Deux Couguars S'Occupent Du Jeune Mâle Dominant. 2
Deux couguars pour un jeune mâle.
Je me glisse entre ses jambes et engloutis à mon tour les deux couilles dodues. A nous deux, nous faisons disparaître en totalité son service trois pièces. Il faut quil ait confiance car en deux coups de dents, on pourrait le castrer et lémasculer.
Je repousse Christine et délaisse ses ufs, remontant le long du mât pour goûter à mon tour à sa formidable poutre mexclamant :
- Nom de Dieu, mes doigts nen font pas le tour !
Suite.
Je gobe son gland et quelques centimètres supplémentaires mais ne peux aller plus loin.
Je débute une masturbation vigoureuse en même temps. Mon coup de poignet est de plus en plus rapide.
Les gémissements du mâle se muent en râles puis en grognements de plaisir. Je lui masse les boules pour faire encore activer sa sève qui doit commencer à engorger son mât.
Christine cest redressée et est debout derrière moi, ses cuisses appuyant sur mon dos.
Ses lèvres pulpeuses se rapprochent de celles de Claude. Rapidement, les langues échangent leur salive. Des gémissements de satisfaction sortent de la gorge de Christine car la bouche de Claude est descendue sur son sein droit et aspire le tétin pendant quune main pétrit avec vigueur le sein orphelin.
Aux soubresauts annonciateurs de son éjaculation, je libère sa lance de ma bouche et astique avec plus de vigueur sa verge des deux mains.
Dans un râle de lion dominant, il éjacule enfin. Je ferme les yeux et ouvre la bouche pour tenter davaler tout le précieux liquide mais ne sent rien sur moi.
Je rouvre les yeux et vois des jets monstrueux sortir du méat les uns après les autres. La quantité de crème blanche est dantesque et quand la pression diminue enfin, mes cheveux, mon visage et enfin ma bouche récupèrent le précieux nectar. Des coulées de sperme gouttent sur mes joues et mon menton avant de sécraser sur ma poitrine.
Soudain jentends Christine :
-Putain ce quil ma mis ! Je suis couverte de sperme !
Je me relève et constate que cest elle qui a été la cible des premières éruptions de lave blanche.
Ma vision est pratiquement bonne maintenant que je me suis habituée à lobscurité et quand je me retourne vers Claude, jai comme un choc.
Je me précipite sur linterrupteur et allume la chambre. Je ne métais pas trompée
Létalon quon attendait nest autre que le jeune garçon qui nous a ouvert.
-Putain, on va se faire coffrer pour détournement de mineur ! Sécrit Christine.
-Nayez-pas peur, les filles, je nen ai pas lair mais jai lâge voulu et les attributs qui vont avec !
Nous baissons les yeux et voyons enfin en pleine lumière cette formidable verge qui ne débande pratiquement pas. Elle est vraiment dune taille impressionnante et complètement incongrue sur ce corps de jeune garçon. Je ne peux me retenir et mexclame :
-Sainte Mère, t-as vu le calibre ?
- Sil est aussi performant quimpressionnant, on va bien samuser ! Surenchérit Christine.
Claude nous coupe dans nos superlatifs :
-La nature ma joué un tour coté croissance mais elle a compensé à un certain endroit. Vous navez-pas respecté mes ordres en allumant et je vais vous le faire payer !
Si Claude nest pas un Apollon plein de muscles, ça ne lempêche pas davoir la vigueur dun jeune de son âge. Un vrai taureau de reproduction. Et vu sa renommée, il sait se servir de sa bite. On en est ravies.
Le contraste est saisissant entre lui et mon amie, elle a presque une tête de plus que lui ainsi quune dizaine de kilos.
Elle se rapproche du fauteuil où il sest assis et se penche pour capturer entre ses mamelles la chandelle qui reprend aussitôt de la vigueur.
Claude pose ses mains sur celles de Christine pour presser encore plus les masses mammaires autour de sa teub et donne de furieux coups de reins.
Mais Christine se lasse vite et se redresse, elle grimpe sur le fauteuil sappuyant des deux mains sur le mur.
En le regardant dans les yeux, sa main droite délaisse le mur pour simmiscer entre leurs corps et termine sa course en se refermant fermement sur le membre rigide.
Claude contrôle son impatience. Il ne veut pas la blesser par trop de précipitation. Il ne bouge pas lorsquil sent la pointe de son gland positionnée à lentrée du conduit.
Elle se laisse descendre pour que le gland pénètre sa vulve béante. Comme dans un film au ralenti, il disparait au fond de son vagin et la lente progression continue.
Elle arrive pratiquement à accueillir dans sa grotte lintégralité de la colonne de chair en poussant un profond soupir.
Les yeux mi-clos, elle profite pleinement du plaisir de cette première pénétration ne bougeant plus, presque en position assise.
Mais Claude ne veut plus lui laisser linitiative et lui inflige de profonds coups de reins qui ébranlent Christine.
-Aïe ! Hé, vas-y tout doux mon petit ! Lengueule Christine en faisant des sauts de cabri quand il senfonce trop loin.
Mais il prend ça comme une invite et lempale encore plus profond.
La queue de Claude est vite couverte de cyprine et dune mousse blanche et échappe de la gaine de Christine qui continue de frotter sa chatte dessus. Le gland retrouve enfin lentrée du vagin de Christine qui avale sans difficulté lépaisse queue.
- Putain de merde Paule! Je nai jamais été aussi pleine ! Il touche le fond de mon vagin et je dois faire gaffe. Ouuuiii que cest boooonnn ! AAAAAHHHH! La sensation est incroyable !
Elle sactive frénétiquement sur la queue. Cette sensation dêtre remplie décuple sa libido. Ce chibre qui frotte sur la totalité des parois internes de son vagin déclenche des ondes de plaisir immenses.
Mais pour atténuer les ruades de Claude, elle déchausse de sa pine et se retourne, pose les mains sur le dossier du fauteuil et ses pieds sur lassise pour pouvoir gérer elle-même la pénétration de ce manche de pioche.
Je maccroupis entre leurs jambes pour regarder le spectacle en gros plan et quand le plantoir rate le trou, je prends en bouche le gros gland violacé pour une fellation rapide avant de réaligner les sexes.
Des décharges électriques parcoururent tout le corps de Christine qui se vide littéralement,
noyant la bite de Claude de sa cyprine.
Elle hurle son orgasme atteignant le nirvana pendant que ma bouche se gave de son jus damour. La vague la emporté loin mais Claude ne veut pas lui laisser un instant de répit.
Il sort son défonce-cul de la chatte de Christine et place son gland contre sa rondelle.
Les spasmes incontrôlés du bassin de celle-ci fait quelle sempale en phase descendante sans même sen apercevoir sur la verge toujours aussi grosse et dure. Le gland franchit sans coup-férir la frontière arrière.
Leffet est immédiat, Christine repart illico dans un nouvel orgasme.
Après quelques secondes de flottement, il saperçoit de la réussite du changement de cible et profite de laubaine pour entrer au complet entre les fesses de Christine que je nai jamais entendu crier aussi fort.
-Aaaaaaaahhhhhhh ! Oh putain de merde ! Il ma enculé le petit con ! Oh putain le morceau ! Oh putain ! Oh putain !
(A suivre)
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