Nouvel An

Nouvel an

Avec Maria, nous filons le parfait amour depuis 1 an et demi. Notre envie de découverte mutuelle est, à mon goût, conséquente, pour un jeune couple dans le début de la vingtaine.

Fellation, cunilingus (mon dieu j’adore lui en faire sur sa chatte rasée), pénétration, sodomie, éjaculation à tous les endroits sauf son vagin, du visage aux pieds. Nous avons également apprécié le rimjob (madame me lèche avidement le cul), s’attacher l’un et l’autre (même si nous préférons tous les deux que madame soit attachée), les yeux bandés.
Par contre, Elle aime moins lorsque je fais du dirty talk très explicite. Ainsi soit-il.
J’ai évoqué la golden shower avec elle, mais elle ne se sent pas prête. Pas fermée, mais pas prête. Je respecte son choix.

Nous voici au nouvel an 2008-2009. Nous avons décidé de le passer tous les deux. Ce qui augure de très bonnes choses! Les magasins ont été visités, note choix s’est porté sur un ensemble complet (SG, string, PG, bas) noir en dentelle fine. Pour aller par dessus, puisqu’il fallait tout de même s’habiller, une sobre robe fourreau beige fera parfaitement l’affaire. De beaux escarpins, de beaux bijoux et une subtile touche de maquillage viennent sublimer ce style très élégant. J’adore la voir ainsi, je devine le feu sous la glace. Mmmmmmmmm
Pour ma part, costume slim fit bleu marine (qui dans l’obscurité pourrait passer pour noir), chemise blanche poignets mousquetaires, avec boutons de manchette en nacre. Chaussures de couturier noires, parfaitement cirées. Cravate, pochette 4 pointes, chaussettes etlacets assortis (bleu ciel) pour un style légèrement dandy, et ma fameuse montre bracelet NATO (submariner 5513, pour les connaisseurs) pour finir.

Nous descendons dans un hôtel élégant de la ville de BREST, au centre ville. La décoration est moderne, le confort agréable, la douche très grande!

Maria prépare ses vêtements sur le lit, j’en fais de même.

Nous nous voyons tous les deux en sous vêtements. Il n’y a aucun mot échangé, nous nous sautons dessus, nos bouches sont soudées pour un baiser enflammé. Elle saute dans mes bras et croise ses jambes dans mon dos. Je la plaque contre le mur, ses doigts viennent dans mon cuir chevelu, les ongles exercent une pression assez maîtrisée pour que l’excitation ne se transforme pas en douleur.
Pendant ce temps ma main gauche masse son intimité pendant que la droite pétrit sa poitrine. Elle n’a jamais été volumineuse, et je l’ai toujours adorée ainsi. Sa sensibilité est incroyable à cet endroit.

En aparté, je l’ai faite jouir un jour en n’usant que de mes mains et de ma bouche sur ses seins. Ce n’est arrivé qu’une seule fois, mais c’était tellement intense que je devais le partager.

Nous sommes donc contre le mur, elle dans mes bras, bouche soudée.
Maintenant que j’ai compris comment elle jouit, je la caresse en conséquence. Ma main gauche tourbillone le plus vite possible sur son clitoris pendant que ma langue titille son téton gauche. Ma main droite soutient le bas de ses reins, à la limite de son fessier.Et c’est contre ce mur que j’ai senti son corps se tendre pour lâcher un soupir des plus sensuels. Son visage a le masque du désir, les pommettes rouges, la bouche entrouverte, les yeux plissés. Quelques secondes plus tard, elle sourit, et son regard devient lubrique.
Elle défait ses jambes dans mon dos, m’embrasse animalement, puis se laisse glisser le long du mur. Elle est accroupie devant moi, les jambes écartées, ne me lâche pas du regard. Mon boxer se fait rappeler les lois de la gravité, tandis que mon sexe semble vouloir les défier. Avec ce regard libidineux qui me plait tant, elle ouvre la bouche en tirant la langue, et vient lécher le liquide séminal qui perle au bout de mon gland. Elle me prend en bouche. Sa fellation est tellement bonne. Elle ne se contente pas de faire de simples aller-retour, non, elle a des mouvements de tête, et sa main va au même moment, faire les mouvements de manière symétrique.
Incroyable. La salive coule sur ses mains. Elle l’étale sur mes testicules, vient les lécher délicatement avec gourmandise, et me masturbe en même temps. C’est un tout, un environnement, un ressenti, une sensation qui rendent un moment unique. Quelque soit le contexte. Je me sens défaillir, la préviens. Loin de l’arrêter, elle a un rictus, des yeux malicieux et redouble d’intensité.
« Je vais jouir, et je vais asperger ton visage »
« Hmmmm avec plaisir, balance moi ton sperme! »
Il n’en fallait pas plus que cette phrase et ses efforts de poignet pour m’achever !
Elle me regarde avec un grand sourire lorsque le premier jet lui arrive sous l’œil, ce qui la fait cligner des yeux, mais elle maintient le regard! Le second lui arrive entre les lèvres et le menton. Un tout petit troisième à la commissure des lèvres.
Elle me suce à nouveau, avec une vitesse bien plus lente que tout à l’heure, mon gland ultra sensible adore! Elle se mord la lèvre, se relève tout en gardant son dos le long du mur. Lorsqu’elle est à mon niveau, elle goûte ma semence qu’elle récolte avec ses doigts jusqu’à sa bouche. Une expression satisfaite est sur son visage. Elle m’embrasse chastement la joue, et file à la salle de bains.
Je suis essoufflé, et m’allonge sur le lit. Un petit repos ne sera pas de refus pour moi! Madame, en sortant de la salle de bains, trouve que c’est une excellente idée, et vient se blottir contre moi.

