Ma Nuit Avec Abdel

Ce n’est un secret pour personne, les arabes sont souvent des mecs très chauds et on peut vraiment passer des bons moments sexuels avec eux.

Comme j’en ai l’habitude, je lisais les petites annonces de Quartier-Rouge et une de celles-ci a particulièrement attiré mon attention. Elle disait « Rebeu actif dominant de 28 ans cherche bon vide-couilles à utiliser toute la nuit ». Rien qu’à réécrire ces mots, je sens encore des vibrations de désir me parcourir le corps. Je m’imaginais lui pomper sa queue circoncise encore et encore et le sentir bouillonner de désir pour que je continue.

Qui ne risque rien n’a rien, je lui envoie un message en lui proposant de venir passer la nuit à la maison. J’ai été surpris de recevoir assez rapidement une réponse positive sans trop de blabla interminable. Il m’a quand même transmis une photo de sa queue et j’en salivais d’envie. On s’est donné rendez-vous à la gare le jour même vers 18h.

C’est très rare quand les choses se passent aussi facilement et j’ai tout de suite pensé qu’il ne viendrait pas au rendez-vous. Pourtant, un peu avant 18h mon téléphone s’est mis à sonner. J’ai décroché, c’était bel et bien Abdel qui me disait qu’il arrivait bientôt à destination et que je pouvais démarrer pour aller le chercher. Le risque que ça soit une arnaque était toujours présent dans mon esprit mais j’ai pris la route pour rejoindre la gare.

Sur place je ne savais même pas qui chercher étant donné que je n’avais pas eu de photo de lui mais telle une évidence, mon regard a croisé le sien sur le quai d’attente et il s’est avancé vers moi. Sur le moment je n’étais pas rassuré, le mec était assez brut dans sa manière de parler et de se comporter et j’ai eu tout à coup peur de faire une bêtise. N’écoutant que ma libido, je me suis dit que je ne pouvais plus reculer et on s’est mis en route vers ma maison.

Sur le chemin, on discutait de banalités pendant que mon cœur battait à 100 à l’heure à cause du stress.

Arrivés chez moi, il m’a rapidement demandé un endroit pour fumer un joint, m’affirmant que ça le rendait très chaud sexuellement. Je l’ai conduit dans mon garage pour éviter les odeurs dans le salon. Une fois son joint terminé, on est revenu à l’intérieur. Il m’a demandé de lui faire visiter. On a parcouru les pièces jusqu’à l’étage ou je lui ai montré ma chambre.

Je me suis demandé si son intention était d’arriver là pour débuter la nuit de plaisir ou pas et comme il ne semblait pas se montrer plus explicite, j’ai mis ma main à son paquet pour le malaxer un peu. Il m’a regardé en me disant que je semblais bien pressé. J’ai retiré ma main croyant avoir fait un impair. Et c’est là qu’il m’a ordonné de me mettre à genoux et de le sucer comme une petite cochonne.

Je ne me suis pas fait prier et ai déballé rapidement son paquet en semi-érection et l’ai gobé tout aussi vite. Je salivais difficilement au début et la succion était rugueuse. Il a sorti sa queue, s’est craché dans la main et s’est branlé un peu pour humidifier sa queue. Il a ensuite agrippé mes cheveux pour retrouver le chemin de sa queue. Il a gardé ma tête en main pour imprimer le rythme et me forcer à prendre sa queue bien profondément dans la gorge. J’étouffais facilement à chaque gorge profonde, par contre ma bouche salivait à souhait désormais. On ne peut nier que c’était un mec dominant, je me sentais à sa merci et encaissais ses coups de bite bien sagement, j’avais les yeux au bord des larmes mais je prenais du plaisir à le satisfaire de la sorte. Il a commencé à accélérer le rythme en me laissant parfois quelques secondes pour respirer. Quand il a senti la sauce monter, il s’est retiré, s’est branlé en restant au bord de ma bouche. Au moment de jouir, il m’a dit « ouvre grand ta bouche » et j’ai senti quelques jets atteindre le fond de ma gorge. Il a terminé d’un ton sec par un « avale ». Je me suis exécuté conscient des risques que j’étais en train de prendre.

