemiser, afin de faire apparaître mon magnifique soutien-gorge noire dont Arnaud s’empara à pleines mains et avec délectation. Je gémissais sous leurs baisers et caresses me courbant, sentant l’excitation d’être prise de force montait en moi. Ils étaient en train de me soumettre, et j’en oubliais mon amant, et la raison de ma présence aujourd’hui, ne réagissant qu’aux caresses et au désir qui m’habitait. Arnaud avait plaqué sa main sur ma bouche afin de me bâillonner tout en continuant à me parler à l’oreille et à malmener mon corps.
- Ça t’excite la grosse pute, avoue-le ?
- Oui, dis-nous que tu as envie qu’on te baise dans cette bagnole comme une grosse pute...
- Huummmmmm, Hummmmmm
- Tu es venue pour te faire monter par un mec de la haute comme une salope, et tu vas te faire grimper dessus par deux prolos sur un parking comme une grosse cochonne.
- Ils sont beaux tes lolos, une bonne laitière.
Arnaud avait baissé les bonnets de mon Soutien-gorge libérant mes gros seins avec lesquels ils continuaient à jouer tous les deux. Ils me tétaient les seins, les pelotaient, les giflaient, jouant avec, comme deux s gâtés et mal élevés, dont le but n’était juste que de consommer leur cadeau fièrement emballé dans un costume chic et bourgeois. Le chemisier ouvert, mes gros seins libérés, ils jouaient avec mes formes plantureuses pendant de très longues minutes. Me tenant toujours fermement, ils m’avaient soumise à leur volonté, et allaient pouvoir m’utiliser de toutes les manières possibles. J’avais capitulé et étais prête à leur livrer mon corps... Cyril me releva afin de me positionner en levrette, remontant ma longue jupe en satin dévoilant ma croupe encore rouge du traitement que m’avait fait subir Thierry plus tôt dans la soirée. Les traces de son sperme étaient toujours bien visibles sur ma culotte.
- Non mais j’y crois, elle a son gros cul recouvert du sperme de ton beauf cette pute, c’est bien ça ?
- Réponds à mon pote, tu t’es fait baiser avant le repas grosse pute ?
- Oui, il m’a pris à l’hôtel, on ne s’était pas vu depuis ….
- Tais-toi salope et avale ça.
Arnaud poussa son membre dans ma bouche alors que le sexe de Cyril m’envahissait les fesses... Il me baisa comme un fou, accroché à mon porte-jarretelles alors que la bite d’Arnaud coulissait entre mes lèvres. Je suçais le premier, laissant le second me pilonner la croupe, sentant cette jouissance monter en moi avec un premier orgasme rapide et violent. Alors que je me cambrais de plaisir, ils profitèrent pour intervertir les positions et recommencer de plus belle. J’étais leur jouet, leur objet, et ils allaient m’utiliser cela pendant une bonne partie de la nuit, jusqu’à ce qu’ils n’en puissent plus. Je sentais leurs sexes en moi me défoncer, me donner ce plaisir violent et non consentis qui me faisait jouir de manière systématique. Deux animaux en ruts se rassasiant de leur proie appétissante, qu’ils avaient traqués pendant si longtemps. Cyril me gicla dans la bouche après un dernier mouvement de va-et-vient me laissant seule avec Arnaud qui n’en avait pas terminé avec moi. Il s’assit sur la banquette et m’attira à lui toujours par-derrière continuant à me marteler le corps pendant de longues minutes. Alors que j’avais joui à multiples reprises, je sentis la fin proche quand il me bascula sur le côté, dressant son sexe auprès de mon visage pour recevoir son liquide blanchâtre. Il me gicla dessus me laissant de grandes traces sur les cheveux et aussi sur mes habits, avant de me laisser enfin me remettre de mes émotions. Assis à côté de nous, je regardais Cyril le téléphone en main qui venait de filmer toute la scène en gros plan...
- Voilà un petit cadeau pour ton amant, en souvenir.
- Maintenant, on te ramène à ton hôtel, belle dame, en espérant te revoir bientôt.
Ils me déposèrent à l’hôtel sans une parole, me laissant seule face à mon adultère et à ses conséquences. J’envoyais un SMS à Thierry qui resta sans réponse... Après une très courte nuit angoissante, emprise de panique, je me préparais le lendemain pour mon départ, essayant à nouveau de joindre Thierry, demandant à le voir avant de prendre mon train. Je reçus sa réponse que quelques minutes avant d’embarquer accompagné de la photo de Cyril, et compris que je venais de me faire larguer de la façon la plus difficile possible.
« Chère Patricia, tu dois comprendre que les circonstances ne me permettent pas de continuer, et donc souhaite mettre un terme à notre relation. J’espère que tu ne seras pas trop triste et te souhaite bonne chance. Bises Thierry »
Perdue, abandonnée par celui dont j’étais éperdument amoureuse, cet amour de jeunesse, qui venait de me larguer à nouveau, par lâcheté, je camouflais mon visage pleurant dans mon écharpe, ne sachant pas comment j’allais pouvoir supporter cette trahison. Une seule personne pouvait m’aider Jérôme mon psy et ancien amant que j’appelais pour tout lui raconter et m’aider pour rentrer chez moi et faire face à mon mari que j’avais trahi une fois de plus... Exemplaire, il appela mon mari, prétextant, une forte dépression qui s’était déclenchée lors de mon séjour, et me récupéra à la gare, me ramenant à la maison avec une forte dose d’anxiolytique...

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