Les Aventures De Dje 57

LES AVENTURES DE DJE 57
EP 57 : DEUX TROIS PHOTOS ET PUIS S'EN VA


Je n'étais pas vraiment en forme, c'est le moins qu'on puisse dire aussi je traînait dans mon lit, je sautais ma séance de sport et ne me levais pas avant dix heures. Mon frère était en forme, lui ! Il avait fait son footing comme tous les matins, il s'était fait tout beau, Bob était là aussi tranquillement assis et me saluait en me voyant, enfin bref … Luc était prêt à partir et ne cachait pas son impatience …

Moi : Reste calme Luc, les photos c'est pour cet après-midi …
Luc : Après, ce soir je vous invite tous les deux au restaurant ! … Tu pourras me prêter ta carte de crédit Jérémy ? Si teu plé !!
Moi : Bourrique !
Luc : Tu as entendu Bob ! Il a dit oui !

A plusieurs reprises il se changeait, il essayait un pantalon puis un autre, une chemise … Une veste … Charles, notre majordome arrivait, Luc lui sautait presque dessus …

Luc : Charles mais tu étais ou ? J'ai besoin de toi. Je ne sais pas quoi mettre. Toi qui a un goût sûr. Dis moi ce que tu en penses … Si je mets cette chemise ou celle là …

A nouveau Luc se retrouvais torse nue avec une chemise dans chaque main.

Luc : Celle là, elle est bien ? Non ? Et celle là, elle est bien aussi ? Dis ?
Charles : Oh oui Luc, tout à fait !

Luc repartait dans sa chambre pour se changer encore puis revenait …

Charles : Oh oui Luc ! Tu est très bien ! Ça te va très bien ! …

Bob et moi on regardait ça, Luc était le seul à ne pas se rendre compte que Charles ne s'occupait pas du tout de ce qu'il faisait ou disait et se contentait de ne pas le contredire … Et ça durait comme ça jusqu'à l'heure du repas … Nous ne serions pas nombreux, Antoine était parti le matin même …

Charles : Bob reste pour le dîner ?
Luc : Il ne faudrait pas que je boudine, je pense que je ne vais pas trop manger moi !
Charles : Oh oui Luc tu as bien raison ! …

Finalement Luc en reprenait deux fois et ne se sentais pas pour autant boudiné.



Luc : J'espère que ça va aller ! Que je serais bien !
Charles : ( en levant les yeux au ciel ) Voyons Luc, tout le monde sais que tu es très mignon en photo et pas seulement en photo … Même qu'il y a des jours ou on se contenterait d'une photo !

Mignon en photo, c'est ce qu'il avait envie d'entendre et il se calmait un peu. Bob rigolait. A l'heure prévue on partait tous les trois pour le rendez-vous. Ça se passait dans une salle de gym du coin, un endroit qu'on connaissait, c'était très bien équipé, il y avait un parc devant … On nous attendait …

Le directeur de la salle, Georges, un homme jeune de moins de tente ans venait nous saluer. On le connaissait très bien, il nous présentait le photographe Alain qui suivait, il y avait aussi son assistant Xavier, un très beau garçon à l'allure sportive dans mes âges. On commençait la séance photo sans attendre.

Luc posait devant la piscine en maillot de bain !

Alain : Mais on m'avait dit que mon modèle portait un dispositif de chasteté ? Ce n'est pas le cas … !

On pouffait de rire .

Moi : Si ! C'est le cas ! Mais les nouveaux dispositifs sont très discrets, on les a étudié pour cela.
Luc : C'est lui et Antoine qui les ont mis au point !
Alain : J'ai du mal à y croire !

Sans prévenir Luc baissait son maillot de bain et le photographe pouvait constater par lui-même …

Alain : Alors là je suis impressionné, je connaissais bien les anciens modèles, ils étaient discrets mais pas à ce point !