A notre réveil, nous nous changeons et allons au restaurant où nous avons réservé une table, à quelques centaines de mètres. Nous l’avons choisi, non pas pour sa fantaisie culinaire, mais pour le gage de qualité des produits. Simples, bons, frais.
Apéritif (champagne Gosset), amuse bouche. Nos regards se croisent, nous nous sourions machinalement, comme deux tourtereaux en plein sentiment d’amour. Entre deux gorgées, je lui glisse « je vais te baiser à 4 pattes au pied du lit ». Ses joues rosissent autant qu’elle sourit derrière sa flûte de champagne.
Le serveur nous apporte les entrées. Duo de Foie gras maison, l’un au porto, l’autre au cognac. Le chutney qui l’accompagne est génial en bouche! Un verre de coteau du layon l’accompagne, à parfaite température.
La nôtre, monte au fur et à mesure du repas et des verres ingurgités.
Le plat est une déclinaison de bœuf, ça fond dans la bouche. Pas de vin rouge, mais un Pouilly fumé qui fait le job de la meilleure manière qui soit. Il ravit les papilles, et nous dégrise gentiment. Maria file pour une pause technique, et revient, avec un sourire aux lèvres qu’elle essaie de dissimuler. Elle s’assoit, me donne la main, comme le font les couples. Sauf que dans sa main se trouve son string, que je sens trempé… je la fixe, souris, et sens au même moment, un pied venir me flatter l’entrejambe. La longue nappe blanche cache tout de son activité, nous discutons comme si de rien n’était.
Le serveur vient à nous et nous annonce que le dessert est une surprise, servie avec une flûte de champagne
Madame s’exclame, telle une ingénue « ahhhhh parfait, je suis déjà excitée par cette surprise! »
Le serveur sourit, s’en va nous chercher le champagne rosé. Le dessert arrive, c’est une sorte de salade de fruits, dans le même esprit que celle de Jean Imbert, de Top Chef. Délicieux.
Ce qui l’est encore plus ce sont les regards de braise qui me sont lancés. Elle allume l’incendie, et n’a absolument aucune envie de l’éteindre.
Nous sommes bien alcoolisés par ces verres et cette bouteille.
« J'ai encore envie de te sucer. Ton sperme a bon goût. alors j’ai encore envie…. ah et j’ai envie aussi que tu me prennes en levrette, c’est bien la levrette, hein?! »
Son visage angélique hoche sur la droite, en détaillant à voix audible ses envies de l’instant. peu importe si les tables avoisinantes peuvent entendre, nous semblons seuls au monde.
« La levrette c’est bien, tu as raison! J’aime aussi lorsque tu es assise sur moi et que tu me sens bien au fond de toi, que seuls de petits mouvements de bassin suffisent à te faire pencher la tête en arrière et me griffer légèrement le torse et les cuisses.
»
« Finis ton verre, paie, et on y va »
Je finis vite mes deux dernières gorgées, veux me lever pour aller régler la note, et m'assieds aussitôt finalement.
« Ton désir est visible mon chéri... »
J’en souris, appelle le serveur.
« La note s’il vous plaît »
Maria ajoute, avec un regard obscène et une voix suave :
« Oui, et si vous pouviez faire vite, nous sommes pressés finalement »
Le serveur reste bouche bée, met une à deux secondes pour s’en remettre, puis revient avec le TPE.
Je tâche de me « détendre » avant de m’en aller. Je règle, nous nous levons. Nous réalisons maintenant que nous n’étions pas si seuls au monde. Deux réactions me reviennent en tête. un couple dont le monsieur regarde ma compagne, ou plutôt la detaille comme un bout de viande, sa femme, furieuse, le remettant à sa place. A l’autre table c’est un couple également, madame regarde Maria avec une sorte de sourire complice, et monsieur me fait une grimace voulant dire « c’est bien mon garçon »
Nous rougissons, sourions et retournons à l’hôtel.
La porte du restaurant dépassée, nous éclatons de rire.
Le chemin était beaucoup plus long au retour, entre les alcôves urbaines, les baisers fougueux et les rires pour un rien, ce fut très sympa!