J’ai repris mes esprits et on est redescendu dans le salon.
On a continué à discuter. C’était étrange comme situation parce que je ne disais quasiment rien et je l’écoutais bravement raconter tout ce qui lui passait par la tête. Il m’a ensuite dit qu’il avait faim et je me suis donc rendu à la cuisine pour lui préparer quelque chose. Il est allé dans le garage pour se fumer un autre joint. Lorsqu’il est revenu, il m’a rejoint dans la cuisine très étroite ou on sait à peine passer à deux en même temps. Il s’est placé juste derrière moi sur le bord de l’évier et m’a dit que j’avais apparemment un bon cul. J’ai souri bêtement et ai continué à cuire le repas. Il a défait ma ceinture, m’a fait tomber le pantalon puis le boxer et a commencé à me doigter l’anus. Je ne pouvais pas nier mon plaisir tentant de rester concentré sur ma tâche. Je me suis tout à coup retourné et il était à nouveau la queue à l’air en train de se branler de l’autre main. Lui tournant le dos, je ne pouvais que deviner ses intentions et de fait, dans les secondes qui ont suivi, il me mettait la queue dans le cul. Je suis assez serré et l’absence de lubrifiant m’a fait mal, il l’a compris et a fait des va-et-vient assez lents au départ.

Voyant que je peinais à prendre du plaisir il m’a envoyé chercher du lubrifiant. Je suis descendu avec le produit en m’étant déjà tartinée la rondelle sur le chemin. Il m’attendait dans la salle à manger, il avait poussé les assiettes que j’avais préparées pour le repas. Une fois près de lui, il m’a dit de me pencher contre la table, il s’est enduit la queue de lubrifiant et m’a remis sa queue à l’intérieur. Cette fois ça glissait bien et il pouvait imprimer le rythme qu’il voulait à la pénétration. Il s’en donnait à cœur joie ses mains agrippées à mes épaules je subissais ses assauts émettant quelques gémissements de plaisir. Je sentais sa queue me limer encore et encore sans jamais faiblir. Je ne m’étais jamais fait traiter de la sorte mais je dois reconnaître que ça ne me déplaisait pas. Il m’a ensuite mis quelques fessées qui m’ont fait gémir d’autant plus fort.
J’ai entendu son souffle s’accélérer, il s’est retiré, m’a tiré vers l’arrière par les épaules puis poussé vers le bas pour que je m’agenouille et cette fois, il m’a ordonné de fermer ma bouche. J’ai reçu son jus en pleine face, je sentais qu’il y en avait de mon front à mon menton. Il m’a regardé, fier de lui, et m’a demandé de ne pas me frotter le visage. Je me suis relevé, ai obéi et rejoint la cuisine pour terminer ce que je faisais.

J’ai servi le repas à table. Il attendait là sans rien dire comme si de rien n’était. Entre les moments sexuels, il se comportait vraiment différemment, toujours assez dominant dans le comportement mais jamais quelqu’un n’aurait pu deviner ce qui se passait cinq minutes avant. On s’est mis à manger, je sentais son sperme sécher petit à petit. Il a regardé mon visage et a trouvé une giclée encore fraîche, l’a frottée sur mon visage pour la redéposer sur la fourchette que j’allais mettre en bouche en s’esclaffant « Mange c’est plein de vitamines ».

Le repas fini il m’a laissé tranquille un moment, rechargeant sans doute ses batteries lui aussi. Je l’écoutais dans ses monologues et les rares fois où il me demandait mon avis sur ce qu’il disait, il concluait toujours en pensant que c’était lui qui avait raison. Dans la soirée, il s’est levé pour aller fumer un autre joint. Je l’ai accompagné mais malgré sa nouvelle invitation à fumer avec lui, j’ai préféré attendre qu’il finisse.

On est retourné au salon dans le divan, le pc portable sur les genoux, il faisait défiler des morceaux de musiques sur Youtube me demandant si je connaissais tel ou tel artiste de rap. La fatigue commençait à me gagner et mon corps basculait peu à peu vers lui. Il l’a constaté et m’a demandé quelles vidéos pornos j’aimais. Je me suis donc connecté à Youporn pour lui en montrer une qui ressemblait à ce que j’avais déjà vécu plus tôt avec lui. Il a pris ma tête et m’a fait basculer couché à hauteur de sa ceinture en regardant l’écran, sa queue à hauteur de mon nez sous son pantalon.