La séance photo reprenait, on essayait un maillot de bain suffisamment transparent pour qu'on puisse deviner, pas voir mais juste deviner le dispositif de chasteté … Après les maillots de bains, Luc enfilait tout un tas de tenue, survêtements, shorts, chaussures ...On lui demandait de prendre des pauses, étirements, sauter sur place, ou de prendre place sur une des machines de la salle de muscu … On arrivait vite à la fin de l'apprêt-midi, Luc était aux anges, il faisait sa star, ne manquait pas d'amuser tout le monde, tout le monde avait le sourire, pour finir Xavier rangeait le matériel et l'emmenait dans la voiture.
Nous restions encore quelques minutes à discuter avec Alain pendant que Luc remettait son costume. Xavier revenait.

Alain : Bon Et bien Xavier je te libère pour la soirée, on se retrouve demain au studio. N'oublie pas on a un reportage demain, ça devrait nous occuper toute la journée.

Il nous saluait, et nous laissait en rajoutant … : '' C'était une bonne séance je pense que le client sera très content ! Allez les jeunes, Bonne fin de soirée !

Luc : Et toi Xavier tu fais quoi ?
Xavier : Moi … Et bien je pense que je vais aller boire un verre et rentrer chez moi.
Luc : Viens avec nous si tu veux, mon frère t'invite au restaurant.

Bob pouffait de rire, Xavier me regardait sans comprendre. Je haussais les épaules …

Moi : S'il le dit !
Xavier : C'est vrai, c'est pas des conneries … Tu m'invites ?
Moi : J'ai l'impression que Luc vient de t'inviter, et il y a des jours ou il est inutile de le contrarier …
Bob : Nous on a l'habitude, et je confirme, il y a des jours comme aujourd'hui ou il ne faut pas le contrarier ! Ça ne marche pas et ça sert à rien !

On arrivait finalement au restaurant. Mon petit restau préféré, Luis nous recevait avec un grand sourire …

Luis : Mais c'est un plaisir de te revoir Djé, ça faisait un moment qu'on ne t'avais pas vu dans le coin ! Tu vas bien ?

Il nous plaçait, toujours une très bonne table, et prenait la commande.

On faisait connaissance. Xavier était l'assistant du photographe, il terminait ses étude de photographie.

Moi : Et tu espères faire quoi ensuite ?
Xavier : Voyager et photographier le monde …
Luc : Le monde … Les gens ou les paysages ?
Xavier : Les deux ! Le visage est le paysage de l'âme et le paysage n'est ce pas le visage de la terre …
Luc : C'est beau ce que tu dis là !

Nous avions un poète avec nous, et comme il était tôt, c'est tout naturellement que nous l'invitions a venir boire une dernier verre à la maison.
La discussion continuait à la maison, on débouchait une bouteille de champagne. Bob rentrait tôt, ses adieux avec Luc étaient déchirants, Luc en rajoutait ( … comme d'habitude … ) mais Bob n'était pas, lui, comme d'habitude … Il était sous clé et il savait que c'était pour deux semaines. Deux longues semaines, un sacrifice qu'il accordait à Luc, un entraînement pour l'année à venir et même les années à venir. Ses études ne dureraient pas qu'un an …

Xavier et moi restions seuls dans le salon à terminer la bouteille de champagne. On parlait de choses et d'autres, de ses projets de voyages, de mes études, de ses rêves, de mes projets … On finissait bien sûr par parler de mon … Truc !

Xavier : J'en ai jamais vu !
Moi : Même pas en photo ?
Xav : En photo, oui, bien sûr mais, je voulais dire … Porté … Sur quelqu'un ! Enfin sur ton frère tout à l'heure … C'était la première fois que je voyais quelqu'un en porter un … C'est beau je trouve !

Je me levais et laissais tomber mon pantalon, il regardait ça en détail, il approchait une main …

Xav : Je peux ?
Moi : Oui vas-y, tu peux toucher !

Je remarquais comme une réaction entre ses cuisses, une bosse qui … Grossissait …

Moi : Fais voir … toi !
Xav : Moi mais je ne …
Moi : Fais voir quand même !