Le réceptionniste nous salue, nous lui sourions en retour. Nous prenons l’ascenseur, pour atteindre le 6ème étage. Finalement nous avons fait plusieurs montées et descentes, pour le fun, et aussi pour réaliser, un peu, le fantasme de l’ascenseur.
Lorsque nous l’avons décidé, nous sommes entrés dans notre chambre. Ça a été long aussi de mettre la clé magnétique dans la fente. ment, à coller le buste de madame contre la porte et en la déconcentrant en lui relevant sa robe, pour caresser son intimité accessible, ça a pris du temps…….
Nous entrons, c’est chaud!
Madame est trempée, et me guide jusqu’au lit. L’image que j’ai en tête à ce moment me fait penser aux photos Instagram que l’on voit partout où le photographe se fait emmener par la main par son amie. Et bien là, jusqu’au lit, c’est la même chose. Elle lâche ma main quelques instants et grimpe sur le lit.
Elle est à 4 pattes, en talons, bas, et la robe relevée. Son regard, brûlant, passe par dessus son fessier, et me fixe, le toise, m’inspecte.
Je m’approche et, d’un coup, la tire jusqu’au bord du lit
Je m’agenouille derrière elle et la lèche consciencieusement. Ma langue va de son mont de Vénus à son périnée, s’attarde de temps à autre sur son œillet, puis revient sur son intimité. Son goût est tellement bon! Elle gémit, et à chaque fois je la fesse. Elle gémit encore plus… cercle vicieux!
Je me relève, me déshabille, défais ma ceinture. En entendant ce bruit caractéristique, elle se retourne vers moi :
« Je ne suis pas prête à recevoir ton ceinturon mon chéri, par contre si tu as d’autres fessées... »
Je la fesse, et rentre ma queue dans sa chatte en chaleur. Son cri de surprise me donne des ailes, je la baise vulgairement en levrette, sans avoir pris le soin de se déshabiller. Je m’agrippe à ses hanches pour imprimer le mouvement, et la défonce sans retenue. Elle en réclame encore! Je me sens buter au fond de son intimité à chaque coup de rein. Elle crie de manière parfaitement synchronisée avec mes coups de butoir! Je suis tellement excité que je sors rapidement pour jouir sur son fessier tout rond! J’en répands dans sa raie fessière, et sa fesse droite. De la, une coulée descend jusqu'à son bas.
« Tu m’as souillée! Mmmm c’est bon! Je vais à la douche me nettoyer. Si tu viens laisse moi 5 mn »
Je la vois se tortiller pour ne pas salir sa robe en l’enlevant.
Elle pénètre sous l’eau torse nu, en PJ et bas. Qu’est-ce qu’elle est belle! J’attends le temps demandé, ’enlève mes vêtements et la rejoins. Nous nous lavons mutuellement, je lui lave d’abord les bras, puis le dos, et en me collant à elle, je lui masse les seins au gel douche. Elle apprécie et me caresse en même temps. Puis lorsqu’elle est rincée, elle se retourne, prend du gel douche en main et me lave aussi . Elle passe un temps fou à me laver le sexe les testicules, les fesses, le cul. Elle me rince délicatement en tournant autour de moi, exerce des pressions avec la pulpe de ses doigts, c’est très agréable.
Il n’y a plus de savon depuis longtemps mais ses mains restent à jouer sur cette partie de mon corps.
Puis elle coupe l’eau, se retrouve derrière moi, prend mon sexe en main, et me masturbe lentement. Des baisers dans le dos se multiplient. Qui descendent au fur et à mesure vers les lombaires les reins les fesses. Elle est accroupie derrière moi, mon sexe en main et en mouvement, et de son autre main, écarte ma fesse gauche, et y met la langue. Elle me lèche le cul délicatement mais sûrement, en même temps qu’elle m’astique. Que c’est bon! Et d’un coup elle lâche mon sexe, me pousse contre le mur, et vient écarter mes globes à deux mains pour y plonger la tête. La caresse est très prononcée, sa langue se raidit à des moments puis s’assouplit, un régal!
Je me retourne, elle continue la caresse anal avec ses doigts mais sans en rentrer. Et elle titille mon gland en même temps! De son air d’ingénue, elle me dit :
