Collection Escorte. Rattrapée Par Mon Passé (2/3)

Après la proposition de Madame de prendre l’avion pour Rome pour rejoindre un homme inconnu qui a payé pour avoir du plaisir avec mon corps, j’avais le choix de partir ou rester après un essai.
Moi la petite fille sage douée pour les études, risquant de tout perdre en cas d’un problème se faisant jour dans ma famille, n’ayant aucune chance de s’en sortir dans ce monde de requins, le choix est cornélien.
Si j’acceptais d'y aller, je devenais une prostituée puisque ces hommes payeraient pour avoir ma chatte à leurs dispositions, mais en plus de l’argent que Madame versera sur mon compte, mon père se verra promu grâce au soutien qu’elle a en faisant travailler ses filles et ma mère aura un contrat pour faire de la couture pour une chaîne de vêtements de haut luxe.

J’oublie les deux pièces que me donneront mon indépendance alors que si je reste à Paris, je devrais continuer à prendre le RER aux heures de pointe, risquant ainsi d’avoir des problèmes dans mes études quand les cours deviendront plus pointus.

J’ai choisi l’avion et l’homme que j’ai eu à satisfaire ce qui a fait pencher la balance du côté de Madame. Sucer, je savais déjà faire et écarter les cuisses pour que l’homme vienne expulser son sperme en moi n’a pas changé beaucoup les choses avec le moniteur de la colo en Ardèche où j’étais moi-même monitrice.
La seule différence que je ressens, c’est le jeu de la séduction inutile car l’argent fait ce lien.
Au moment où cet homme est venu en moi, dans ma tête j’ai pensé que j’avais un trou entre les jambes et que le fait qu’il vienne le combler était entièrement étranger à ma propre personne.
Pendant qu’il me pénétrait, je repassais dans ma tête le cours suivi la veille tout en poussant des petits cris comme si je prenais du plaisir dans cet acte.
Quand il a poussé de grands cris et qu’il a éjaculé, cette substance que j’avais avalée dans les toilettes, j’ai pris conscience que mon père aurait sa promotion et que j’emménagerais près de la Sorbonne.


De retour à Paris, Madame, son chauffeur et sa limousine m’attendaient à l’aéroport.

• Jennifer, je suis contente de toi, le client que tu as rencontré était un homme à moi, je voulais voir si mes fiches ne m’avaient pas trompée.
Mais un point de détail a donné l’impression à l’homme que tu aurais dû t'occuper mieux de lui afin qu’il se sente le centre du monde.
Par moments il a eu l’impression que tu comptais les mouches au plafond !
• Bien Madame, je ferai plus attention, c’était la première fois et j’avais peur que mon corps ne me trahisse.
• Laisse-toi aller, quand je rencontrais des clients, il m’arrivait de jouir contrairement aux idées qui veulent que le corps d’une pute reste insensible.
C’était valable dans le temps où les filles avaient des macs qui allaient jusqu’à les frapper pour qu’elles turbinent plus.
Avec moi tu accepteras ou tu me diras non si tu ne sens pas un client.
D'un autre côté, si un client te fait jouir et qu’il ressent que ce n’est pas du cinéma, tu en feras un toutou à ta botte voulant te faire revenir.
J’ai une fille qui part régulièrement à Rio pourtant c’est le pays des filles faciles, certes quelquefois ce sont des travestis.
Julien conduis nous chez Magalie, à partir de maintenant tu es l’une de mes filles.
• Magalie ?
• L’incognito, nous travaillons de manière incognito, hors de nos déplacements, nul ne doit savoir que nous avons une vie parallèle.

Julien nous dépose et attend Madame, elle a en main un trousseau de clefs qu’elle me remet dès que j’ai visité cette bonbonnière.
Nous redescendons, le trousseau dans ma poche pèse le poids de ce que j’ai accepté de faire.
La voiture repart et s’arrête dans une grande artère près de la place de la concorde.

• À partir de maintenant, pour aller à tes rendez-vous, tu porteras essentiellement des vêtements sortant de cette boutique.
Finis les jeans, tu les réserves pour ta famille et à la fac, afin d’éviter qu’ils aient des doutes sur ta vie nouvelle que tu viens de choisir.

Dans cette boutique Sandra la patronne te conseillera sur les tendances, c’est moi qui payerai les factures, bien sûr retenue sur tes prestations.
Plus tu travailleras, plus tu les rentabiliseras.
Un seul point pour le vestimentaire, tiens à jour les tenues que tu portes avec chaque client, jamais deux fois la même avec le même homme, ils pourraient croire que tu n’as pas les moyens par manque de clients.

J’emménage, mes parents sont contents que je m’en sorte, bien sûr hors de question de leur dire que mon passeport va avoir de nombreux tampons chaque fois que je sortirai de l'union européenne.
Mon père a refusé sa promotion, ne voulant pas apparaître comme traître à ses valeurs, s’il savait où je viens de mettre les miennes, il mourrait sur-le-champ, aussi je m’invente un éditeur qui me confie des livres de nombreux pays que je traduis tellement tard surtout les week-ends m’empêchant d’aller les voir dans l’appartement où ils sont toujours logés, refusant que je les aide.
Grâce à lui, je peux leur faire croire que ma vie se partage entre ma chambre où je fais mes traductions et la fac où mes études se passent fort bien ce qui me permet d’avoir assez de revenus pour vivre seule à Paris sans leur aide.
Mes revenus me sont fournis par Madame, elle vient de me faire parvenir ma première prestation, 1 200 €.
La première, mais loin de la dernière, tout au long de mes études, je vais voir des clients et des pays, comme par exemple, le Brésil, les États-Unis dans diverses villes dont New York, Houston, Miami une fois par an, j’y ai un client qui ne jure que par moi.
Il adore me promener à son bras disant aux personnes qu’il croise et qui le connaissent qu’il a la chance d’être aimé par une Parisienne venant le voir spécialement de cette ville lumière.
Avec ses bottes de cowboy et son chapeau qu’il garde même quand il me baise, dans tout autre pays du monde, il serait ridicule, mais dans ce pays ça semble naturel.