Il hésitait, puis le levait et baissait son pantalon, je ne loupais rien, il était bien foutu le gars, musclé, une musculature fine et ferme, une bite de taille normale, bonne moyenne sans plus mais bien proportionnée et je savais qu'elle pourrait rentrer sans préliminaire et je savais que ce serait très agréable. Déjà j'en redemandais ! Je tendais la main ...

Moi : Je peux ?
Xav : Vas-y.

Je me penchais vers lui et commençais à lui caresser la queue. Il s'asseyait confortablement sur le fauteuil, il écartait les cuisses et se laissait retomber bien à son aise. Il bandait ferme, je prenais sa bite à pleine main et le masturbais doucement, à chaque mouvement je le décalottais.
Il me laissait faire, il me regardait sans rien dire, il me faisait un large sourire. Je m’accroupissais devant lui entre ses jambes et commençais à lui sucer la queue. La mienne protestait et se contractait pour tenter de se libérer, de faire éclater la cage. C'était une tentative sans espoir, pathétique, je le savais mais ma queue elle ne voulait pas, ne voulait plus le savoir.

Avec beaucoup de maîtrise j'avalais rapidement sa queue sur toute sa longueur, quand je relevais la tête j'en profitais pour lui caresser la bite en insistant sur le gland, encore un coup de langue et je recommençais. Xavier gémissait de plaisir et se contractait en sursautant, je bavais de désir et je remettais ça. Je lui caressais le torse, il avait une peau douce, des muscles fermes, et il frémissait d'une manière qui m'attendrissait. Il ne devait pas être habitué à ce genre de situation !

Je l'entendais respirer plus fort, son souffle était plus saccadé. Quand je relevais la tête, je voyais son visage , il faisait la grimace de plaisir, il avait la bouche ouverte et semblait essoufflé, il transpirait. D'une main il me caressait les cheveux … Je recommençais, à nouveau j'avalais sa bite, à nouveau je le masturbais et à nouveau j'insistais sur son gland … Il poussait maintenant des petit gémissements aigus qui me faisaient penser à une plainte et en même temps le souffle lui manquait, il coupait alors sa respiration. Ma cage était trop petite, pas de douleur mais un impression de pression intense, anormale, j'avais vraiment l'impression d'avoir un problème de taille … Mais pourquoi de plus en plus ma cage me semble trop petite ?

Je continuait à sucer et mon cul se contractait et détendait par intermittence, c'était un appel, c'était une demande, presque une supplique. Mon cul implorait, mon cul demandait, il criait pitié, il voulait une bite … Je suçais comme un fou, Xavier appuyait sur ma tête et je ne contrôlais plus rien, c'est lui qui dirigeait le mouvement, il appuyait sur ma tête en relevant le bassin.

Il avait commencé avec des mouvements lents et amples, il avait continué avec des mouvement rapide et courts, maintenant ses mouvements étaient rapides, vifs et amples. Quand sa queue se retirait complètement de ma bouche, il me laissait reprendre mon souffle puis il reprenait. En un mouvement sa queue rentrait jusqu'à la garde, il appuyait bien sur ma tête et me la maintenait ainsi de plus en plus longtemps. Il tremblait, je le sentais se raidir, se contracter. Je sentais ses muscles se bander, je sentais ma queue qui essayait de bander elle aussi. La froideur du métal l'en empêchait. Je haïssais ce dispositif. Si j'avais eu les outils sous la main c'est sans hésitation que je l'aurais retirer, ce soir là je l'aurais découpé en morceau, je l'aurais réduit en limaille.