« Je t’ai demandé 5 mn pour être propre, est-ce que tu veux me prendre le cul? J’ai envie de me faire enfiler par derrière »
Elle sourit en se mordant la lèvre, n’attend pas la réponse et se cambre contre la faïence. A mon tour d’écarter ses globes.
« Sois vaillant, fougueux ! »
Je lui crache vulgairement sur l’œillet, lui donne deux doigts à lécher. Ils en ressortent remplis de salive. Je rentre d’abord mon majeur. Une petite onomatopée quasi inaudible sort d’entre ses lèvres.
Je lui travaille l’arrière, puis l’index vient le rejoindre
Je l’embrasse en même temps, nos langues tournoient gaiement!
Mes deux doigts font des rotations pour finir de la préparer
« Je n’aime pas tes doigts! Viens me la mettre »
Je rentre le gland tout doucement, lorsqu’elle s’y est habituée, je commence à rentrer doucement.
« C’est Bon maintenant. Défonce moi le cul. Je suis bourrée, je suis chaude, vas y! »
Je lui tire les cheveux en arrière, colle sa joue contre la faïence, et la prend avec la même hardiesse que la levrette d’il y a quelques instants. Je suis étonné de réussir à bander aussi vite après avoir joui, mais je ne m’en plains pas. St j’ai surtout à me concentrer sur son cul. Ma main libre alterne fessées et massage de ses fesses.
Et la chose suivante se produit. Elle contracte son anus, par des spasmes incontrôlés, crie son bonheur, et fait retomber la pression, comme si elle tombait de tout son poids.
C’est très particulier j’ai adoré! Je ne m’arrête pas pour autant de la baiser
« Je crois que je viens de jouir par le cul. C’était bon!!! »
« Ça m’a donné envie de jouir, j’irais bien dans ta bouche »
« Je m'en doutais… j’ai bien fait de prévoir! »
Par précaution elle me masturbe en allumant l’eau, rince mon sexe succinctement pour ne pas le faire perdre en vigueur et s’agenouille devant moi.
La vision de ses bas est magique!
Elle alterne fellation, rim job, testicules léchés, et finit par me prendre à deux mains. Je jouis, bizarrement plus en abondance que tout à l’heure . Ses bas sont souillés. Au moment où elle voit sortir le premier jet, elle se précipite pour avaler le reste de mon offrande. Je vois son mouvement de glotte alors qu’elle cligne du regard à ce moment.
Elle me garde en bouche pour me nettoyer. Je suis plus propre que de raison, c’est tellement agréable.
Mais je sens poindre une envie pressante.
« Ma chérie, je sais que tu es ouverte d’esprit... »
Elle s’immobilise avec mon sexe en bouche et en me regardant d’un air interrogateur.
« … mais la je pense que j’ai une envie pressante ! »
Elle se relève d’un coup
« Ah non pas maintenant, je n’ai pas envie »
Je n’ai pas le temps d’aller jusqu’aux wc, j’urine dans la douche. Malgré sa réticence à cette pratique, elle regarde le liquide transparent (oui nous avions beaucoup pensé à notre hydratation), et vient jusqu’à guider mon jet avec sa main vers la bonde.
Elle se mord la lèvre à nouveau :
« En fait c’est rigolo... »
Nous nous embrassons, nous câlinons, et retournons au balcon de l’hôtel, nus. Nous avons une vue sur la rue de Siam, regardons les gens festoyer.
Elle commence à me flatter l’entrejambe mais c’est un peu tôt.
Je décide alors de la pencher sur la balustrade.
Elle écarte machinalement les jambes, je la doigte sans ménagement, et la lèche par intermittences.
Ce n’était absolument pas voulu, mais elle a joui à minuit dans les cris de liesse des passants en contrebas. Elle a apparemment trouvé génial de les voir sans être vue…
Nous retournons dans la chambre, parce que nous sommes à la limite de la congélation.
La couette est agréable (linge percale sûrement). Avec beaucoup de délicatesses nous nous serrons dans les bras l’un de l’autre.
S’en suivent des réveils nocturnes pour quelques prises en bouche mutuelles. Ça finira en 69, et une ultime jouissance commune.

La complicité n’a pas de prix….

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!