Quand je rentre à Paris, Madame crédite mon compte d’un minimum de 40 000 €, si je calcule les frais engagés, c’est au moins 50 000 € que ce gros porc doit lui donner.
Question sexe, je suis l’une des meilleures pour faire éjaculer mes clients et mettre en exergue tous les travers qu’ils peuvent avoir. Sur les cinq à six fois par mois que je vais à un rendez-vous, j’en rencontre un, dont mon taré que j’adore.
Quand il arrive, je suis en bottes de cuir, gants montant jusqu’au poignet en même matière, ainsi qu’une guêpière montrant ma chatte que Madame m’a fait épiler au laser.
Quand il arrive, dès qu’il a franchi la porte, je l’att par sa cravate, je le tire vers moi, je l’insulte, lui reprochant de n'avoir pas été sage, je le frappe avec ma main libre avant d’ouvrir sa braguette et sortir sa verge que je masturbe jusqu’à ce qu’il décharge sur moi.
Je l’insulte une nouvelle fois, car il n’a pas su se retenir, je lâche la cravate et lui impose de partir n’ayant pas été gentil.
Je vais à Turin pour cela, ça fait onze mois que Madame me donne 2 000 € pour ce moment hors du temps.
Julien le chauffeur de Madame, un jour alors que je travaillais mes examens, a débarqué pour m’apporter mon passeport après avoir été chercher un visa pour la Russie où je devais retrouver un nouveau riche dans le pétrole.
Nous avons bu un cocktail et il m’a couché sur mon canapé.
Pour la première fois depuis le lycée, je me laisse faire sans toucher le moindre centime d’euro.
Depuis ce premier soir, nous baisons régulièrement, à une allusion qu’elle a faite, je sais que Madame sait ce que nous faisons, mais comme je repars sans rechigner dans l’un des palaces parisiens où un émir lui aussi ne veut que moi, elle se tait.
Un soir, à quelques jours de mon examen de fin d’étude me permettant d’accéder au monde du travail que je qualifierais de normal si tant et que vendre son cul pour de l’argent ne l’est pas, je suis invitée à une soirée de potaches chez un garçon dont la famille a du bien.

Aucune des personnes présentes ne sachant le travail parallèle que je pratique, je m’y rends.
Je m’aperçois qu’un camarade de cours qui se tenait à l’autre bout de l’amphithéâtre vient dialoguer avec moi.
Au début, de ma part, c’est comme un jeu de lui faire croire que je suis une petite fille sage et que j’aspire à devenir la bonne petite bourgeoise qu’il semble vouloir trouver.
Je le manipule toute la soirée le faisant baver d’envie, ce grand dadais surement puceau ne me lâche pas, je suis un peu frustrée car mon téléphone vibre plusieurs fois.
Je me rends aux toilettes pour m’apercevoir que Julien m’envoie des messages, qu’il est libre et qu’il aimerait monter à mon appartement.

Quand j’ai commencé ma relation de travail avec Madame, le mensonge m’était inconnu.
Depuis, pour garder mon secret et continuer à engranger des euros, je me suis bien rattrapée. Encore là je lui envoie un SMS.

« Désolé, je passe la soirée chez mes parents. »

Pour faire court, Christophe, ce jeune homme dans les jours qui suivent, s’accroche à moi et va même jusqu’à s’agenouiller pour me présenter la bague que sa grand-mère lui a donnée pour sa future épouse.
Le SMS que je finis par lui envoyer est définitif.

« Julien, j’ai rencontré l’homme de ma vie, tout est terminé entre nous. »

Dans le même temps, je téléphone à Madame qui me rencontre dans le salon de thé où nous avions été et d’où je suis sortie pute dans ma tête.

• Madame, vous m’aviez dit que je pouvais sur une simple demande de ma part me retirer de votre bisness, j’ai trouvé un fils de bonne famille qui souhaite m’épouser et je lui ai dit oui.
Voici les clefs de votre appartement, j’ai enlevé mes affaires, vous pourrez le prêter à ma remplaçante.
• Un conseil méfie toi du père, il est parti de rien, comme nous, pour avoir sa propre affaire de courtier, il brasse des millions à travers le monde. Ton futur mari va travailler avec lui quand dans quelques jours vous aurez vos diplômes.
• Je sais, il me l’a dit, nous ne nous cachons rien.
• Même tes petits voyages ou petites soirées dans les palaces de la capitale ?
• Madame, vous avez dit que nous venons du même monde, un secret est un secret.
• Tu as raison Jennifer, adieu à Magalie, elle vient de se noyer dans cette tasse de thé, avant je voulais te dire que ton compte avec moi a été soldé, je me suis aperçue qu’il y avait une erreur en ta faveur de plus de 100 000 €. Disons que cette somme est l’aboutissement de notre collaboration et mon cadeau de mariage.

Grande dame, elle se lève, pour la première fois m’embrasse et se retire sans un mot de plus ayant simplement ramassé le trousseau de clefs que j’avais posé sur la table.

• Jennifer, vous dansez divinement, merci de m’accorder cette danse le jour de votre mariage, je ne vous remercierais jamais assez d’avoir accepté d’épouser mon fils, vu votre beauté, si vous l’aviez voulu, vous auriez pu trouver un homme qui aurait su vous faire honneur.

Je sens que nous allons faire de très grandes choses ensemble…

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