Il n’a pas fallu longtemps avant qu’il ne se touche l’entre-jambes sous mes yeux. Il a ensuite ouvert sa tirette et sorti sa queue déjà bien dressée en commençant à la branler sous mes yeux. Voyant que je ne bougeais pas il me lança un « Beh alors qu’est-ce que tu attends ? ». Je ne me sentais tout à coup plus si fatigué et me suis mis à le pomper avec envie. Je sentais bien que je commençais à bien connaître son engin lui décrochant des gémissements plus marqués. La seule chose avec laquelle j’avais encore du mal était la gorge profonde. Je pense que jamais personne n’avait cherché à me la mettre si profondément.

Il a décidé de se lever et de m’emmener dans la chambre. Il m’a fait me coucher sur le dos, la tête tombante en arrière dans le vide. J’ai ouvert la bouche et il me l’a mise directement bien profondément. La position était idéale et j’entendais à ses grognements qu’il prenait beaucoup de plaisir à me pénétrer la bouche bien profondément. Une fois encore, je n’avais plus qu’à subir ses coups de rein pendant qu’il se faisait du bien. Il m’a ensuite ordonné de me coucher plus au centre du lit sur mon côté. Il s’est approché de moi, a mis ses mains sur ma tête en appuyant fortement pour l’immobiliser et il s’est remis à me pilonner la bouche. J’étais là comme un poisson la bouche béante à tenter de balbutier quelques mots mais rien n’y faisait, je n’étais à ce moment là que son vide-couilles. Apparemment il y prenait un plaisir de dingue car plus les secondes passaient plus il accélérait ses coups de rein. J’étais même heureux d’entendre sa respiration s’accélérer, signe que sa jouissance était proche. Et en effet, j’ai eu à nouveau droit à une bonne rasade de sperme au fond de ma bouche pendant qu’il donnait ses derniers coups de bite.

Revenu dans son état « normal » il m’a dit « bon maintenant on dort mais déshabille toi pour rester le cul à l’air au cas où j’aurais envie cette nuit ». Ce mec était une machine sexuelle. On peut dire qu’il respectait les promesses de son annonce au moins. Il s’est rapidement endormi pendant que mon esprit pensait plutôt à me vider les burnes à mon tour. Discrètement, je me suis donc branlé dans le lit. Il ne m’a pas fallu longtemps avant de décharger une dose de foutre directement dans mes draps. J’étais couvert de mon propre sperme et devait désormais m’endormir avec ce liquide devenu froid qui me collait à la peau.

La nuit fût finalement relativement calme, ce qui n’était pas pour me déplaire car je devais me lever tôt pour rejoindre des amis à une activité sportive. Lorsque le réveil a sonné, j’ai tenté de réveiller Abdel en le remuant un peu mais il dormait profondément. Aux grands maux les grands remèdes, j’ai replié la couette découvrant son boxer bien tendu par son érection matinale et ai entrepris de le réveiller en le suçant. Ce traitement a été assez efficace, il a ouvert les yeux, a souri et m’a encouragé à continuer. Cette fois c’était moi aux commandes, il se laissait faire sans bouger. Je l’ai sucé, léché, caressé en parcourant sa belle queue qui allait me manquer. Il a dirigé sa main vers mon cul et m’a doigté gentiment ce qui a décuplé mon envie de le pomper bien à fond. Je sentais que ses ardeurs se réveillaient peu à peu mais je n’avais pas le temps de le laisser s’amuser dans mon cul et ai donc accéléré le rythme pour le faire jouir rapidement. Sa dominance a ensuite repris le dessus, il s’est mis à genoux au-dessus de mon torse pour me donner quelques derniers coups de bite. Il s’est terminé en se branlant juste au-dessus de ma bouche. Je devinais aisément que sa semence avait pour destination mon visage et j’ai été une fois de plus inondé par quelques saccades de sperme sur ma face. Il m’a regardé dans les yeux en clamant que j’irais dans cet état-là rejoindre mes amis.

On s’est habillé et n’ayant plus le temps de déjeuner, on a repris la route pour le déposer à la gare. Pour me dire au revoir j’ai eu droit à « T’as été un bon vide-couilles, je reviendrai ! ».

Pressé par le temps je l’ai salué et ai foncé rejoindre mes amis. J’en avais oublié que ma face était certainement pleine de sperme séché. Sur place, un de mes amis m’a fait un clin d’œil en me conseillant de me rafraîchir le visage avant qu’il ne fasse trop chaud. C’était clair, il avait capté !

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