Ce soir là, j'allais me prendre une bite dans le cul, je l'avais décidé. Ça serait bon, ça sera bon. Il avait la forme et je ne pouvait plus m'arrêter, je le suçais comme un malade, je le branlais comme un fou, d'un mouvement rapide, d'une caresse douce, d'un mouvement lent, d'une caresse ferme … Il me caressait les cheveux, il me tenait la tête, il relevait le bassin, il éjaculait dans ma bouche. Plusieurs giclées coulaient dans ma gorge, j'en dégustais le goût, je ne pouvais pas m'arrêter je continuais à le sucer, à le caresser. Je sentais tous ses muscles se contracter, il refermait les cuisses et tentait de se retirer …

Ses mains n'appuyaient plus sur ma tête, il essayait de me retenir, il débandait, je me calmais lentement, je reprenais mon souffle, je le regardais … Il faisait une étrange grimace, soufflait fortement avec la bouche …

Xavier : Arrête ! C'est bon ! Ne fais plus rien !

…

Xavier : Ouhaaa ! C'était quelque chose !

Il avait complètement débandé.

Xavier : Pour moi c'est bon ! Là je peux plus ! C'est toujours comme ça avec toi ? Bein dis donc ! Tes copains ils ne doivent pas s'ennuyer !

Je le regardais incrédule, je l'avais épuisé comme il fallait et ce soir, ce soir encore je ne me prendrais pas sa bite dans le cul ! Ce soir encore … Trois mois ! Trois mois et ce soir encore je n'y aurais pas droit ! Mais il faut faire quoi dans ce bled pour se faire enculer ?

Xavier se relevait, il reprenait son souffle. Il remontait son pantalon.

Xavier : Il faut que je rentre, on se revoit quand tu veux !

Il me faisait l'accolade, me donnait un baiser et me laissait .

Je me retrouvais seul, frustré. Toujours frustré, ça faisait des semaines que ça durait, et ça allait durer combien de temps encore ? Je ne voulais pas jouer avec mes godes, ce que je voulais c'étaient des étreintes folles, je voulais une grosse bite dans mon cul, je voulais sentir ma rondelle se distendre, je voulais sentir ma prostate se faire écraser, je voulais sentir ma bite éclater sa cage et cracher son jus, je voulais …

J'étais épuisé, j'étais en sueur, je tremblais, je frissonnais, j'avais chaud, je me sentais mal, j'avais envie d'avoir mal au cul … Je me laissais tomber mollement sur le canapé et je m'endormais, encore une nuit mouvementée, sommeil troublé, je me réveillais avec la sensation que ma bite était écrasée dans un étau, c'était … Je ne sais pas mais c'était pas douloureux !

Luc me retrouvait allongé sur le dos dans le canapé, je dormais encore quand il se levait, je ne sais pas pourquoi, ce matin là il ne me réveillait pas en hurlant comme il aime le faire, il respectait la fin de ma nuit et c'est l'odeur du café qui me réveillait.

Luc : Ça c'est passé comment hier soir ?
Moi : Booo !
Luc : J'ai eu une bonne idée de l'inviter ? Non ?
Moi : Boo !

Luc rigolait à voir la tête que je faisais, j'avalais un café avant de passer sous la douche et je revenais plus présentable, toujours à poil mais plus présentable. Je prenais alors le temps d'un petit déjeuner plus conséquent. Je me sentais mieux, toujours en manque, mais je me sentais mieux !

On préparait nos bagages et on se mettait en route.

Luc : C'est nos parents qui vont être surpris de nous voir arriver dans une aussi belle voiture !
Moi : Les voisins aussi.
Luc : Ils vont être verts !

On roulait bien pendant toute la matinée, on faisait une pause restaurant vers midi, Luc était calme pour une fois. Il devait penser à tout ce qui avait changé dans sa vie depuis qu'il était venu s'installer avec moi.

Dans la galerie marchande, on percevait de légers changements … Une pub pour la PK.C, c'était la première fois que j'en voyais une. En fait c'était pas vraiment une pub, c'était plus un panneau indicatif qu'un vrai pub. Le panneau ne se voulait pas trop discret, surtout pas tape à l’œil, mais visible tout de même, c'était subtil, il indiquait une direction, la direction d'une porte elle était discrète sur laquelle était marqué … '' Purity Keeper Companie … Entrée libre … Entrez sans frapper … '' !

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!